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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: évêque | bishop | Bischof | obispo | vescovo
13occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0165
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0165 | TE018461 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 15, pp. 317-318 | Un homme nommé Folquet ne prend pas la vertu au sérieux. Son âme est chargée de graves péchés. Un jour, alors qu'il se parle à lui-même, il admet qu'il risque de finir en enfer, et accepte les conseils qu'il se donne : changer de voie et revenir en arrière. Il se tourne immédiatement vers Dieu, devient moine cistercien, puis évêque de sa patrie, vivant une vie sainte. |
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TC0165 | TE018362 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 109, pp. 207-208 | Un abbé et un évêque, également moines, restent à l'église un matin pour prier. L'abbé brûle du désir de voir Jésus et sa mère, et Dieu lui permet d'extérioriser son sentiment : il est donc entouré de flammes. L'évêque court pour l'aider, mais l'abbé ne remarque rien. En secouant ses vêtements, les flammes tombent sur le sol, sans s'éteindre. Après un certain temps, elles diminuent d'elles-mêmes et disparaissent, ne laissant aucune trace ni sur les vêtements de l'abbé ni sur le sol. C'est l'abbé lui-même qui fait le récit à Herbert, en privé. |
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TC0165 | TE018410 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 158, pp. 282-283 | L'empereur Henry a un clerc à la cour avec un corps déformé, mais sage et doté d'une voix mélodieuse, amoureux d'une prostituée de la ville. Un jour, il se présente à la messe avec cette femme. L'empereur, pour le tester, lui demander de chanter l'évangile, comme s'il était diacre. Le clerc refuse même lorsque l'empereur le menace de quitter ses terres, il est donc forcé de partir. Mais l'empereur le retient et le place face à lui, le félicitant d'avoir craint plus d'offenser Dieu que son empereur et lui promet la prochaine place en tant qu'évêque, à condition qu'il abandonne son amour illicite. |
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TC0165 | TE018349 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 96, pp. 178-180 | En Sardaigne, un prêtre d'une église, isolé et hors de la ville, trouve l'hostie qu'il avait laissée intacte, cassée en deux. Après la messe, resté seul, il sort de l'église et en s'appuyant le dos à l'abside, regarde vers l'est, en pensant à ce qui s'est passé. Au bout d'un certain temps, il se sent horrifié et raidi au point de ne plus pouvoir bouger. Ouvrant les yeux, il voit une grande multitude d'âmes, à pied et à cheval, des deux sexes et de divers états sociaux. Il en reconnaît certaines, dont une qui s'approche, s'arrête et lui parle familièrement. Elle lui explique qu'il s'agit des âmes qui errent sur la terre à cause de leurs fautes. Le prêtre reconnaît Baudouin, évêque de Pise, qui, malgré sa sainteté, n'est pas encore au Paradis car c'est à cause de lui que les habitants de Pise et de Lucques sont en guerre. Il voit alors un chevalier autoritaire et pervers, ralenti par le poids de l'or qu'il avait apporté en pèlerinage à Jérusalem pour les pauvres, mais qu'il avait ensuite ramené pour le dépenser à des œuvres malfaisantes. Puis une colonne très lumineuse apparaît, dirigée vers l'âme de Constantin, juge de Torrès, qui après avoir purgé sa peine est emmenée au ciel. Après la vision de beaucoup d'autres qui prendrait beaucoup de temps à raconter, Herbert dit qu'à la fin le prêtre demande à son ami s'il y a quelque chose pour lui. L'ami répond que le prêtre mourra la même année et qu'il sera récompensé en fonction de ce qu'il aura fait. Puis il disparaît. Le prêtre vit une vie encore plus chaste à partir de ce moment, puis meurt comme prévu, avant la fin de l'année. |
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TC0165 | TE018412 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 160, pp. 285-286 | Au temps Conrad, père d'Henri, un ecclésiastique donne à Henri une paille en argent, une de celles avec lesquelles les enfants s'amusent à jeter de l'eau, en échange de la promesse qu'Henri le ferait évêque, une fois devenu empereur. Une fois devenu adulte, Henri tient sa promesse. Mais il tombe alors gravement malade, demeurant aux portes de la mort pendant trois jours entiers, n'étant sauvé que grâce aux prières des évêques. Encore convalescent, il retire son titre à celui qu'il avait injustement fait évêque et déclare qu'au cours des trois derniers jours, il a été attaqué par des démons jouant avec la paille d'où sortaient des flammes. Il a été sauvé par un jeune homme qui avait éteint le feu avec l'eau qu'il portait dans un calice d'or. Il s'agissait de saint Laurent, dont Henri fait reconstruire le toit de la cathédrale à Mersenburg, et pour laquelle il fait don d'un calice en or. Il vit de grands miracles, comme celui de la biche qui le porte sur son dos à travers une rivière infranchissable et bien d'autres encore. Henri meurt à Spire la dix-huitième année de son règne. |
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TC0165 | TE018359 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 106, pp. 196-204 | Eskilo, à seize ans, est envoyé par ses parents en Saxe pour étudier. Gravement malade, il reçoit l'extrême onction et, à l'agonie, est laissé pour mort. Pris par une vision, il entre dans une maison dans laquelle il est immédiatement enveloppé de flammes et se croit condamné pour l'éternité. C'est alors qu'il voit un passage menant à un palais. Lorsqu'il entre dans le palais, il voit la Vierge Marie sur un trône, qui lui reproche d'avoir osé se présenter devant elle. Trois personnes vénérables prennent sa défense et la Vierge fait semblant d'être en colère contre lui pour ne lui avoir jamais exprimé sa dévotion. Terrifié, Eskilo demande pardon et propose de payer pour sa libération. Lorsque la Vierge lui demande cinq sortes de blé, le jeune homme promet de payer. Il se réveille à la surprise de tous, ne pouvant que remercier Dieu de ne plus être au sein des flammes. Une fois la vision racontée, un homme sage lui dit qu'il sait qu'Eskilo sera un homme important pour l'Église et qu'il devra construire à ses frais cinq monastères d'ordres différents avec au moins douze moines pour chacun. Devenu évêque de Lund, Eskilo fonde d'abord les cinq monastères, puis de nombreux autres, à ses frais et à ceux d'autres fidèles, pour les Cisterciens, les Chartreux et les Prémontrés, non seulement au Danemark mais aussi en Saxe, en Slavonie, en Suède et en Norvège, travaillant en même temps à éradiquer le paganisme et l'hérésie, qu'il abhorre. Un noble de ces terres refuse d'obéir à Eskilo et de se séparer de sa femme, une parente de sang ; excommuniée, la femme est retrouvée morte dans son lit, la gorge tranchée par un démon. Un autre homme riche se marie avec la femme d'un autre chevalier et Eskilo, après de nombreux avertissements non entendus, lui inflige un anathème. Les deux pécheurs sont étouffés dans leur sommeil avec leurs deux enfants. La notoriété de l'événement convainc de nombreux pécheurs de changer de vie. Elie, le dixième évêque de Ribe, au Danemark, trouve l'hostie qu'il a laissée intacte, divisée en cinq parties pour signifier, comme on le comprendra plus tard, les cinq évêques, dont Elie, qui dans le schisme entre Alexandre III et Victor IV prend le parti de ce dernier. Plus tard, Elie, plus intéressé par la richesse que par l'âme de ses fidèles, refuse, sur le point de mourir, de se confesser et de communier. Il est retrouvé mort, étouffé par les démons et jeté sur un phare. Le frère d'Eskilo meurt sans confession et sans lui avoir demandé pardon pour l'avoir offensé à tort. Un jour qu'Eskilo est en train de prier, son frère apparaît devant lui, en silence, avec une attitude pénitente, enveloppé de flammes, à l'exception de son cou, sa tête et le haut de ses épaules. Stupéfait, Eskilo ne parle pas mais, tourmenté par le chagrin de son frère, il demande le lendemain de nombreuses messes et prières pour lui au chapitre. Tout ce qui précède a été dit à Herbert par Eskilo lui-même. |
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TC0165 | TE018198 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 4, pp. 13-20 | Avant d'entrer à Clairvaux, Guillaume a été un moine bénédictin à Saint-Aubain d'Angers, où il était tenu en grande estime par l'abbé et ses confrères. Avec certains d'entre eux, il a vécu pendant des années presque en ermite, dans une dépendance du monastère. Il mangeait très peu, grâce à l'aide de Dieu, et malgré une tentation forte. Un jour, un frère arrive et lui ordonne de manger de la viande en raison de sa faiblesse physique. Après un premier refus, il cède et mange un peu, pour ensuite le regretter amèrement. C'est alors qu'apparaît un homme vêtu de blanc scintillant, qui se présente comme un pèlerin venu lui rendre visite. Il lui reproche d'avoir cédé à la tentation et lui raconte l'histoire suivante. Une religieuse en Espagne, habituée à ne manger que du pain et de l'eau, cède à la tentation et lui demande de préparer de la viande. Avant de manger, elle prie Dieu de l'empêcher d'en manger si cela peut nuire à son âme. La viande se transforme en trois poussins de corneille, sans plumes. Lorsqu'il est confirmé qu'il n'y avait que trois petits morceaux de viande dans l'assiette, la religieuse jette les corbeaux dans la rivière ; et depuis ce jour ils n'ont pas cessé de flotter. Conforté par la vision, Guillaume accepte la pénitence et demande qui est le pèlerin, qui lui répond qu'il ne peut pas le dire ; il n'a pas besoin de nourriture humaine et sa seule préoccupation est la santé de Guillaume. Il le salue et disparaît sans laisser de trace, démontrant ainsi sa nature angélique, comme Guillaume le raconte à Herbert plus de vingt ans plus tard. En entrant à Clairvaux, attiré par la renommée de Saint Bernard, il a de nombreuses visions, mais n'en raconte que peu, à très peu d'auditeurs. Durant l'une d'elles, lorsqu'il chante les psaumes à prime, il voit saint Malachie, vêtu en évêque, le jour de l'anniversaire de sa mort. Il est accompagné par saint Bernard, également coiffé d'une mître mais ne portant pas la bague épiscopale, qui lui fait un grand honneur et observe avec attention Malachie, les moines de la communauté ainsi que l'autel. La vision s'achève sur la fin du psaume. Dans une autre vision, Guillaume demande à saint Bernard de lui révéler s'il sera sauvé. Bernard lui reproche de faire une trop grande demande, mais lui répond malgré tout, (mais Herbert ignore la réponse). Dans une troisième vision, alors qu'il est malade à l'infirmerie, Guillaume voit entrer un diable habillé en prostituée qui se déplace lascivement entre les lits des moines malades, jusqu'à s'arrêter devant le lit d'un jeune moine. Le diable dit au moine de le suivre et d'amener son compagnon, qui les attendrait dehors, alors il s'en va. Le lendemain, Guillaume raconte sa vision à l'abbé Robert, qui va parler au jeune moine, mais celui ci nie vouloir quitter l'ordre. Cependant après quelques jours, il quitte le monastère avec son compagnon ; au moment où Herbert écrit, il s'est installé dans un autre monastère. Guillaume a beaucoup d'autres visions qu'Herbert ne raconte pas pour ne pas ennuyer ses lecteurs. Il meurt dans la sainteté, comme il a vécu. |
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TC0165 | TE018340 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 87, p. 171 | Un prêtre de vie honnête, au moment de l'Eucharistie, voit l'hostie transformée en chair et le vin en sang et communie sans crainte. L'évêque le réprimande de ne pas avoir tout conservé pour le lui montrer. La semaine suivante, le miracle se produit à nouveau devant l'évêque et les personnes présentes, le saint sacrement est alors conservé comme une relique. |
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TC0165 | TE018369 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 116, pp. 218-219 | Lors d'un repas de Pâques, le roi Edmond a une vision des sept dormants d'Éphèse dans le ciel. Il les voit s'orienter vers la gauche, après deux siècles à droite, signe d'un malheur à venir. La vision le fait sourire et un comte, un abbé et un prêtre lui demandent de la raconter. A Constantinople, l'empereur vérifie la véracité de la vision et communique le résultat à l'évêque d’Éphèse. C'est alors que débutent une série d'invasions de villes chrétiennes au Moyen-Orient, confirmant ainsi la prophétie. |
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TC0165 | TE018390 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 137, pp. 250-251 | À l'époque du pape Alexandre III, sous le règne de Louis VII, un chevalier nommé Matthieu de Neufchâtel part pour Saint-Jacques de Compostelle avec un compagnon. Il lui confie un sac de quarante sous, mais le traître prétend plus tard ne jamais l'avoir reçu. De retour du pèlerinage, l'homme continue de nier avoir reçu cet argent. Matthieu l'emmène alors devant l'évêque de Soissons, mais se voyant en difficulté, le parjure demande à aller voir le pape. Pour résoudre le problème Matthieu lui dit de jurer à l'église devant Dieu et saint Jacques qu'il n'a jamais volé l'argent ; l'autre accepte, mais meurt sur le seuil de l'église, révélant ainsi sa culpabilité. |
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TC0165 | TE018451 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 13, pp. 316-317 | L'évêque Séverin de Cologne apparaît après sa mort à un archidiacre, qui est surpris parce qu'il l'a toujours considéré comme un homme saint, mais le voit sous un nuage de feu d'où des gouttes enflammées tombent sur sa tête. Séverin explique qu'il est puni pour avoir interrompu les offices divins pour des choses terrestres. Pour montrer clairement combien il souffre (mais aussi combien il peut faire souffrir), il fait tomber des gouttes sur le bras de l'archidiacre : après lui avoir fait sentir la douleur, il le guérit. Le narrateur commente à quel point ceux qui aiment le monde terrestre ont tort, car même de légers péchés apportent de graves peines. |
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TC0165 | TE018290 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 44g, pp. 92-94 | Le légat pontifical et divers évêques emmènent avec eux Saint Bernard, contre sa volonté, pour lutter contre l'hérésie à Toulouse. Comme le voyage est particulièrement fatiguant, ils lui donnent un meilleur cheval qu'à l'accoutumée. Lorsqu'ils arrivent dans la région, le meneur des hérétiques choisit de se cacher, car il sait qu'il ne peut rien faire face à Bernard. Après de nombreux miracles quotidiens, Bernard est confronté à un hérétique qui le critique en disant que son maître n'a pas un cheval aussi bien nourri que le sien. Bernard répond tranquillement que le cheval, en tant qu'animal, suit son propre ventre, alors qu'il faut comparer son propre cou à celui de l'hérétique. Il montre alors son cou très maigre et blanc, et les spectateurs sont satisfaits de l'efficacité de sa réponse. |
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TC0165 | TE018330 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 78, pp. 154-159 | Herbert raconte une série d'histoires à propos de Geoffroy de Melun, d'abord moine de Clairvaux puis évêque de Sorrès en Sardaigne, qu'il lui a racontées en privé. Un jour, alors qu'il se trouve dans le chœur de Clairvaux, il voit une procession de saints, accompagnés par des acolytes, des diacres, des sous-diacres et des prêtres. La procession, conduite par la Vierge accompagnée des apôtres Pierre et Jean part du nord de l'église, comme si elle venait du cimetière, et se dirige vers l'infirmerie, où elle disparaît. Tescelin, un homme âgé et vénérable, se trouve là. Geoffroy pense que la vision indique son salut. Un autre jour, alors qu'il chante avec les autres, il voit un démon sous la forme d'un singe qui traverse le chœur, s'arrête devant lui, lui rit au visage en dilatant les narines, puis disparaît pour ne plus jamais réapparaître. Malade, il perd la force de chanter dans le chœur, et supplie Bernard de l'aider. Bernard lui apparaît en rêve, fait le signe de la croix et le touche là où il a ressenti une douleur, et lorsqu'il se réveille, Geoffroy est complètement guéri. Une autre fois, un moine qui fait partie de ses proches tombe malade. Alors qu'il prie pour sa santé, Geoffroy a une vision dans laquelle on lui dit qu'un des moines guérira, mais pas celui auquel il est le plus attaché, qui mourra. La vision se concrétise, et Reinald de Cluny décède. Priant avec beaucoup de larmes pour sa mère, il souhaite savoir où elle se trouve dans l'au-delà. Une voix divine lui reproche de demander ce qu'il n'est pas autorisé à savoir. Après une vision dans laquelle un homme vénérable lui met une bague au doigt, il devient évêque de Sorrès pour une durée de sept ans et est pour les autres un exemple de sainteté. Alors que la mort approche, bien qu'il l'ignore, il se rend à Clairvaux et prie Dieu de lui permettre d'y mourir. Malade, après quelques jours de souffrance, il reçoit l'extrême-onction et meurt le jour de la consécration de l'église de Clairvaux. Il est enterré à côté de Geoffroy de La Roche-Vanneau. Avant la mort de Geoffroy, un des moines de Clairvaux a la vision d'un lit élégant en cours de préparation, et le jour de sa mort, il voit une lumière très intense autour de son corps, déjà apporté à l'église. Il comprend que Geoffroy est avec Dieu. Deux mois plus tard, le même moine a une vision dans laquelle Geoffroy est habillé en prêtre, comme s'il se préparait à célébrer la messe. Il y aurait d'autres histoires à raconter, mais Herbert n'en choisit qu'une : Geoffroy décide de restaurer une vieille église en ruines et, pendant les travaux, un vieux coffre contenant des reliques de saints et une hostie parfaitement conservée est retrouvé, pour la plus grande joie des personnes présentes. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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