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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Enfant | Child | Kind | Niño | bambino
8occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0036
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0036 | TE006670 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 32 | Mayeul, ancien abbé de Cluny est un saint très vénéré dans toute les Gaules. Depuis sa mort, il a accompli de nombreux miracles. Dans le village de Souvigny, un enfant âgé de trois ans meurt de maladie. Affligée d’une très grande douleur, la mère meurtrie se réfugie dans sa foi. Connaissant les multiples miracles accomplis par saint Mayeul, elle se précipite à son sépulcre et y dépose le corps de son enfant défunt à la grande surprise de tous. Après quelques heures, l’enfant renaît à la vie à la grande joie des témoins. La mère en liesse offre alors son enfant au saint puisque c’est grâce à son miracle qu’il est revenu à la vie. | |
TC0036 | TE006667 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 29 | Un paysan, pauvre et dévot se lia d’amitié avec les moines chartreux. Ceux-ci, par affection pour lui, accueillirent ses deux fils pour leur fournir une éducation religieuse. Mais peu de temps après être arrivé, un des deux enfants décéda. L’autre fut alors confié à un chartreux, saint homme qui avait été le témoin d’une apparition céleste (II 29). L’homme et l’enfant devinrent très proches, comme père et fils dans la religion. Mais peu de temps après, cet enfant mourut à son tour au grand désespoir de son moine éducateur. Ce dernier très affecté ne cessait pas de prier pour le salut de son âme. Afin de réconforter son fidèle dans le désarroi et pour lui manifester son mérite ainsi que celui de son fils spirituel, Dieu accorda au moine chartreux le privilège d’une vision céleste. ~ Une nuit, alors que le moine, se consacrait à l’oraison en plein air, il vit une lumière déchirer le ciel et l’envelopper. De cette lumière, le saint homme aperçut son fils dans la religion, joyeux et rayonnant descendre du ciel jusqu’à lui. Celui-ci le rassura et le remercia pour ses suffrages qui lui avaient permis d’obtenir le salut. Le défunt lui assura que désormais il pourrait intercéder en sa faveur auprès de Dieu. Sur ce, l’enfant s’éloigna en faisant face à son maître, happé par la lumière céleste. |
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TC0036 | TE006598 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 1 | En Auvergne, sur les conseils d’un sorcier, un paysan garde une hostie dans sa bouche et tente de la souffler dans sa ruche, mais elle tombe par terre. Les abeilles recueillent avec vénération l’hostie. Pris de remord, le paysan noie la ruche et y trouve un nouveau-né très beau mais apparemment mort, qui disparaît mystérieusement quand il l’emporte pour l’enterrer. Peu après, ce lieu devient stérile et désert. | |
TC0036 | TE006617 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 8, 2 | Le jour de la fête de la Circoncision, dans une église dédiée à la Vierge du diocèse de Châlons-sur-Saône, dépendant du monastère de Cluny, le moine Gérard s’apprête à célébrer l’eucharistie. Observant l’hostie, il voit que celle-ci a disparu pour laisser place à un tout petit enfant entouré de la Vierge et d’un ange, ce dernier lui confirme la nature divine du nouveau-né. Une fois la vision céleste disparue, l’hostie reprend sa forme et Gérard achève la célébration. | |
TC0036 | TE006627 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 15 | Au monastère de Cluny, à l’approche de la Nativité, alors que les moines s’affairent à la préparation de la fête, l’abbé Hugues entre au chapitre et s’adresse aux frères. Il leur raconte la vision qu’un frère, sans doute lui-même, a eue de la Vierge et de son fils se réjouissant de la fête à venir et de la dévotion des moines. Entendant cela, le diable demanda à être reçu dans l’intention de nuire de quelques manières que ce soit à la fête de la nativité. Confiant, l’enfant-Dieu le laisse faire, le démon tente dès lors de s’inviter au chapitre, mais gonflé d’orgueil, il ne peut passer l’humble porte. Il en est de même pour l’entrée du dortoir, quant au réfectoire il en est repoussé par la lecture des divines paroles. L’Ennemi, rejeté du monastère, quitte alors les lieux, laissant les moines et la Sainte Famille à la célébration de la fête. |
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TC0036 | TE006620 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 8, 5 | Environ six mois après la mort du moine Gérard, un de ses confrères a une vision. Le démon se présente à lui sous l’aspect d’un éthiopien petit et très noir, étirant sa langue de feu et léchant son corps, l’assurant que ses chairs se consumeront entièrement. Le moine est alors sauvé de son supplice par l’apparition de Gérard qui maintient fermement le démon à l’écart. Gérard fait promettre au moine, en échange de sa libération, de rencontrer l’abbé de Cluny et de le prier d’appeler auprès de lui un frère, ferronnier de son état. Ce dernier, après avoir douté du mystère de l’eucharistie, avait une apparition céleste mais ne l’avait pas fait connaître. Or, il est important que chacun connaisse ce miracle et puisse profiter de son témoignage en faveur de la foi. Le moine se rend chez l’abbé Pierre Le Vénérable, qui bien que dubitatif, invite le frère ferronnier. Celui-ci lui raconte ses doutes premiers quant à la présence réelle dans l’eucharistie, ses prières à la Vierge ainsi que la vision dont il a été témoin. Un enfant lui est apparu dans une église sur l’autel et l’a prié de le prendre dans ses bras pour lui faire traverser l’église. A la suite de ce miracle, ce frère ferronnier avait retrouvé la foi dans l’eucharistie. Ce témoignage vient également confirmer la vision démoniaque du premier moine. |
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TC0036 | TE006657 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 18 | Peu de jours avant la mort de Matthieu d’Albano, le prieur de Saint-Zénon, à Pise, vit le mourant en songe. Habillé en moine, Matthieu faisait face à un enfant d’une grande beauté qui lui présenta un livre et lui demanda de le lire pour acquérir la connaissance de toutes les langues. L’enfant l’invita ensuite à entrer dans un somptueux palais, mais Matthieu d’Albano répondit ne pas être prêt; aussi l’enfant le laissa-t-il se préparer et il revint vêtu de ses ornements sacerdotaux et pontificaux. Il est alors accueilli par une foule d’enfants angéliques qui entonnent un cantique. |
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TC0036 | TE006669 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 31 | Au monastère de Charlieu, un oblat est témoin d’une apparition de défunts durant la nuit qui précède la Nativité, alors qu’il était couché dans le dortoir des frères, ne parvenant pas à trouver le sommeil. Soudain, il vit entrer dans le dortoir et venir à lui, deux hommes qu’il reconnaît bien que ne les ayant jamais vus. Il s’agit d’Achard, son oncle et ancien prieur du monastère et le prieur Guillaume (cf. II, 25), tous deux défunts. Après leur conversation, le seigneur Guillaume quitte les lieux, laissant Achard seul assis près de l’enfant. Le défunt invite ce dernier à se lever et à l’accompagner au cimetière. Mais l’oblat, d’abord apeuré, puis rassuré par son oncle, craint d’être puni en quittant le dortoir. Son oncle défunt le rassure, lui affirmant qu’il ne lui arrivera rien. L’enfant moine et le défunt sortent du dortoir et se dirigent vers le cimetière des moines où se trouve déjà une assemblée des défunts. Comme il l’avait annoncé au jeune vivant, à peine est-il assis, qu’Achard doit essuyer une accusation pour son retard. Il se lève pour faire pénitence, laissant sa place au jeune visiteur, et s’avance au milieu. Celui-ci observe l’assemblée du cimetière qui baigne dans une clarté surnaturelle. Il voit son oncle défunt faire pénitence devant son juge assis sur un siège imposant trônant sur une lanterne des morts. Après sa pénitence, le défunt retrouve sa place. L’enfant voit alors l’assemblée quitter les lieux, non par la porte par laquelle elle était entrée, mais par une autre porte au seuil de laquelle se trouve un feu qui les purifie. Achard raccompagne son neveu au dortoir avant de disparaître. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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