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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Péché | Sin | Sünde | Pecado | Peccato
4occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0161
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0161 | TE017751 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXXI, 28 | COMMENT FUJIWARA NO NOBUNORI EST MORT DANS LA PROVINCE D'ETCHÛ.– Fujiwara no Nobunori part rejoindre son père, gouverneur de la province d’Etchû, et tombe gravement malade pendant le voyage. Constatant que son fils ne guérit pas, et malgré son chagrin, le gouverneur prépare Nobunori au passage dans le monde ultérieur. Un moine s’installe à son chevet pour l’exhorter aux prières et lui décrit les peines de l’enfer, et l’existence intermédiaire, où l’on se retrouve seul dans une vaste plaine sans oiseaux ni bêtes à poils. Nobunori demande si on y entend des chants pour être consolé. Puis, mourant, il fait comprendre gestuellement à son père qu’il désire écrire. On lui donne un pinceau et un papier sur lequel il écrit trois strophes de poésie. Il meurt avant d’avoir terminé le dernier mot, que son père achève. Il avait péché car il n’avait pas pensé en mourant aux Trois Joyaux du Bouddhisme [Bouddha, sa Loi, et sa Communauté]. |
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TC0161 | TE017720 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XIV, 04 | HISTOIRE DE LA MIRACULEUSE EFFICACE DU KANNON DE NARIAI EN LA PROVINCE DE TANGO.– Durant l’hiver, un moine reclus dans un monastère situé dans la montagne enneigée manque de provisions et ne peut se rendre au village. Affamé, il pense mourir et invoque [la statue de] Kannon de son monastère pour qu’il daigne le secourir. Il voit alors un sanglier mais il hésite à le découper et manger sa chair, car il lui a été enseigné que les êtres vivants sont nos pères et nos mères dans leurs existences antérieures. Mais, ne supportant pas la douleur de la faim, il découpe les cuisses du sanglier, les fait cuire et les mange. Les villageois, sachant le moine seul et sans provisions, viennent au monastère pour lui porter de la nourriture. Le moine, honteux de son péché, tente de cacher les restes de la cuisson du sanglier. Les villageois trouvent des restes de bois cuits et mangés et voient qu’on a coupé les cuisses [de la statue] du Bouddha. Le moine comprend que Kannon s’est transformé en sanglier pour le sauver. Il implore Kannon qui retrouve sa forme primitive. |
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TC0161 | TE017721 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XVII, 08 | COMMENT, PARMI LE MONDE, ON A APPELÉ LE NOVICE ZÔNEN UNE MÉTAMORPHOSE DE JIZÔ.– Un novice appelé Zônen invoque depuis son plus jeune âge le Bodhisattva Jizô. Il va de porte en porte jour et nuit pour louer le Vœu Compatissant de Jizô. En le voyant, même les assassins et les débauchés deviennent bons. On dit que ce novice est un corps métamorphique du Bodhisattva Jizô. A sa vieillesse, Zonen disparaît dans la montagne et les gens de la province se lamentent et disent que c’est le Bodhisattva Jizô qui les abandonne à cause de leurs péchés. |
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TC0161 | TE017727 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XX, 38 | COMMENT LE NOVICE D'ISHIKAWA, POUR LES ACTES MAUVAIS QU'IL A COMMIS, REÇOIT SA RETRIBUTION DÈS CETTE VIE PRÉSENTE.– Un novice marié à une femme du district d’Ishikawa est, malgré sa figure de moine, un menteur et un voleur. Il mendie pour voler des richesses, il coupe et brûle des colonnes d’un stûpa. Cependant, il tombe malade, et, fou de douleur, crie que le feu de l’enfer brûle son corps. C’est pourquoi les gens se gardent de commettre des péchés pour ne pas en recevoir une telle rétribution. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
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