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5occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0029
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0029 | TE005225 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : U. Le dit du buef, p.217-245 | Préambule sur l’importance de la confession (v. 1-40). Un prudhomme meurt en laissant sa femme et un fils qui lui ressemble beaucoup. Bien qu’il grandisse, la mère continue à faire coucher son fils dans son lit et finalement devient enceinte (v. 41-72). Le fils décide de se confesser et de faire pénitence; mais le curé refuse de l’absoudre et le renvoie au pape (v. 73-100). Il part pour Rome où le Saint Père le garde auprès de lui afin qu’il ne soit pas tenté de nouveau par le diable (v. 101-82). La mère accouche d’une fille, qui reçoit au baptême le nom de Philippe, et se confesse au curé qui lui conseille de se rendre à Rome, mais elle s’y refuse (v. 183-274). A l’âge de dix ans, Philippe découvre la vérité sur son origine; la mère et la fille partent pour Rome (v. 275-380). Le pape enjoint à tous les trois comme pénitence de vivre pendant sept ans cousus dans des peaux de boeuf et séparés les uns des autres (v. 381-524). Description de la vie qu’ils mènent (v. 525-44). Au bout de sept ans, ils arrivent tous à une grange où ils meurent en même temps en odeur de sainteté (v. 545-677). Bien des miracles se produisent à cet endroit, et le pape y fait élever une église en leur honneur (v. 678-788). ~ Conclusion (v. 789-93). Prière (v. 794-96). |
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TC0029 | TE005208 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : D. Le dit de la bourjosse de Romme, p. 39-46 | Préambule (v. 1-8). ~ Un bourgeois romain meurt après avoir recommandé à sa femme de bien élever leur fils unique et de faire généreu¬sement des aumônes (v. 9-32). La mère continue à faire dormir le fils dans son lit malgré les scrupules de celui ci (v. 33-61). Le diable est à l’affût et profite de la situation : la mère devient enceinte (v. 62- 68). Elle n'ose se confesser, mais distribue encore plus d’aumônes. Personne ne découvre son état (v. 69-84). Sur le point d’accoucher, elle se rend dans un verger où elle tue l’enfant nouveau né. Elle ne se confesse toujours pas (v. 85-109). Afin que la bourgeoise se perde définitivement, le diable trouve un stratagème : il se rend, déguisé comme "physicien", à la cour de l’empereur où il acquiert une grande influence (v. 110-31). Il dénonce la bourgeoise à l’empereur, qui la fait venir (v. 132-72). La Vierge apparaît alors au pape et lui donne l’ordre de se rendre à la cour, où il ne sera visible que pour la pécheresse, afin de recevoir sa confession (v. 173-92). Quand elle s’est confessée, le diable ne la reconnaît plus et disparaît avant d’être jeté sur le bûcher préparé pour celle qu’il avait dénoncée (v. 193 204). La bourgeoise se fait religieuse (v. 205-08). ~ Conclusion (v. 209 12). Prière (v. 213 16). |
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TC0029 | TE005207 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : C. Le dit des III. Pommes, p. 26-38 | Préambule (v. 1 8). ~ Un père, âgé et malade, a promis de faire un pèlerinage à Saint Jacques de Compostelle. Son fils, encore très jeune, propose de le remplacer, ce qu’il accepte avec reconnaissance (v. 9-25). Départ de l’enfant et conseils du père qui lui donne trois pommes avec lesquelles il devra mettre à l’épreuve ses compagnons de route (v. 26-64). Première rencontre le pèlerin échoue, et l’enfant se sépare de lui (v. 65-95) même résultat pour le second (v. 96- 98). La troisième fois, l’enfant réussit à trouver un ami fidèle (v. 99-124). Ils arrivent dans une ville; le pèlerin, qui ne veut pas descendre dans la même auberge que l’enfant, en trouve une autre où il s’installe (v. 125-44). Pendant la nuit, l’enfant est volé et assassiné parla femme de l’aubergiste et un complice (v. 145- 61). Le matin, quand l’ami vient chercher son compagnon, on lui répond qu’il est déjà parti (v. 162-68). Il a des soupçons et va trouver le juge avec qui il cherche dans toute la maison et finit par trouver le corps; les coupables sont arrêtés (v. 169-96). A l’instigation d’une voix céleste, le pèlerin part pour Saint Jacques portant sur son dos l’enfant mort; celui ci ressuscite dans la chapelle et invite son ami à l’accompagner dans son pays (v. 197-228). Le père de l’enfant le reçoit fort bien et fait faire deux hanaps identiques dont il leur fait cadeau (v. 229-36). L’ami fidèle retourne dans sa famille; quelque temps après, il est atteint par la lèpre, et sa femme le chasse impitoyablement de la maison (v. 237-45). Le lépreux arrive à l’endroit où habite son compagnon; celui ci le reconnaît à cause du hanap, qu’il a apporté avec lui, et lui fait bon accueil malgré l’opposition de son épouse (v. 246- 76). Une nuit, une voix annonce au lépreux qu’il pourra être guéri si son ami consent à sacrifier ses enfants afin qu’il soit lavé de leur sang (v. 277-80). Le lendemain, l’ami vient trouver le malade et lui demande s’il ne peut rien faire pour qu’il soit guéri. Le lépreux lui raconte en pleurant le message de la voix (v. 281-96). Après avoir envoyé sa femme à l’église, l’ami tranche la gorge à ses enfants : le malade est guéri, et les deux compagnons remercient Dieu (v. 297-312). La femme, revenue de la messe, trouve les enfants sains et saufs (v. 313-20). Ce jour-là le père avait invité des amis à dîner; à l’heure fixée, on ne le trouve point; quelqu’un, en compagnie de l’un des enfants, va le chercher à l’église. Joie du chevalier quand il se rend compte du miracle (v. 321-32). ~ Conclusion (v. 333-34). Prière (v. 335-36) |
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TC0029 | TE005213 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : I. Le dit de la borjosse de Narbonne, p. 77-85 | Préambule (v. 1-12). ~ Une riche veuve de Narbonne a un fils qui, joueur pas¬sionné, gaspille sa fortune et celle de sa mère (v. 13-40)¬Quand il a tout perdu, le diable apparaît et promet de l’aider (v. 41-60). Un beau jour, Satan arrête ses verse¬ments et invite le jeune homme à voler lui même l’argent dont il a besoin. Il l’emmène à l’église et lui conseille de dérober un calice (v. 61-79). Le jeune homme est pris en flagrant délit et condamné à être pendu. Il demande à ses juges l’autorisation de passer devant la maison de sa mère au moment où il sera conduit à la potence (v. 80-129). Quand la mère le voit dans ce piteux état, elle le serre dans ses bras et court à l’église où elle s’adresse à la Vierge d’un ton très violent l’implorant de secourir le malheureux fils (v. 130-88). Notre Dame lui promet d’intervenir et l’arrache au gibet. Des miracles se produisent dans la ville (v. 189-216). ~ Conclusion et appel à la générosité du public (v. 217-24). |
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TC0029 | TE005217 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : M. Le dit de l’enfant qui sauva sa mère, p. 105-112 | Préambule sur l’importance de la confession (v. 1-24). ~ Après la mort de son mari, une bourgeoise est réduite à la misère (v. 25-44). Un jour qu’elle s’en plaint, le diable lui apparaît sous la forme d’un marchand et demande la cause de son désespoir. L’ayant apprise, il promet de la rendre riche si elle consent à exécuter ses ordres elle accepte (v. 45-60). Le diable pose quatre conditions : ~ 1) Elle doit déranger les gens qui prient dans l’église (v. 61-72). ~ 2) Elle doit héberger de jour trois pauvres et les chasser la nuit venue (v. 73-75). ~ 3) Elle n'a plus le droit de se confesser (v. 76-82). ~ 4) Elle doit faire forniquer prêtres et chanoines (v. 83-100). ~ ~ Ayant trouvé les richesses promises, la veuve tient scrupuleusement son engagement (v. 101-115). Un jour, cependant, elle tombe gravement malade et est sur le point de mourir. Son fils, qui est clerc, l’engage vivement à se confesser, mais elle refuse, fidèle à sa promesse (v. 116-30). Le fils la persuade de se confesser à lui et insiste pour qu’on cherche ensuite un prêtre; elle finit par y consentir (v. 131-42). Quant la mère est seule, le diable survient et l’étrangle; à son retour le fils la trouve morte (v. 143-48). Il propose de prendre sur lui la pénitence et se confesse au curé qui l’absout (v. 149-88). Un an plus tard, la mère revient remercier son fils de l’avoir tirée des peines du purgatoire. Il meurt peu de temps après et va en paradis où une place lui est réservée (v. 189-204). ~ Conclusion (v. 205-08). |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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