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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Bourgeois | Burgher | Bürger | Burgués | Borghese
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0010 | TE000925 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 207, 1 | Les pécheurs sont des fils de la cruauté, tandis que les apôtres sont des fils de la miséricorde. Le diable a sept filles : la fraude, l’usure, le rapt, la simonie, l’hypocrisie, l’orgueil, et la luxure. Il a marié chacune des six premières à une catégorie particulière d’hommes : les marchands, les bourgeois, les chevaliers, les clercs, les religieux, les femmes; et il a marié la luxure à tous sans distinction. |
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TC0010 | TE000949 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16482, Sermo D216 | Le bourgeois interpellé du nom de moine. | |
TC0029 | TE005208 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : D. Le dit de la bourjosse de Romme, p. 39-46 | Préambule (v. 1-8). ~ Un bourgeois romain meurt après avoir recommandé à sa femme de bien élever leur fils unique et de faire généreu¬sement des aumônes (v. 9-32). La mère continue à faire dormir le fils dans son lit malgré les scrupules de celui ci (v. 33-61). Le diable est à l’affût et profite de la situation : la mère devient enceinte (v. 62- 68). Elle n'ose se confesser, mais distribue encore plus d’aumônes. Personne ne découvre son état (v. 69-84). Sur le point d’accoucher, elle se rend dans un verger où elle tue l’enfant nouveau né. Elle ne se confesse toujours pas (v. 85-109). Afin que la bourgeoise se perde définitivement, le diable trouve un stratagème : il se rend, déguisé comme "physicien", à la cour de l’empereur où il acquiert une grande influence (v. 110-31). Il dénonce la bourgeoise à l’empereur, qui la fait venir (v. 132-72). La Vierge apparaît alors au pape et lui donne l’ordre de se rendre à la cour, où il ne sera visible que pour la pécheresse, afin de recevoir sa confession (v. 173-92). Quand elle s’est confessée, le diable ne la reconnaît plus et disparaît avant d’être jeté sur le bûcher préparé pour celle qu’il avait dénoncée (v. 193 204). La bourgeoise se fait religieuse (v. 205-08). ~ Conclusion (v. 209 12). Prière (v. 213 16). |
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TC0033 | TE006213 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 352 | LE BOURGEOIS ET SON CERCUEIL. Un bourgeois de Paris fit préparer dans sa chambre le cercueil dans lequel son cadavre serait transporté, pour penser à la mort et l’inciter aux oeuvres de miséricorde. Le jour des morts, il donnait des pains aux pauvres, se demandant qui se rappellerait de lui quand il serait mort. |
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TC0035 | TE006508 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 6, n° 26 | Un riche bourgeois (Foulques) de Marseille, interroge sa conscience, et terrifié par ses péchés, se fait moine cistercien, et devient plus tard évêque de Toulouse. |
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TC0131 | TE008103 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 582, 1-8 | PESEE ET VENTE D'UN JOUR D'INDULGENCE. 1/ Une brave dame, par besoin d’argent vendit un jour d’indulgence. 2/ Son acheteur la pesa sur une balance. Il y mit un denier et la femme y mit son indulgence en disant: 3/ "En l’honneur du Père, du Fils et du Saint-Esprit et de la ferme foi que j'ai en eux, je dépose ici un jour d’indulgence." 4/ Le bourgeois y mit jusqu’à quarante livres, un denier après l’autre, sans qu’on voie rien sur le plateau du jour d’indulgence qui pesait cependant plus lourd. 5/ Alors le bourgeois impressionné dit: "Vraiment je pourrais y mettre toute ma fortune avant de faire pencher le plateau, puisque je vois qu’il s’agit d’une chose si importante". 6/ Quand Dieu vit sa bonne volonté, il laissa pencher la balance vers son argent. La bonne dame eut ainsi quarante livres. 7/ Un franciscain qui lui avait conseillé cette pesée lui dit que le bourgeois ne l’avait pas eu pour son argent, mais pour sa bonne volonté. 8/ En effet bonne volonté vaut mieux que tout l’or du monde, car par la bonne volonté on trouve Dieu qui contient en lui-même le monde entier. | |
TC0131 | TE008032 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 417, 1-8 | LA BOURGEOISE DE ROME. 1/ Le saint secret de confession est admirable. Un diable, prenant la forme d’un grand clerc se mit au service de l’empereur de Rome. 2/ L’empereur, le trouvant sage, lui confia l’exercice de la justice. 3/ Et c'était justement dans cet espoir qu’il était venu, pour pouvoir condamner à mort dans la honte une noble dame de Rome 4/ qui, trompée par lui ou par un autre diable, avait eu un enfant de son fils et sur le conseil du diable l’avait fait mourir. 5/ Et pour être mieux cru quand il l’accuserait, ils en accusa d’abord d’autres, qui furent trouvés coupables. 6/ Quand la dame fut accusée devant l’empereur par ce diable, elle lui demanda un jour pour préparer sa défense et l’empereur le lui accorda volontiers à cause de sa bonne renommée. 7/ Quand elle se fut confessée au pape et se présenta au tribunal, le diable ne la reconnut pas et prit la fuite parce que Notre-Dame l’accompagnait. 8/ Là fut démontré le glorieux secret de confession. |
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TC0137 | TE012515 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 53 | Un homme mange un pain que deux autres croyaient manger. Deux bourgeois et un paysan, avec le peu de farine qui leur reste, préparent un pain, qui sera mangé par celui des trois qui aura fait le rêve le plus surprenant. Au réveil les bourgeois racontent leurs rêves. Le paysan déclare avoir rêvé qu’ils avaient été emportés, l’un au ciel et l’autre en enfer. Pensant qu’il n’allaient plus revenir, il avait donc mangé le pain. | |
TC0138 | TE020163 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 733E | Un bourgeois garde son cercueil dans sa chambre. | |
TC0138 | TE019675 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 533 | L’héritage décevant. | |
TC0138 | TE020137 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 470A | Un bourgeois reçoit le centuple de ce qu'il a donné. | |
TC0142 | TE018670 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 34 | A Louvain, un couple de bourgeois se proposait de se retirer dans le monastère cistercien de Villers. Après avoir réglé leurs affaires, ils collectèrent une somme importante d'argent, ce qui parvint aux oreilles des certains criminels. Tard le soir, les malfaiteurs vinrent chez les bourgeois, sous prétexte de chercher un logement. Ils envoyèrent la nièce et la servante du couple, nommée Marguerite, chercher du vin. Entre-temps, ils tuèrent les hôtes et leurs domestiques, puis, quand Marguerite rentra, la kidnappèrent. De peur qu'elle ne les dénonçât, ils décidèrent de la tuer. L'un des criminels lui coupa la gorge et la jeta dans une rivière. Le corps de Marguerite fut trouvé quelques jours plus tard par des pêcheurs qui, craignant d’être eux-mêmes accusés de la meurtre, enterrèrent la jeune fille au bord de la rivière. Une nuit, ils virent une lumière mystérieuse émaner de sa tombe, exhumèrent la fille et la transférèrent à Louvain, où on lui construisit une chapelle. Le père de famille assassiné apparut aux moines de Villers, disant que seule Marguerite avait obtenu la gloire du martyre par son innocence et sa simplicité. |
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TC0142 | TE019043 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 54 | Un citoyen de Münster nommé Bernard dissipa son héritage dans des débauches et des beuveries. Il vendit sa maison à son beau-frère, mais dépensa rapidement tout l'argent. Tombé dans la misère, il retourna chez son beau-frère qui le laissa loger chez lui. Peu après, Bernard devint de plus en plus agressif. Il revendiqua sa maison, mais le beau-frère refusa. N'ayant pu l'obtenir par des menaces ni devant la justice, Bernard tua le beau-frère et se réfugia dans la cathédrale. Il refusait d’abord de sortir, mais finalement se laissa persuader, séduit par la promesse d'un bon vin vendu dans telle taverne. Comme il l’avoua plus tard, le plancher de l’église lui brûlait les pieds. Il fut arrêté, jugé et roué en place publique, sans un mot de repentir. L'heure de sa mort approchant, il dit avoir vu une multitude de démons se rassembler autour de lui. |
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TC0142 | TE018901 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 63 | Un riche bourgeois de Cologne apprit que les apôtres devraient juger le monde selon l'équité (Act. 17, 31), et se dit : « Les péchés sont lourds mais les pierres du soubassement sont encore plus lourdes ». Il fit alors apporter d'énormes pierres et les offrit à l’église des saints Apôtres en prévision d'une reconstruction éventuelle. | |
TC0143 | TE014300 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 138, col. B - p. 139, col. A | Alors qu’il prêchait, Bertram, évêque de Mayence, aperçut deux hommes qu’il savait être expulsés de Montpellier pour cause d’hérésie et cria alors : " Je vois parmi vous des messagers du diable !" . Ces deux hommes d’abord essayèrent d’interrompre le sermon puis, après la messe, commencèrent eux-mêmes à prêcher devant l’église. L’évêque ne put les chasser, parce que certains bourgeois s’y opposaient. Quand des clercs leur demandèrent qui leur avait donné le droit de prêcher, ceux-ci répondirent que c’était l’Esprit (non pas l’Esprit saint, mais l’esprit malin). Ils firent propager l’hérésie vaudoise dans cette région. | |
TC0158 | TE017026 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 484 | Le chien qui n'avait pas violé le code des chiens.– Un chien a été battu quoiqu'il n'ait pas contrevenu au code des chiens qui prescrit que lorsqu'un chien va dans une maison étrangère, sa queue doit rester hors de la porte. Il se plaint et fait condamner celui qui l'a battu à être nommé grand notable. | |
TC0158 | TE016628 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 184 | Le notable qui, par sa libéralité, s'attire un châtiment.– Un notable ayant offert un repas à une communauté de moines, un vieil arhat lui dit que par cette libéralité, il s'attirera un grand châtiment, parce qu'en faisant cette offrande il n'a songé qu'à assurer sa félicité actuelle et future. | |
TC0158 | TE016959 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 420 [A] | Le roi Yeou-t'o-sien (Udasena).– Udasena, roi de Roruka, ayant reconnu que sa femme doit bientôt mourir, l'autorise à écouter les enseignements de la nonne Çailâ et à entrer en religion. Après sa mort, la reine devient une devî; elle vient, en cette qualité, rendre visite à son ancien époux qui se convertit à son tour et abdique la dignité royale. Son fils, Râjasena, lui succède, et fait périr son père dont il craint le retour. Comme il a des remords de son action, ses ministres cherchent à le persuader qu'il n'y a pas d'arhats, en faisant passer à ses yeux deux chats pour les véritables représentants des arhats défunts Tisya et Upatisya. Le roi, devenu tout à fait incrédule, fait recouvrir de terre le vénérable Kâtyâyana. Destruction de Roruka sous une pluie de terre. Kâtyâyana se réfugie à Pâtaliputra où il est reçu par un notable qui doit son heureuse prédestination au fait que, dans une existence antérieure où il était un chien, il a invité par ses aboiements des Pratyeka Buddhas à venir dîner. |
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TC0158 | TE016756 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 306 | Celui qui goûtait les mangues.– Un notable donne de l'argent à un autre homme pour qu'il aille lui acheter des mangues. Il lui recommande de prendre les fruits doux et beaux. Pour s'assurer qu'ils le sont, le commissionnaire les goûte tous. Quand le notable les reçoit, il refuse de les manger et les fait jeter. | |
TC0158 | TE016752 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 302 | Le pilote ignorant.– Le fils d'un notable, habile à réciter par quels procédés on gouverne en pleine mer un bateau, veut remplacer le capitaine décédé au cours du voyage. Mais il est incapable de diriger la manœuvre et tous les voyageurs sont noyés avec lui. |
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TC0158 | TE016913 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 404 [B] | Les trois devis et les deux devas.– Deux servantes et une mendiante, un notable et un marchand renaissent en qualité de devis ou de devas pour avoir accompli des œuvres pies. |
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TC0160 | TE017409 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°93 | Une riche bourgeoise a pour plaisir de s’occuper de beaux chiens et de les emmener toujours avec elle à l’église ce qui la gêne pour réciter le Pater Noster, l’Ave Maria ou toutes autres prières et ce qui dérange l’assemblée. Malgré tout, elle continue à vivre ainsi. Au moment de mourir, elle se met à crier et supplie les personnes qui l’entourent de retirer les chiens qui l’étranglent. Mais personne ne voit les chiens. Elle continue pourtant à crier et une voix cruelle lui répond qu’elle a pris trop de plaisir à s’occuper des chiens et qu’elle a laissé son Créateur. A ce moment-là, toutes les personnes présentes dans la chambre entendent la voix et en sont très effrayées. Lorsqu’ils reviennent la voir, ils trouvent la dame étranglée, le cou tout noir et la langue hors de la bouche. | |
TC0160 | TE017408 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°92 | Un saint ermite, qui est à l'église, assiste aux obsèques d'un riche bourgeois. Il voit alors le crucifix détacher ses deux mains de la croix et se boucher les oreilles. Il se met alors à pleurer et le curé, qui le voit dans cet état, lui demande ce qui lui arrive. L'ermite explique alors la vision dont il a été témoin et le curé lui demande de lui montrer. Mais l'ermite refuse car il s'estime ne pas être digne de ces révélations. L'ermite quitte le curé et rentre chez lui très affecté : il prie toute la nuit en versant des larmes. Alors Jésus Christ apparaît à l'ermite pendant son sommeil et lui explique son geste. Il s'est bouché les oreilles car le bourgeois ne mérite pas les prières qui lui sont accordées : jamais il ne fit une dévotion et il était insensible à la souffrance des pauvres. A ces paroles, le saint ermite se réveille et raconte au curé sa vision. Le curé en est très émerveillé. |
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TC0160 | TE017298 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°73 | Un riche homme, qui possède de nombreux biens, sent la mort approcher. Ne sachant que faire de ses biens, il convoque un prêtre, un chevalier et un bourgeois. Il leur demande tour à tour ce qui les effraie le plus. Le prêtre répond : les lépreux ; le chevalier, le feu d'enfer et le bourgeois, la pauvreté. Le riche homme leur laisse tous ses biens et en leur demandant d'en faire bon usage et de les utiliser pour esquiver tout ce qu'ils craignent. Les trois hommes promettent. Mais à la mort du riche homme, ils dépensent les biens sans réfléchir et ils sont touchés par les maux qu'ils craignaient le plus. Cet exemple montre que l'on doit s'acquitter pleinement des biens des morts. | |
TC0161 | TE017693 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : III, 22 | HISTOIRE DU NOTABLE ROSHI .– Shaku, empereur des dieux, se met en colère et décide de châtier le notable Roshi pour son avarice et sa cupidité. Il prend son apparence et distribue toutes les richesses de sa maison. Quand Roshi revient chez lui, personne n’est capable de dire qui est le vrai Roshi. Le roi, qui ne discerne pas non plus le vrai et le faux, va voir le Bouddha avec les deux Roshi. Shaku retrouve son apparence et expose la faute de Roshi au Bouddha. |
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TC0161 | TE017691 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : I, 31 | COMMENT LE NOTABLE SHUDATSU A CONSTRUIT LE MONASTÈRE DU GI-ON.– Le notable indien Shudatsu devient pauvre pour la septième fois de sa vie. Pour ne pas mourir de faim il vend un boisseau de bois et rapporte du riz que sa femme met à cuire. Des disciples du Bouddha viennent mendier leur nourriture. L’épouse offre son riz aux deux disciples, et prend la résolution de garder le riz restant pour elle et son époux, pour continuer à vivre .Le Bouddha Shaka se présente à son tour et l’épouse emplie de joie lui offre le riz qui reste. Au retour de son époux, grâce à la générosité de sa femme, les greniers de sa maison se remplissent miraculeusement de trésors. Shudatsu décide alors de fonder une demeure pour la Communauté des moines et d’y faire offrande chaque jour .Il couvre d’or la place d’un magnifique site cédé par un prince. Il installe le Bouddha, des Bodhisattva et les cinq cents disciples dans cette merveilleuse demeure appelée le monastère de Gi-on. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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