ThEMA
Thesaurus Exemplorum
Thesaurus Exemplorum
Medii Aevi
- HomeAccueilStartseiteHomePágina principal
- CollectionsRecueilsSammlungenRaccolteColecciónes
- Source textsTextesOriginaltextTesto originaleTexto original
- KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves
- SearchChercherSuchenCercaBuscar
- AboutÀ proposÜberA propositoAcerca de
- DownloadsTéléchargementsDownloadsDownloadsDescargas
- Log inSe connecterAnmeldenAccessoIniciar sesión
KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Doigt | Finger | Finger | Dedo | Dito
23 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
---|---|---|---|---|---|
TC0001 | TE001181 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 1, 9, 3 | Les doigts de Conrad le mystique, après avoir consacré l’hostie, deviennent lumineux. | |
TC0011 | TE002957 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 56b (1) | On appelle l’extrémité du doigt de Lazare le petit suffrage de son mérite (sic !). | |
TC0011 | TE002961 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 57b-58a | Un homme en enfer demande qu’on lui envoie Lazare pour qu’il rafraîchisse sa bouche avec son doigt trempé dans l’eau. Mais Abraham lui explique que Lazare ne peut le rejoindre à cause du chaos qui signifie la distance entre les justes et les pécheurs. Il lui rappelle en outre qu’il avait refusé de donner une miette à Lazare. | |
TC0020 | TE003747 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 222 | Une femme, réduite au silence par son mari qui lui a coupé la langue, continue d’affirmer avec ses doigts qu’un pré a été tondu et non pas fauché. Ainsi, font les moines quand ils doivent observer le silence. |
|
TC0020 | TE003746 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 221 | Un mari pouilleux, exaspéré par les reproches continuels de son épouse, lui plonge la tête sous l’eau pour la faire taire. Mais elle continue avec ses doigts de faire le geste de tuer les poux. | |
TC0021 | TE004072 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 141 | Saint Ouen guérit le pouce d’un meunier qui travaillait les jours fériés. | |
TC0024 | TE004380 | : 1, 9 | Henri, l’abbé de Heisterbach, visita, une fois, sa parente gravement malade de la diphtérie. Il toucha sa gorge avec ses doigts, qui avait touché ce même jour le Corps du Seigneur, et lui promit la guérison. La nuit, la femme eut un rêve: une personne religieuse la toucha de la même manière que l’abbé et lui dit : Réveille-toi, tu es guérie. La femme, en effet, se rétablit rapidement. | ||
TC0131 | TE007754 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 125, 1-10 | MIRACLE DU DOIGT DE CHAIR. 1/ Dieu dans sa bonté changea son corps dans l’eucharistie en un doigt de chair tout sanglant, 2/ à la prière de saint Grégoire pour convertir une femme qui doutait de la présence réelle. 3/ Aussitôt qu’elle retrouva la foi, il retrouva sa forme de pain. 4/ Nous pouvons comprendre que Dieu ne fait des miracles que pour rendre la foi à ceux qui doutent 5/ ou pour manifester un saint qu’il veut faire connaître et honorer de ceux qui jusque là ne le connaissaient pas. 6/ Croyons fermement les douze articles du Credo sans rien de plus ni de moins, 7/ car la foi n'a pas de mérite sur des points que le raisonnement peut démontrer. 8/ Les philosophes de tous les temps se damnent quand ils ne veulent croire ce qui ne peut être démontré, 9/ alors que nous devons croire ce que nous ne pouvons ni comprendre ni prouver. 10/ Et si nous croyons ainsi, nous trouverons au ciel comme des choses claires les vérités que nous aurons crues ici-bas sans trop chercher à les justifier. |
|
TC0131 | TE007889 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 257, 1-7 | L’ERMITE QUI SE BRULA UN DOIGT. 1 Une femme de moeurs légères paria qu’elle amènerait un ermite à coucher avec elle. 2 Au bord du soir elle lui demanda l’hospitalité et il la lui accorda. 3 Et comme elle faisait son possible pour le tenter, il fit brûler l’un de ses doigts dans sa lanterne. Aussitôt elle mourut. 4 Quand ses amis qui avaient parié avec elle la trouvèrent morte, ils arrêtèrent l’ermite et il fut condamné à être pendu. 5 Mais Dieu ressuscita la femme. Elle fit voir au juge que l’ermite avait brûlé son doigt pour surmonter la tentation. 6 Cela lui valut d’être acquitté et la pécheresse devint par la suite une sainte femme. 7 Et le saint homme jouit au ciel d’un plus grand mérite pour avoir brûlé son doigt afin de vaincre la tentation. |
|
TC0131 | TE008432 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 261, 1-10 | SAINT MARC SE COUPE LES POUCES. 1 Saint Marc l’évangéliste se coupa les pouces pour éviter d’être ordonné prêtre. 2 Il le devint cependant et même patriarche de Jérusalem, car Dieu lui rendit ses pouces quand il les montra à saint Pierre. 3 Mais il plût à Dieu qu’il se les soit coupés pour refuser cette dignité, 4 pour bien montrer que chaque prêtre doit en recevant l’ordination craindre de n'en être pas digne 5 et que personne ne doit la recevoir par désir des biens temporels plus que par piété désintéressée. 6 Ils ne tiennent pas compte de cet exemple, ceux qui courent à Rome pour briguer les bénéfices, 7 dont certains ne savent encore moucher leur nez, ni naturellement, ni par science acquise. 8 Ce sont de tels bergers qui laissent les brebis prendre des maladies. Car personne ne devrait avoir la charge d’une paroisse s’il n'est savant, clairvoyant, mûr, rassis et homme honorable. 9 De tels curés ne laisseraient pas leurs ouailles attraper la rogne: ils les garderaient de la lèpre du péché et les amèneraient à l’amitié de Dieu. 10 Voilà comment devraient être les curés. |
|
TC0134 | TE014070 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 224b | Trois exemples de pécheurs devenus saints : Paul (orgueil), Mathieu (avarice), Marie Madeleine (luxure). |
|
TC0137 | TE012519 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 57 | L’eau dans laquelle était mis le doigt de saint Etienne le protomartyr. Dans une région d’outre-mont, il y a un monastère qui possède un petit doigt de saint Etienne protomartyr comme relique. Si celui-ci est mis dans une cuvette d’eau et tombe au fond cela signifie que l’abbesse doit mourir dans un an, si le doigt reste à la surface l’abbesse continuera à vivre longtemps. | |
TC0137 | TE012483 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 21 | L’anneau extrait du doigt après le dîner. Le comte de Zara ne réussit pas à enlever un anneau, mais un esclave le lui enlève sans difficulté après le repas, quand le doigt est devenu plus souple. | |
TC0137 | TE012740 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 255 | La saignée. Un malade ne pouvait être guéri en aucune manière d’une maladie à la rate. Galien rêva qu’il lui faisait une saignée entre l’auriculaire et l’annulaire, le guérissant de cette manière. | |
TC0138 | TE019810 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 668 | Un pécheur brise le bras d'une statue de l'enfant Jésus et meurt aussitôt. |
|
TC0138 | TE020010 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 869 | Un prédicateur ignorant reçoit miraculeusement la connaissance des Écritures Saintes. | |
TC0138 | TE020227 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 939B | L'ermite qui se brûle les doigts pour échapper à la tentation de luxure. La coquette qui voulait sa chute meurt de honte, il la ressuscite par ses prières et elle se convertit. |
|
TC0138 | TE019766 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 624 | Un ermite brûle son doigt pour échapper à la tentation de la luxure. | |
TC0142 | TE018572 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 29, 2 | Guillaume, abbé du Val-Dieu, commanda au diable de quitter le corps d’une possédée, mais le diable refusa : Dieu ne le voulait encore, de plus, où devait-il aller ? L’abbé lui proposa d'entrer dans sa bouche, puis, dans ses doigts, mais le diable refusa de nouveau, car tant la bouche que les doigts de l’abbé avaient été en contact, ce jour même, avec le Corps du Christ. | |
TC0142 | TE018973 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IX, 50 | La servante d'un prêtre fut harcelée par un diable sous la forme de son amant. Il la terrifia tellement qu'elle perdit complètement connaissance. Le prêtre essaya de réveiller la femme en lui administrant une hostie non consacrée, sans résultat. Il mouilla alors de salive son doigt, toucha une hostie consacrée et mit le doigt dans sa bouche. La servante retrouva aussitôt ses esprits. | |
TC0155 | TE016227 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 102 | Au cours d’une messe célébrée par saint Grégoire, une femme reconnaît dans l’hostie le pain qu’elle a fabriqué et refuse d’y voir le corps du Christ. À la prière du saint, le pain se change réellement en chair. La femme se convertit et communie. | |
TC0155 | TE016384 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 261 | Les citadins d’Antioche offrent au dragon terrorisant leur ville une jeune vierge en sacrifice. Un homme, dont le tour arrive de donner sa fille, fait une prière devant les reliques de saint Jean-Baptiste. En cachette, il coupe le petit doigt de saint Jean. Ayant conduit la fille au dragon, il prend le petit doigt et le fourre dans la gueule du dragon. Celui-ci meurt sur place. |
|
TC0165 | TE018330 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 78, pp. 154-159 | Herbert raconte une série d'histoires à propos de Geoffroy de Melun, d'abord moine de Clairvaux puis évêque de Sorrès en Sardaigne, qu'il lui a racontées en privé. Un jour, alors qu'il se trouve dans le chœur de Clairvaux, il voit une procession de saints, accompagnés par des acolytes, des diacres, des sous-diacres et des prêtres. La procession, conduite par la Vierge accompagnée des apôtres Pierre et Jean part du nord de l'église, comme si elle venait du cimetière, et se dirige vers l'infirmerie, où elle disparaît. Tescelin, un homme âgé et vénérable, se trouve là. Geoffroy pense que la vision indique son salut. Un autre jour, alors qu'il chante avec les autres, il voit un démon sous la forme d'un singe qui traverse le chœur, s'arrête devant lui, lui rit au visage en dilatant les narines, puis disparaît pour ne plus jamais réapparaître. Malade, il perd la force de chanter dans le chœur, et supplie Bernard de l'aider. Bernard lui apparaît en rêve, fait le signe de la croix et le touche là où il a ressenti une douleur, et lorsqu'il se réveille, Geoffroy est complètement guéri. Une autre fois, un moine qui fait partie de ses proches tombe malade. Alors qu'il prie pour sa santé, Geoffroy a une vision dans laquelle on lui dit qu'un des moines guérira, mais pas celui auquel il est le plus attaché, qui mourra. La vision se concrétise, et Reinald de Cluny décède. Priant avec beaucoup de larmes pour sa mère, il souhaite savoir où elle se trouve dans l'au-delà. Une voix divine lui reproche de demander ce qu'il n'est pas autorisé à savoir. Après une vision dans laquelle un homme vénérable lui met une bague au doigt, il devient évêque de Sorrès pour une durée de sept ans et est pour les autres un exemple de sainteté. Alors que la mort approche, bien qu'il l'ignore, il se rend à Clairvaux et prie Dieu de lui permettre d'y mourir. Malade, après quelques jours de souffrance, il reçoit l'extrême-onction et meurt le jour de la consécration de l'église de Clairvaux. Il est enterré à côté de Geoffroy de La Roche-Vanneau. Avant la mort de Geoffroy, un des moines de Clairvaux a la vision d'un lit élégant en cours de préparation, et le jour de sa mort, il voit une lumière très intense autour de son corps, déjà apporté à l'église. Il comprend que Geoffroy est avec Dieu. Deux mois plus tard, le même moine a une vision dans laquelle Geoffroy est habillé en prêtre, comme s'il se préparait à célébrer la messe. Il y aurait d'autres histoires à raconter, mais Herbert n'en choisit qu'une : Geoffroy décide de restaurer une vieille église en ruines et, pendant les travaux, un vieux coffre contenant des reliques de saints et une hostie parfaitement conservée est retrouvé, pour la plus grande joie des personnes présentes. |
|
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0