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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Démon | Demon | Dämon | Demonio | Demone
16occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0036
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0036 | TE006659 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 20 | Alors qu’il est affaibli par la maladie et proche de la mort, Matthieu d’Albano, est mis à l’épreuve. Comme il le raconte aux frères ainsi qu’au chancelier du pape, qui accourent à son chevet, Matthieu voit une foule de démons l’assaillir et le terroriser. Cependant, il réussit à les mettre en fuite grâce au signe de la croix. Bien que sentant sa fin venir, Matthieu reste fidèle à la vie qu’il a menée et continue malgré sa faiblesse à manifester son zèle religieux, consacrant tout son temps à se confesser à chacun, à réciter les psaumes et à s’entretenir de choses spirituelles. |
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TC0036 | TE006671 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 33 | A son retour d’Angleterre, Pierre le Vénérable, fit halte au monastère d’observance clunisienne de Reuil dans le voisinage de Meaux. Il y fut accueilli par le prieur Bernard qui souffrait d’une forte fièvre. Devant son état, l’abbé de Cluny l’encouragea à se confesser, Bernard s’exécuta et Pierre lui imposa une pénitence en se promettant de venir le voir le lendemain. Au jour dit, il se rendit au chevet du malade et l’exhorte de nouveau à la confession. Bernard lui avoua alors avoir omis de nombreux péchés dans sa confession. Il lui révéla également que pour cela, il avait été puni par une horrible vision en songe la nuit dernière. Il avait vu son jugement, devant des démons hideux qui lui présentèrent une balance à plateaux. Sur celle-ci étaient placés d’un côté son âme, de l’autre ses actions. Les démons l’accusèrent de nombreuses fautes, certaines vraies, d’autres fausses, Bernard était si terrifié qu’il ne pouvait leur répondre. Soudain, apparut un homme beau et bienveillant. Il prit la défense du prieur contre les démons, assurant que puisqu’il s’était confessé la veille, il ne méritait pas sa place parmi eux. Mais son défenseur ne put rien faire pour les péchés non avoués. Il passa donc le reste de la nuit plongé dans une immense crainte et peine. A son réveil, il prit conscience de l’avertissement qui lui a été adressé ainsi que de la miséricorde de Dieu qui lui laissait une seconde chance de se confesser. Après le récit de son expérience, Bernard se confesse sans retenue. Peu de jour après son retour à Cluny, l’abbé apprend la mort du prieur et fait célébrer des suffrages pour le salut de son âme. |
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TC0036 | TE006666 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 28 | Un jeune convers chartreux, remarquable dans sa piété, son humilité et sa dévotion envers Dieu et la Vierge Marie, est le témoin d’une horrible apparition démoniaque. Une nuit, tandis qu’il médite, le convers voit soudain une foule de démons sous l’apparence de porcs monstrueux envahir sa cellule et le menacer. Le chartreux est terrifié et n’a déjà plus grand espoir de survie quand un homme imposant, sans doute le prince des démons, entre dans la pièce. Il s’insurge contre les porcs qui n’ont pas encore mis en pièce le saint homme. Ceux-ci rétorquent qu’ils n’ont rien pu lui faire. Le diable s’apprête lui-même à l’attraper avec un long crochet de fer, quand la Vierge Marie apparaît avec une baguette à la main. Aussitôt les démons terrifiés disparaissent. La Vierge rassure le frère terrorisé et l’encourage dans sa dévotion et sa piété. |
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TC0036 | TE006638 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 26 | En Saône et Loire, près de Marcigny, Geoffroy, seigneur de Semur-en-Brionnais, après avoir vécu dans le siècle, se retira du monde avec ses enfants à Cluny, où il fit preuve d’une grande piété. Il fut nommé prieur des soeurs de Marcigny et c’est après un abbatiat apprécié de tous qu’il mourut. Peu de jours après, il apparut en songe à l’une des soeurs nommée Albéréa et lui exposa sa situation dans l’au-delà. Il fut, au moment de sa mort, disputé entre des démons et l’Apôtre Pierre, les uns arguant qu’il méritait de les suivre de par les péchés qu’il avait commis dans le siècle, l’Apôtre répondant que ceux-ci avaient été expiés pendant sa vie monastique. Cependant, il restait le problème des nouvelles taxes imposées sur des vêtements et des toiles blanchies au château de Semur. Le défunt a donc obtenu la permission d’apparaître pour que son fils sache qu’il doit supprimer ces taxes injustes pour le salut de l’âme de son père. A son réveil, Albéréa avertit la soeur Adèle, autrefois comtesse de Blois, qui se rend auprès du fils du défunt, Geoffroy. Après avoir vérifié l’exactitude des dires de la soeur Albéréa, Adèle l’adjure d’annuler les taxes pour le salut de l’âme de son père. |
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TC0036 | TE006614 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 6 | Rentré malade d’un voyage à Rome (1147), Pierre le Vénérable se rend en convalescence au monastère de Sauxillanges. Durant tout le Carême, il entend les plaintes et les appels au secours d’un moine malade et assailli par la vision d’un cheval menaçant. Ce moine est un ancien chevalier connu pour être honnête et digne de confiance. Dès qu’il fut capable de se déplacer, Pierre le Vénérable se rend au côté de l’ancien chevalier et comprend que celui-ci est en proie au démon qui se présente à lui sous la forme d’un cheval lui talonnant le visage. Pierre fait alors asperger le lieu d’eau bénite, mais le mal venant de l’intérieur de l’homme, celle-ci s’avère inefficace. L’abbé de Cluny exhorte alors le malade à se confesser pour le libérer du mal qui le dévore. Lorsque celui-ci entame sa confession, un autre démon - sous l’apparence d’un homme qui récite la liste de ses péchés et l’empêche de parler- vient le tourmenter pour l’empêcher de faire sa confession. À force de persévérance et grâce à son excellente mémoire, le moine parvient à l’aveu complet de ses péchés (notamment l’un lié à la possession d’un autel portatif) et peut recevoir l’absolution. Les démons ayant disparu, le malade soulagé s’éteint dans la paix peu de temps après, son salut assuré. |
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TC0036 | TE006628 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 16 | Le diable tente par tous les moyens de nuire au monastère de Cluny. Ainsi, un frère raconte à Pierre le Vénérable, alors abbé de Cluny, qu’il a été témoin d’une procession démoniaque. Une nuit, alors qu’il méditait des psaumes, le frère vit entrer dans la cella des novices un grand nombre de démons travestis en moines. Se cachant terrorisé sous sa couverture, le frère put ainsi observer les démons traverser le bâtiment des frères endormis sans pouvoir leur nuire et sortir par le bâtiment des latrines voisines. | |
TC0036 | TE006629 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 17 | Dans ce récit, Pierre le Vénérable, donne de multiples exemples de la façon dont les démons tentent de nuire aux moines du monastère de Cluny. Ainsi, un moine du nom d’Alger est victime de ces démons. Une nuit, alors qu’il dormait dans le bâtiment des novices, il entendit la cloche de l’appel à la louange nocturne, il se leva donc, mais trouva les portes de l’église closes. Il comprit qu’il avait été abusé par les démons. Comme Alger, d’autres moines sont victimes de ces harcèlements, les démons les réveillent en tirant leurs couvertures, se moquent d’eux aux latrines ou encore les rouent de coups. |
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TC0036 | TE006615 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 7 | Au monastère de Sauxillanges, un laïc malade, prit l’habit de moine in extremis (comme l’ouvrier de la onzième heure). Parvenu à la fin de sa vie, il est veillé par deux de ses familiers, Etienne et Olivier. Il se plaint au premier de la présence de paysans monstrueux qui s’amassent dans la pièce. Ne les voyant pas, Etienne comprend qu’il s’agit de démons, il se saisit alors de l’eau bénite, en asperge la pièce et les fait fuir. Le mourant, après s’être confessé s’éteint paisiblement. Selon l’auteur, la fuite des démons atteste la valeur de sa conversion tardive et son salut. |
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TC0036 | TE006627 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 15 | Au monastère de Cluny, à l’approche de la Nativité, alors que les moines s’affairent à la préparation de la fête, l’abbé Hugues entre au chapitre et s’adresse aux frères. Il leur raconte la vision qu’un frère, sans doute lui-même, a eue de la Vierge et de son fils se réjouissant de la fête à venir et de la dévotion des moines. Entendant cela, le diable demanda à être reçu dans l’intention de nuire de quelques manières que ce soit à la fête de la nativité. Confiant, l’enfant-Dieu le laisse faire, le démon tente dès lors de s’inviter au chapitre, mais gonflé d’orgueil, il ne peut passer l’humble porte. Il en est de même pour l’entrée du dortoir, quant au réfectoire il en est repoussé par la lecture des divines paroles. L’Ennemi, rejeté du monastère, quitte alors les lieux, laissant les moines et la Sainte Famille à la célébration de la fête. |
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TC0036 | TE006626 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 14 | Au monastère de Cluny, une nuit, un frère qui dormait à l’écart est le témoin d’une étrange scène. Un vautour immense apparait près de son lit. Ce démon est rapidement rejoint par ses deux confrères, les trois échangent des nouvelles sur leurs forfaits. Le premier explique ses vaines tentatives contre le monastère clunisien protégé par l’eau bénite, les signes de croix et les psaumes. En revanche, les deux autres ont réussi à provoquer un adultère entre un chevalier et la femme de son hôte ainsi qu’à faire forniquer un écolâtre avec un enfant. Apercevant alors le moine qui les observe, les démons tentent alors de s’attaquer à lui avec sa hache. Celui-ci parvient à l’éviter tandis que les démons disparaissent brusquement. Le lendemain, le moine relate ce dont il a été témoin à l’abbé du monastère qui envoie quelqu’un vérifier les dires des démons qui s’avèrent exacts. Ainsi, les démons peuvent servir les intentions divines en révélant aux hommes leurs méfaits. | |
TC0036 | TE006630 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 18 | Armand, noble et riche chevalier, touché par l’Esprit divin, fait don de toutes ses richesses et part en pèlerinage en Terre-Sainte. Ne voyant pas sa fin venir comme il l’aurait souhaité, il revient et se retire au monastère de Cluny. D’une grande ardeur spirituelle et excessif dans sa ferveur, il ne prend que peu de repos. Le soir, de la vigile de la saint Jean d’hiver, après la Nativité, alors qu’il est allongé dans le dortoir des novices, Armand se met à délirer et à crier. Les autres novices, soumis au silence, partent chercher leur abbé, Pierre le Vénérable, qui veille Armand jusqu’à ce que celui-ci se calme. Au matin, ayant retrouvé ses esprits, Armand explique que dans son sommeil et même après son réveil, il a été écrasé par un ours couché sur lui, qui le menaçait de sa gueule ouverte. Rendant grâce par la suite d’avoir été libéré du démon et grandement affaibli par son combat, Armand put cependant reprendre trois jours plus tard, ses activités avec plus de vigueur. |
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TC0036 | TE006625 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 13 | Un moine italien du monastère de Cluny, supporte avec difficulté la discipline et en vient à souhaiter s’enfuir. Le démon, apparaît au frère sous l’apparence d’un abbé accompagné de deux moines. Le démon encourage le moine clunisien à lui confier ses tourments et lui propose de quitter Cluny pour entrer grâce à lui au monastère de Grottaferrata près de Rome. Le moine semble sur le point de céder mais à ce moment, la clochette de fin de repas retentit et fait fuir les démons qui se jettent dans les latrines, sauvant de ce fait le moine italien de la tentation. |
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TC0036 | TE006631 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 19 | Un Teuton nommé Eppo qui avait pris l’habit de moine à Cluny et vivait dans la dévotion tomba malade. Il fut dès lors emmené à l’infirmerie. Tandis qu’il approchait de la mort, il vit une foule de démons se répandre dans l’infirmerie, puis être repoussés par l’arrivée des Apôtres venus protéger les malades, qui pouvaient les entendre mais pas les voir. ~ A l’approche de son dernier soupir, le moine Eppo, pris d’une crainte inconsidérée, redoute d’être emmené au lieu où les moines expirent sur la cendre et le cilice. Mais voici qu’un ange se joint aux Apôtres et bénit l’endroit. La crainte du mourant disparaît et il peut ainsi rendre l’âme en toute quiétude. | |
TC0036 | TE006620 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 8, 5 | Environ six mois après la mort du moine Gérard, un de ses confrères a une vision. Le démon se présente à lui sous l’aspect d’un éthiopien petit et très noir, étirant sa langue de feu et léchant son corps, l’assurant que ses chairs se consumeront entièrement. Le moine est alors sauvé de son supplice par l’apparition de Gérard qui maintient fermement le démon à l’écart. Gérard fait promettre au moine, en échange de sa libération, de rencontrer l’abbé de Cluny et de le prier d’appeler auprès de lui un frère, ferronnier de son état. Ce dernier, après avoir douté du mystère de l’eucharistie, avait une apparition céleste mais ne l’avait pas fait connaître. Or, il est important que chacun connaisse ce miracle et puisse profiter de son témoignage en faveur de la foi. Le moine se rend chez l’abbé Pierre Le Vénérable, qui bien que dubitatif, invite le frère ferronnier. Celui-ci lui raconte ses doutes premiers quant à la présence réelle dans l’eucharistie, ses prières à la Vierge ainsi que la vision dont il a été témoin. Un enfant lui est apparu dans une église sur l’autel et l’a prié de le prendre dans ses bras pour lui faire traverser l’église. A la suite de ce miracle, ce frère ferronnier avait retrouvé la foi dans l’eucharistie. Ce témoignage vient également confirmer la vision démoniaque du premier moine. |
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TC0036 | TE006637 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 25 | Au bourg de Lusignan dans la Vienne, près de Poitiers, un prêtre s’adonne aux péchés de ce monde sans grand souci de son salut, bénéficiant cependant de la compagnie de saints hommes qui le mettent en garde contre sa conduite. Mais le prêtre impie, paraissant les écouter, ne fait cependant aucun effort. Par la suite, l’homme tombe malade et parvient à la dernière extrémité de sa vie; il est alors veillé par l’abbé de Bonnevaux. La nuit venue, le mourant se met à crier affreusement, se plaignant d’être attaqué par deux lions féroces. Il supplie l’abbé de le délivrer de la bête, ce que le prêtre fait grâce à la force de ses prières. Peu de temps après, le mourant est assailli par la menace du feu du ciel, de nouveau, l’abbé le prend en pitié et le sauve par ses prières. Mais une troisième fois, le prêtre impie est ravi en esprit et assiste à son jugement; il voit les bourreaux préparer déjà le chaudron enflammé, pour le torturer éternellement. Alors que de nouveau l’abbé s’apprête à prier pour éloigner la vision, le mourant l’en empêche. Une goutte de feu sur sa main vient confirmer ce qu’il sait déjà, à savoir qu’il ne peut être sauvé du châtiment qui l’attend. L’homme entre dans le délire de sa vision funeste et s’éteint dans d’horribles souffrances. Le récit de la mort du prêtre provoqua l’effroi, peu de jours après, on ouvrit la tombe du défunt et tous purent constater la marque de la goutte de feu sur sa main. |
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TC0036 | TE006641 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 1 | Dans la ville de Mâcon vivait un seigneur tyrannique qui oppressait ses sujets et les églises des environs, allant même jusqu’à chasser les chanoines des églises et les moines des monastères. Mais un jour, alors qu’il est installé sur son trône entouré de ses chevaliers et de ses gens, un cavalier-démon entra dans la pièce, et le somma de le suivre dans l’instant. Contraint par une force invisible, le comte malfaisant ne put résister à l’ordre et suivit le cavalier jusqu’à la porte de son château. Là, le démon l’obligea à monter le cheval qui l’attendait devant la porte. C’est alors que tous ceux qui étaient présents virent le comte emporté dans les airs, hurlant de terreur à l’idée du châtiment qui l’attendait. Afin de garder en mémoire cet événement, les habitants de Mâcon ont par la suite muré la porte par laquelle le démon avait emporté le comte tyrannique. Mais plus tard, l’intendant du comte nommé Otger, qui était connu pour être aussi malfaisant que le comte, décida de faire rouvrir la porte mémorable. C’est alors que de nouveau, le cavalier-démon revint et emporta également l’intendant dans les airs puis le laissa retomber si bien qu’il se brisa le bras. Finalement, la porte fut définitivement murée. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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