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14 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001325 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 16, 7 | Un maître d’école trop laxiste avec deux adolescents meurt. Trois jours après, le diable apparaît sous la forme du maître; armé d’une verge de fer, il châtie ces deux élèves durement. Ceux-ci deviennent fou et meurent quelques jours après. | |
TC0020 | TE003557 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 32 | Saint Bernard discute avec les logiciens, et leur expose, à la manière de la rhétorique scolastique, l’argumentation de Dieu contre les hommes (32a). Pour un vivant raisonnable il est humiliant d’être mortel; mais pour un mortel il est glorieux d’être raisonnable, dit saint Bernard aux étudiants des écoles de logique de Paris (32b). |
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TC0027 | TE004878 | Rhazes | La Médecine spirituelle [tr. Brague, 2003] : p. 95-97, chapitre 5 | Anecdote sur Platon. On dit que le sage Platon s’est servi de cet argument contre un de ses disciples que rongeait l’amour d’une servante et qui avait abandonné sa place au centre du public de ses leçons. Platon ordonna de le chercher et de le lui amener. Quand il se présenta à lui, il lui dit : « Dis moi, Untel, est ce que tu doutes de ce qu’inévitablement tu seras un jour séparé de cette femme que tu aimes ? Je n'en doute pas », répondit-il. Platon lui dit : « Cette amertume que tu avaleras ce jour là, prends la aujourd?hui, et supprime ce qu’il y a entre ces deux jours : la crainte de ce à quoi on s’attend, laquelle persiste pour un état dont il est inévitable qu’il vienne, et la difficulté de la traiter une fois que cette passion sera consolidée, associée à la familiarité et aidée par elle. » On dit que le disciple répondit à Platon : « Ce que tu dis, sage maître, est vrai, mais, comme je m'attends à ce que le passage des jours me console, cela me pèse moins.» Platon lui dit: «Comment comptes tu sur la consolation qu’apportent les jours sans craindre la familiarité qu’ils renforcent ? et qui te garantit que tu seras séparé de l’objet aimé avant d’être consolé et après que la passion se sera consolidée, que le morceau dur à avaler sera plus gros, et l’amertume multipliée ? » On dit que cet homme se prosterna sur le champ devant Platon, le remercia, pria pour lui, le loua, et qu’il ne recommença plus rien de ce qu’il faisait; on ne le vit plus en proie à l’accablement ou à la concupiscence, et, après cela, il ne cessa de fréquenter les cours de Platon sans en manquer absolument aucun. On dit aussi que Platon, après avoir fini de parler, se tourna vers ses disciples, les blâma et leur reprocha d’avoir abandonné cet homme et de l’avoir laissé à lui même, et d’avoir dirigé son attention vers les autre, domaines de la philosophie avant d’avoir corrigé son âme désirante et de l’avoir réprimée et humiliée devant l’âme rationnelle. |
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TC0033 | TE005892 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 41 | MORT DE SAINT BERNARD DANS LA CRAINTE. Saint Bernard de Clairvaux eut très peur au moment de mourir. |
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TC0106 | TE015915 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 176 | SAINT BERNARD DANS LES ÉCOLES DE LOGIQUE. Un jour, dans une école de logique, saint Bernard explique que Dieu accepte la transgression à la loi mais qu’elle conduit à la damnation. | |
TC0124 | TE015115 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : LXIV, 23 [746] | Un abbé se plaignit de ses élèves à saint Anselme : « On a beau les battre sans cesse, ils ont tous les vices. » ? « Mais, dit saint Anselme, en grandissant ? » ? « Ils restent stupides et frustes. » ? « C’est décourageant en effet ! » ? « On n’y peut rien, mais ce n’est pas faute de les réprimer. » ? « Réprimer !, dit saint Anselme, si on faisait pousser un jeune arbre limité de toutes parts dans un espace étroit, que trouverait-on en le libérant? » ? « Certainement, il serait stérile et tout tordu. » ? « De même pour eux, dit saint Anselme, les punitions ne suffisent pas : il faut y joindre affection et sollicitude pour les amener à s’épanouir. » |
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TC0131 | TE008919 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 017, 1-4 | MARIE REINE DES ANGES. 1/ La petite Marie était si mignonne que pour les qualités que Dieu lui avait données la maîtresse avait un faible pour elle; 2/ comme on lui confiait toujours les plus beaux travaux, une compagne dit, inspirée sans le savoir: 3/ "On dirait que c'est la reine des anges; on lui confie toujours les plus beaux travaux". 4/ Un ange fut dépêché pour lui répondre: "Tu l’as dit: c'est bien la reine des anges". | |
TC0131 | TE009055 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 076, 1-10 | UN GRAND PERSONNAGE MIT SON FILS A L’ECOLE. 1/ Ici commence une pieuse fiction qui s’applique à Dieu le Père. 2/ Un homme riche mit son fils à l’école. 3/ Il y apprit si bien qu’en peu de temps il devint maître et enseigna à ses élèves : aussi son père lui confia sa charge de juge. 4/ Quand le divin Jésus-Christ vrai Dieu et vrai homme fut né de sa vierge mère, Dieu son vrai Père le mit à l’école de pauvreté. 5/ Il y apprit si bien qu’en peu de temps il en devint le meilleur maître; 6/ et au bout de trente-deux ans et demi il l’enseigna à ses élèves comme maître en chaire, 7/ quand il dit sur la croix: "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" 8/ Et c'est une des raisons pour lesquelles son Père du ciel lui a confié son siège de juge. 9/Et c'est pourquoi il siègera comme juge, à titre de Fils du Dieu tout-puissant vrai Dieu et vrai homme, vêtu de notre humanité, 10/ montrant les traces de ses cruelles plaies, en jugeant les douze tribus d’Israel qu’il a rachetées à ses propres dépens. | |
TC0139 | TE014320 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 108 p 72 du texte hébreu | Rabbi Tarfon était riche mais ne faisait pas la charité aux pauvres. Un jour, Rabbi Akiba lui proposa d’acquérir une ou deux villes en son nom et il accepta. Rabbi Akiba s’empressa de distribuer cet argent aux pauvres. Peu après, il montra à Rabbi Tarfon les écoles qu’il avait bâties avec son argent, et les écoliers en train de réciter le verset " Il fait des largesses, il donne aux indigents" (Psaumes, 112,9) et Rabbi Tarfon distribua son argent aux pauvres. | |
TC0142 | TE018567 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 25 | Maître Hermann, chanoine de Bonn, Maître Henri, écolâtre de l’église Saint Géréon de Cologne et Jacques, évêque de Cambrai, accompagnèrent le roi Otton dans son voyage à Rome. Un jour, ils visitèrent l’école d'un certain hérétique qui enseignait que le diable était le créateur du monde puisque Jésus l'avait appelé le prince de ce monde. Maître Hermann contesta ce point et montra, tant par les autorités bibliques que par des raisonnements, que l'hérétique avait tort. | |
TC0142 | TE018623 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 15 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, entendit un jour les cris d'un jeune écolier que l’écolâtre de la même collégiale s'apprêtaient à fouetter. Ensfried entra d'un saut dans l’école et, en brandissant son bâton contre l’écolâtre, libéra l'enfant et s’écria : « Qu’est-ce que tu fais, tyran ? Ton devoir est enseigner les enfants, non de les tuer ! » | |
TC0158 | TE016505 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 78 | Le Bodhisattva et Dharmâgata.– Le Bodhisattva « Toujours affligé» s'attriste de n'avoir pas trouvé quelqu'un pour lui expliquer les livres saints; après de longues recherches, il apprend que le Bodhisattva Fa-lai (Dharmâgata) du Gandhâra est le maître qu'il désire. | |
TC0161 | TE017713 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XI, 28 | COMMENT CHISHÔ-DAISHI COMMENCE D' ÉTABLIR SON ÉCOLE AU MII¬-DERA.– Chishô-daishi , moine très vénéré, Grand Maître, désirant établir une Ecole pour transmettre la Loi bouddhique, s’arrête dans un monastère dans lequel se trouvent une grande statue du Bouddha futur et un puits. Un moine explique au Grand Maître que le puits se nomme Mii, « les Trois Puits » Chishô-daishi rencontre un très vieux moine qui ne se nourrit que de poissons, dont les arêtes et les écailles éparpillées au sol, laissent planer une odeur nauséabonde. Interrogé, le vieux moine explique qu’il se tient là depuis cent soixante ans et qu’il n’y a que Chishô-daishi, Grand Maître, digne de maintenir ce monastère après lui. Eploré, le vieux moine s’en retourne. Un homme très distingué survient et annonce au Grand Maître qu’il est le protecteur de la Loi du Bouddha et qu’il lui donne toute sa confiance pour la transmettre. Chishô-daishi apprend que cet homme est un dieu et retourne dans l’habitation du vieux moine où flotte à présent une odeur très parfumée. Les restes des poissons sont devenus d’éclatantes tiges de lotus bouillies. Le Grand Maître apprend que ce vieux moine apparaît dans les rêves comme le Bouddha futur. Chishô-daishi établit son Ecole dans ce monastère avec de nombreux disciples, enseigne et propage la Loi du Bouddha. |
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TC0165 | TE018291 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 44h, pp. 94-95. | Rinaldo, autrefois abbé de Foigny, raconte à Herbert La manière dont saint Bernard prêcha à Paris. Le premier jour, il souffrit de n'obtenir aucun résultat, ne parvenant pas à émouvoir les âmes dans les écoles. Le deuxième jour, cependant, de nombreux clercs se convertirent. Le troisième jour, Bernard insista pour revenir une fois de plus à Paris, et sur le chemin de la ville, il rencontra trois autres clercs qui voulurent le rejoindre, comme l'avait prédit le saint. Tous les clercs lui restèrent fidèles jusqu'à la mort. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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