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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Chrétien | Christian | christlich | Cristiano | Cristiano
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001476 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 49, 9 | La nuit du Vendredi-Saint, un juif qui jouait aux dés meurt en blasphémant ; son compagnon chrétien devient fou. | |
TC0001 | TE001331 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 20, 2 | Un marchand d’Orient donne sa femme préférée à son ami chrétien; ce dernier la fait baptiser et l’épouse. Des années plus tard, le même chrétien s’accuse lui-même à la place de son ami oriental injustement condamné à mort. Le véritable criminel se dénonce au dernier moment. | |
TC0003 | TE001600 | Dominico Cavalca | Esempi [Varanini, Baldassari, 1993] : 30(2) | Un Chrétien qui devait de l’argent à un Juif, cache les pièces dans un bâton qu’il fait tenir au Juif en lui disant qu’il lui a rendu ce qu’il lui devait. Peu après, ce dernier est tué par un char. |
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TC0004 | TE002758 | Jordanus de Pisis | Esempi : 125 | Les origines paiennes du calendrier. Les Romains donnèrent aux mois et aux jours le nom de leurs dieux et de leurs rois, pour pouvoir en honorer la mémoire; bien que les usages paiens aient disparus, beaucoup de ces noms sont restés, mais en ces jours les chrétiens célèbrent leurs propres fêtes et non le sens premier de ceux-ci. Le faire est superstition paienne. | |
TC0011 | TE003185 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 208a | Il était d’usage, chez les juifs et chez les Chrétiens, de réconforter les gens avec du bon vin. Les Juifs donnèrent au Christ sur la croix du vin mélangé avec du fiel. | |
TC0011 | TE003180 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 205a (3) | Il était d’usage, chez les juifs et chez les Chrétiens, de réconforter les gens avec du bon vin. Les Juifs donnèrent au Christ sur la croix du vin mélangé avec du fiel. | |
TC0020 | TE003743 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 218 | Un Juif qui gagnait aux dés contre un Chrétien s’enfuit pour ne plus l’entendre blasphémer. | |
TC0020 | TE003688 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 163 | Un Chrétien vend des vivres avariés à des pèlerins d’Acre. Capturé par les Sarrasins, il est mené devant le sultan, auprès de qui il implore sa relaxe, arguant que grâce à sa viande et son poisson avariés, plus d’une centaine de pèlerins meurent chaque année. |
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TC0034 | TE006358 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 136 | Salomon a aimé des femmes d’une autre croyance que la sienne. Elles lui ont fait renoncer au dieu de David et construire des temples pour d’autres dieux. Dieu empêche son fils Roboam de se maintenir sur le trône. | |
TC0035 | TE006507 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 6, n° 25 | Un évêque emprisonné par un prince païen, et menacé de mort, soulève une montagne par la force de sa foi. | |
TC0035 | TE006583 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 10, n° 45h | Plus le chrétien s’approche de la mort, plus il met d’ardeur à obtenir le trésor du royaume des cieux. | |
TC0037 | TE006727 | Roberto Caracciolo | Roberto Caracciolo, Quaresimale in volgare : 45 | Saint Macaire heurte avec son bâton le crâne d’un mort païen. Interrogé par lui, le païen lui décrit les peines de l’enfer et le sort différent infligé aux chrétiens damnés selon qu’ils ont accompli ou non des bonnes actions durant leur vie. | |
TC0038 | TE006762 | Vincent Ferrier | Sermones castellanos [Cátedra, 1994] : 35 | Saint Sébastien encourage deux chrétiens prisonniers à Rome afin qu’ils défendent leur foi jusqu’à la mort; finalement c'est lui qui subit le martyre. | |
TC0123 | TE007056 | anon. | Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005] : 148 | À Byzance, un chrétien ruiné n’eut d’autre ressource que d’emprunter de l’argent à un juif. Comme caution, il lui proposa le Christ, c’est-à-dire une statue de la Vierge à l’enfant, devant laquelle il s’engagea à rembourser son créancier à une date donnée. Ce dernier accepta la caution et versa l’argent, qui permit au chrétien d’acheter un navire de commerce. Ses affaires prospérèrent, mais, l’échéance venue, il était trop loin de Byzance pour rembourser sa dette à temps. Il confia alors à la mer une cassette contenant l’argent, qui vint miraculeusement s’échouer au pied de la maison de son créancier. Celui-ci récupéra l’argent et cacha la cassette. Lorsque le chrétien regagna Byzance, le juif feignit de n’avoir rien reçu, mais la statue, prise à témoin par le créancier, attesta le remboursement. Le juif, confondu, se convertit et reçut le baptême. |
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TC0124 | TE014428 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : V, 2 [90] | Néron mit le feu à Rome pour imiter l’incendie de Troie. Il fut le premier à persécuter le nom du Christ. | |
TC0129 | TE007368 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 269a-b | Le chrétien ne doit pas se laisser surprendre par la mort : de même, la femme doit attendre son époux en se parant, le chevalier doit être prêt à partir à la guerre et le mauvais serviteur qui n’a pas travaillé en l’absence de son maître ne peut pas rattraper le temps perdu. |
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TC0138 | TE019418 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 362 | Une hostie est retrouvée dans la tête d'un Chrétien décapité. |
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TC0138 | TE020101 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 962 | Un lion protège une jeune vierge chrétienne. | |
TC0138 | TE019242 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 187 | Chasteté héroïque d'un chrétien soumis par les Sarrasins aux pires tentations: il crache sa langue sur une femme venue le séduire. |
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TC0138 | TE019686 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 544 | Le voleur et les perdrix. | |
TC0138 | TE019919 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 778 | Les chrétiens au siège d'Antioche sont sauvés par leurs prières. | |
TC0138 | TE019981 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 840 | Victoire des Chrétiens au siège d'Antioche après la résurrection et le discours d'un Chrétien. | |
TC0139 | TE016399 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 213b p.140 du texte hébreu | Rabbi Hananya se rendit à Capharnaüm, mais là il fut envoûté par des chrétiens, et il entra le jour du shabatt à Tibériade juché sur un âne. Rabbi Joshua réussit à le délivrer de cette emprise grâce à un certain onguent, mais il l'envoya à Babylone pour ne pas risquer de retomber sous cette influence. | |
TC0139 | TE013198 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 36, p. 26 du texte hébreu | Rabbi Eliezer, accusé d’hérésie, déclare devant le tribunal que " le Juge connait la vérité" . Il est ainsi sauvé du châtiment car le juge croit qu’il reconnait son autorité alors qu’Eliezer s’en remet à Dieu. Il s’est retrouvé dans cette redoutable situation parce qu’il a accepté d’écouter un disciple de Jésus sans lui faire admettre son erreur au lieu de fuir sa compagnie. | |
TC0142 | TE018001 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 15 | Noureddin, le fils du sultan Saladin (vers 1117/8 - 1174), étant lui-même très vertueux, reproche aux chrétiens leurs péchés, leur intempérance et leur orgueil. | |
TC0155 | TE016282 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 159 | Noureddin, le fils du sultan Saladin (vers 1117/8 - 1174), étant lui-même un chevalier vertueux, reproche aux chrétiens leurs péchés, leur intempérance et leur orgueil. | |
TC0157 | TE017357 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 97, p. 73, l. 22 – p. 74, l. 4 | L’illustre Fabrice résista à la corruption. Alors que Pyrrhus, roi d’Épire, était en guerre avec la République Romaine, il apprit que Fabrice était pauvre. Il lui promit le quart de son royaume s’il trahissait. Mais Fabrice resta probe et résista. Tout Chrétien avaricieux devrait avoir honte d’être moins vertueux que ce païen. | |
TC0157 | TE017090 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 54, p. 145, l. 24 – p. 147, l. 25 et lettre 89, p. 552, l. 28 – p. 553, l. 13 | Lorsque Paul écrit aux Galates, il formula des reproches contre l’apôtre Pierre. Il raconte que lors de leur rencontre à Antioche, Pierre mangeait d’abord avec les chrétiens gentils, mais après la venue d’un émissaire de Jacques, il commença à se tenir à l’écart, lui et les autres chrétiens juifs, de sorte que même Barnabé crut à ces apparences. Cette condamnation semble très rude, alors que Pierre, à qui fut confiée la direction de tous les royaumes, ne peut pas être si coupable. Paul ajoute qu’il exprima même publiquement à Céphas sa critique des chrétiens juifs et de leur comportement. Or, est-ce que Paul peut se permettre ainsi de faire des reproches à son supérieur, qui a reçu le privilège de diriger l’Église entière ? Quand un frère commet un péché, il convient de le corriger d’abord en privé, et seulement s’il ne s’amende pas, de l’accuser publiquement. Or, Paul n’a pas formulé sa critique en privé, et il raconte même toute l’histoire par écrit. Mais si, publiquement, Pierre sembla s’opposer à Paul, dans sa conscience il poursuivit ses desseins : en présence de chrétiens juifs, il ne s’attablait pas avec les gentils, car il ne voulait pas ébranler les premiers dans leur foi encore neuve. Il ne voulait pas leur faire courir le risque de perdre leur foi. Mais il est indéniable que sur le fond, les deux apôtres étaient d’accord : les chrétiens gentils n’avaient pas à suivre le rite juif. De plus, Pierre se réjouit d’être accusé publiquement. Ainsi, il pouvait trouver le courage de faire ce qu’il n’avait pas osé accomplir auparavant. Du reste, Paul était d’accord avec lui sur le fond, puisqu’il avait lui-même accepté de se plier à certains rites juifs. Paul critiquait Pierre pour lui venir en aide, par obéissance, et non pour le corriger. De la même manière, le jeune frère doit recevoir la critique de bonne grâce, même lorsqu’il n’a pas péché. |
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TC0157 | TE017462 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 123, p. 406, l. 31 – p. 407, l. 24 | Étienne, homme honorable et chapelain de l’impératrice Agnès, rapporta cette histoire. Il la tenait de Stedelandus, empereur de Galice, qui la tenait d’un autre. Trois prostituées, quoique vivant dans cette région où cohabitent Chrétiens et Sarrasins, ne se prostituaient qu’aux Chrétiens. Les Sarrasins, offensés, les traînèrent en justice, et comme elles refusaient de changer de comportement, elles furent condamnées à mort. Ces femmes voulaient mourir, mais leurs bourreaux ne pouvaient les tuer. Une nuit, le Christ apparut à celle des trois qui était moins mauvaise que les autres, et lui promit la gloire des martyrs. Le lendemain, devant le tribunal, elles persistèrent à refuser les Sarrasins. Comme on ne pouvait les décapiter, on les égorgea. |
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TC0165 | TE018398 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 145, pp. 262-263 | Milone, autrefois abbé de Haute-Fontaine, raconte à Herbert qu'on a trouvé récemment en Lotharingie un homme inconnu, s'accrochant à une haute branche d'arbre. Après avoir passé le test du signe de croix, il est conduit à l'église, où il adore le crucifix et reçoit avec plaisir l'aspersion d'eau bénite, prouvant ainsi qu'il est chrétien. Cependant il demeure toujours silencieux, et lorsqu'en faisant preuve d'imprudence on le laisse seul un moment, il disparaît à jamais. |
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TC0165 | TE018396 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 143, pp. 259-261 | Robert de Neufchâteau, près de Toul, est un usurier vicieux qui ne va jamais à l'église et évite les sacrements bien qu'on le dise chrétien. On le surnomme "Juif", puisqu'il se comporte comme eux en évitant les chrétiens. Chez lui, il a une petite cellule, comme une sorte de synagogue démoniaque, où l'on pense qu'il fait des sacrifices aux démons. Lorsqu'il tombe gravement malade, sa femme, une chrétienne fidèle, l'encourage à se confesser. Il lui dit qu'il s'est déjà confessé à quelqu'un qu'il ne veut pas nommer. Sa femme va à l'église pour appeler un prêtre, mais Robert, après avoir tenté en vain de l'arrêter et après l'avoir battue, s'enferme chez lui. Sur le chemin du retour, la femme entre par une fenêtre, mais découvre que la maison est remplie de démons. Terrifiée, elle s'enfuit, ainsi que les amis qui l'accompagnaient. Finalement, le prêtre arrive avec de l'eau bénite et ils trouvent Robert dans l'étable, pendu à une poutre. Le cadavre est caché à la hâte, loin de la ville. Herbert apprend que Robert avait été clerc dans sa jeunesse, mais qu'il avait ensuite délaissé la vie cléricale. |
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TC0165 | TE018350 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 97, pp. 181-182 | Herbert raconte une histoire récente, célèbre en Espagne. Une jeune fille, fille d'un riche Sarrasin, veut devenir chrétienne et convainc un chevalier chrétien de l'emmener pour l'épouser après sa conversion, en lui offrant la moitié de ses biens. Le chevalier accepte. Ils partent avec un enfant qui lui est fidèle et s'arrêtent dans un verger près d'une commanderie des templiers, ne pouvant y entrer à une heure tardive. Après avoir mangé, le chevalier, poussé par la luxure, veut coucher avec la femme, qui lui fait des reproches en lui rappelant qu'elle n'est pas baptisée. Sa résistance irrite le chevalier qui la décapite et jette le cadavre au feu. Mais Dieu le punit immédiatement en laissant sortir d'une grotte un dragon qui le dévore. L'enfant, terrifié, s'enfuit et raconte aux Templiers ce qui s'est passé le matin suivant. Ils recueillent les restes de la femme et l'enterrent avec vénération à la manière d'une martyre. Le pape Alexandre juge qu'elle est bel et bien une martyre, baptisée de son propre sang. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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