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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Comte | Count | Graf | Conde | Conte
68 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001548 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 57, 63 | Un messager du comte Otton de Geld qui traitait saint Louis de papelard devient infirme. |
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TC0001 | TE001494 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 51, 2 | En Germanie, un méchant comte, frappé par la maladie, entreprend une dure pénitence. Il meurt saintement. | |
TC0001 | TE001518 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 53, 23 | Christine l’Admirable, prend sur elle la moitié des peines du purgatoire du comte de Looz qui lui avait confessé ses péchés avant de mourir. Elle souffre longtemps dans son corps les tourments du purgatoire et voit plus tard la délivrance du comte. |
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TC0001 | TE001432 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 35, 6 | Archambaud, moribond, reçoit miraculeusement l’hostie que son curé lui refusait : cela prouve qu’il a eu raison de tuer lui-même son fils unique coupable de viol. |
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TC0001 | TE001430 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 35, 3 | En Hainaut, un abbé plaidant contre un comte qui voulait remplacer les chanoines réguliers par des chanoines séculiers en appelle au souverain juge. Au terme échus, les deux parties tombent malades et le comte renonce à ses prétentions. | |
TC0001 | TE001362 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 28, 12 | A Paris, le fils du comte de Falkenberg, devenu dominicain, recrute son oncle archidiacre, surnommé le " beau Teuton ", alors qu’il était venu tenter de l’arracher à l’ordre. | |
TC0001 | TE001361 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 28, 11 | En Teutonie, le fils du comte de Flankenberg se fait dominicain à la suite de conversations avec Jourdain de Saxe, contre l’avis de son entourage. Le père tente en vain de l’arracher au couvent. |
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TC0001 | TE001346 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 25, 15 | Le comte Thibaud de Champagne avait l’habitude de rendre de fréquentes visites à un ami lépreux; à son retour de voyage, Thibaud le retrouve guéri. Ses compagnons lui apprennent qu’il est mort pendant son absence : le comte comprend qu’il s’agissait d’une apparition. | |
TC0001 | TE001345 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 25, 14 | Un pauvre demande à recevoir les habits du généreux comte Thibaud. Il accepte toutes ses demandes mais refuse de lui cèder son bonnet; le pauvre abandonne tous les habits reçus et disparaît. |
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TC0001 | TE001391 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 29, 39 | Yolande, la fille du comte de Vienne, entre dans l’ordre dominicain contre l’avis de sa famille. Enlevée par sa mère après ses voeux, et enfermée dans son palais, elle continue de mener une vie religieuse exemplaire pendant trois ans, puis ses parents l’autorisent à retourner dans son couvent d’origine. | |
TC0001 | TE001363 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 28, 13 | Le fils du comte de Falkenberg, frère Albert, pieux dominicain, refusa l’épiscopat que lui proposa le pape. | |
TC0001 | TE001229 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 57, 18 | Chaque nuit, la fille d’un comte élevée dans un couvent, est enlevée par les diables. Son frère franciscain ne réussit pas à empêcher ce rapt. | |
TC0001 | TE001188 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 1, 12, 2-3 | Les intendants du comte oublient de nourrir et de soigner le pauvre chargé de prier pour le comte durant son voyage. En conséquence, le comte subit des tribulations nombreuses ; à son retour, il envoie les intendants coupables demander leur absolution au pape. | |
TC0001 | TE001175 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 1, 7, 2 | Un abbé majestueux vêtu comme un comte. | |
TC0006 | TE003388 | Jacobus Vitriacensis | Historia occidentalis : 39 (7) | On raconte qu’un comte de Poitou prit l’habit de pauvre et parcourut en pèlerin de nombreux pays afin d’éprouver le comportement et la foi des hommes. Un prêtre religieux lui accorda l’hospitalité en toute humanité et le traita avec bienveillance. Plus tard, le comte promut le prêtre à l’évêché de Poitiers. | |
TC0012 | TE002643 | Jacobus Passavanti | Specchio di vera penitenza : 7 | Le comte de Mâcon, cruel et hautain, est enlevé par le diable qui, après l’avoir contraint à enfourcher un cheval, l’oblige à galoper vers le ciel, puis en enfer. | |
TC0020 | TE003619 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 94 | Prenant la place et sous les traits d’un lépreux mort depuis quelques temps, le Christ reçoit la visite du comte Thibaut de Champagne. Il disparaît miraculeusement, laissant derrière lui un parfum suave, signe du miracle. | |
TC0020 | TE003675 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 150 | Un bailli propose à une comte cupide de lever un impôt sur les toiles qu’on étend pour blanchir au soleil; une manière de vendre les rayons du soleil qui appartiennent à tous. | |
TC0021 | TE004083 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 152 | Trouvant un crapaud dans la tombe de son père (sur le cou du cadavre), le comte de Pontoise (?) part à Jérusalem après avoir donné tous ses biens au roi de France. |
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TC0030 | TE005346 | anon. | Libro de los Gatos [Darbord, 1984] : 26 | Un comte a pour habitude de détrousser les marchands. Ceux-ci décident de se défendre. Le comte et les siens se déguisent alors en cisterciens. Les marchands, sans méfiance, se font prendre et tuer. |
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TC0033 | TE006111 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 250 | L’INTERET DU METIER DE MARCHAND. Un comte de Poitiers voulut tâter de tous les métiers. Il dit pour finir préférer à tous les autres le métier de marchand dans les foires car on leur donne tout ce qu’ils veulent et ils vivent dans le luxe; mais à la fin, tout leur est compté et celui qui ne s’acquitte pas de sa dette est retenu prisonnier jusqu’à ce qu’il l’ait payée. | |
TC0033 | TE006012 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 158 | LES DEMONS APPARAISSENT A SAINT MARTIAL; CELUI-CI RESSUSCITE LE FILS DU COMTE DE POITIERS. Saint Martial avait converti les Limousins ainsi que leur chef et quinze de ses chevaliers, qu’il avait baptisés. Il s’en revenait de Rome, où il avait vu saint Pierre, et logeait près d’un fleuve. Le fils du comte de Poitiers s’y baignait et fut étouffé par le diable. On ne pouvait le trouver. Saint Martial fit sortir du fleuve trois démons à l’aspect d’Ethiopiens, plus noirs que de la suie, pourvus de grands pieds, aux yeux terribles injectés de sang, dont les cheveux couvraient tout le corps, crachant du feu par la bouche et les narines, parlant d’une voix croassante. Ils dirent leur nom et avouèrent quelles étaient leurs fonctions. Le saint leur demanda de ne plus nuire à quiconque et de gagner les contrées désertes. Il ressuscita le jeune homme qui raconta comment l’ange du Seigneur l’avait sauvé, lui avait montré le feu du purgatoire, ses peines multiples, l’avait conduit à la porte du paradis. Les démons se battaient à son sujet quand une voix venue du ciel lui avait enjoint de réintégrer son corps. Il vivrait durant vingt-six ans. Il se tondit, vécut dans la plus grande abstinence, comme les anges le lui avaient enseigné, et se consacra à saint Martial. |
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TC0033 | TE006207 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 346 | CONVERSION DU FILS DU COMTE DE CREPY. Lors de la consécration de l’église de Crépy, l’ouverture du tombeau du comte révéla la présence d’un énorme crapaud dévorant le visage du mort, ainsi que de vers et de serpents. Ceux qui étaient présents en furent épouvantés. Le fils du comte, à cette vue, réfléchit à la mort, abandonna tout et se fit pauvre pour le Christ. Certains de ses damoiseaux le suivirent dans son errance après avoir vendu leurs chevaux et leurs biens dont ils distribuèrent le produit. Vivant d’aumônes, le jeune comte, en parcourant une ville, choisit la demeure la plus pauvre où il ne reçut qu’une croûte de pain noir et un fragment de tuile dans lequel buvaient les poules. Il n’acceptait rien d’autre de ses compagnons qui pleuraient en voyant le sang sortir de sa bouche. Parvenant à Rome, il s’y fit charbonnier. Il révéla son origine à un cardinal, son confesseur. Plusieurs années plus tard, entrant dans la maison de ce cardinal pour y livrer du charbon, il fut emporté par la maladie après avoir reçu les sacrements. Les cloches de la ville se mirent à sonner d’elles-mêmes, à l’étonnement du pape auquel le cardinal en apprit la cause. Les hommes du comte qui étaient à sa recherche et se trouvaient à la cour pontificale le trouvèrent mort. |
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TC0033 | TE006120 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 259 | LE COMTE REPENTANT ET L’EVEQUE OBSTINE. Dans une très grande abbaye cistercienne, un convers était fort tourné vers la contemplation. Alors qu’il était en prière, il vit le Jugement. Les anges mettaient en accusation deux pécheurs: un grand prélat et un grand comte. Sur les instances de quelques-uns, le Seigneur rapporta sa sentence de mort et de damnation, à condition que le convers fît instruire les pécheurs par son abbé. Le convers rapporta à son abbé ce qu’il avait vu et entendu, les faits et les noms de ceux qu’auparavant il ne connaissait pas. Les deux personnages furent informés de la vision. Le comte s’amenda et fit pénitence. Etienne de Bourbon lui fournit le cilice que le comte, de chair délicate, mettait à même la peau. Il distribuait des aumônes, fréquentait les sacrements et mourut dans le Seigneur quelques années plus tard. Le prélat au contraire revint sur sa résolution, aspirant à la vengeance. Alors que tout lui réussissait, on le trouva mort dans son lit, un matin. |
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TC0038 | TE006765 | Vincent Ferrier | Sermones castellanos [Cátedra, 1994] : 38 | La fille d’un comte italien veut rester vierge et s’enfuie à Rome déguisée en garçon. Là, elle connaît un religieux, se confesse à lui et révèle sa vraie nature; finalement, tous deux ont des relations charnelles. Le religieux, plein de repentir, va se confesser, mais pendant son absence, la femme se suicide. La trouvant morte à son retour, le religieux se pend. | |
TC0038 | TE006740 | Vincent Ferrier | Sermones castellanos [Cátedra, 1994] : 13 | Un comte part en pèlerinage et met plusieurs années à revenir, tandis que son épouse l’attend pleine d’affection. Quand il revient après plusieurs années, il est vieux, faible et mal habillé, si bien que la comtesse ne le reconnaît pas, alors que ses serviteurs et ses chiens le reconnaissent. Finalement, elle le fait pendre. | |
TC0105 | TE012942 | anon. | Tombel de Chartrose [Sulpice, 2014] : 11 | A sa mort, le comte de Crépy, qui n’a pas été un homme dévot, est, selon son souhait, enterré dans l’église de Crépy. On ne sait combien d’années son corps demeura en l’église. Mais un jour, lors de la consécration de l’église de Crépy, les cercueils sont déplacés. Or, la sépulture du comte dégage une telle puanteur qu’elle est ouverte. Le corps du comte est entamé par la pourriture, dévoré par des vers et des serpents, et un hideux crapaud lui recouvre le visage. Lorsque le fils du comte, qui mène une vie identique à celle de son père, découvre cet affreux tableau, il est tellement effrayé, qu’il se confesse dévotement et laisse toutes ses richesses à l’église. Il devient charbonnier à Rome, et à sa mort, au moment où les anges emportent son âme au ciel, les cloches des églises se mettent à carillonner d’elles-mêmes. |
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TC0106 | TE015910 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 171 | L’INTÉRÊT DU MÉTIER DE MARCHAND. Un comte de Poitiers dit préférer à tous les autres le métier de marchand dans les foires car on leur donne tout ce qu’ils veulent; mais à la fin, tout leur est compté et celui qui ne s’acquitte pas de sa dette est retenu prisonnier jusqu’à ce qu’il l’ait payée. | |
TC0106 | TE015930 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 189 | LE COMTE REPENTANT ET L’ÉVÊQUE OBSTINÉ. Un convers, en prière, voit le jugement d’un prélat et d’un comte qui sont passibles de la damnation. Sur les instances de quelques-uns, la sentence est rapportée à condition que le convers fasse instruire les pécheurs par son abbé. Le comte s’amende, fait pénitence et meurt dans le Seigneur quelques années plus tard. Le prélat au contraire, refusant de se corriger, fut retrouvé mort dans son lit, un matin. |
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TC0131 | TE008078 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 513, 1-13 | L’ANNEAU DU COMTE DE CHARTRES. 1/ Un comte de Chartres prit un anneau à sa femme en disant: "Dame, je m'en vais à la croisade. 2/ Je vous recommande de ne recevoir comme votre mari ni moi ni un autre s’il ne vous rapporte cet anneau que je prends à votre doigt." 3/ Quand le comte fut outre-mer il fut fait prisonnier et mené devant le sultan. 4/ Le sultan lui prit ce bel anneau qu’il avait au doigt et le mit au sien; le comte fut mis en prison. 5/ Au bout de sept ans les amis de la comtesse lui fiancèrent un autre mari. 6/ Saint Jean l’Evangéliste contraignit un diable à le tirer de prison et à le ramener chez lui parce que ce diable avait demandé l’aumône au comte en l’honneur de saint Jean l’Evangéliste et que le comte pour l’honneur de saint Jean lui avait donné dix deniers. Saint Jean voulait qu’il en soit récompensé. 8/ Quand la comtesse vit son mari, elle lui dit toute joyeuse: "Sire, soyez le bienvenu. Vous semblez être mon mari. Mais quand nous nous sommes quittés vous m'avez défendu de recevoir comme mon mari vous ou un autre si mon anneau ne m'était rapporté. 10/ Le comte répondit: "Vous dites vrai." Et il commanda au diable qui l’avait apporté de retourner chercher l’anneau. 11/ Il y alla aussitôt et rapporta au comte avec l’anneau le bras du sultan qu’il lui avait arraché du corps comme on ôte l’aile d’une poule. 12/ Le diable furieux dit au comte: "J'ai payé cher vos dix deniers. Voici votre anneau: que le feu le brûle!" Et il le quitta. 13/ On voit que c'est bien de donner aux pauvres puisque le comte en fut récompensé parce qu’il avait donné dans une bonne intention. |
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TC0136 | TE009869 | anon. | Rothschild Canticles : 7 | Une jeune moniale belle et chaste désobéit à son abbesse corrompue qui voulait la livrer à un comte que la beauté de son visage avait séduit. Elle obtient de la Vierge d’être défigurée et repousse ainsi les avances du comte. Elle est renvoyée au monastère, où la Vierge lui rend un visage encore plus beau que le précédent. |
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TC0137 | TE012655 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 170 | La vision du charbonnier. Un charbonnier montre au comte de Nevers de quelle manière apparaissent deux esprits, la nuit dans le bois : une femme nue suivie par un chevalier à cheval qui une fois qu’il a attrapé la femme, la perce de son épée. Le comte demande au chevalier ce que signifie tout cela : celui-ci lui répond que c?était la peine qu’ils subissaient tous deux parce que, pour pouvoir être amants, la femme avait tué son propre mari. |
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TC0137 | TE012871 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 386 | Le Comte Guillaume fut porté vivant par un cheval en enfer à cause de son orgueil et de ses péchés. Pendant qu’il était dans son palais, le comte Guillaume de Mâcon fut abordé par un homme à cheval qui lui ordonna de sauter sur un autre cheval, qui immédiatement commença à galoper très vite à travers champs. Les habitants essayèrent de le suivre mais en vain et l’on pensa qu’il avait été transporté en enfer à cause de son orgueil et de ses péchés. | |
TC0137 | TE012483 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 21 | L’anneau extrait du doigt après le dîner. Le comte de Zara ne réussit pas à enlever un anneau, mais un esclave le lui enlève sans difficulté après le repas, quand le doigt est devenu plus souple. | |
TC0137 | TE012814 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 329 | La peur de la mort mène certains hommes vers le bien. Quand le corps d’un comte fut exhumé on trouva un crapaud sur son visage et des vers et des serpents qui le dévoraient. Tous s’enfuirent effrayés et le fils du comte après avoir vu l’état du mort se fit pauvre, vivant des aumônes jusqu’à ce qu’il arrive à Rome où il vécut comme charbonnier. Quand il mourut toutes les cloches de Rome sonnèrent pour lui parce qu’il était désormais considéré comme bienheureux. |
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TC0137 | TE012608 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 123 | La communion donne la force corporelle. Un chevalier injuria souvent Louis, comte de Lausanne, et ses hommes. Louis ayant demandé aux amis du chevalier de le lui remettre pour le punir, ceux-ci s’assurèrent qu’il ne sera pas torturé. Quand le chevalier fut remis à Louis, il le fit enfermé vivant dans une tombe, respectant ainsi sa promesse. Le beau-frère du chevalier tué demanda justice à l’Empereur Frédéric et celui-ci convoqua le comte. Le comte, ayant confiance en son innocence, provoqua en duel tout tout chevalier désireux de défendre la cause du défunt. Un chevalier vainquit le comte parce qu’il avait communié avant de se battre. |
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TC0138 | TE019194 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 139 | Vision d'une échelle des peines infernales d'un noble lignage. | |
TC0138 | TE020049 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 910 | Vision du châtiment post-mortem de tout un lignage à cause d'un crime commis par un ancêtre. | |
TC0138 | TE019353 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 298 | L’héritage funeste ou la vie présente. | |
TC0138 | TE019860 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 718 | La dévotion du comte de Poitou pour la messe lui assure une victoire miraculeuse. | |
TC0138 | TE019531 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 429 | Conversion du fils d'un comte à la vue du cadavre paternel dévoré par les crapauds. | |
TC0138 | TE019737 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 595 | Un comte mourant fait jeter sa fortune à la mer. | |
TC0138 | TE019333 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 278 | Le conseiller avare emprisonné par son maître. | |
TC0138 | TE019332 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 277 | Le chevalier qui voulait entendre la confession de sa femme. | |
TC0138 | TE019841 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 699 | Un comte envie l'existence des marchands. | |
TC0138 | TE019748 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 605 | Un compte coléreux est châtié par un feu céleste. | |
TC0142 | TE018835 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 31 | Devant le château de Thibaut, comte de Champagne vivait un lépreux. Chaque fois qu’il passait, le comte entrait, lui lavait les pieds et lui donnait une aumône. Un jour, il agit à son habitude et ressentit dans son cœur une intense douceur. Peu après on lui dit que le lépreux était mort et avait été enterré avant son arrivée. Le comte comprit alors qu’il avait vu le Christ et rendit grâce pour avoir mérité de le servir. | |
TC0142 | TE019040 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 51 | Le comte de Foix, protecteur d'hérétiques [cathares] et hérétique lui-même, voulait reprendre son château. Furieux, il défia Dieu et l’Église. Puni pour son blasphème, il fut pris d'une attaque d'apoplexie, tomba de son cheval et resta paralysé pendant quatre mois, souffrant de terribles douleurs. Il mourut sans confession ni pénitence. |
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TC0142 | TE018765 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 16, 3 | Le frère Christian de Himmerod, quand il vivait encore dans le monde, devint chapelain du comte de Loots. Un jour, le fils du comte revêtit une peau d'ours pour faire peur à Christian qu'il savait être simple et timide. Christian paniqua et le frappa de toutes ses forces avec un couteau. Malgré la gravité de la blessure, le jeune homme se remit et tout finit bien. | |
TC0142 | TE018833 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 29 | Un mendiant qui voulait voir Henri, le comte de Louvain, fut fortement battu par un chambellan du comte. Un frère convers cistercien qui le vit, compatit avec le mendiant jusqu'aux larmes. La nuit suivante, le convers vit en songe Jésus le remercier pour avoir compati quand le chambellan l'avait agressé. |
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TC0142 | TE019075 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 16 | Un serviteur du comte de Loos vit un tournoi de diables sur le champ de bataille de Montenaken le lendemain du carnage. | |
TC0142 | TE019062 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 5,4 | Le comte Guillaume de Jülich se mourait. On lui dit d'appeler sa femme, mais il refusa et finit ses jours sur les genoux de sa maîtresse mariée, sans confession ni pénitence. À sa mort, une moniale de Cologne se vit transportée aux enfers devant un puits sulfureux. Elle questionna son conducteur à propos de ce puits, et il répondit que seulement deux âmes s'y trouvaient : celle de l’empereur Maxence et celle du comte Guillaume de Jülich. Il y avait en effet, beaucoup de ressemblance entre eux : les deux étant des tyrans luxurieux. | |
TC0142 | TE019063 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 5,5 | Le comte Guillaume de Jülich apparut après sa mort à une recluse. Elle demanda quel était l’état de son âme, et le comte répondit : « Je brûle ! » Il leva son vêtement et une flamme s'en élança. Puis le comte disparut. | |
TC0142 | TE019064 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 5,6 | Le comte Guillaume de Jülich, quand il était encore vivant, entendit pendant la messe des voix célestes chanter une mélodie très douce. Cela, malheureusement, ne lui fit pas abandonner ses péchés, et il finit très mal. | |
TC0142 | TE018971 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IX, 48 | Un chevalier noble avait de nombreux torts envers Louis, comte de Loos, et ses hommes. Un des chevaliers du comte le fit prisonnier lui promettant de ne pas porter la main sur lui. Le comte fit toutefois un sophisme et ordonna d'enfermer son ennemi vivant dans un tombeau où il mourut. Les parents du mort accusèrent devant l’empereur Frédéric [Barberousse] le chevalier qui avait pris leur parent de l'avoir trahi pour de l'argent. Contraint à un duel judiciaire, le chevalier se confessa et communia. Son adversaire blasphéma : Dieu lui retira ses forces et le chevalier, protégé par l’hostie, sortit vainqueur du duel. |
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TC0142 | TE017896 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : II, 17 | Philippe comte de Namur qui avait vendu sa nièce au roi de France meurt en manifestant une contrition spectaculaire et une humiliation publique (il ordonne de lui faire mettre une corde autour du cou et de le faire trainer ainsi dans la rue, disant : ayant vécu comme un chien, je dois mourir comme un chien). Après sa mort exemplaire, des miracles se produisent sur sa tombe dans l’église Saint-Aubain. | |
TC0142 | TE019059 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 5,1 | Le chevalier Walter de Endenich, un homme assez pieux, tomba malade. Il vit alors le diable lui apparaître avec une face de singe et des cornes de bouc. Le diable essaya de le séduire par la promesse de richesses, mais Walter ne s'y intéressa pas : il voulait plutôt interroger le diable. Il lui demanda alors de lui révéler ce qui se passait pour l’âme de son seigneur, le comte Guillaume de Jülich, l’âme du comte Henri de Sayn et l’âme de son propre père. Le diable affirma que Guillaume de Jülich était bien dans en enfer, placé dans un endroit où la chaleur était si grande qu'elle fondrait en un instant deux châteaux avec leur collines, s'ils était faits de fer. Le diable était sûr que l’âme du comte Henri leur appartenait également, mais ne dit rien sur sa punition. Quant à l’âme du père de Walter, elle leur échappa grâce à une femme borgne et un homme chauve. Walter comprit que la femme c’était sa mère qui s’était abîmé un œil en priant, toute en larmes, pour son père, et l'homme chauve c’était son frère devenu moine cistercien. |
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TC0142 | TE018725 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 51 | Une garde du comte de Berg vit le ciel s’ouvrir et le feu descendre de l'ouverture. | |
TC0142 | TE018640 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 10, 4 | Engelbert, aveugle de naissance, menait une vie très simple et vertueuse. Dieu le récompensa par le don de prophétie. Au temps de la dissension entre deux comtes de la région de Cologne, une veuve pieuse vint le demander de prier pour ses frères et ses fils. Engelbert lui dit que cette querelle s'assoupirait bientôt, mais une autre, beaucoup plus dangereuse éclaterait. En effet, le conflit entre Otton de Brunswick et Philippe de Souabe apporta beaucoup de malheurs à la région de Cologne. |
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TC0143 | TE014214 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 117, col. A | Près du château de Thibaud, comte de Champagne, habitait un lépreux. Chaque fois que Thibaud passait près de la masure du lépreux, il descendait de cheval, entrait dans la masure, lavait les pieds du lépreux, baisait ses mains et lui donnait de l’argent. Ignorant de la mort du lépreux, le comte entra un jour chez ce dernier et y trouva le Christ (sous l’apparence du lépreux) pour lequel il procéda comme à son habitude. Il apprit peu après que le lépreux était mort depuis longtemps. | |
TC0155 | TE016301 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 179 | Le comte Théobald (Thibaud de Champagne) rencontre en voyage un pauvre déguenillé, qui lui demande son manteau; le comte donne le manteau. Le pauvre demande l’habit et les autres vêtements, et il les obtient. Encore insatisfait, il demanda la chapeau. Le comte refuse et le pauvre jette les habits et disparaît miraculeusement. | |
TC0155 | TE016293 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 171 | Un prince avait l’habitude d’assister à l’office de matin dans un monastère. Un jour, il arriva trop tôt et fut pris pour un voleur par le portier du monastère. Le portier, en colère, le battit tout en restant silencieux. Le prince, impressionné par une telle observance du silence, pardonna au moine et fit de grands dons au monastère. | |
TC0157 | TE017155 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 72, p. 345, l. 12 – p. 347, l. 6 | Ce récit a peu à voir avec le thème présent (cf. Die Briefe, Lettre 72, p. 344, l. 5 – p. 345, l. 12), mais a été relaté par le même Hildebrand, archidiacre de l’Église romaine, lors d’une conversation à Arezzo en présence de Nicolas II (destinataire de cette lettre) au sujet des possessions illégitimes de bien ecclésiaux. En Allemagne, près de dix ans auparavant, un comte mourut, qui était un homme d’une rare vertu, surtout pour une personne de ce rang. Mais un religieux descendit en esprit en Enfer, et y vit le comte, debout sur une échelle qui était destinée à recevoir tous ceux de sa lignée. Au fil des générations, chaque individu descendait sur l’échelle et se rapprochait des flammes. Le religieux demanda quelle était la raison de ce châtiment. Il apprit qu’il s’agissait d’une terre appartenant à l’Église de Metz, et que l’ancêtre de ce comte avait pris à Saint-Étienne. Depuis, dix générations s’étaient écoulées, qui devaient toutes être punies pour cette injustice. |
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TC0157 | TE017328 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 502, l. 3 – p. 503, l. 2 | Cette histoire a été rapportée récemment par le pape Alexandre lui-même. Le comte William, qui vivait en Ligurie, avait un singe mâle. Sa femme, une très mauvaise femme, jouait souvent avec l’animal répugnant. Il montrait des signes d’excitation et cherchait à s’approcher d’elle. La servante lui souffla de laisser faire le singe, ce qu’elle fit, et il s’accoupla à elle. Ceci devint une habitude. Un jour que le Comte couchait dans le lit de sa femme, le singe devint jaloux, comme s’il avait affaire à un rival. Il blessa mortellement le comte. Ainsi, l’homme mourut de la trahison de sa femme et d’une bête qu’il nourrissait dans sa propre maison. Du reste, on rapporta à ce même pape l’existence d’un homme de vingt ans déjà, d’apparence simiesque, et qui ne parlait pas encore. On suspecta qu’un singe avait habité dans la maison de son père. Ainsi, il est possible que de tels monstres existent. |
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TC0165 | TE018289 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 44f, pp. 91-92 | Saint Bernard, en route pour aller voir le comte Théobald de Champagne, rencontre un voleur qui est conduit à la potence. Il demande alors qu'on lui livre le voleur. Théobald arrive sur place et, surpris, lui demande pourquoi il voudrait sauver un voleur. Saint Bernard lui répond que le tourment quotidien d'une vie dans un monastère est une punition plus sévère que la mort immédiate, et emmène le voleur à Clairvaux (où il est connu d'Herbert). Il y reste jusqu'à sa mort, plus de trente ans plus tard, sous le nom de Constant. |
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TC0165 | TE018374 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 121, pp. 225-227 | Gérard, abbé d'Aulne, raconte à Herbert l'histoire du comte Philippe de Looz, mort quelques années plus tôt. Un jour, deux ans après sa mort, il apparaît à un de ses chevaliers sous l'apparence d'un voyageur. Reconnu par sa voix, Philippe dit qu'il est dans un lieu de souffrance. Il demande au chevalier de dire à sa femme de faire l'aumône, de prier et de construire l'hôpital pour les pauvres qu'il avait prévu de faire au cours de sa vie, mais plus grand et plus beau que ce qui était prévu. Peut-être espère-t-il ainsi obtenir la miséricorde divine. Pour prouver la vérité de la vision, il indique la somme d'argent qu'il avait prévu de dépenser pour dorer l'autel du Saint-Sépulcre, somme dont seule sa femme avait connaissance. Le chevalier parle à la comtesse et le jour prévu, il revient avec l'abbé de Villers et le chapelain. En entendant un bruit terrible, ils font le signe de croix. Philippe apparaît et leur dit de ne pas s'approcher à cause du feu qui le consume. Après avoir chevauché avec eux pendant quelque temps, Philippe, qui chevauchait jusqu'ici en ligne droite sans craindre les obstacles, disparaît soudainement, provoquant l'étonnement et la tristesse des autres. |
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TC0165 | TE018447 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 9, pp. 312-313 | Walter, un noble chevalier du diocèse de Cologne, gît seul et malade, lorsqu'il voit apparaître au pied de son lit un diable en forme de singe à cornes. Passée la première frayeur, il en profite pour lui parler. Le diable le tente, mais Walter se fie au Christ et lui demande plutôt de lui parler de Guillaume, comte de Jülich, et d'Henry, comte de Sayn. Le diable répond de manière sarcastique à propos du premier, en disant que les châteaux de Wolkenburg et de Trachenvels se liquéfieraient en un clin d'œil si Guillaume s'en approchait. Au sujet du second, il dit qu'après vingt-et-un ans, il a été sauvé grâce aux prières de sa femme Monocula (elle a tellement pleuré qu'elle en a perdu un œil), et de Calvo, son fils et moine cistercien. Le diable ajoute que la femme était bonne et sainte, mais que Lambert, le frère de Walter, était à leurs ordres. Avant d'apparaître à Walter, le diable était aux funérailles d'une abbesse bénédictine, avec de nombreux autres diables. Ils ont reçu des coups de la part de l'archange Gabriel, mais uniquement parce qu'elle était une sainte femme. Avant cela, il était avec les autres diables aux funérailles de Gérard, un moine cistercien récemment décédé qui était lui aussi un saint homme. D'autre part, le diable a même osé assister à la mort du fils de Dieu, s'asseyant sur les bras de la croix. |
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TC0165 | TE018450 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 12, pp. 315-316 | Une nuit, un charbonnier (homme religieux) voit apparaître une femme nue poursuivie par un homme à cheval qui, après l'avoir atteinte, la tue avec son épée et la jette dans le feu, d'où il la ramène pour la remettre sur son cheval et partir. La vision se répète plusieurs nuits d'affilée. Un soir, un comte l'accompagne après s'être confessé. Les deux entendent un bruit de trompette, le comte fait le signe de croix et assiste à la même vision. Il demande à l'homme à cheval, au nom de Dieu, qui il est et ce qu'il fait. L'homme répond qu'il est chevalier, que la femme avait tué son mari par amour pour lui et que maintenant, morts, ils sont tous deux punis pour leur l'adultère, porté par un cheval qui est en fait le diable. Ils peuvent cependant être encore aidés par des prières et des messes. |
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