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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Feu | Fire | Feuer | Fuego | Fuoco
4occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0161
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0161 | TE017731 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXII, 01 | COMMENT TAISHOKKAN REÇOIT LE PREMIER LE NOM DE FUJIWARA.– Iruka, fils du ministre âgé Soga no Emishi, joue au lancer de la balle au pied avec le prince Tenchi. Taishokkan, futur haut dignitaire de la Cour, se joint à eux. Quand le prince frappe la balle, son soulier quitte son pied et saute en l’air. Iruka, par moquerie, envoie d’un coup de pied ce soulier au dehors. Taishokkan rechausse le prince qui, très reconnaissant, pense que Taishokkan ressent une inclinaison pour lui. Ce sentiment réciproque rapproche les deux hommes. Par la suite, le prince annonce à Taishokkan qu’il a l’ intention de tuer Iruka qui est trop orgueilleux et récuse les ordres du souverain. Lors d’une assemblée officielle, Iruka décapite Taishokkan avec son épée. La tête de ce dernier bondit jusqu’à la loge impériale, et demande pourquoi il est tué, alors qu’ il n’a pas commis d’offense. La tête retombe sous les yeux effrayés de l’empereur-femme. Les suivants d’Iruka vont informer son père Soga no Emishi, qui, affligé, met le feu à sa maison et meurt brûlé avec les trésors d’Etat transmis depuis l’Auguste Epoque des dieux. Puis le prince devient empereur, nommant Taishokkan Grand Ministre de l’intérieur du palais, lui confie le gouvernement du pays et lui donne une de ses épouses déjà enceinte. Cette épouse accouche d’un enfant, puis d’un deuxième qui deviendront tous deux de hauts dignitaires. Le ministre Taishokkan tombe malade et meurt. L’empereur se déplace exceptionnellement pour lui faire cortège à la montagne des funérailles et publie un décret conférant au ministre le nom posthume de Taishokkan. (Son nom personnel étant Kamatari). |
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TC0161 | TE017718 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XIV, 03 | COMMENT UN MOINE DU DÔJÔJI DE LA PROVINCE DE KII A SECOURU DES SERPENTS EN COPIANT LE LOTUS DE LA LOI.– Deux moines partis en pèlerinage s’arrêtent dans la maison d’une veuve qui tombe amoureuse du moine le plus jeune. Elle lui demande de l’épouser, mais il refuse de rompre son vœu. La femme tente de le séduire pendant toute la nuit et le moine lui promet de s’unir à elle dès son retour. Mais, effrayé par cette idée, le moine s’enfuit par un autre chemin. La femme ayant appris la nouvelle se désole et meurt. Un serpent sort de sa chambre et part à la poursuite des deux moines qui se réfugient dans le monastère du Dôjôji. Les moines enferment alors le jeune moine dans leur cloche. Le serpent parvient à entrer et s’enroule autour de la cloche et la frappe pendant des heures. Les moines intrigués voient des larmes de sang sortir des yeux du serpent qui repart à vive allure. La cloche s’embrase et le jeune moine se consume entièrement. Plus tard, le doyen du monastère voit en songe un très grand serpent qui lui dit avoir été le moine enfermé dans la cloche et s’être marié avec la mauvaise femme transformée en serpent venimeux. Ce grand serpent implore le vieux moine de copier le Lotus de la Loi afin de lui enlever toute douleur. Le doyen copie alors le sûtra et le célèbre avec les moines à l’intention des deux serpents .Après cela, le doyen voit en songe un moine et une femme qui lui disent avec un air très joyeux qu’ils sont dépouillés de leur corps de serpent pour renaître au ciel. |
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TC0161 | TE017715 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XII, 18 | COMMENT UN BOUDDHA DU YATA-DERA EN LA PROVINCE DE KAWACHI NE BRÛLE PAS AU FEU.– Une veuve veut faire peindre l’image du Bouddha Amida pour en faire offrande au monastère Yata-dera. Etant très pauvre, elle laisse passer le temps et n’accomplit pas son vœu. Mais un jour elle glane des épis de riz et appelle un peintre qui, ému par ce vœu, accepte de copier l’image, qui est installée dans le sanctuaire principal du monastère. Mais un voleur brûle ce sanctuaire. Dans le feu il ne reste que l’image peinte qui n’a subi aucun dommage. Grâce à l’esprit d’éveil de cette femme, et de sa foi, le bouddha a accompli ce miracle. |
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TC0161 | TE017700 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : VI, 43 | COMMENT DONRAN DE CHINE A BRÛLÉ SES LIVRES CANONIQUES DES IMMORTELS ET VA RENAÎTRE DANS LA CONTRÉE BIENHEUREUSE.– Le moine Donran lit et étudie l’art des immortels. Il rencontre Bodai, un moine qui le convertit avec le Sûtra de la méditation et lui dit qu’avec cette méthode, on obtient la délivrance après la mort. Donran se repent et brûle ses Livres canoniques des Immortels. Quand il sent qu’il va mourir, il brûle de l’encens et répète le nom de Bouddha. Après sa mort, une musique venue de l’ouest retentit dans l’espace avant de disparaître. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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