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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Voyageur | Traveller | Reisende | viajero | Viaggiatore
10 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0003 | TE001588 | Dominico Cavalca | Esempi [Varanini, Baldassari, 1993] : 23 | Un ermite dit à un compagnon de voyage qu’il a la bouche comme une porte toujours ouverte. | |
TC0004 | TE002852 | Jordanus de Pisis | Esempi : 200 | Le voyageur trop zélé. Un voyageur, arrivé à un carrefour, demande à un passant son chemin; mais par méfiance, il met à l’épreuve la véracité de l’information. | |
TC0131 | TE008305 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 189, 1-8 | CONSEIL DE PAUVRE HOMME. 1 Un voyageur transportait des fromages sur son cheval. 2 Un pauvre homme, voyant qu’il avait fait contrepoids avec des pierres, lui dit: "Mon bon monsieur, vous tuez votre cheval. 3 Otez ces pierres et mettez la moitié de vos fromages d’un côté, l’autre moitié de l’autre." Ce qu’il fit. 4 Alors le voyageur regarda le pauvre homme qui lui avait donné si bon conseil et lui dit: 5 Que Dieu me préserve de croire un homme aussi pauvre que toi. 6 Car si tu avais été vraiment intelligent, tu aurais été d’un autre avis." Et aussitôt il rechargea ses pierres. 7 Les sottes gens du monde considèrent un riche fou comme plus sage qu’un sage pauvre; et pourtant on a vu plus de sages pauvres que de sages riches. 8 Car c'est la sagesse suprême que d’être pauvre pour l’amour de Notre-Seigneur et de mépriser les richesses pour l’amour de lui qui les méprisa. | |
TC0131 | TE009058 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 111, 1-5 | LES DISCIPLES D'EMMAUS. 1/ Jésus apparut aux deux voyageurs parce qu’ils parlaient de sa mort et de sa résurrection. 2/ Il voulut montrer par là qu’il est avec tous ceux qui le louent en méditant et en parlant de lui et de sa bonté. 3/ Pendant qu’il était avec eux, il leur exposa quantité de belles choses de l’Ancien Testament et du Nouveau. 4/ Et vers le soir ils le prièrent de prendre gîte avec eux pour la nuit, et il accepta. 5/ Et comme il avait coutume de rompre le pain, ils le reconnurent quand ils le lui virent rompre, parce que le pain qu’il rompait était taillé comme au couteau. |
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TC0131 | TE007855 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 227, 1-17 | LE CHOIX DES CHEMINS. 1 Deux voyageurs dans un pays lointain demandent leur chemin. 2 Un brave homme pour les renseigner leur dit: "Il y a deux routes possibles, l’une à droite, l’autre à gauche. 3 Dans celle de gauche, il y a une lieue de bonne route, mais ensuite c'est fini: dans tout le reste du voyage, si long qu’il soit, il n'y en a plus de bonne. 4 Dans celle de droite il y a une lieue de mauvaise route, mais ensuite c'est fini: dans tout le reste du voyage, si long qu’il soit, il n'y en a plus de mauvaise." 5 Cela signifie que nous pouvons marcher vers la vie éternelle par deux voies, celle de droite ou celle de gauche. 6 La voie de gauche, c'est vivre en enfer sans mourir et mourir sans vivre et vivre et mourir tout ensemble pour l’éternité. 7 Mais elle comporte un petit bout de bon chemin, qui est vivre en ce monde selon la chair et satisfaire tous ses désirs, 8 en cherchant son plaisir, se vêtir avec élégance, rechercher honneurs, richesses et plaisirs passagers et vains qu’on peut trouver sur terre; 9 mais après la mort on a les souffrances éternelles comme on l’a déjà dit: c'est la voie de gauche, celle de l’enfer. 10 La voie de droite est celle de l’homme qui veut pour l’amour de Dieu éviter ce que l’Eglise défend, faire ce qu’elle commande 11 (c'est à dire observer les jeûnes commandés, sanctifier les fêtes, éviter le péché autant que possible et se confesser en cas de faute) 12 vivre donc dans l’obéissance de l’Eglise et distribuer aux pauvres son argent quand on en a plus que le nécessaire: c'est la voie de droite, celle du ciel. 13 Et après ce bout de chemin pénible si nous voulons le choisir, nous ne trouverons jamais rien qui nous soit pénible, mais nous aurons éternellement tous les biens que nous pourrons désirer. 14 Il faut donc être fou pour ne pas choisir cette voie de droite où il y a si grand profit et si peu de difficulté 15 qu’elle devrait être bien plus fréquentée que celle de gauche; en fait, elle l’est un peu moins, pour cette malheureuse lieue de bon chemin que l’on trouve tout de suite à gauche. 16 Cette voie de gauche d’ailleurs n'est pas si bonne qu’elle soit exempte de peines (que voulaient éviter ceux qui l’ont choisie) sans parler des difficultés et des remords de conscience. 17 Mais un fou n'a peur de rien jusqu’au moment où il est châtié. |
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TC0142 | TE018931 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 96 | Un voyageur mystérieux se manifesta plusieurs fois à un convers de Himmerod nommé Henri. Il paraissait connaître très bien la vie de l'ordre et était même au courant de ce que le convers avait discuté avec le prieur et d'autres personnes de son monastère. Une fois, quand le convers voulut lui offrir une tunique et une ceinture de la part du prieur, le voyageur refusa la tunique, mais prit la ceinture pour un certain moine à Eberbach et offrit, à son tour, une ceinture de laine au convers. Cette ceinture s’avéra avoir un pouvoir curatif. Le voyageur dit aussi que le prieur devait être plus vigilant et ne pas laisser les frères dormir lors des messes pour les défunts. |
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TC0157 | TE017505 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 166, p. 232, l. 17 – p. 234, l. 4 | Le neveu de Pierre Damien [Damien] rapporte cette histoire, qu’il a entendue de témoins dignes de confiance. Un Normand voyageait avec sur lui un certain nombre de pièces d’or. Mais il craignait pour sa sécurité, à cause des brigands. Un samedi après-midi qu’il hésitait à se mettre en route, le diable lui apparut sous l’habit d’un voyageur. Ils firent un marché : pour dix pièces d’or byzantines, ce voyageur lui servirait de guide. Le diable lui dit de se reposer d’abord avec son bagage, et qu’il viendrait le chercher dans la nuit. Mais dans la nuit, il le réveilla en fait déjà à destination, dans sa région natale. L’homme s’en aperçut et prit peur. Le diable lui donna rendez-vous le jeudi suivant pour être payé. L’homme s’en fut voir un prêtre qui l’aspergea d’eau bénite et lui conseilla de ne pas donner simplement ce qu’il devait au diable, mais de le lui jeter à la tête. C’est ce que fit le Normand – mais le diable lui reprocha d’être venu armé, dit qu’il n’osait pas s’approcher, et disparut. L’homme collecta donc les pièces restées à terre. Comme il retournait prendre conseil auprès du prêtre, celui-ci lui reprocha d’avoir repris les pièces. Mais puisqu’il l’avait fait, il lui conseilla de s’en servir pour faire construire un pont qui serait fort utile dans les environs. L’homme entreprit cela, mais chaque nuit, le diable défaisait ce que les artisans avaient construit durant le jour. Mais laissons les exemples de ce genre... Cet homme avait paru armé et dangereux au diable; c’est ainsi qu’il faut se parer de la parole divine. |
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TC0158 | TE016847 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 373 | Les deux mânavas interrogés sur l'époque où il fait froid.– Interrogés sur l'époque où il fait froid, deux voyageurs font des réponses différentes; d'après l'un, il fait froid quand il y a du vent; d'après l'autre, il fait froid en hiver et chaud en été. C'est le premier qui a raison. | |
TC0165 | TE018374 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 121, pp. 225-227 | Gérard, abbé d'Aulne, raconte à Herbert l'histoire du comte Philippe de Looz, mort quelques années plus tôt. Un jour, deux ans après sa mort, il apparaît à un de ses chevaliers sous l'apparence d'un voyageur. Reconnu par sa voix, Philippe dit qu'il est dans un lieu de souffrance. Il demande au chevalier de dire à sa femme de faire l'aumône, de prier et de construire l'hôpital pour les pauvres qu'il avait prévu de faire au cours de sa vie, mais plus grand et plus beau que ce qui était prévu. Peut-être espère-t-il ainsi obtenir la miséricorde divine. Pour prouver la vérité de la vision, il indique la somme d'argent qu'il avait prévu de dépenser pour dorer l'autel du Saint-Sépulcre, somme dont seule sa femme avait connaissance. Le chevalier parle à la comtesse et le jour prévu, il revient avec l'abbé de Villers et le chapelain. En entendant un bruit terrible, ils font le signe de croix. Philippe apparaît et leur dit de ne pas s'approcher à cause du feu qui le consume. Après avoir chevauché avec eux pendant quelque temps, Philippe, qui chevauchait jusqu'ici en ligne droite sans craindre les obstacles, disparaît soudainement, provoquant l'étonnement et la tristesse des autres. |
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TC0165 | TE018282 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 42, pp. 81-85 | Un adolescent allemand de 14 ans s'arrête à Clairvaux, sur la route de Paris. Son professeur, dès qu'il voit le lieu et les moines, décide d'entrer dans l'ordre cistercien et l'invite à faire de même. Mais le jeune homme, hostile aux Cisterciens (et qui prie même Dieu de ne jamais lui donner envie d'entrer dans cet ordre), s'obstine à refuser. Cette nuit-là, il fait un rêve dans lequel on lui dit qu'il mourra s'il va à Paris ; le lendemain, il fait un autre rêve dans lequel il se trouve plongé dans laboue d'un puits, avec saint Jean et un autre saint qui lui apparaît sous la forme de saint Bernard et de Gérard, le portier du monastère. Le jeune homme leur promet de devenir moine. Il est libéré du puits et le lendemain il est accueilli par Saint Bernard dans l'ordre, où il reste, malgré le fait que son maître (ayant changé d'avis) tente de l'en détourner. Un confrère voit le Christ descendre de la croix pour embrasser l'adolescent, et raconte sa vision à Herbert. Une autre fois, le jeune garçon rêve qu'il entre dans une pièce où se trouve le Christ crucifié avec sa mère et saint Jean sur le côté. L'odeur de cette pièce l'accompagne pendant trois jours. Un jour, il entend l'harmonie des voix angéliques, ce qui le comble de bonheur pendant longtemps, même après que le son ait disparu de ses oreilles. Un jour de Pâques, alors que la résurrection est célébrée dans le chœur, il a une vision du Christ lui montrant ses mains percées de clous, sur lesquelles il pleure de joie, ne sachant pas que la vision lui est réservée. Dans sa vision la plus importante, un jour de Pentecôte, il voit la Trinité, mais il ne peut l'expliquer avec des mots. Après 26 ans à Clairvaux, le moine décède. Ce n'est qu'à ce moment-là qu'Herbert peut divulguer les visions que le moine lui a racontées. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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