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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Marchand | Merchant | Kaufmann | Mercader | Mercante
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001353 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 28, 3 | Le petit Achaz évite le contact de l’argent et de l’or. Son père reçoit des marchands qui, très étonnés de voir l’enfant porter l’habit franciscain, cachent de l’argent au fond d’un verre de vin qu’ils lui donnent à boire. Découvrant l’argent, l’enfant horrifié s’évanouit; il est réconforté par un prêtre. | |
TC0001 | TE001331 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 20, 2 | Un marchand d’Orient donne sa femme préférée à son ami chrétien; ce dernier la fait baptiser et l’épouse. Des années plus tard, le même chrétien s’accuse lui-même à la place de son ami oriental injustement condamné à mort. Le véritable criminel se dénonce au dernier moment. | |
TC0003 | TE001696 | Dominico Cavalca | Esempi [Varanini, Baldassari, 1993] : 81 (2) | Paphnuce a la révélation suivante : un voleur, un noble et un marchand ont autant de mérite que lui. | |
TC0003 | TE001571 | Dominico Cavalca | Esempi [Varanini, Baldassari, 1993] : 11 | Conseil de saint Jean l’Aumônier à un marchand pour éviter à son fils de tomber dans le péché. | |
TC0004 | TE002825 | Jordanus de Pisis | Esempi : 180 | Le négoce : les paroles à double sens. Les marchands prononcent des paroles à double sens, qui sont plus frauduleuses que les mensonges eux-mêmes. | |
TC0004 | TE002699 | Jordanus de Pisis | Esempi : 71 | Saint Nicolas et le juif trompé. Un marchand trompe son créancier, un juif, en lui restituant l’argent caché dans un bâton creux; Dieu le punit comme parjure. | |
TC0004 | TE002813 | Jordanus de Pisis | Esempi : 170 | Fourberie et fausseté des marchands. Les marchands, bien qu’ils utilisent les séchoirs pour allonger les étoffes, menacent d’excommunication les ouvriers. | |
TC0010 | TE000919 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 197, 3 | Saint François et saint Denis donnent leur manteau à ceux qui s’en allaient vendre des agneaux. | |
TC0010 | TE000925 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 207, 1 | Les pécheurs sont des fils de la cruauté, tandis que les apôtres sont des fils de la miséricorde. Le diable a sept filles : la fraude, l’usure, le rapt, la simonie, l’hypocrisie, l’orgueil, et la luxure. Il a marié chacune des six premières à une catégorie particulière d’hommes : les marchands, les bourgeois, les chevaliers, les clercs, les religieux, les femmes; et il a marié la luxure à tous sans distinction. |
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TC0010 | TE000866 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 99, 2 | Mieux vaut placer son trésor au ciel. Un riche marchand se convertit brusquement et ne garda pour tout bien qu’une maison. À un confrère qui s’en étonnait, il prétendit qu’il avait utilisé tout son argent pour d’excellentes affaires. Celui-ci lui confia à deux reprises cent livres, qui furent aussitôt distribuées en aumône. Mais, ne voyant rien venir, il le fit citer en justice. La nuit précédant le procès, le marchand qui l’avait accusé se vit en songe devant un juge qui devait le condamner à mort, et il ne devait son salut qu’à l’argent donné aux pauvres. À son réveil, il annula le procès, donna tous ses biens, et fut sauvé. | |
TC0011 | TE002895 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 24a-b | La colombe est le symbole de la luxure, le changeur, celui de l’avarice, le boeuf, de l’orgueil et le mouton, celui de l’acédie. Ceux qui vendent des colombes représentent les clercs simoniaques, les changeurs les marchands avares, les boeufs les grands et les prélats orgueilleux et les moutons, les religieux hypocrites. |
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TC0020 | TE003572 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 47 | Le faucon choyé de son vivant est jeté au fumier une fois mort (47a). La poule, vivante, gratte le fumier; morte, elle est sur la table des rois (47b). Un roi fait faire deux coffres, l’un décoré d’or et d’argent mais rempli de matières puantes et d’ossements humains, l’autre fait de bois pourri mais rempli de perles. Le roi demande à des chevaliers de choisir un coffre, ils choisissent le plus beau (47c). |
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TC0020 | TE003834 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 309 | Un vendeur de chevaux fait des déclarations ambivalentes au sujet des chevaux qu’il vend. Si le cheval évolue mal, il dit qu’il avait prévenu de ne pas l’acheter et si le cheval se révèle être bon, il affirme avoir bien conseillé de l’acheter. | |
TC0020 | TE003717 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 192 | Certains trichent sur le poids de l’or en y adjoignant du vif-argent. | |
TC0021 | TE004188 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 210 | Constantin fait graver la croix du supplice des voleurs sur la monnaie des commerçants. | |
TC0021 | TE004187 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 209 | Saint Jean l’Aumônier fait la charité à un armateur qui a perdu tous ses biens, car il s’y trouvait du bien mal acquis; par la suite ses affaires prospèrent. |
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TC0028 | TE005043 | Federicus Visconti | Sermons et visite pastorale [dir. Bériou, 2001] : Sermo 40 §16-17, p. 653-654 | Un marchand qui devait s’embarquer à Pise pour ses affaires en est empêché par un accident de cheval qui lui brise la jambe. Son épouse, qui avait fait chanter une messe à son intention, se répand en récriminations, jusqu’à ce qu’elle apprenne I'arraisonnement du bateau par les Sarrasins, auquel le marchand a ainsi échappé. |
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TC0028 | TE005054 | Federicus Visconti | Sermons et visite pastorale [dir. Bériou, 2001] : Sermo 81 §7, p. 945 | Saint Sabas dissuade ses moines d’aller chercher leur nourriture au lieu de prier, alors que la disette sévit pendant la semaine sainte; des marchands de la ville leur apportent le nécessaire. |
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TC0030 | TE005346 | anon. | Libro de los Gatos [Darbord, 1984] : 26 | Un comte a pour habitude de détrousser les marchands. Ceux-ci décident de se défendre. Le comte et les siens se déguisent alors en cisterciens. Les marchands, sans méfiance, se font prendre et tuer. |
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TC0031 | TE005525 | Odo Cluniacensis | Collationes libri tres : Livre III, chapitre 34, col. 616 B - 617 A | Près de l’église de Saint-Aventinus en Auvergne, des marchands sont attaqués par des cavaliers qui leur volent leurs porcs. Les cavaliers sont punis par des châtiments divins. | |
TC0033 | TE006111 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 250 | L’INTERET DU METIER DE MARCHAND. Un comte de Poitiers voulut tâter de tous les métiers. Il dit pour finir préférer à tous les autres le métier de marchand dans les foires car on leur donne tout ce qu’ils veulent et ils vivent dans le luxe; mais à la fin, tout leur est compté et celui qui ne s’acquitte pas de sa dette est retenu prisonnier jusqu’à ce qu’il l’ait payée. | |
TC0034 | TE006311 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 100 | Un marchand dont la fortune provient du commerce maritime redoute tant de perdre son bien qu’il en perd le boire et le manger tant que les navires ne sont pas au port. | |
TC0102 | TE017972 | : test to delete | |||
TC0105 | TE012964 | anon. | Tombel de Chartrose [Sulpice, 2014] : 30 | Dans les plus lointains déserts d’Egypte, en la cité de Racles, vit un moine, saint Antoine. A sa mort, lui succède saint Panuce, abbé. Son esprit est entièrement dévoué à la contemplation : soit il étudie, soit il est au couvent, soit il passe son temps en solitude. Un jour, où il prie Dieu, celui-ci lui montre à quel saint il ressemblerait au règne des cieux. Un ange intervient et lui dit qu’il sera comme un jongleur. Très étonné, il se demande comment un tel ménestrel peut courir aux marchés et aux foires et passer du temps en son abbaye. Il décide d’en rencontrer un et de lui poser la question. Ce dernier lui répond qu’il ne mène pas une vie charitable car il est voleur. Alors Panuce lui demande s’ils font oeuvre de piété entre voleurs. Il lui dit que non. Mais le voleur raconte comment il sauva une pucelle et comment une autre fois il en trouva une égarée à qui il donna trois sous. Panuce emmène le voleur dans son abbaye et l’éduque à la vie sainte. Ils continuent leurs bonnes oeuvres, comme distribuer du pain aux pauvres, et au cours d’un voyage, saint Panuce enseigne au voleur comment se défendre de la tentation. Une fois encore, Panuce a une vision où il voit un ange porter son âme au paradis et lui dire en chantant : « tu es semblable à un marchand qui apporte sa riche marchandise au royaume des cieux ». Panuce quitte alors son cloître et part à la rencontre d’un marchand né en Alexandrie qui devait vendre de la nourriture. Il le convainc de tout distribuer aux pauvres et c'est ce qu’il fit. Lorsque saint Panuce meurt, un ange apparaît. | |
TC0106 | TE015910 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 171 | L’INTÉRÊT DU MÉTIER DE MARCHAND. Un comte de Poitiers dit préférer à tous les autres le métier de marchand dans les foires car on leur donne tout ce qu’ils veulent; mais à la fin, tout leur est compté et celui qui ne s’acquitte pas de sa dette est retenu prisonnier jusqu’à ce qu’il l’ait payée. | |
TC0123 | TE007024 | anon. | Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005] : 91 | Un chevalier criminel, qui n’acceptait aucune forme de pénitence, finit par consentir, sur les instances de sa femme, à aller trouver un prêtre. Mais celui-ci, voyant qu’il n’envisageait ni pèlerinage ni jeûne, lui déclara qu’il était perdu. Irrité, le chevalier le tua. Sa femme ne se résigna pas et l’envoya auprès de l’évêque. Ce dernier, après avoir hasardé en vain plusieurs propositions de pénitence, lui demanda enfin, comme par boutade, s’il serait seulement capable de passer une nuit en silence dans une église. Le chevalier prit la proposition très au sérieux, et l’évêque lui promit le salut s’il y parvenait. On enferma le pénitent dans une église. Une foule de démons se présenta à lui, sous l’apparence de ses serviteurs, et lui annoncèrent que ses ennemis avaient envahi ses terres. Comme il restait silencieux, ils reprirent leur véritable apparence et tentèrent de l’acculer au désespoir en lui faisant valoir que sa pénitence était insuffisante pour assurer son salut; puis ils se déchaînèrent contre lui, en vain. Une seconde fois, il se présentèrent sous l’aspect de marchands, qui lui offraient de grands biens pour racheter ses possessions. Enfin Satan lui-même apparut, se faisant passer pour l’évêque et le félicitant de son courage. Mais ne l’ayant pas vu tracer le signe de croix, le chevalier, méfiant, ne prononça pas une parole. Il fut enfin libéré au matin par l’évêque, accepta de faire pénitence et se convertit à la vie religieuse. |
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TC0123 | TE007107 | anon. | Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005] : 164 | En Aquitaine, un marchand de viande qui jurait souvent par la langue de Dieu fut tué dans une rixe, et sa langue s’allongea démesurément hors de sa bouche. Son corps fut dévoré par les chiens, tandis que ceux de ses compagnons, tués en même temps que lui, furent épargnés. | |
TC0131 | TE008931 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 047, 4 | LES MARCHANDS DU TEMPLE. 4/ On ne doit ni vendre, ni acheter, ni payer, ni réclamer ses dettes, ni tenir aucune conversation profane dans une église pendant la messe ou un autre office. |
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TC0131 | TE008428 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 254, 1-4 | LE PANIER DU COLPORTEUR. 1 Ceux qui ont l’administration des biens temporels sont comme le panier du colporteur, 2 qui est couvert d’une grossière peau de veau, mais contient une riche marchandise. 3 C'est donc sottise de désirer les responsabilités, car les administrateurs ont plus de travail que les administrés 4 et sont souvent en plus grand danger d’âme et de corps: ce n'est pas le plus grand travail qui produit le plus de profit. | |
TC0131 | TE008572 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 487, 1-7 | SAINT MARTIN FAIT L’AUMONE A UN DIABLE. 1/ Saint Martin donna un denier à un pauvre qui s’écria: "Hé, maudit archevêque, à qui as-tu donné ton denier? 2/ Saint Martin répondit: "Je l’ai donné pour l’amour de Dieu à un pauvre, et c'est ce que tu es. - Tu l’as donné à un diable et c'est ce que je suis." 3/ Alors saint Martin leva les yeux au ciel et vit la main de Dieu qui tenait son denier. Il répondit au diable qu’il avait donné son denier non pas à lui, mais à Dieu. 4/ Comprenons que si celui à qui on donne n'est pas juste, celui pour qui on donne est juste. 5/ Si on envoie à un personnage un beau cadeau par un mauvais messager, le cadeau lui fait autant de plaisir quand il le reçoit. 6/ Les marchands ne donnent pas tant leurs marchandises pour l’amour des acheteurs que pour l’amour de l’argent qu’ils en reçoivent. 7/ Les pauvres sont les marchands que Dieu a établis, à qui les riches peuvent acheter le paradis avec les aumônes qu’ils leur donnent. |
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TC0131 | TE008176 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 728, 1-7 | LE LION DE SAINT JEROME. 1/ Un lion se présenta devant saint Jérôme, dans un couvent de moines où il était, avec l’air de se chercher un maître. 2/ Saint Jérôme lui confia un âne à mener au bois et en pâture. 3/ Les marchands d’une caravane de chameaux lui volèrent son âne pendant qu’il dormait. 4/ On le soupçonnait de l’avoir mangé. Mais tous les jours il allait à l’endroit où il l’avait perdu, jusqu’au jour où il entendit les marchands qui revenaient avec son âne. 5/ Il les amena malgré eux à l’abbaye avec leurs marchandises. 6/ Les marchands demandèrent pardon à genoux à saint Jérôme. 7/ Ils versèrent une rente à l’abbaye sur leurs biens pour l’amour de Dieu et en expiation de leur vol. |
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TC0131 | TE008294 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 173, 1-7 | LES MARCHANDS DE HARENGS. 1 Dieu agit comme ceux qui vendent du hareng frais : ils veulent être payés avant de livrer leurs harengs. 2 En effet il ne nous donnera pas son paradis si nous ne l’achetons d’abord par la pénitence, avec le secours de sa grâce. 3 Et le diable ressemble à celui qui vend du hareng puant : il le donne volontiers à crédit pour s’en débarrasser. 4 Il écoule mieux sa marchandise que ne fait Dieu. Car Dieu "point" (= pique) et ensuite "oint" (= applique un baume), et le diable "oint" et "point". 5 C'est pourquoi certains s’y laissent prendre, car son service est plus agréable, leur semble-t-il, pour le moment. 6 Mais Dieu veut que nous nous donnions du mal pour avoir le repos. 7 Et le diable veut que ses serviteurs prennent un peu de repos avant d’arriver aux supplices éternels. | |
TC0137 | TE012883 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 398 | S’il ne restitue pas l’excès, l’avare ne prospère pas. L’abbé de Saint-Pantaléon de Cologne confia à un frère marchand l’argent du monastère qui, l’ajoutant au sien, s’enrichit. Mais le marchand fit aumône au monastère avec l’argent excédentaire, tandis que l’abbé retint toute sa part du gain pour lui. Le marchand charitable s’enrichit, tandis que l’abbé resta pauvre et continua à pécher. |
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TC0137 | TE012672 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 187 | De quelle manière Dieu fournit même de l’argent à ses amis. Un couvent en Provence n’avait plus de moyens de subsistance. Un marchand s’y rendit et donna 100 livres en pièces pour des suffrages en faveur d’un ami mort en Grèce. | |
TC0137 | TE012711 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 226 | Un perfide maréchal-ferrant. Un maréchal-ferrant ferrait les chevaux de manière à ce qu’ils boîtent; il envoyait ensuite au propriétaire du cheval un de ses associés pour lui acheter le cheval à bon prix. Le cheval rapporté au maréchal-ferrant était ferrer correctement et ensemble ils gagnaient beaucoup d’argent aux dépens des voyageurs. | |
TC0137 | TE012842 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 357 | L’argent restitué de façon miraculeuse. Un homme de Byzance voulait agrandir sa renommée et commença à faire des donations, mais rapidement il fut à court d’argent. Il emprunta de l’argent à un juif, laissant comme gage sa foi dans le Christ sous la forme d’une image. L’homme se rendit avec l’argent obtenu à l’étranger pour faire du commerce et réussit à gagner ce qu’il avait perdu. Le jour convenu pour restituer l’argent, l’homme se trouvait encore loin de Constantinople et, confiant en Dieu plaça l’argent dans un coffre et le mit à la mer. Le coffre arriva par miracle en un seul jour près de la maison du juif. Quand l’homme revint au pays, le juif demanda la restitution de l’argent. L’image de la Bienheureuse Vierge révèla que l’argent se trouvait dans un lieu précis dans sa maison. Le juif se convertit alors avec toute sa famille. |
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TC0137 | TE012493 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 31 | Un aveugle ne veut pas payer pour la lumière parce qu’il ne voit pas. Un aveugle se joint à des marchands, mais au moment de partager le coût d’un dîner, refuse de donner sa part pour la lumière, de laquelle il dit n’avoir pas profité. | |
TC0138 | TE020066 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 927 | Sagacité du serviteur d'un marchand échoué en pays sarrasin. | |
TC0138 | TE019236 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 181 | Tribulations de la chaste fille de l'empereur de Constantinople et d'un marchand toulousain. |
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TC0138 | TE019381 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 326 | Le voleur pris pendent qu'il contemplait trop longuement des trésors. | |
TC0138 | TE019356 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 301 | Un âne brutalisé préfère ses tribulations à la mort. | |
TC0138 | TE019838 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 696 | L'argent mal acquis jeté à la mer par un singe. | |
TC0138 | TE019839 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 697 | Ruse d'un marchand de chevaux. | |
TC0138 | TE020164 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 742A | Une épouse réconforte son mari ruiné par le paroles de Job: Dieu a donné, Dieu a repris. | |
TC0138 | TE019684 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 542 | Le marchand et le voleur. | |
TC0138 | TE019848 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 706 | Exemples d'actes miséricordieux accomplis par des hommes méprisables: Paphnuce trouve son égal. |
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TC0138 | TE019876 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 734 | Le marchand qui se fait voler son âne sans s'en apercevoir. | |
TC0138 | TE019123 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 68 | Un marchand d’Égypte ruiné se rendit à Bagdad pour chercher l'aide de son ami, lui aussi marchand. Des hommes qui recherchaient un meurtrier l’arrêtèrent et désespéré il se laissa condamner sans détromper les juges. Le marchand de Bagdad, découvrant que l'accusé était son ami, vint s'accuser lui-même du crime pour le sauver. Alors le véritable coupable, plein de remords, se livra à la justice. |
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TC0138 | TE020211 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 915B | Le savetier d'un monastère revient de la foire du blé après une fructueuse transaction commerciale. | |
TC0138 | TE019863 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 721 | Marchand transporté miraculeusement chez lui grâce à sa dévotion pour la messe. | |
TC0138 | TE019840 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 698 | Preuve par le feu de la malhonnêteté d'une marchande. | |
TC0138 | TE019841 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 699 | Un comte envie l'existence des marchands. | |
TC0138 | TE020154 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 697A | Les marchands qui refusent de se parjurer finissent par s'enrichir. | |
TC0138 | TE019689 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 547 | L’honnête marchand accusé de vol par un voleur. | |
TC0138 | TE019598 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 474 | Le marchand de Bordeaux et la jeune fille d'Alexandrie. |
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TC0138 | TE019600 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 476 | La générosité d'un marchand confond un roi. | |
TC0139 | TE013222 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 60, p. 37 du texte hébreu | Zophnat, fille du grand-prêtre Paniel est prise en esclavage. Elle était célèbre pour sa beauté. Le marchand, à la demande d’un acheteur potentiel, l’oblige à ôter ses vêtements. Arrivée au dernier vêtement, Zophnat le déchire elle-même et déclare à l’acheteur : " Non seulement je suis la plus belle femme au monde, mais je suis la fille du grand-prêtre !" . C'est sur elle qu’il est dit dans Osée II,5 : " de peur que je ne la déshabille à nu." | |
TC0139 | TE013226 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 64, p 39 du texte hébreu | Une question épineuse de droit juif fut soulevée entre les rabbins. Ceux-ci décidèrent de consulter Rabbi Akiba en prison. Ils envoyèrent un rabbin, R. Johanan b. Nuri, déguisé en marchand d’épices, qui faisait le tour de la prison en criant et vantant les mérites de ses épices, et introduisait parmi ses cris la question juridique de telle façon que Rabbi Akiba l’entende et le comprenne. Les autres pensaient qu’il s’agissait de noms d’épices. Et effectivement, R. Akiba le comprit et lui donna la réponse à sa question. | |
TC0139 | TE013160 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 2a, p. 2 du texte hébreu | Nemrod se déclare un dieu et construit une tour en pierre; il y place sept trônes l’un sur l’autre, en cèdre, en fer, en cuivre, en argent, en or et en pierres précieuses . Lorsqu’on lui apprend la nouvelle de la naissance d’Abraham, il tente de se saisir de l’enfant. Térach son père le cache dans une grotte. Abraham grandit et retourne chez lui. Son père est marchand d’idoles. Abraham réussit à persuader les clients de son père de l’inanité des idoles, puis les détruit à la hache. Il dépose la hache dans la main de la plus grande idole et raconte à son père qu’elle a détruit les autres. Térach, furieux, le dénonce à Nimrod. |
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TC0140 | TE013685 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Prediche della primavera 1425 (Siena, chiesa di S. Francesco e Piazza del Campo, 20 aprile-10 giugno), XIX, 2. | Un marchand vend les jours de fête, affirmant gagner plus que les autres jours. Un homme soutient le contraire et l’invite à mettre les gains des jours de travail dans un coffret et ceux des jours de fête dans un autre coffret. A la fin, quand on ouvre ce dernier coffret, on y trouve que du charbon. | |
TC0140 | TE013746 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Prediche della primavera 1425 (Siena, chiesa di S. Francesco e Piazza del Campo, 20 aprile-10 giugno), XXXVIII, 3. | Le Christ chassa les marchands et les usuriers qui avaient envahi le temple de Jérusalem, profanant ainsi un lieu de prière. | |
TC0140 | TE013410 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Predicazione della quaresima 1424 (Firenze, S. Croce, 8 marzo-3 maggio), X, 1. | Un marchand passe toute son existence à accumuler des biens sans réaliser qu’il ne pourra en jouir que pour un temps très court, alors que les biens de la gloire céleste sont éternels. | |
TC0142 | TE018895 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 57 | René, le chanoine de Saint André de Cologne (puis moine à Heisterbach), demanda à deux marchands de lui apporter de Norvège une peau d'ours blanc pour la placer comme tapis devant l'autel de saint André. Lors du retour des marchands, leur bateau fut surpris par une forte tempête. Ils prirent alors la peau et la dressèrent vers le ciel. La tempête s'apaisa. |
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TC0142 | TE018705 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 31 | A Duisburg, une marchande de bière se fit un rempart contre la progression de l'incendie avec les justes mesures dont elle se servait. Le feu épargna sa maison. | |
TC0142 | TE018892 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 53 | Un marchand allemand en voyage en Terre Sainte vit un bras de Jean-Baptiste conservé dans l'Hôpital Saint-Jean. Sachant que le gardien des reliques avait une relation avec une prostituée, le marchand approcha la femme et lui promit une somme importante d'argent si elle persuadait son amant de vendre la relique. La femme réussit à le faire. Le marchand s’installa à Groningue et cacha la relique dans sa maison. La possession du bras de Jean-Baptiste favorisa ses affaires. Un jour, un grand incendie se déclara dans la ville. On avertit le marchand mais il ne se fit pas de souci, en disant qu'il avait un bon gardien. Son secret fut vite dévoilé et les citoyens s’emparèrent de la relique, la mirent en châsse et la déposèrent dans l’église. Pour protéger le bras précieux, ils construisirent une maisonnette en bois derrière l'autel, où le prêtre pouvait dormir. La première nuit la maisonnette bougea comme par un tremblement de terre, et la deuxième nuit le prêtre fut jeté dehors. Un riche citoyen de Groningue tomba malade et demanda d'apporter la relique dans sa maison. Il trouva le bras couvert de sang récent. Le prêtre, en effet, en avait coupé secrètement un morceau, mais n'avait pas pu l'emporter car ce morceau était devenu chaud comme un charbon. Orale : Haec [le prêtre] mihi ore suo retulit. |
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TC0142 | TE017979 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : III, 46 | Un confesseur interroge une femme qui ne se trouvait aucun péché. Il réussit à la faire avouer qu'elle trichait, mentait et se parjurait dans son commerce, puis il lui explique qu'il s'agit de péchés mortels. La femme, terrifiée, accepte la pénitence. | |
TC0142 | TE017969 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : III, 36 | L'argent que l'abbé du monastère Saint-Pantaléon à Cologne donnait à son frère marchand n'améliore pas son commerce, mais l'appauvrit. Le marchand révèle tout à son confesseur. Celui-ci dit qu’utiliser l’argent du monastère pour commercer c’était du vol et que le marchand doit vivre uniquement de son bien et rembourser le monastère avec la moitié de son gain annuel. En peu de temps il retrouve la richesse. |
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TC0146 | TE014273 | Petrus Alfonsi | Disciplina clericalis [Leone, 2010] : XXXI Exemplum de opilione et mangone | Un berger rêve de posséder mille moutons. Il rêve qu’un marchand lui offre un prix que le berger, cependant, juge dérisoire. Les deux hommes se disputent; le berger lui demande une somme qui lui semble plus appropriée. Au beau milieu de la dispute, le rêve s’évanouit et le berger se réveille en criant au marchand de prendre tous ses moutons pour un prix plus bas. | |
TC0146 | TE014266 | Petrus Alfonsi | Disciplina clericalis [Leone, 2010] : XXIV Exemplum de latrone et radio lunae | Un voleur, ayant l’intention de voler, monte sur le toit de la maison d’un homme riche. Ce dernier, s’étant rendu compte de la présence de l’homme, invite sa femme à voix basse à lui demander quel est le secret de sa fortune. La femme fait comme son mari lui avait indiqué. Après quelques hésitations, l’astucieux propriétaire confesse à sa femme qu’il s’est procuré ses biens grâce à un vol; il ajoute, de plus, connaître une formule magique qui, prononcée sept fois de suite, lui permet de descendre habilement des maisons qu’il entend dérober en se tenant à un rayon de lune. Puis, le méfait commis, lui dit-il encore, il a l’habitude de remonter sur les toits des maisons toujours grâce au même stratagème. Le voleur, finalement persuadé par le récit de l’homme, prononce sept fois la formule magique et s’accroche à un rayon de lune, convaincu de pouvoir l’utiliser comme si c?était une échelle magique. L’exemplum se termine par la chute vertigineuse du voleur trop crédule du sommet du toit de la maison. | |
TC0146 | TE014268 | Petrus Alfonsi | Disciplina clericalis [Leone, 2010] : XXVI Exemplum de duobus fratribus et regis dispensa | Un homme, entré dans les grâces du roi, avait pris un rôle de première importance dans l’administration du royaume. Son frère, un riche marchand d’un autre pays, se réjouissant de l’honneur qu’il avait acquis, décide de lui rendre visite. Quand le roi vient à apprendre que le frère de son ministre est arrivé dans son royaume, il lui propose de partager avec lui toutes les charges du royaume, dont la gestion des biens du souverain, en plus de beaucoup de bénéfices et de richesses considérables; dans le cas où l’homme aurait voulu retourner chez lui, au contraire, il lui promet de toutes façons des dons magnifiques. Ayant entendu le discours du roi, le frère rencontre son frère et lui énumère tout ce que le seigneur lui avait promis. Le frère, en retour, veut savoir à combien s’élèvent les dépenses du roi. Après avoir effectué de rapides calculs, le marchand comprend que les entrées égalaient les dépenses, et il comprend alors que s’il restait là, en cas de guerre, il risquerait d’y laisser son propre patrimoine. Ainsi, sans tarder, il s’en retourne dans son pays. | |
TC0155 | TE016305 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 183 | Selon le conseil de leur père spirituel, deux marchands de Cologne cessent de jurer et de mentir aux clients. Au début, ils s’appauvrissent, mais peu de temps après, Dieu les récompense pleinement et accroît leurs richesses. ~ | |
TC0155 | TE016365 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 243 | Un marchand de Ravenne, connu de Pierre Damien, lui promet d’entrer au monastère avec lui et lève la main en serment. Il a portant rompu sa promesse. Quelque temps après, dans un combat, il se fait couper cette même main. Ainsi mutilé, il entre finalement en religion. | |
TC0158 | TE016728 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 278 | Les trafiquants dont le chameau est mort.– Deux marchands se servent d'un tapis magnifique pour préserver de la pluie une peau de chameau sans grande valeur. | |
TC0158 | TE016700 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 250 | Les marchands qui tuèrent leur guide pour faire un sacrifice à une divinité.– Des marchands tuent leur guide pour sacrifier à un dieu qui exige une victime humaine; ils perdent leur route et meurent. | |
TC0158 | TE016461 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 35 | L'oncle qui refuse et le neveu qui accepte d'échanger ses perles contre un bassin en or.– L'oncle du Bodhisattva déprécie le bassin en or d'une veuve qui veut l'échanger contre des perles parce qu'il espère l'acquérir plus tard à bon compte; le Bodhisattva, dans sa condition de marchand, reconnaît la valeur de l'objet et donne en échange toutes ses perles. L'oncle court après son neveu pour obtenir de lui le bassin en or et dans l'excès de son émotion meurt en crachant le sang. Ainsi l'avidité peut être une cause de malheur. | |
TC0158 | TE016464 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 37 | Les marchands séduits par les femmes-démons et ramenés dans leur patrie par le cheval divin.– 1er récit.– Des marchands séduits par de belles femmes restent auprès d'elles en lointain pays; l'un d'eux, le Bodhisattva, s'aperçoit que ces femmes sont des démons; il parvient à être sauvé avec ses compagnons grâce à un cheval divin qui les ramène dans leur patrie.–2e récit.– Dans le cycle des naissances et des morts, la femme du Buddha devient la fille du brahmane Mâkandika; celui-ci offre vainement au Buddha sa fille, remarquablement belle, en mariage (cf. n° 59). |
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TC0158 | TE016458 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 32 | Le Bodhisattva, le marchand et les corbeaux.– Le Bodhisattva, dans la condition d'un homme du peuple, comprenait le langage des animaux. Engagé par un marchand pour porter ses bagages, il entend des corbeaux croasser : « Tuez cet homme pour prendre ses perles », et il se met à rire. Interrogé sur la cause de son hilarité, il explique sa conduite au marchand et le convainc de la supériorité de la religion bouddhique. | |
TC0158 | TE016909 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 403 [D] | Le démon et les marchands qu'il a privés d'eau.– Un démon engage des marchands à jeter la provision d'eau dont ils sont chargés et les fait mourir de soif dans le désert. | |
TC0158 | TE016920 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 404 [I] | Le jeune homme qui prépare un banquet pour des religieux.– Un jeune homme qui a préparé un repas somptueux pour des religieux se le voit refuser; il l'offre à cinq cents marchands qui le récompensent. | |
TC0158 | TE016459 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 33 | Le Bodhisattva abandonné sur un radeau par ses compagnons.– Le dieu de la mer persuade au chef des marchands d'abandonner le Bodhisattva pour mettre fin à un calme plat qui immobilise son bateau depuis sept jours. On l'abandonne sur un radeau. Le bateau fait naufrage et le Bodhisattva seul est sauvé. | |
TC0158 | TE016498 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 71 | Sûtra de Maitreya ayant un corps de femme.– Çakra, qui n'est autre que le Bodhisattva, explique à une femme pourquoi les bizarreries des transmigrations ont provoqué son rire à plusieurs reprises. Lui-même n'est pas reconnu par cette femme lorsqu'il se présente à elle sous la forme, non plus d'un marchand, mais d'un miséreux. |
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TC0158 | TE016466 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 39 | Sûtra de Mi-lan (Maitrakanyaka), l'homme insatiable.– Mi-lan étant allé en mer avec cinq cents marchands échappe seul au naufrage; il arrive successivement dans une ville d'argent où il est reçu par quatre femmes, dans une ville d'or par huit femmes, dans une ville de cristal par seize femmes, dans une ville de vaidûrya par trente-deux femmes. Il arrive enfin dans une ville de fer où une roue brûlante se pose sur sa tête. |
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TC0158 | TE016942 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 410 [C] | Conversion de cinq cents Nirgranthas et de cinq cents marchands.– Cinq cents Nirgranthas, désespérés de ce que le Buddha a triomphé de leur maître, veulent se tuer; ils sont convertis. Un marchand jette à la mer ses joyaux pour sauver ses compagnons en péril de faire naufrage; ses joyaux lui sont rendus par un dieu de la mer; il en fait des largesses, entre en religion et ses compagnons suivent son exemple. |
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TC0158 | TE016756 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 306 | Celui qui goûtait les mangues.– Un notable donne de l'argent à un autre homme pour qu'il aille lui acheter des mangues. Il lui recommande de prendre les fruits doux et beaux. Pour s'assurer qu'ils le sont, le commissionnaire les goûte tous. Quand le notable les reçoit, il refuse de les manger et les fait jeter. | |
TC0158 | TE016998 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 456 | Le puits d'Anâthapindada.– Des marchands qui ont fait naufrage retrouvent dans le puits d'Anâthapindada les caisses d'objets précieux qu'ils ont perdues en mer; Anâthapindada leur explique que, par un effet de ses actes de vertu antérieurs, les objets précieux qui ont été perdus accourent dans son puits. | |
TC0158 | TE016630 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 186 | Les cinq cents marchands qui invoquent le Buddha.– Cinq cents marchands, qui sont sur le point d'être dévorés par le poisson makara, sont sauvés parce qu'ils invoquent le nom du Buddha. | |
TC0158 | TE016432 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 8 | Le Bodhisattva, précipité dans un puits, sauve ses agresseurs condamnés .– Un maître de maison, nommé Sien-t'an, se ruine en libéralités; pour refaire sa fortune, il va sur la mer; mais au retour ses compagnons, pour lui ravir ses joyaux, le précipitent dans un puits; il réussit à s'en échapper; de retour dans son pays, il reçoit de grandes richesses des marchands, ses compagnons, qu'il a sauvés du châtiment en intercédant pour eux auprès du roi. | |
TC0158 | TE016976 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 434 | La tortue gigantesque.– Une tortue gigantesque s'étant endormie près du rivage de la mer, des marchands abordent sur son dos qu'il prennent pour une colline; ils allument du feu afin de préparer leur repas; quand la tortue sent la brûlure de la flamme, elle plonge dans la mer et toute la caravane est noyée (cf. t, III, p. 29). | |
TC0158 | TE016790 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 337 | Histoire de Kotikarna.– Origine de son nom; Kotikarna devient un chef de marchands; au retour, abandonné par ses compagnons il s'égare et arrive à la ville des démons affamés, puis à la ville des démons altérés; il voit dans d'autres endroits des spectacles qui lui apprennent les tourments que subissent après leur mort d'autres personnes de son pays natal; il entre en religion auprès de Mahàkâtyâyana après en avoir demandé l'autorisation à ses parents. |
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TC0158 | TE016494 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 67 | Sûtra du Bodhisattva sacrifiant sa personne pour sauver des marchands.– Le Bodhisattva est allé sur mer avec cinq cents marchands; pour calmer une tempête qui menace d'engloutir le bateau, il se fait égorger au-dessus des eaux. Ému de son dévouement, Çakra lui rend la vie. |
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TC0158 | TE016913 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 404 [B] | Les trois devis et les deux devas.– Deux servantes et une mendiante, un notable et un marchand renaissent en qualité de devis ou de devas pour avoir accompli des œuvres pies. |
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TC0158 | TE016904 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 402 [N] | La grande tortue et les cinq cents marchands.– La grande tortue est tuée par les cinq cents marchands à qui elle a sauvé la vie, et ces marchands eux-mêmes sont mis à mort par des éléphants (cf. n° 434). |
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TC0158 | TE016848 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 374 | L'épouse infidèle du faux Brahmadatta, l'oiseau aux ailes d'or et le fils de la kinnarî.– A la suite d'un naufrage, la femme d'un marchand aborde dans une île où elle est prise pour épouse par l'oiseau aux ailes d'or; elle met au monde deux fils, l'un qui est le fils du marchand, l'autre qui est le fils de l'oiseau; quand ils sont devenus grands, le second emporte le premier et le substitue au roi Brahmadatta sur le trône de Vârânasî. Le pseudo-Brahmadatta, constatant qu'une bergère est plus vertueuse que les femmes de son harem, prend pour épouse Miao-jong, fille de la bergère, et la donne pendant le jour à son frère l'oiseau aux ailes d'or qui l'emporte quotidiennement dans une île. Un homme s'unit à une kinnarî qui le retient dans une caverne. Chou-tsi, le fils né de cette union, réussit à déplacer le rocher qui fermait la caverne et à s'enfuir; la Kinnarî lui envoie une guitare merveilleuse qui, lorsqu'on touche la première corde, met en danse hommes et choses. Chou-tsi est jeté par un naufrage dans l'île où est gardée Miao-jong, il s'unit à elle. Grâce à un subterfuge de Miao-jong qui s'est chargée de pierres pour augmenter graduellement son poids, l'oiseau aux ailes d'or transporte sans s'en apercevoir Chou-tsi en même temps que Miao-jong à Vârânasî. Chou-tsi est frappé de cécité. Le pseudo-Brahmadatta s'apercevant que Chou-tsi est l'amant de Miao-jong, les chasse tous deux. Miao-jong sacrifie son mari aveugle pour suivre un chef de brigands. Elle est abandonnée par celui-ci après avoir été dépouillée de tout ce qu'elle possédait. Miao-jong raille le chacal qui a lâché sa proie pour tenter vainement de prendre un poisson. Le chacal se moque de Miao-jong et de son impudicité. Il consent cependant à la faire rentrer en grâce auprès du roi (cf. n° 108). |
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TC0158 | TE016486 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 59 | Les marchands en proie aux femmes démoniaques et le roi-cheval volant qui les sauve.– Des marchands sont en proie à des femmes démoniaques : un cheval merveilleux (le Bodhisattva) sauve ceux d'entre eux qui se cramponnent à lui et leur fait traverser la mer (cf. le n° 37). | |
TC0158 | TE016492 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 65 | Sûtra des trois choses qui provoquèrent le rire du Buddha.– Le Buddha rit en voyant un vieux marchand de poisson se lamenter sur la mort de son fils; ce rire a trois causes : 1° la stupidité du marchand qui s'afflige de la mort de son fils en tuant lui-même une multitude de poissons; 2° le contraste entre le malheureux poisson qu'on vend et le roi tout-puissant que ce même poisson était dans une existence antérieure; 3° la singularité qu'il y a à retrouver sous la forme de ce poisson un être qui avait eu la forme humaine et s'était longuement appliqué à l'étude delà sagesse. –Ce récit est mal fondu avec un autre dans lequel le Buddha retrouve sous la forme d'un porc un homme qui, dans une existence antérieure, avait négligé les pratiques bouddhiques. | |
TC0158 | TE016928 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 408 [A] | Çâriputra, le vieux moine et la fille du roi.– Un mahalla se fait rouer plusieurs fois de coups parce qu'en chaque occasion il agit ou parie à contre-temps. Au contraire tout réussit à Çâriputra. Deux marchands rencontrent la fille du roi; l'un d'eux (le futur mahalla) est saisi par des gardes qui lui coupent les oreilles et le nez; l'autre (le futur Çâriputra) contrefait le mort; la fille du roi s'assied nue sur son corps pour se guérir de sa maladie; elle est obligée de l'épouser. |
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TC0158 | TE016929 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 408 [B] | La pierre qui provient de la cervelle du poisson Makara.– Le Buddha révèle à un marchand les vertus mystérieuses d'une perle qui provient de la cervelle du poisson Makara. |
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TC0158 | TE016518 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 89 | Le marchand qui vainquit le démon.– Un marchand qui est devenu bouddhiste entreprend de rétablir entre son pays et un royaume voisin les communications commerciales qu'un démon intercepte depuis plus de cent années. Il veut lutter contre le démon, mais ses mains, ses pieds et sa tête s'enfoncent successivement dans le corps de son ennemi sans pouvoir en ressortir; il affirme alors l'impermanence du corps et déclare qu'il fait volontiers don de sa personne au démon. Celui-ci, touché de tant de vertu, se convertit (cf. n° 410). |
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TC0160 | TE017287 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n° 62 | Un chevalier, qui par pénitence et dévotion, reste silencieux lorsqu'il se trouve devant un crucifix. Le diable, pour le tenter, se transforme tour à tour en riche marchand, en femme du chevalier et en évêque. Mais le chevalier reste silencieux et vainc le diable. Il voit alors le crucifix s'incliner pour le remercier. Le Seigneur lui envoie un ange qui lui dit que toutes les choses qu'il a vues dans l'Eglise sont sages et que tout ce que le diable a fait existe pour causer sa chute. |
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