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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Pénitence | Penance | Busse | Penitencia | Penitenza
13occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0165
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0165 | TE018300 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 48, pp. 112-115 | Baudouin, seigneur du château de Guise (sur le territoire de Reims), est un homme violent et sans crainte de Dieu, dont la seule qualité est sa dévotion à Pierre, alors abbé d'Igny. Sentant la mort approcher, Baudouin obtient de sa femme la permission d'entrer à Igny, où il meurt avant de pouvoir devenir moine. Les moines ont des visions de lui, et Herbert en raconte quelques-unes, rapportées par Pierre lui-même après avoir été encouragé à le faire. La nuit de sa mort, Baudouin apparaît en vision à un moine, où il affirme avoir le soutien de saint Benoît, qui l'envoie à Pierre pour devenir moine. Cette même nuit, Pierre craint pour l'âme de Baudouin et prie pour lui auprès de tous les saints. Alors qu'il est sur le point de s'endormir, dans un état de demi-sommeil, Satan lui apparaît et l'assaille en lui demandant pourquoi il veut lui enlever Baudouin. Pierre lui ordonne de ne pas faire de mal à une âme confessée et pénitente, après quoi Satan disparaît. Pendant trente jours, tous les moines, et en particulier l'abbé, prient pour l'âme de Baudouin. Un jour, un abbé bénédictin arrive à Igny et, précédemment insulté par Baudouin, lui pardonne devant sa tombe. Baudouin apparaît cette même nuit à Pierre, reconnaissant, guéri de la lèpre et paré d'une cicatrice récente. Le vendredi de Pâques, au début de l'office de none, deux jeunes hommes baignés de lumière apparaissent et présentent à l'autel Baudouin vêtu de noir, en signe de pénitence. A partir de ce jour, il n'apparaît plus, signe de son absolution. |
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TC0165 | TE018289 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 44f, pp. 91-92 | Saint Bernard, en route pour aller voir le comte Théobald de Champagne, rencontre un voleur qui est conduit à la potence. Il demande alors qu'on lui livre le voleur. Théobald arrive sur place et, surpris, lui demande pourquoi il voudrait sauver un voleur. Saint Bernard lui répond que le tourment quotidien d'une vie dans un monastère est une punition plus sévère que la mort immédiate, et emmène le voleur à Clairvaux (où il est connu d'Herbert). Il y reste jusqu'à sa mort, plus de trente ans plus tard, sous le nom de Constant. |
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TC0165 | TE018205 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 11, pp. 35-39 | Arnulfus de Majorque, originaire de Flandre, riche et membre d'une très grande famille, dépend de saint Bernard ; mais d'un commun accord, ils décident de ne pas rendre publique sa reconversion avant de s'occuper de l'entreprise familiale. Au même moment, une voix divine s'adresse à un fermier, lui disant d'aller avec Arnulfus à Clairvaux pour se convertir. Les deux hommes font le voyage ensemble. À Clairvaux, saint Bernard compare la conversion d'Arnulfus à la résurrection de Lazare et lui impose la récitation de trois "Pater" comme pénitence, lui recommandant de persévérer jusqu'à sa mort. Arnulfus, inquiet que la pénitence soit trop légère pour expier ses péchés, est rassuré par Bernard, qui lui assure qu'elle est suffisante, et qu'à sa mort il sera directement conduit à Dieu. Herbert ne se souvient pas d'avoir jamais vu quelqu'un d'aussi plein de sollicitude et de scrupules dans sa dévotion. Un soir, un moine voit un ange s'approcher d'Arnulfus, qui tente de l'embrasser, mais l'ange lui échappe et disparaît. Arnulfus pendant de nombreuses années, et jusqu'à sa mort, est tourmenté par de graves maladies, qu'il supporte avec une âme sereine. Un jour, de trop grandes douleurs lui font perdre conscience (à tel point qu'on choisit de lui administrer l'extrême onction). Une fois réveillé, il célèbre la vérité de la parole du Christ. On le prend tout d'abord pour un fou, mais il confirme ensuite que dans la vie éternelle, ce qui a été donné sur terre sera rendu au centuple. Tous les spectateurs sont surpris qu'un laïc illettré puisse s'exprimer de cette façon et y voient l'intervention du Saint-Esprit. |
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TC0165 | TE018198 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 4, pp. 13-20 | Avant d'entrer à Clairvaux, Guillaume a été un moine bénédictin à Saint-Aubain d'Angers, où il était tenu en grande estime par l'abbé et ses confrères. Avec certains d'entre eux, il a vécu pendant des années presque en ermite, dans une dépendance du monastère. Il mangeait très peu, grâce à l'aide de Dieu, et malgré une tentation forte. Un jour, un frère arrive et lui ordonne de manger de la viande en raison de sa faiblesse physique. Après un premier refus, il cède et mange un peu, pour ensuite le regretter amèrement. C'est alors qu'apparaît un homme vêtu de blanc scintillant, qui se présente comme un pèlerin venu lui rendre visite. Il lui reproche d'avoir cédé à la tentation et lui raconte l'histoire suivante. Une religieuse en Espagne, habituée à ne manger que du pain et de l'eau, cède à la tentation et lui demande de préparer de la viande. Avant de manger, elle prie Dieu de l'empêcher d'en manger si cela peut nuire à son âme. La viande se transforme en trois poussins de corneille, sans plumes. Lorsqu'il est confirmé qu'il n'y avait que trois petits morceaux de viande dans l'assiette, la religieuse jette les corbeaux dans la rivière ; et depuis ce jour ils n'ont pas cessé de flotter. Conforté par la vision, Guillaume accepte la pénitence et demande qui est le pèlerin, qui lui répond qu'il ne peut pas le dire ; il n'a pas besoin de nourriture humaine et sa seule préoccupation est la santé de Guillaume. Il le salue et disparaît sans laisser de trace, démontrant ainsi sa nature angélique, comme Guillaume le raconte à Herbert plus de vingt ans plus tard. En entrant à Clairvaux, attiré par la renommée de Saint Bernard, il a de nombreuses visions, mais n'en raconte que peu, à très peu d'auditeurs. Durant l'une d'elles, lorsqu'il chante les psaumes à prime, il voit saint Malachie, vêtu en évêque, le jour de l'anniversaire de sa mort. Il est accompagné par saint Bernard, également coiffé d'une mître mais ne portant pas la bague épiscopale, qui lui fait un grand honneur et observe avec attention Malachie, les moines de la communauté ainsi que l'autel. La vision s'achève sur la fin du psaume. Dans une autre vision, Guillaume demande à saint Bernard de lui révéler s'il sera sauvé. Bernard lui reproche de faire une trop grande demande, mais lui répond malgré tout, (mais Herbert ignore la réponse). Dans une troisième vision, alors qu'il est malade à l'infirmerie, Guillaume voit entrer un diable habillé en prostituée qui se déplace lascivement entre les lits des moines malades, jusqu'à s'arrêter devant le lit d'un jeune moine. Le diable dit au moine de le suivre et d'amener son compagnon, qui les attendrait dehors, alors il s'en va. Le lendemain, Guillaume raconte sa vision à l'abbé Robert, qui va parler au jeune moine, mais celui ci nie vouloir quitter l'ordre. Cependant après quelques jours, il quitte le monastère avec son compagnon ; au moment où Herbert écrit, il s'est installé dans un autre monastère. Guillaume a beaucoup d'autres visions qu'Herbert ne raconte pas pour ne pas ennuyer ses lecteurs. Il meurt dans la sainteté, comme il a vécu. |
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TC0165 | TE018206 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 12, pp. 39-40 | Un homme vénérable de Clairvaux, encore vivant du temps d'Herbert, était un amateur de jeux avant de devenir moine. Un jour, alors qu'il assiste à une compétition de dés, il est frappé plusieurs fois comme par une main invisible. Ne sachant que faire, il supporte les coups douloureux en silence pour ne pas être remarqué, comprenant qu'ils sont la punition de ses péchés. Une voix divine lui dit que tout lui sera pardonné s'il devient moine à Clairvaux. Il accepte silencieusement, faisant ainsi disparaître les coups et la douleur. Famille et biens abandonnés, il entre à Clairvaux le lendemain. |
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TC0165 | TE018381 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 128, pp. 238-239 | Herbert, se référe à la Vita Fursei pour la vision complète de l'au-delà de Fursy, connue par son livre concernant les aumônes en faveur des défunts. L'âme de Fursy passe par le feu du Purgatoire, où les démons lui jettent une âme damnée, mettant en contact leurs mâchoires et leur bras. Le diable lui dit de ne pas refuser ce qu'il a reçu auparavant, mais l'ange qui accompagne Fursy le défend en disant que s'il avait accepté la robe du damné en aumône, pour sauver son âme. Puis il dit à Fursy qu'il doit toujours insister pour que la pénitence soit accomplie, sinon la damnation est inévitable. Lorsque Fursy se réveille, il porte les marques de la brûlure du voyage sur son bras et sa mâchoire. |
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TC0165 | TE018221 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 25, p. 55 | Le même abbé raconte qu'il a vu un démon offrir une coupe de vin rouge à tous les moines réunis dans le chœur, et disparaître lorsque l'un d'eux l'a prise et l'a bue. L'abbé appelle à lui le moine qui lui confesse qu'il a décidé à ce moment de céder à la convoitise et d'abandonner le monastère. Lorsque l'abbé lui décrit la vision qu'il vient d'avoir, le moine se repent. Il accepte la pénitence et est renforcé dans sa décision de ne plus jamais se laisser vaincre par la tentation. |
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TC0165 | TE018382 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 129, pp. 239-240 | Un convers de Clairvaux, sentant la mort approcher, appelle le confesseur, mais il ne parvient pas à parler à cause d'une douleur à la gorge. Ce n'est que sur son lit de mort qu'il se confesse à l'abbé Henry, lui disant que lorsqu'il était un convers à l'abbaye d'Esrom au Danemark, il avait eu un fils, mort avant lui. Transporté en esprit, il s'était retrouvé dans un lieu de souffrance, où il l'avait rencontré. Son fils l'avait accusé d'être la cause de tous ses maux et avait prophétisé sa damnation. Henry dit au convers de ne jamais perdre foi en la miséricorde divine, lui impose une pénitence et l'absout. Une heure plus tard, le convers le fait appeler à nouveau : transporté une fois de plus en esprit et emmené à nouveau en un lieu de souffrance, on lui dit que grâce à la pénitence il est sauvé de son péché, mais qu'il doit en confesser un autre, celui d'avoir pris la robe d'un moine sans permission. Ayant reçu une nouvelle pénitence, réconforté par les prières de l'abbé, le condamné demeure silencieux et meurt peu après, serein. |
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TC0165 | TE018385 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 132, pp. 243-245 | Arnold, abbé du monastère cistercien de Beaulieu-en-Rouergue, raconte à Herbert un miracle que le prieur du Chalard a vu de ses propres yeux. Une femme de la région de Limoges, mariée, vit religieusement, priant et jeûnant régulièrement. Mais elle ne trouve pas le courage de confesser un grave péché commis dans sa jeunesse, malgré l'insistance de son prêtre et de son prieur. Cependant presque tous les jours, la femme confesse son péché à la Vierge Marie avec pénitence et souffrance. Elle meurt sans confession, son enterrement est retardé jusqu'à l'arrivée de sa fille. C'est alors qu'elle ouvre les yeux comme si elle se réveillait. Interrogée par le prêtre, elle confesse son péché de jeunesse et explique ce qui lui est arrivé. Après sa mort, elle est confiée aux démons afin de recevoir un juste châtiment, mais Marie arrive et réprimande les démons pour avoir osé attaquer sa servante avant le jugement divin. Devant Dieu, Marie demande que la femme soit pardonnée, mais comme il n'est pas possible d'être sauvé sans confession, Dieu renvoie l'âme de la femme dans son corps. Une fois confessée, elle meurt une seconde fois. |
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TC0165 | TE018435 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 3, pp.304-305 | Un adolescent laïc (messager de Hugues, abbé de Bonnevaux) meurt dans le même monastère. Peu avant cela, alors qu'il était malade, il avait voulu se confesser devant le sous-prieur, qui lui avait alors imposé une très légère pénitence. Le jour de son enterrement, il apparaît à Hugues au milieu de l'après-midi pour se confesser à nouveau, car il est torturé et souffre de châtiments pour ne pas avoir accompli une pénitence à la mesure de son péché. Hugues le confesse et lui demande s'il pense pouvoir obtenir le salut. Le défunt répond par l'affirmative, il est confiant dans ses chances à partir du moment où ses frères prient pour lui. Lorsqu'il se réveille, Hugues trouve les larmes du mort sur ses vêtements et confirme la vérité de la vision alors qu'il en parle avec le sous-prieur. |
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TC0165 | TE018297 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 45, pp. 102-105 | Étienne Harding, en tant qu'abbé, accueille d'abord Bernard à Cîteaux et le fait ensuite abbé de Clairvaux. Novice, Bernard avait l'habitude de réciter les sept psaumes de la pénitence pour l'âme de sa mère. Un jour, par négligence ou par oubli, il ne les termine pas. Étienne, informé par le Saint-Esprit, lui demande le lendemain pourquoi il ne les a pas tous récités. Bernard demande immédiatement pardon pour sa négligence. Cet incident le rend encore plus attentif à respecter ses intentions, aussi bien en public qu'en privé. Un jour, au cours d'une épidémie de peste et par grand froid, Étienne dit à l'un des moines de Cîteaux de se rendre à la foire de Vézelay pour acheter des chariots et des animaux de trait, pour les remplir de vêtements, de nourriture et de tout ce qui est nécessaire au monastère. Lorsqu'on lui demande de l'argent, Étienne ne peut donner que trois deniers. Pour le reste, il compte sur la miséricorde de Dieu. Une fois parti, le moine est recueilli par un homme qui, conscient de sa pauvreté, se rend chez un voisin riche et mourant qui accepte de fournir au moine tout ce que l'abbé lui a demandé. Au moment de repartir, il envoie un messager pour annoncer son retour ; Étienne rend grâce à Dieu et organise une procession de moines pour accompagner l'arrivée des chariots. A partir de ce jour, le monastère n'est plus jamais en pénurie de biens séculiers et conserve toujours une abondance de biens spirituels. Herbert ajoute ici l'épisode de la conversion d'Étienne, tel que raconté par Guillaume de Malmesbury dans sa Gesta Regum Anglorum. Il se rend à Rome avec un compagnon, chante le psautier quotidiennement et dans son intégralité. Après son entrée au monastère de Molesme, il travaille à la fondation de l'ordre cistercien, puis il devient l'abbé (de Cîteaux). Il choisit de démissionner en fin de vie. Il est remplacé par Guido, un homme de belle apparence, mais corrompu de l'intérieur. Étienne s'en aperçoit au cours d'une vision où il voit Guido avec un esprit impur dans la bouche. Au bout d'un mois seulement, Dieu révèle l'indignité de Guido qui est évincé. |
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TC0165 | TE018283 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 43, pp. 85-87 | Un moine de Clairvaux particulièrement dévoué à saint Jean célèbre la Toussaint et, tout en méditant un verset de l'Apocalypse, est en extase et embrasse spirituellement le Christ. Un jour, alors qu'il s'est endormi après la messe, il a une vision du Christ et de saint Jean, ce qui le renforce dans sa conviction de la vérité de l'Apocalypse, qu'il avait entendue remise en question par certains hérétiques. Quinze jours plus tard, il a une autre vision dans laquelle saint Jean d'abord et le Christ ensuite lui parlent de l'importance de la pénitence et des larmes. Enfin, le jour de l'anniversaire de la naissance de saint Jean, il est transporté en esprit et voit le saint en train de célébrer la messe. Dans son sommeil, il voit alors le Christ et sa mère entrer dans un palais dont la porte mène au ciel et reste toujours ouverte. Lorsqu'il se réveille, le sentiment de joie demeure longtemps. |
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TC0165 | TE018336 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 84, pp. 166-168 | Un moine de Clairvaux, tourmenté par ses péchés, voit le Christ célébrer la messe et exhiber les larmes de Marie Madeleine contenues dans un calice, afin que chacun puisse voir combien il apprécie la contrition et la pénitence. Une nuit, le même moine rêve qu'il se trouve dans un lac très profond. C'est alors que le Christ arrive en marchant sur l'eau, et l'emmène dans une agréable prairie. Une autre fois, alors qu'il demande avec insistance un signe pour savoir s'il recevra le pardon divin, un rasoir tranchant lui donne en un clin d'œil une barbe et une tonsure. Peut-être que la coupure, écrit Herbert, est un indice du vice de somnolence dont il souffre. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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