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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: Miroir | Mirror | Spiegel | Espejo | Specchio
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0004 | TE002778 | Jordanus de Pisis | Esempi : 144 | Le sage et les deux basilics. Un sage, pour pouvoir observer deux serpents au regard mortel, fait installer deux miroirs aux environs de leur repaire; les deux basilics étant repérés, il peut préparer l’équipement pour les brûler. | |
TC0011 | TE003051 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 106b-107a | Au bord d’un lavoir se trouvaient des miroirs de femmes dans lesquels le prêtre pouvait voir qui avait besoin de se laver avant de pouvoir communier. | |
TC0011 | TE003070 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 119a | Le miroir divin est fait de verre et de plomb : symboles de la virginité et de l’humilité de Marie. Ce miroir permet au pécheurs de contempler leurs fautes. | |
TC0011 | TE003115 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 146b | De même que le miroir en verre donne une triple vision de soi-même, du miroir et de l’environnement, le miroir de la clarté divine permet de connaître Dieu, soi-même et toute chose. | |
TC0020 | TE003532 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 7 | La tigresse cherchant ses petits est retardée par les miroirs que les chasseurs laissent sur leur piste. |
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TC0038 | TE006773 | Vincent Ferrier | Sermones castellanos [Cátedra, 1994] : 46 | Une pieuse femme qui a un mari pécheur demande l’aide de Dieu pour changer son époux. Un jour, le visage de celui-ci se déforma de telle manière que personne ne voulut le regarder et que lui-même prit peur en se voyant dans un miroir. Il ne retrouva son apparence normale qu’après s’être repenti et confessé. | |
TC0038 | TE006748 | Vincent Ferrier | Sermones castellanos [Cátedra, 1994] : 21 | Comment doit être chassée la vipère appelée "Tigris"; c'est un animal très craintif mais très utile pour fabriquer des médicaments. Les chasseurs lui enlèvent ses petits du nid quand la "tigris" n'est pas là et se sauvent vite à cheval. Quand elle découvre cela, elle les poursuit. Les chasseurs lui présentent un miroir faisant réflèter alors sa propre image ; trompée, elle croit voir ses petits et s’arrête pour les allaiter. | |
TC0038 | TE006731 | Vincent Ferrier | Sermones castellanos [Cátedra, 1994] : 4 | Un gênois perd un trésor et a recours à un devin. Ce dernier lui dévoile le coupable dans un miroir. Le gênois consulte le saint... (texte incomplet) | |
TC0131 | TE008106 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 594, 1-5 | LA TIGRESSE ET LES MIROIRS. 1/ Pour emporter les petits de la tigresse, le chasseur laisse des miroirs sur sa piste; 2/ quand la tigresse s’y voit, elle croit voir ses petits et quand elle a brisé le miroir elle ne trouve rien. 3/ De même le diable fascine certains hommes en leur montrant les vanités du monde, et à la mort ils ne trouvent rien 4/ et le temps est passé où ils auraient dû faire les bonnes actions dont ils auraient moissonné au ciel les fruits éternels. 5/ Ils ont lieu de craindre que pour avoir perdu leur temps ils ne subissent en enfer les châtiments éternels. | |
TC0138 | TE019958 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 817 | Comparaison entre le miroir merveilleux de Virgile et la Passion du Christ. | |
TC0138 | TE020076 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 937 | Pour échapper à ce défaut: se rappeler que chacun est le miroir de l'autre. | |
TC0138 | TE019655 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 520.9 | Le Livre des Sept Sages de Rome. Le miroir de Virgile [Virgilius]. | |
TC0157 | TE017268 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 476, l. 25 – p. 478, l. 12 | La tigresse, lorsqu’elle trouve son foyer vide et que ses petits ont été dérobés, retrouve à l’odeur la trace du chasseur. Elle court si vite qu’elle a tôt fait de le rattraper. Mais celui-ci lui jette une boule de verre, et la tigresse croit y reconnaître son petit, et s’arrête pour s’en occuper. Lorsqu’elle s’aperçoit qu’il ne s’agit que d’une image vide, elle se remet à la poursuite du chasseur, mais elle est immédiatement trompée de nouveau par le même stratagème ! C’est ainsi qu’elle se laisse voler ses petits. La tigresse, c’est le diable, et le chasseur, c’est le prédicateur. Ce dernier doit dérober au diable ceux qui le suivaient, et les en protéger en trompant le démon, et en lui montrant ses propres adorateurs. Le prédicateur doit prendre garde de conserver bien à l’abri ceux qu’il a sauvés : on ne doit pas lui reprocher d’avoir secouru une âme pour la laisser ensuite retomber dans les flammes de l’enfer. |
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TC0158 | TE016677 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 230 | Le fils qui croit voir de l'or dans une fontaine.– Un père et son fils vont dans une forêt et le fils y découvre de l'or dans l'eau d'une fontaine; il demande à son père sa part d'héritage et s'en va recueillir cet or; mais il n'y parvient pas. Son père le rejoint et lui montre que l'or qu'il voit dans l'eau n'est que le reflet de l'or qui est au sommet d'une montagne. | |
TC0158 | TE016513 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 86 | Le roi Adarçamukha, les aveugles et l'éléphant.– Le roi «Face de miroir» (Adarçamukha), pour démontrer aux hérétiques qu'ils ne peuvent pas connaître la vérité, invite des aveugles à palper un éléphant et montre que les idées qu'ils se font de l'animal sont fausses et contradictoires. | |
TC0158 | TE017022 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 480 | La servante laide qui croit voir son image dans l'eau.– Une servante laide croit voir son image en apercevant dans l'eau le reflet d'une belle femme pendue; elle prétend agir comme si elle était belle; elle est confuse quand on lui montre son erreur. |
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TC0158 | TE016810 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 356 | Le roi « Face-de-Miroir » et le singe déguisé en architecte.– Le roi « Face-de-miroir » est privé d'yeux et de nez, mais a le pouvoir de discernement; un de ses ministres croyant pouvoir se jouer de lui, lui présente un singe déguisé en architecte; mais le roi discerne aussitôt la tromperie. | |
TC0158 | TE016812 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 358 | Les singes qui veulent retirer la lune du puits.– Des singes veulent retirer la lune du puits afin que le monde ne soit pas plongé dans une profonde nuit. Ils s'accrochent les uns aux autres par leur queue, mais la branche qui les soutenait tous se rompt et ils tombent dans l'eau. | |
TC0158 | TE016746 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 296 | Le reflet de l'or aperçu au fond de l'eau.– Un jeune homme a vainement tenté de prendre l'or qu'il aperçoit dans un étang; son père lui raconte qu'il a pris un reflet pour la réalité (cf. n° 230). |
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TC0158 | TE016721 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 271 | Le miroir dans le coffret précieux.– En voyant sa propre image dans le miroir fixé à l'intérieur du couvercle d'un coffret plein de joyaux, un pauvre homme s'imagine voir le propriétaire du coffret et abandonne sa trouvaille. | |
TC0158 | TE016685 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 236 | La jarre fantasmagorique.– Un mari, sa femme, un ami du mari et une bhiksunî voient successivement le reflet de leur propre personne dans une jarre pleine de vin et prennent cette image vaine pour une réalité. Un religieux brise la jarre et leur prouve qu'elle ne contenait que du vin. | |
TC0159 | TE017606 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Lorsqu’un tigre aperçoit un miroir placé sur son chemin par des chasseurs, il s’arrête, charmé par sa propre beauté dans le reflet et oubliant sa progéniture. De la même manière, le corps paré d’une femme est pareil à un miroir éblouissant, si l’imprudent ou le fou le regarde, cela peut l’écarter de son chemin spirituel et lui faire oublier les choses célestes qu’il doit poursuivre. | |
TC0161 | TE017721 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XVII, 08 | COMMENT, PARMI LE MONDE, ON A APPELÉ LE NOVICE ZÔNEN UNE MÉTAMORPHOSE DE JIZÔ.– Un novice appelé Zônen invoque depuis son plus jeune âge le Bodhisattva Jizô. Il va de porte en porte jour et nuit pour louer le Vœu Compatissant de Jizô. En le voyant, même les assassins et les débauchés deviennent bons. On dit que ce novice est un corps métamorphique du Bodhisattva Jizô. A sa vieillesse, Zonen disparaît dans la montagne et les gens de la province se lamentent et disent que c’est le Bodhisattva Jizô qui les abandonne à cause de leurs péchés. |
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TC0161 | TE017733 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXIV,05 | COMMENT KUDARA NO KAWANARI ET L'ARCHITECTE DE HIDA SE DÉFIENT.– Le serviteur du peintre Kawanari s’étant enfui est retrouvé grâce à son portrait réalisé par le peintre. Suite à un défi dans leurs arts respectifs, l’architecte invite le peintre à venir voir un pavillon qu’il a construit, pour décorer le mur avec ses peintures. Kawanari arrive devant ce pavillon qui a une porte ouverte sur chacune des quatre faces. Mais les portes se ferment ou s’ouvrent de telle sorte qu’il ne peut y pénétrer. L’architecte se met à rire, fier de sa farce. Kawanari convie plus tard l’architecte à venir voir une chose dans sa maison. L’architecte, méfiant, finit par venir et, entré dans le corridor de la maison, trouve un homme de grande taille étendu et en état de putréfaction. Il lui semble sentir la puanteur et recule en criant. Alors Kawanari se met à rire car il s’agit en réalité de la forme d’un cadavre peinte sur une cloison de papier. |
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TC0161 | TE017749 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXXI, 08 | HISTOIRE D'UNE FEMME QUI MEURT APRÈS QU'ELLE SE SOIT REFLÉTÉE DANS LA FLAMME D'UNE LAMPE.– Le reflet de Petite Chûjô, une belle femme courtisée par le gouverneur, apparaît au-dessus de la flamme d’une lampe à huile. Les femmes qui assistent à cette apparition s’en divertissent, puis finissent par faire tomber les cendres incandescentes. Quelques jours plus tard, Petite Chûjô tombe malade et part dans sa maison de famille. Le gouverneur lui rend visite, et, attendri, passe la nuit à s’entretenir avec elle. A son retour, inquiet, il lui écrit pour lui dire qu’il va revenir la voir au plus vite. Il reçoit ces mots en réponse : « Toribe-yama » (nom d’un célèbre cimetière). Il se rend chez Petite Chûjô et apprend que ses funérailles ont eu lieu dans la nuit. Or il faut faire avaler les cendres de la matière incandescente à la personne qui apparaît dans le feu. Cette femme est morte car cette observance n’a pas été respectée. |
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