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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: étudiant | student | Student | estudiante | studente
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001314 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 10, 31 | La jalousie des maîtres de l’université de Paris, trop enclins à la mollesse et aux nourritures terrestres, s’exerce à l’encontre des maîtres dominicains, ascètes et studieux. Ces derniers rassemblent autour d’eux les meilleurs étudiants. | |
TC0001 | TE001271 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 1, 19 | Les apôtres Pierre et Paul viennent réconforter à Paris, un étudiant de Pierre le Chantre. Une fois réconforté, ce dernier écrit des vers en l’honneur de la Vierge : Felix mater ave, qua mundus solvitur a vae... | |
TC0001 | TE001237 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 57, 31 | En rêve un étudiant peu doué récite parfaitement ses cours; ce qui, pour Thomas de Cantimpré, est une oeuvre diabolique. | |
TC0003 | TE001661 | Dominico Cavalca | Esempi [Varanini, Baldassari, 1993] : 63 (13) | Un étudiant de Paris n'ose pas confesser ses péchés à l’abbé de Saint-Victor. Il les écrit sur un parchemin, ils sont miraculeusement effacés quand l’abbé veut les lire. | |
TC0004 | TE002828 | Jordanus de Pisis | Esempi : 183 | L’université de Paris. Les maîtres de l’université de Paris écoutent les conseils des étudiants. | |
TC0008 | TE002554 | Galandus Regniacensis | Parabolaire [Frielander et al., 1992] : Parabole 6 | Un écolier rencontre un homme parvenu d’une grande pauvreté aux plus grandes richesses, et un autre devenu fort pauvre, de riche qu’il était. Le premier a été choisi comme époux par une riche héritière. Le second a épousé par amour charnel une serve. | |
TC0010 | TE000843 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 5, 1 | Un chanoine écarte les tentations en étudiant. Si le diable nous tente, nous devons faire comme ce chanoine de Paris qui disait, quand il était envahi de tentations alors qu’il étudiait : " laisse-moi regarder ma leçon, et ensuite je te parlerai ". | |
TC0010 | TE000901 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 152, 1 | Il faut être pur pour être élu de Dieu. Un clerc étudiant faisait régulièrement ses dévotions devant une image de la Vierge, disant au moins sept Ave Maria, ou un Ave avec génuflexion. Tenté par le diable, il se rendit chez une ribaude. En chemin, il s’arrêta à l’église pour y accomplir son geste habituel de dévotion, et s’y endormit. Une belle demoiselle (la Vierge, ou un ange) lui apparut, et lui offrit un beau poisson dans un horrible récipient, rempli de boue. L’apparition lui expliqua alors le sens de son rêve : si l’Ave est une nourriture délicieuse, son coeur était comme ce récipient, qu’il lui fallait nettoyer. A son réveil, le clerc tout contrit fit le voeu à Dieu et à la Vierge de ne jamais succomber à la tentation de la chair. |
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TC0012 | TE002658 | Jacobus Passavanti | Specchio di vera penitenza : 22 | Un étudiant n'arrive pas à avouer ses péchés. Le prêtre lui conseille de les écrire. Mais lorsqu’ il lui apporte sa confession écrite, la feuille est miraculeusement blanche. | |
TC0020 | TE003640 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 115 | L’exécuteur testamentaire d’un étudiant parisien garde pour lui son matelas. La nuit, l’étudiant lui apparaît en rêve, étendu sur un mauvais lit. Le lendemain, il décide de faire don du matelas à un hôpital. |
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TC0020 | TE003733 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 208 | Compétition de larcins entre des serviteurs d’étudiants parisiens. | |
TC0020 | TE003556 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 31 | Dieu reproche à saint Jérôme d’être cicéronien plutôt que chrétien (31a). Un étudiant parisien apparaît en vision à son maître nommé Sella, il est vêtu d’une cape faite en parchemin recouvert d’inscriptions. Son maître lui demande alors la signification de ces écrits et son étudiant lui répond qu’il s’agit de sophismes et de questions futiles. Une goutte de sueur perle à sa main, et transperce celle de son maître qui s’apprêtait à la recueillir. Le maître entre dans l’ordre cistercien et, à Paris, montre à tous les écoliers sa main percée (31b). |
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TC0020 | TE003548 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 23 | Des étudiants parisiens jouent aux dés avec un chat : s’il gagne, on le nourrit, s’il perd on l’écorche et on vend sa peau. |
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TC0027 | TE004878 | Rhazes | La Médecine spirituelle [tr. Brague, 2003] : p. 95-97, chapitre 5 | Anecdote sur Platon. On dit que le sage Platon s’est servi de cet argument contre un de ses disciples que rongeait l’amour d’une servante et qui avait abandonné sa place au centre du public de ses leçons. Platon ordonna de le chercher et de le lui amener. Quand il se présenta à lui, il lui dit : « Dis moi, Untel, est ce que tu doutes de ce qu’inévitablement tu seras un jour séparé de cette femme que tu aimes ? Je n'en doute pas », répondit-il. Platon lui dit : « Cette amertume que tu avaleras ce jour là, prends la aujourd?hui, et supprime ce qu’il y a entre ces deux jours : la crainte de ce à quoi on s’attend, laquelle persiste pour un état dont il est inévitable qu’il vienne, et la difficulté de la traiter une fois que cette passion sera consolidée, associée à la familiarité et aidée par elle. » On dit que le disciple répondit à Platon : « Ce que tu dis, sage maître, est vrai, mais, comme je m'attends à ce que le passage des jours me console, cela me pèse moins.» Platon lui dit: «Comment comptes tu sur la consolation qu’apportent les jours sans craindre la familiarité qu’ils renforcent ? et qui te garantit que tu seras séparé de l’objet aimé avant d’être consolé et après que la passion se sera consolidée, que le morceau dur à avaler sera plus gros, et l’amertume multipliée ? » On dit que cet homme se prosterna sur le champ devant Platon, le remercia, pria pour lui, le loua, et qu’il ne recommença plus rien de ce qu’il faisait; on ne le vit plus en proie à l’accablement ou à la concupiscence, et, après cela, il ne cessa de fréquenter les cours de Platon sans en manquer absolument aucun. On dit aussi que Platon, après avoir fini de parler, se tourna vers ses disciples, les blâma et leur reprocha d’avoir abandonné cet homme et de l’avoir laissé à lui même, et d’avoir dirigé son attention vers les autre, domaines de la philosophie avant d’avoir corrigé son âme désirante et de l’avoir réprimée et humiliée devant l’âme rationnelle. |
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TC0028 | TE005033 | Federicus Visconti | Sermons et visite pastorale [dir. Bériou, 2001] : Sermo 1 §13, p. 335 | Un étudiant parisien offre un cheval à son compagnon, s’il parvient à réciter un Pater sans distraction; celui ci ne peut achever sa prière sans se demander s’il aura aussi la selle. | |
TC0028 | TE005038 | Federicus Visconti | Sermons et visite pastorale [dir. Bériou, 2001] : Sermo 24 §3, p. 529-530 | Un étudiant parisien que son compagnon a persuadé de venir écouter un sermon, se repent de ses péchés, que le prédicateur dénonce ouvertement devant lui. | |
TC0033 | TE006116 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 255A-B | A. SAINT BERNARD DANS LES ECOLES DE LOGIQUE. Saint Bernard visitait les écoles de logique à Paris et cherchait à gagner des étudiants pour en faire des moines. A la fin de la dispute, le maître lui demanda de "déterminer". Bernard dit: "Dieu a fait avec nous cet argument: "Répondez". Dieu nous a proposé la loi et ses commandements, en disant: "Je vous ai donné ces commandements et cette loi." Il assume la transgression et conclut par la damnation. Ainsi cette argumentation est-elle proposée à l’homme: "Je t?ai donné la loi, toi tu as été celui qui as transgressé, donc tu as gagné la damnation de la part du juste juge, donc tu seras damné." B. SAINT BERNARD ET LA DEFINITION DE L’HOMME. De même, saint Bernard entendant dire ici que l’homme était un animal raisonnable et mortel, répondit que cela avait pour lui deux aspects: le fait que l’homme fût raisonnable et mortel humiliait, qu’il fût mortel et raisonnable réconfortait. | |
TC0033 | TE006075 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 221 | UNE PROSTITUEE REFUSE L’AMOUR EN PUBLIC. Un étudiant avait couché avec une femme avant d’aller aux écoles. Alors qu’il en revenait, elle lui demande de s’unir avec elle. Il l’entraîna sur la place publique pour ce faire. Elle refusa, pour ne pas le faire devant les hommes qui les verraient: elle préférait la maison. L’étudiant dit que lui ne voulait pas le faire à l’intérieur, à cause de Dieu qui le regardait. | |
TC0033 | TE005975 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 123 | RETOUR DE L’ENFER. A Paris, un homme riche et gras rencontra un étudiant pâle et maigre et lui dit: "Maître clerc, vous semblez revenir de l’enfer." L’étudiant lui rétorqua: "Et vous vous avez le visage de celui qui y va." | |
TC0033 | TE005907 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 56 | APPROPRIATION D’UNE MAISON PAR UN ETUDIANT. Un clerc parisien place sur le seuil d’une maison repoussante l’inscription suivante: "Que personne ne pense que cette maison est habitable. Elle pue horriblement", afin que personne ne se l’approprie. | |
TC0033 | TE005874 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 23 | APPARITION D’UN ETUDIANT A SON MAITRE. Un étudiant chargé d’une lourde et brûlante cape faite de feuillets couverts de sophismes apparut à son maître après sa mort à Paris et déclara souffrir parce qu’il avait plus craint la mort et l’enfer que la perte de l’amour de Dieu. Une goutte de sueur transperça la main du maître, qui se retira à Clairvaux et se soumit à une sévère pénitence. |
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TC0033 | TE006037 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 183 | UN ETUDIANT NEGLIGEANT DANS L’ACCOMPLISSEMENT S VOLONTES D’UN MOURANT. Un étudiant parisien mourant donna à un camarade son matelas pour qu’il le vendît et en distribuât le prix aux pauvres. Ce que ce camarade ne fit pas; il coucha au contraire dessus. Il vit le mort devant lui gisant sur un lit aux cordes nues. Terrifié, il vendit le matelas, en donna le prix aux pauvres et fit prier pour le mort qui lui apparut ensuite en grand repos, dans un lit avec un matelas. | |
TC0033 | TE005983 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 130 | UN ETUDIANT PERSUADE UN DE SES COMPAGNONS A DEVENIR DOMINICAIN. Un étudiant, grand clerc, rendit visite à l’un de ses compagnons qui était entré chez les dominicains. Il voulut que ce dernier lui dît quelque chose qui entraînerait sa conversion. Ce que voyant, le frère dit qu’il ne saurait prêcher quelque chose, mais lui demanda, par amour pour lui, de penser quand il entrerait dans sa chambre, très belle, et dans son lit, au matelas très doux et à la couverture délicate, à la chambre qu’il aurait en enfer. Ces mots se fixèrent dans son esprit de sorte qu’il ne voulut plus dormir dans sa chambre et dans son lit. Il fut ainsi contraint à devenir dominicain. | |
TC0033 | TE006053 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 199 | UN ETUDIANT TOMBE EN SYNCOPE EN ENTENDANT PARLER DU JUGEMENT. Un chanoine de Lyon, Terric, avait un compagnon à Paris, étudiant en théologie, qui, comme en extase, tombait en syncope quand il entendait parler de la citation au Jugement dans une leçon ou un sermon. |
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TC0033 | TE006046 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 192 | APPARITION D’UN ETUDIANT. Deux étudiants de la même nation étaient entrés en religion et avaient la meilleure conduite, envers Dieu et les hommes. L’un, à l’agonie, consola l’autre lui promettant de lui faire part de son sort, après sa mort. Il lui apparut disant qu’il était au purgatoire car, sur terre, quand de nouvelles chaussures étaient données, il conservait les anciennes, à l’encontre du statut de la règle. Elles étaient encore cachées au pied de son lit. Il lui demanda de les rendre à l’abbé, de l’absoudre de cela en chapitre et de faire prier pour lui. Ce qu’il fit. Il lui apparut une seconde fois, resplendissant, lui demanda de venir avec lui et lui montra une procession d’hommes de plus en plus beaux et de plus en plus blancs et qui portaient sur l’épaule des croix très belles, alors qu’ils montaient au ciel. Une autre procession survint, plus belle encore, avec des croix encore plus belles, et ils furent reçus au ciel. Suivit une troisième procession plus belle encore avec à sa tête un ange qui portait devant lui une croix brillante de pierres précieuses et très belle. Il demanda à son compagnon ce que cela signifiait. Il répondit que les premiers étaient ceux qui étaient entrés dans l’ordre à l’état de vieillesse; les deuxièmes y étaient entrés à l’âge adulte; les troisièmes y étaient entrés dans leur adolescence; et c'est ce qu’il adviendrait de lui s’il persévérait dans ce que qu’il avait entrepris: il serait bienheureux et lui il monterait avec eux par la grâce de Dieu. Et cela dit, il suivit les autres, l’ange le précédant et portant sa croix sur le dos. |
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TC0137 | TE012760 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 275 | Le portait d’Hippocrate. Les disciples d’Hippocrate dessinèrent son image et la portèrent à Philomon en lui disant d’apprécier les qualités et le profil moral; celui-ci répondit que la personne dessinée devait être un luxurieux. Les étudiants se mirent alors en colère et s’en allèrent raconter le fait à Hippocrate. Celui-ci répondit que Philomon avait dit la vérité, mais que son âme dominait ses vices et ses péchés. | |
TC0137 | TE012803 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 318 | L’étudiant transporté par le diable. Un noble de Rome savait que le pape voulait faire cardinal son fils qui étudiait à Paris. Le père lui envoya un messager lui demandant de retourner à Rome. Mais le messager arriva à Paris seulement un jour avant la nomination des cardinaux. L’étudiant demanda alors conseil à un nécromant qui, pendant la nuit, fit apparaître un diable sous la forme d’un cheval qui l’emmèna en volant à Rome; de cette manière, il arriva à temps pour être consacré cardinal. |
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TC0137 | TE012637 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 152 | La sueur qui brûle. Un étudiant parisien apparaît après la mort à son maître revêtu d’un manteau de parchemin orné de lettres symbolisant la vanité des discours; il explique que les lettres pesaient comme les clochers de Saint-Germain-des-Près de Paris et que le manteau le faisait suer en lui brûlant très fort la peau. Il le prouve à son maître en faisant tomber sur sa main une goutte de sueur qui brûla la main du maître. |
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TC0138 | TE019380 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 325 | Les ambitions d'un écolier brisées par la mort. | |
TC0138 | TE014104 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 28 | Le monastère des goliards où chacune des neuf chambres représente un vice. |
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TC0138 | TE019849 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 707 | Les quatre maisons de Paix, Justice, Vérité et Miséricorde apparaissent à un étudiant. |
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TC0138 | TE020152 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 689A | Un étudiant écrit à ses compagnons qu'il va se marier malgré son engagement de reste célibataire. | |
TC0138 | TE019513 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 411 | La croix électuaire suprême. | |
TC0138 | TE019259 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 204 | Mort et damnation d'un élève orgueilleux. |
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TC0138 | TE019258 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 203 | La fleur de lys offert aux écoliers. | |
TC0138 | TE019388 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 332 | Conversion d'un écolier par une citation d'Isaïe. |
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TC0142 | TE019108 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 46 | Un recluse de Bonn vit, une nuit, la Vierge Marie près de la tombe d'un étudiant récemment mort. Marie recueillit son âme sous la forme d'une colombe et le déclara martyr. En effet, les étudiants qui vivent chastement et étudient avec diligence sont de vrais martyrs. | |
TC0142 | TE018764 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 16, 2 | Le frère Christian de Himmerod, quand il était encore étudiant, fut logé une fois dans une maison inconnue. La nuit, il sortit pour faire ses besoins, n'ayant sur lui qu'un pantalon. Le diable sous la forme d’une femme nue sauta sur son dos et le chevaucha jusqu'au matin. | |
TC0142 | TE017862 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 33 | Un clerc qui avait étudié la nécromancie à Tolède apparaît damné à un condisciple. Il lui conseille d’abandonner la nécromancie et d’entrer dans l’ordre cistercien. |
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TC0142 | TE017889 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : II, 10 | Un étudiant parisien qui ne réussissait pas à dire ses péchés en confession, les écrit sur une charte, sur le conseil du prieur de Saint-Victor. Cette liste des péchés est miraculeusement effacée. | |
TC0142 | TE017861 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 32 | Un étudiant devait sa science à une pierre magique donnée par le diable. Malade et proche de la mort, il se confessa et rejeta la pierre. Les démons emportèrent son âme et lui firent subir des tourments infernaux. Renvoyé sur terre après sa mort par l’intervention divine, le ressuscité se fit moine cistercien. Par la suite, en raison de mérite de sa vie, il devint abbé à Morimond. |
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TC0142 | TE018944 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IX, 20 | À Rijssen, un étudiant vit du sang dans le calice lors de la messe. Le prêtre qui était sans péché n'y vit rein. Quant à l’étudiant, il quitta peu après le clergé et devint chevalier. En attaquant et en pillant des gens, il versait ainsi lui-même le sang du Christ. | |
TC0142 | TE018763 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 16, 1 | Le frère Christian de Himmerod, quand il était encore étudiant, fut logé une fois chez une matrone, dont la fille souffrait de la gale [scabies]. L'hôtesse demanda à Christian s'il savait quelque chose contre cette maladie. Il dit que non, mais la matrone insista : les étudiants savaient tant de choses! Vaincu, il lui donna la recette d'une pommade. Malgré le fait que cette pommade était sans utilité contre la gale, la fille retrouva immédiatement la santé, sans doute, grâce à la simplicité de Christian. | |
TC0142 | TE018005 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 20 | Un étudiant parisien qui avait injurié saint Abraham meurt trois jours plus tard. | |
TC0142 | TE017869 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 38 | Philippe change ses bons habits de chanoine avec ceux d'un pauvre étudiant. Arrivé à l’abbaye de Bonnevaux, il se voit refusé l’entrée car on le juge trop pauvre. Devant son insistance, il est accepté et devient bientôt abbé de la communauté. | |
TC0142 | TE017935 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : III, 10 | Un diable succube passe la nuit dans le lit d'un étudiant est se fait reconnaître de lui le lendemain. L’étudiant nonchalant s'en moque. | |
TC0142 | TE018531 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 4 | A Tolède, des étudiants en nécromancie demandèrent à leur maître d’expérimenter ce qu’ils avaient appris. Il les conduisit dans un champ et les entoura d’un cercle, précisant qu’il ne fallait absolument pas en sortir, ne rien donner ou promettre aux démons et ne rien accepter d'eux. Les démons apparurent sous la forme d’hommes s'entraînant aux armes, puis sous la forme de femmes dansant. Une des femmes offrit un anneau à un étudiant, qui l’accepta, et le démon l’enleva. Forcé par les menaces de ses disciples, le maître entama des négociations avec le chef des démons et le convainquit de restituer le malheureux. L'étudiant, terrifié par ce qu’il avait vu en enfer, abandonna la nécromancie et se fit moine chez les Cisterciens. |
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TC0142 | TE018493 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 74 | Pour lui avoir désobéi en mangeant une pomme d'un jeune pommier, un étudiant nommé Conrad perd l'amitié et la protection de son oncle, doyen de la cathédrale de Cologne. | |
TC0155 | TE016139 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 11 | Ayant écouté son maître citer « Aimez Dieu de toute votre pensée », un étudiant quitte l’école le premier jour de cours et entre dans un monastère. | |
TC0155 | TE016261 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 137 | À Tolède, quelques étudiants en nécromancie demandent instamment à leur maître de leur montrer son art. Le maître accepte, mais trace au préalable un cercle autour du groupe, afin d’empêcher que quelqu’un soit emporté. Les diables surgissent sous l’apparence de jeunes filles. Un des étudiants succombe à la tentation, met la main en dehors du cercle et est entraîné par les diables. Ses compagnons font intervenir le maître en le menaçant de mort. Celui-ci entame des négociations avec le chef des démons et le convainc de restituer le malheureux. Revenu de l’enfer, l’étudiant cesse la magie et devient moine. |
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TC0158 | TE016510 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 83 | Le sûtra du Mânava qui étendit sa chevelure sous les pas du Buddha.– Un jeune étudiant (mânava) triomphe dans une discussion avec des brahmanes en pays étranger; on lui donne cinq cents pièces de monnaie, mais on refuse de lui accorder la jeune fille qui avait été promise au vainqueur. Le Mânava continue sa route; la jeune fille part d'elle-même à sa poursuite, mais elle ne peut le rejoindre et, arrivée dans le royaume de Dipavati, elle entre dans le palais du roi avec la charge d'approvisionner ce palais de fleurs. Le Mânava la rencontre et lui achète cinq fleurs; il offre celles-ci à Dipamkara Buddha en même temps qu'il étend sa chevelure sur le sol pour que le Buddha puisse traverser un endroit humide sans se souiller les pieds; il reçoit ensuite la prédiction qu'il deviendra plus tard Çâkya le Tathâgata. |
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TC0158 | TE016971 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 429 | L'étudiant et l'ermite.– Les disciples d'un sage ermite se prêtent les uns aux autres une aide réciproque; seul un jeune étudiant ne pense qu'à lui. Aussi, quand il tombe malade, il ne se trouve personne pour le soigner. L'ermite vient le voir et lui enseigne que, dans la vie en communauté, chacun doit traiter son upâdhyâya comme son père et ses condisciples comme ses frères. |
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TC0159 | TE017635 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Un étudiant reproche à l’un de ses anciens camarades d’avoir abandonné les études. Il lui rappelle qu’avant, il négligeait tout pour ses apprentissages et leurs devoirs et que maintenant, il préférait la boisson (calices, i.e. coupes) aux livres (codices), il préférait le saumon (salmone) à Salomon (Salomone). Il déplore que ce changement ne soit pas celui de la main droite de Dieu. | |
TC0159 | TE017555 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Alain de Lille rencontre un de ses anciens étudiants qui s’étonne que son maître ait une situation moins enviable et plus ordinaire que ses anciens disciples, devenus évêque ou abbé. Alain lui répond qu’un homme pauvre, ne recherchant rien, ne possédant rien, est plus fortuné qu’un évêque. N’importe qui peut être élu évêque quand il faut de l’exigence pour devenir un bon clerc. | |
TC0159 | TE017623 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Les pauvres insouciants ressemblent aux cancres. Si on donne une petite pièce à un pauvre de ce genre, il la dépense tout de suite en aliments qui lui feront plaisir plutôt que de l’économiser. De la même manière, les mauvais étudiants dédaignent les choses de peu de valeur et n’atteignent jamais celles qui sont précieuses. | |
TC0159 | TE017636 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Alors qu’un étudiant rentrait au pays, le cheval qui portait son sac chargé de livres trébucha et tomba dans l’eau, perdant toute la cargaison. Un théologien marchait derrière, dépourvu de livres mais riche de son savoir. Comme le dit le proverbe : " Si les pages périssent, la mémoire nous suit" . | |
TC0159 | TE017642 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Le philosophe Antisthène ne voulait plus prendre d’étudiants. Devant l’insistance de Diogène il le menaça d’un gourdin. Diogène répondit qu’aucun bâton n’est assez dur pour empêcher sa loyauté. | |
TC0159 | TE017646 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Un laïc demande dans quelle faculté, à Paris, on trouve le plus d’étudiants. Ce n’est ni en Arts, ni en Logique. Mais au contraire, en Musique où les étudiants râlent et grommèlent plutôt qu’ils n’étudient. | |
TC0159 | TE017628 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | A Athènes, la philosophie florissait. Un homme se met à l’entrée du Portique. Quand un étudiant se présente, il l’injurie. S’il voit dans l’étudiant un signe d’impatience, il ne lui permet pas d’entrer. | |
TC0159 | TE017571 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Platon demanda à Socrate comment éviter d’envier ses élèves. Socrate lui répondit « Sois comme Thersite ». |
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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