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32occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0158
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0158 | TE016853 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 379 | Le rusé voleur.– Il coupe la tête de son oncle, qui a commis un vol avec lui, pour qu'on ne le reconnaisse pas; il fait les funérailles de son oncle sans jamais se laisser prendre; il possède la fille du roi. Cinq ans plus tard, l'enfant né de la fille du roi reconnaît son père; le voleur est donc découvert, mais on lui pardonne. |
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TC0158 | TE016476 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 49 | Les animaux reconnaissants et l'homme ingrat.– Un religieux sauve un chasseur, un corbeau et un serpent qui sont tombés dans un gouffre. Le corbeau vole une pierre précieuse sur la tête de la reine et l'apporte au religieux; celui-ci en fait don au chasseur qui le dénonce: le religieux est sauvé par l'intervention du serpent qui lui fournit un remède grâce auquel il guérit le fils du roi piqué par le serpent. |
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TC0158 | TE016891 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 401 | L'arhat faussement accusé d'avoir volé un bœuf.– L'arhat Revata, faussement accusé d'avoir volé un bœuf, est jeté en prison. Il est délivré par son disciple (cf. n° 124). | |
TC0158 | TE016850 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 376 | Le bœuf et l'âne.– Le bœuf et l'âne s'en vont de nuit manger les haricots du roi; l'âne se met à braire d'aise, il est pris et cruellement puni. | |
TC0158 | TE017031 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 489 | Le religieux qui s'appropria les cinq cents perles données à la communauté.– Un animal monstrueux, sans mains ni pieds, rampe dans un bourbier infect. Il a été dans une existence antérieure un vihâra-svâmin qui s'est approprié les cinq cents perles données par des marchands à la communauté. |
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TC0158 | TE016855 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 381 | Les deux frères «Excellente action » et «Mauvaise action».– Le roi de Vârânasî a deux fils; l'un, qui est né sous d'heureux auspices, est appelé Chan-hing; le second dont la naissance a été entourée de mauvais présages est appelé Ngo-hing. Le roi d'un autre royaume promet sa fille en mariage à Chan-hing. Celui-ci va sur mer pour faire fortune. Ngo-hing l'accompagne et quand son frère aîné s'est procuré la perle qui fait se réaliser les désirs, il la lui dérobe après lui avoir crevé les yeux, et revient dans son pays où il est proclamé roi à la mort de son père. L'aveugle Chan-hing arrive à la cour du roi qui lui avait promis sa fille ; cette jeune fille, sans le reconnaître, déclare qu'elle ne veut que lui pour époux; Chan-hing recouvre la vue. |
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TC0158 | TE017009 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 467 | Les pierres, la terre et l'eau changées en or.– Pour avoir donné une pièce d'or à un çramana, trois hommes ont le privilège, dans une existence ultérieure, que les pierres, la terre et l'eau se changent pour eux en or; quand le roi veut s'emparer de cet or, il se mue de nouveau en pierres, en terre et en eau. |
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TC0158 | TE016667 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 220 | Les cinq cents aveugles trahis par leur guide.– Cinq cents aveugles en voyage sont trahis par leur guide qui les abandonne après leur avoir pris la pièce d'argent que chacun d'eux possède. Le Buddha vient à leur aide et leur rend la vue. | |
TC0158 | TE016987 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 445 | Les deux fils du roi Prasenajit.– Des deux fils du roi Prasenajit, celui qui est né de la seconde femme a un bonheur constant qui est un effet de ses existences antérieures ; en vain le prince héritier, son frère, cherche à le dépouiller de ses richesses, puis à l'accuser de rébellion. | |
TC0158 | TE016774 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 323 | Partage du butin entre des voleurs.– Une bande de voleurs a partagé son butin en parts égales. Il ne reste qu'un manteau de laine qui est remis au plus faible d'entre eux. Celui-ci se croit lésé, mais il vend le manteau à un prix considérable et gagne, à lui seul, deux fois plus que tous ses compagnons réunis. | |
TC0158 | TE016759 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 309 | Celui qui prétendit faussement que son cheval était mort.– Un homme part en guerre sur un cheval noir pour combattre des brigands, mais, saisi de frayeur, il se barbouille le visage de sang et se couche parmi les morts. Son cheval ayant été volé, il coupe la queue d'un cheval blanc et, la lutte étant terminée, il veut rentrer chez lui où il prétend que son cheval est mort et qu'il n'a rapporté que sa queue. Un assistant lui dit : « Votre cheval était noir; comment se fait-il que cette queue soit blanche ?» |
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TC0158 | TE016758 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 308 | Celui dont on fendit la joue parce qu'il avait fourré du riz dans sa bouche.– Un homme remplit sa bouche de riz dérobé. Sa femme lui ayant adressé la parole, il ne voulait pas cracher le riz et ne parlait pas; elle, croyant qu'il avait un abcès dans la bouche, le dit à son père qui fit venir un médecin; celui-ci fendit la joue du pauvre homme et le riz s'en échappa. | |
TC0158 | TE016564 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 124 | Le çramana accusé, à tort, d'avoir volé un bœuf.– Un çramana est accusé, à tort, d'avoir volé un bœuf; il est jeté en prison, mais délivré par son disciple, lequel punit la ville en l'ensevelissant sous une pluie de sable. |
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TC0158 | TE016798 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 344 | Le chasseur revêtu d’un kâsâya et l'éléphant.– Un éléphant à la mort de son père et de son grand-père enterre leurs défenses, sachant que c'est pour s'en emparer que les chasseurs tuent les éléphants. Survient un chasseur, il lui donne les défenses de son grand-père; mais le chasseur va boire et perd chez le marchand de vin la valeur de son ivoire. Il retourne dans la forêt et l'éléphant lui donne les défenses de son père. L'homme s'enivre de nouveau. La troisième fois, pour surprendre l'éléphant, il se revêt d'un kâsâya (vêtement religieux) et décoche une flèche empoisonnée entre les yeux de l'éléphant qui, par respect pour le kâsâya, ne se venge pas avant de mourir. (Cf. n° 28.) |
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TC0158 | TE016568 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 128 | L'homme qui voulait dérober la marmite d'or.– Un homme s'introduit dans l'assemblée des religieux avec l'intention de voler une marmite d'or appartenant au temple; mais il est converti par les enseignements bouddhiques et considère dès lors la marmite comme son maître. | |
TC0158 | TE016541 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 111 | La femme adultère qui nargue le renard parce qu'il a lâché un épervier pour prendre un poisson.– Une femme adultère est dépouillée de ses biens et abandonnée par son amant. Elle se moque d'un renard qui lâche un épervier pour essayer vainement de prendre un poisson; mais elle-même a agi plus sottement encore (cf. t. II, p. 368). | |
TC0158 | TE016999 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 457 | L'homme qu'on accuse d'avoir volé une perle.– Un homme nie avoir dérobé une perle de grand prix; pour lui faire avouer sa faute, on l'enivre et on lui fait croire qu'il est né parmi les devas pour avoir volé la perle; mais il a autrefois entendu cette parole des livres saints : «Les devas ne clignent pas des yeux». Or les prétendues devis qui l'entourent clignent toutes des yeux; il n'est donc pas dupe de la supercherie. | |
TC0158 | TE016608 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 166 | Lo-yun-tchou (Râhulamani?) était un disciple de Çâriputra; pour avoir dérobé la nourriture d'un Pratyeka Buddha, il endura pendant des kalpas (milliards d’années) illimités la condition de démon affamé, puis étant redevenu homme, il souffrit de la faim pendant cinq cents générations. Maudgalyâyana ayant pitié de lui, mendia de la nourriture et la lui donna, mais elle fut aussitôt enlevée par un grand oiseau; Çâriputra fit le même geste, mais elle fut changée en boue; Mahâkâçyapa également, mais la bouche du disciple de Çâriputra se ferma sans pouvoir se rouvrir. Le Buddha seul réussit à lui faire absorber de la nourriture. |
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TC0158 | TE016784 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 333 | Celui qui, attaqué par des brigands, perdit son manteau.– Deux hommes sont attaqués par des brigands; l'un se réfugie dans les herbes; l'autre, dépouillé de son manteau, offre aux brigands de le leur racheter avec une pièce d'or, laquelle est cousue a l'intérieur du manteau, et il ajoute que son compagnon est un excellent essayeur d'or, s'ils veulent s'assurer que la pièce est en or. Ce sot perdit donc à la fois son manteau, sa pièce d'or et son compagnon. | |
TC0158 | TE016753 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 303 | Le mari, la femme et la galette.– Un mari et sa femme ont convenu qu'une galette appartiendra à celui d'entre eux qui gardera le plus longtemps le silence; des voleurs surviennent, le mari les laisse tout prendre dans sa maison, et même enlever sa femme sans rien dire. | |
TC0158 | TE016480 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 53 | Le brahmane qui s'accuse d'avoir volé de l'eau dans un étang.– Un brahmane s'accuse d'avoir volé de l'eau dans un étang. Le roi lui dit d'attendre dans son parc le moment d'être jugé et l'y oublie pendant six jours. Quand on va le chercher, le brahmane tombe d'inanition. La reine se moque de lui; le roi lui fait des offrandes. Dans une existence ultérieure le roi devient le Buddha; mais avant d'atteindre à l'illumination, il passe par six années d'abstinence afin d'expier la faute qu'il a commise en oubliant le brahmane pendant six jours; quant à la reine qui est devenue Yaçodharâ, elle est punie de ses moqueries en étant enceinte de Râhula pendant six ans. |
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TC0158 | TE016709 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 259 | Le voleur qui a volé une pièce de soie brodée et s'en sert pour envelopper des tapis.– Un voleur enveloppe de vieux tapis déchirés avec une étoffe de prix. | |
TC0158 | TE016483 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 56 | Le roi-singe qui fait traverser une rivière à cinq cents singes.– Le Bodhisattva, étant un roi-singe, sauve cinq cents singes en leur faisant traverser une rivière sur un pont improvisé formé d'une corde de rotin et de son propre corps. Il se livre au roi du pays pour que celui-ci pardonne aux autres singes d'avoir volé des fruits dans son parc. Le roi, admirant qu'un animal ait des sentiments supérieurs aux siens, ordonne qu'on nourrisse les singes dans son royaume et que dorénavant on ne leur fasse aucun mal (cf. t. I, nos 18 et 57). | |
TC0158 | TE017010 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 468 | La jarre magique.– Un homme a reçu d'un religieux une jarre magique qui lui fournit tout ce qu'il désire; le roi la lui ayant enlevée, le religieux lui donne un autre vase duquel sortent bâtons et pierres qui tuent les gens du roi, en sorte que celui-ci est obligé de restituer la jarre (cf. n° 199). | |
TC0158 | TE016440 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 15 | Le roi Ho-mo et le voleur.– Le roi Ho-mo avait toutes les perfections. Un jour, dans son royaume, un homme, à bout de ressources, commet un vol et avoue sa faute. Le roi, se sentant responsable de la misère de ses sujets, leur donne ses biens et accroît ainsi la prospérité de toute la région. Le souverain obtient les cinq bonheurs : après sa mort, il naît parmi les devas Trâyastrimças et aucun de ses sujets ne va en enfer |
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TC0158 | TE016694 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 244 | Le pâtre de la montagne qui avait volé des vêtements royaux.– Un pâtre prétend tenir de son père et de son grand-père des vêtements royaux qu'il a dérobés; mais, invité à revêtir ces habits, il ne sait comment s'y prendre. | |
TC0158 | TE016848 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 374 | L'épouse infidèle du faux Brahmadatta, l'oiseau aux ailes d'or et le fils de la kinnarî.– A la suite d'un naufrage, la femme d'un marchand aborde dans une île où elle est prise pour épouse par l'oiseau aux ailes d'or; elle met au monde deux fils, l'un qui est le fils du marchand, l'autre qui est le fils de l'oiseau; quand ils sont devenus grands, le second emporte le premier et le substitue au roi Brahmadatta sur le trône de Vârânasî. Le pseudo-Brahmadatta, constatant qu'une bergère est plus vertueuse que les femmes de son harem, prend pour épouse Miao-jong, fille de la bergère, et la donne pendant le jour à son frère l'oiseau aux ailes d'or qui l'emporte quotidiennement dans une île. Un homme s'unit à une kinnarî qui le retient dans une caverne. Chou-tsi, le fils né de cette union, réussit à déplacer le rocher qui fermait la caverne et à s'enfuir; la Kinnarî lui envoie une guitare merveilleuse qui, lorsqu'on touche la première corde, met en danse hommes et choses. Chou-tsi est jeté par un naufrage dans l'île où est gardée Miao-jong, il s'unit à elle. Grâce à un subterfuge de Miao-jong qui s'est chargée de pierres pour augmenter graduellement son poids, l'oiseau aux ailes d'or transporte sans s'en apercevoir Chou-tsi en même temps que Miao-jong à Vârânasî. Chou-tsi est frappé de cécité. Le pseudo-Brahmadatta s'apercevant que Chou-tsi est l'amant de Miao-jong, les chasse tous deux. Miao-jong sacrifie son mari aveugle pour suivre un chef de brigands. Elle est abandonnée par celui-ci après avoir été dépouillée de tout ce qu'elle possédait. Miao-jong raille le chacal qui a lâché sa proie pour tenter vainement de prendre un poisson. Le chacal se moque de Miao-jong et de son impudicité. Il consent cependant à la faire rentrer en grâce auprès du roi (cf. n° 108). |
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TC0158 | TE016733 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 283 | Le pauvre homme qui imite le cri du canard.– Le voleur imitant le cri du canard a le tort de répondre : « Je suis un canard» au gardien demandant qui est dans l'étang du roi. | |
TC0158 | TE016732 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 282 | Le bœuf volé.– Des villageois nient avoir volé un bœuf; on cesse d'admettre leurs dénégations quand ils vont jusqu'à dire que les directions de l'espace et que les moments du temps n'existent pas. | |
TC0158 | TE016877 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 400 [B] | Le perroquet animé de piété filiale.– Un perroquet recueille des fleurs et des fruits pour ses parents aveugles. Le maître d'un champ le prend dans un filet, mais quand il apprend pour quelle raison touchante il a été volé, il remet en liberté son prisonnier. | |
TC0158 | TE016718 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 268 | Le trafiquant qui déroba de l'or.– Un voleur met un lingot d'or brûlant dans une pièce d'étoffe; il abîme l'étoffe et se fait prendre. | |
TC0158 | TE016731 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 281 | L'esclave qui garde la porte.– L'esclave chargé de garder la porte de son maître et de surveiller l'âne, s'en va en mettant la porte sur le dos de l'âne. La maison est dévalisée. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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