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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: doyen | deacon | Dekan | decano | decano
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001439 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 39, 3 | A Reims, un doyen très sévère double la punition d’un chanoine, son neveu, coupable de luxure : sa prébende est donc suspendue pour deux années. |
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TC0001 | TE001438 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 39, 2 | A Reims, un sévère doyen d’origine anglaise, fait fouetter un chanoine qui vient d’être élu évêque au siège de Chalôns en Champagne. |
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TC0001 | TE001420 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 31, 3 | Jean de Nivelles, doyen de l’église de Liège, souffrait de la goutte; il refusait de se soigner pour ne pas interrompre sa prédication. | |
TC0001 | TE001397 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 30, 8 | Mort sans confession d’un chanoine sodomite. Il hurle de terreur à la vision des démons qui l’attendent. | |
TC0131 | TE008165 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 712, 1-18 | UN ERMITE VOIT SAINT BERNARD ENTRANT AU CIEL. 1/Un évêque de Londres trouvant un ermite dans une solitude lui demanda qui il était. 2/ Il répondit: "J'ai été doyen de la cathédrale de Londres; mais j'ai tout quitté et suis venu ici mener une vie de pénitence pour gagner les honneurs du ciel. 3/ - Hélas, mon père, dit l’évêque, quand vous étiez doyen j'étais votre chapelain 4/ et je le serai encore si nous voulez car je me dessaisirai en votre faveur: vous serez évêque et moi votre chapelain. 5/ - Je vise, dit l’ermite, à conquérir un honneur plus durable. 6/ - Au moins, dit l’évêque, je vous demande, si jamais vous mourez avant moi, de revenir me dire ce que vous aurez trouvé, si Dieu vous le permet. 7/ - Si Dieu le permet, dit l’ermite, je viendrai." 8/ Quand il eut encore vécu au désert vingt-cinq ans, il apparut à l’évêque en grande gloire et lui dit: 9/ "Je suis le pauvre que tu as vu au désert. - Ah, mon père, dit l’évêque, de par Dieu soyez le bienvenu. Qu'avez-vous trouvé dans l’autre monde? 10/- Grâce à Dieu, je suis du nombre des sauvés. - Hélas, dit l’évêque, vous avez déjà passé le ruisseau de la mort et nous autres sommes encore sur la rive; 11/ vous êtes en possession des avantages du paradis et nous en sommes encore à les attendre. 12/ Au moins, puisque vous êtes sauvé, apprenez-nous comment nous le serons. - Vous le serez tous si vous le voulez, répondit l’esprit: 13/ Dieu a créé tous les hommes pour qu’ils soient sauvés s’ils le veulent; mais ils ne le veulent pas tous. 14/ En même temps que moi il en est mort trente mille, sur lesquels nous ne sommes que cinq à être sauvés: trois au purgatoire et deux au paradis. 15/ Les deux qui sont au paradis, c'est un abbé de Bourgogne nommé Bernard de Clairvaux et moi. 16/ Dieu nous a fait à tous deux cette faveur de nous donner paradis sans purgatoire; les trois autres sont au purgatoire et les trente mille moins cinq sont en enfer." 17/ Là-dessus l’esprit quitta l’évêque en le recommandant à Dieu; et l’évêque demeura en larmes. 18/ Nous devons penser qu’il fit ensuite quelqu’effort pour être sauvé. |
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TC0131 | TE008480 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 357, 1-7 | LE DOYEN D'AMIENS QUI SE FIT ERMITE. 1/ Un doyen d’Amiens partit pour la Terre Sainte; son successeur y alla aussi et entendit un berger qui chantait le Salve Regina. 2/ Il lui demanda qui il était et s’aperçut que c'était son prédécesseur. 3/ Celui-ci refusa absolument de revenir avec lui et lui dit qu’il goûtait mieux la présence de Dieu et qu’il avait plus de sentiments de dévotion en gardant ses brebis qu’il n'en avait jamais eu quand il était doyen d’Amiens. 4/ Lorsqu’il rentra à Amiens, le doyen raconta tout cela à ses compagnons. 5/ En entendant son récit, plusieurs sentirent augmenter leur piété et eprouvèrent du mépris pour les honneurs et plaisirs du monde 6/ pour la sainteté et l’humilité qu’ils entendaient dire de ce saint homme. 7/ Tout le monde en fut ému de dévotion. |
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TC0142 | TE019034 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 45 | Winrich, un chanoine de Saint-Cassius de Bonne, apparut après sa mort à Erwin, un chanoine de la cathédrale de Cologne, et l’invita pour telle date à la chapelle de Saint Nicolas. Il lui dit de plus de passer l'invitation à Henri, deuxième doyen de Cologne, connu pour être très avare. Erwin raconta tout à Henri, et celui-ci comprit qu'il allait bientôt mourir. Il tomba malade et mourut le jour prédit. Quant à Erwin, il commença lui aussi à se préparer pour la mort, se confessa et communia, mais resta en vie. |
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TC0142 | TE018612 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 4, | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, reçut une fois des moines à dîner. N'ayant pas de légumes ni poisson, il leurs fit faire un plat de viande et le présenta comme un turbot. Un moine trouva une oreille de porc dans son écuelle et le signala à Ensfried. Celui-ci, feignant l'indignation, répondit que les moines ne devaient pas être si curieux, et que les turbots avaient, effectivement, des oreilles. | |
TC0142 | TE018613 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 5 | Le diable, jaloux des vertus d'Ensfrid, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, voulut l'effrayer en lui annonçant la mort et une maladie continuelle. Le plan du diable échoua : la prophétie rendit Ensfried encore plus pieux et fervent. | |
TC0142 | TE018607 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 3 | Christian, doyen de Bonn, invita Hermann, abbé de Himmerod, à dîner chez lui. Comme tous les plats contenaient de la viande, Christian ordonna à un serviteur d'enlever les morceaux de lard des pois destinés à l’abbé. L’abbé se mit simplement à les manger, mais un moine qui l'accompagnait lui montra les traces de lard. L’abbé renvoya son plat. Puis, sur le chemin de retour, il dit au moine : « Si tu ne m'avais pas montré des traces de lard dans nos pois, j'aurais pu, comme ignorant, bien manger sans commettre de péché ! » | |
TC0142 | TE018611 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 3 | En route vers l’église Saint-Géréon, Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, fut approché par un mendiant. N'ayant pas de moyens pour l'aider, Ensfrid dénoua les cordons de son pantalon et le laissa tomber par terre. A Saint-Géréon, quand Ensfrid se plaça devant le feu pour se réchauffer, il ne souleva pas, comme d'habitude, son manteau. Son neveu nommé Frédérique le remarqua et fit avouer à Ensfried à contre-cœur qu'il n'avait pas, en effet, de pantalon. Voici comment cette histoire devint connue de tous. | |
TC0142 | TE018610 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 2 | Pour nourrir les pauvres, Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, coupa secrètement des tranches aux jambons que son neveu, chanoine de la même collégiale, gardait pendus dans sa cuisine. | |
TC0142 | TE018628 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 6, 2 | Everchard, un clerc de l’église de Hildesheim, perdit la vue. Il retrouva la santé sur la tombe du doyen Hermann. | |
TC0142 | TE018614 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 6 | Arnold, futur archevêque de Cologne, invita Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, à dîner chez lui un jour de fête. Ensfried refusa sous prétexte d'avoir des invités plus importants. Après la messe, Godefroid, lui aussi chanoine à Saint-André, vit Ensfrid accompagner plusieurs pauvres et malades, aveugles et boiteux, et les aider malgré son âge avancé et sa santé fragile. Godefroid le signala à Arnold: le deux furent beaucoup instruits par cet exemple. | |
TC0142 | TE018615 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 7 | A l'occasion du jour de la saint Brunon, l'évêque de Cologne, un banquet pour les ecclésiastiques fut organisé dans le réfectoire de l’abbaye Saint-Pantaléon, fondée par ledit Brunon. Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André, y vint accompagné par des mendiants et refusa d'entrer sans eux. | |
TC0142 | TE018629 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 6, 3 | Un homme malade fit un pèlerinage aux reliques de martyrs, mais n'y retrouva pas la santé. Sur un conseil de quelqu'un il fit un vœu à Hermann, le doyen de Hildesheim, et fut guéri. Il visita la tombe d'Hermann le jour de sa commémoration et raconta ce qui lui était arrivé. | |
TC0142 | TE018617 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 9 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, invita son voisin Lambert avec sa femme pour un dîner. Les invités attendirent longtemps qu'on leur apporte le plat principal, mais en vain : il n'y avait que du pain sur la table. Lambert qui connaissait bien la générosité exceptionnelle d'Ensfried envers les pauvres demanda à un serviteur s'ils avaient encore quelque chose à manger. Le serviteur répondit qu'au dernier moment Ensfried avait tout envoyé aux pauvres. Lambert fit alors apporter de la nourriture de sa maison. | |
TC0142 | TE018616 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 8 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, en demandant l'aumône pour ses bâtiments disait que donner aux pauvres était encore mieux. | |
TC0142 | TE018626 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 18 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, entendit un jour quelqu'un parler de la mauvaise vie des clercs séculiers, et dit brusquement : « Ils vivent tous de la même manière ! » - comme s'il voulait dire 'tel arbre tel fruit'. En effet, il savait bien que très peu de clercs obtenaient leur office conformément au droit canonique, et non pas par simonie ou népotisme. | |
TC0142 | TE018624 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 16 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, fut un jour attaqué dans l’église même, par un écossais ivrogne qui, en lui menaçant avec un couteau, demanda de l'argent. Heureusement, un jeune chanoine entra et bouscula violemment l'agresseur. Il l'aurait tué, mais Ensfried, ayant pitié de son ennemi, arrêta le chanoine en disant que c'était pour rire. | |
TC0142 | TE018618 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 10 | Lambert, citoyen de Cologne, visita un jour la cuisine de son voisin et ami Ensfried, doyen de la collégiale Saint-André de Cologne. Il y vit rôtir plusieurs oies et poulets et pensa qu'Ensfried s’occupait bien de sa famille. Quand le rôti fut prêt, Ensfried entra, découpa la volaille en tranches et envoya tout aux veuves et aux nécessiteux. | |
TC0142 | TE018619 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 11 | A Cologne, une femme maltraitée par son mari lui vola une somme d'argent assez importante. Quand le mari l'en accusa, elle jeta l'argent dans la fosse d'aisance pour écarter les soupçons. Désolée, elle confessa tout à Ensfried, doyen de la collégiale Saint-André de Cologne. Il lui proposa d'en parler avec le mari, mais la femme ne l'osait pas, par peur d’être encore plus battue. Le doyen lui dit : « Si je pouvais récupérer de l'argent, voudrais-tu le donner aux pauvres ? » La femme consentit. Ensfried approcha alors le mari et lui demanda la permission de purger la fosse et de récupérer ce qu'il y trouverait. Le citoyen qui connaissait bien la sainteté d'Ensfried pensa que celui-ci avait eu une révélation quelconque, et donna son accord. Ensfrid fit purger la fosse, trouva de l'argent et le distribua en aumônes en quelques jours. |
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TC0142 | TE018625 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 17 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, rencontra un jour l’abbesse de Sainte-Ursule escortée par un groupe frivole de clercs, de jeunes dames et de servantes très bavards. Le doyen, au contraire, était suivi par des mendiants. Enflammé par le zèle de la discipline, Ensfried lui fit remarquer que, en tant qu’abbesse, elle devrait plutôt être suivie, comme lui, par des pauvres et non pas par des jongleurs. La femme rougit et n'osa pas de contredire. | |
TC0142 | TE018609 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 1 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, quand il était encore curé à Siegburg, ordonna à son économe de laisser les écoliers se gaver de cerises dans les arbres. A son avis, il n’était pas nécessaire de leur donner une autre nourriture, ce que les enfants approuvèrent avec enthousiasme. Au bout de quelques jours, l’économe remarqua que ne manger que les cerises n’était pas bon pour la santé, et Ensfrid lui donna raison. | |
TC0142 | TE018621 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 13 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, sentit sa mort approcher et vendit sa maison au profit des pauvres, car il doutait des exécuteurs testamentaires et voulait lui-même contrôler la dépense de la somme obtenue. Quand l'acheteur, lui aussi chanoine de Saint-André nommé Conrad, dit qu'il voulait bien disposer de la maison, Ensfried répondit tout simplement : « Mon cher Conrad, où dois-je aller ? Il me reste si peu de temps à vivre, attendez un peu ! » Conrad lui permit de rester dans la maison vendue. | |
TC0142 | TE018620 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 12 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, se trouva un jour sans rien pour manger. Il entra alors dans la boulangerie de la collégiale, se renseigna pour qui avait été fait chaque pain, puis emporta ceux qu'il savait être cuits pour les riches. | |
TC0142 | TE018622 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 14 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, achetait souvent aux pauvres des choses dont il n'avait pas besoin, juste pour les aider. Un jour, il vit un pauvre essayer de vendre – sans succès - des éventails et ordonna à René, l’écolâtre de Saint-André, de s'en acheter quelques-uns. René dit qu'il n'en avait pas besoin, mais Ensfried insista : « Offrez-les donc à vos amis ! » René qui connaissait la compassion d'Ensfried pour les pauvres, obéit. | |
TC0142 | TE019071 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 12 | Un doyen de Palerme envoya son serviteur chercher un cheval égaré. Le serviteur rencontra un vieillard mystérieux qui lui dit que le cheval se trouvait dans le mont Gyber, et qu'il était désormais en possession du roi Arthur. Puis le vieillard dit au serviteur que son maître le doyen était invité à cette cour royale dans deux semaines. Le doyen se moqua de l’invitation, mais mourut le jour fixé. | |
TC0142 | TE018623 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 15 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, entendit un jour les cris d'un jeune écolier que l’écolâtre de la même collégiale s'apprêtaient à fouetter. Ensfried entra d'un saut dans l’école et, en brandissant son bâton contre l’écolâtre, libéra l'enfant et s’écria : « Qu’est-ce que tu fais, tyran ? Ton devoir est enseigner les enfants, non de les tuer ! » | |
TC0142 | TE018493 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 74 | Pour lui avoir désobéi en mangeant une pomme d'un jeune pommier, un étudiant nommé Conrad perd l'amitié et la protection de son oncle, doyen de la cathédrale de Cologne. | |
TC0142 | TE018912 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 77 | Maître Jean, doyen de la cathédrale Aix-la-Chapelle, tomba malade. Son état s'aggrava. Au seuil de la mort, il vit saint Martin, saint Gothard de Hildesheim et saint Bernward de Hildesheim apparaître près de son lit. En leur présence, le mourant fut pesé sur une balance. Il apparut qu'il pesait trop peu à cause de ses péchés. Les saints mirent alors sur sa poitrine un enfant mendiant que Jean avait aidé. Son poids s'augmenta. Ainsi sauvé, il commença à se remettre. |
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