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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: repentir | repentance | Reue | arrepentimiento | pentimento
12occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0165
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0165 | TE018461 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 15, pp. 317-318 | Un homme nommé Folquet ne prend pas la vertu au sérieux. Son âme est chargée de graves péchés. Un jour, alors qu'il se parle à lui-même, il admet qu'il risque de finir en enfer, et accepte les conseils qu'il se donne : changer de voie et revenir en arrière. Il se tourne immédiatement vers Dieu, devient moine cistercien, puis évêque de sa patrie, vivant une vie sainte. |
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TC0165 | TE018348 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 95, pp. 177-178 | Un autre paysan, qui écoute des voix trompeuses, est convaincu que les abeilles seront plus productives s'il souffle dans sa ruche avec une hostie dans la bouche. Lorsqu'il prend l'hostie et commence à souffler, il la fait accidentellement tomber dans la ruche. Lorsqu'il ne la voit plus, le paysan s'en va. Ce n'est qu'au bout de trois ans, malade et mourant, qu'il se repent de son action et se confesse. A l'ouverture de la ruche, l'hostie se présente, au prêtre et à ceux qui l'accompagnent, intacte comme si elle venait d'y être déposée. |
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TC0165 | TE018359 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 106, pp. 196-204 | Eskilo, à seize ans, est envoyé par ses parents en Saxe pour étudier. Gravement malade, il reçoit l'extrême onction et, à l'agonie, est laissé pour mort. Pris par une vision, il entre dans une maison dans laquelle il est immédiatement enveloppé de flammes et se croit condamné pour l'éternité. C'est alors qu'il voit un passage menant à un palais. Lorsqu'il entre dans le palais, il voit la Vierge Marie sur un trône, qui lui reproche d'avoir osé se présenter devant elle. Trois personnes vénérables prennent sa défense et la Vierge fait semblant d'être en colère contre lui pour ne lui avoir jamais exprimé sa dévotion. Terrifié, Eskilo demande pardon et propose de payer pour sa libération. Lorsque la Vierge lui demande cinq sortes de blé, le jeune homme promet de payer. Il se réveille à la surprise de tous, ne pouvant que remercier Dieu de ne plus être au sein des flammes. Une fois la vision racontée, un homme sage lui dit qu'il sait qu'Eskilo sera un homme important pour l'Église et qu'il devra construire à ses frais cinq monastères d'ordres différents avec au moins douze moines pour chacun. Devenu évêque de Lund, Eskilo fonde d'abord les cinq monastères, puis de nombreux autres, à ses frais et à ceux d'autres fidèles, pour les Cisterciens, les Chartreux et les Prémontrés, non seulement au Danemark mais aussi en Saxe, en Slavonie, en Suède et en Norvège, travaillant en même temps à éradiquer le paganisme et l'hérésie, qu'il abhorre. Un noble de ces terres refuse d'obéir à Eskilo et de se séparer de sa femme, une parente de sang ; excommuniée, la femme est retrouvée morte dans son lit, la gorge tranchée par un démon. Un autre homme riche se marie avec la femme d'un autre chevalier et Eskilo, après de nombreux avertissements non entendus, lui inflige un anathème. Les deux pécheurs sont étouffés dans leur sommeil avec leurs deux enfants. La notoriété de l'événement convainc de nombreux pécheurs de changer de vie. Elie, le dixième évêque de Ribe, au Danemark, trouve l'hostie qu'il a laissée intacte, divisée en cinq parties pour signifier, comme on le comprendra plus tard, les cinq évêques, dont Elie, qui dans le schisme entre Alexandre III et Victor IV prend le parti de ce dernier. Plus tard, Elie, plus intéressé par la richesse que par l'âme de ses fidèles, refuse, sur le point de mourir, de se confesser et de communier. Il est retrouvé mort, étouffé par les démons et jeté sur un phare. Le frère d'Eskilo meurt sans confession et sans lui avoir demandé pardon pour l'avoir offensé à tort. Un jour qu'Eskilo est en train de prier, son frère apparaît devant lui, en silence, avec une attitude pénitente, enveloppé de flammes, à l'exception de son cou, sa tête et le haut de ses épaules. Stupéfait, Eskilo ne parle pas mais, tourmenté par le chagrin de son frère, il demande le lendemain de nombreuses messes et prières pour lui au chapitre. Tout ce qui précède a été dit à Herbert par Eskilo lui-même. |
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TC0165 | TE018206 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 12, pp. 39-40 | Un homme vénérable de Clairvaux, encore vivant du temps d'Herbert, était un amateur de jeux avant de devenir moine. Un jour, alors qu'il assiste à une compétition de dés, il est frappé plusieurs fois comme par une main invisible. Ne sachant que faire, il supporte les coups douloureux en silence pour ne pas être remarqué, comprenant qu'ils sont la punition de ses péchés. Une voix divine lui dit que tout lui sera pardonné s'il devient moine à Clairvaux. Il accepte silencieusement, faisant ainsi disparaître les coups et la douleur. Famille et biens abandonnés, il entre à Clairvaux le lendemain. |
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TC0165 | TE018223 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 27, pp. 56-57 | Le diable tente un moine de Clairvaux, qui se prépare à s'échapper du monastère. La nuit, il voit saint Bernard et saint Malachie en rêve, bénissant les moines dans le dortoir. Lorsqu'ils arrivent devant lui, Malachie l'accuse d'être un mauvais moine, et Bernard le frappe avec un bâton. Le moine se réveille dans la douleur et est conduit à l'infirmerie, où il confesse au prieur qu'il voulait s'échapper. Acceptant la pénitence, il est débarrassé des tentations. |
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TC0165 | TE018221 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 25, p. 55 | Le même abbé raconte qu'il a vu un démon offrir une coupe de vin rouge à tous les moines réunis dans le chœur, et disparaître lorsque l'un d'eux l'a prise et l'a bue. L'abbé appelle à lui le moine qui lui confesse qu'il a décidé à ce moment de céder à la convoitise et d'abandonner le monastère. Lorsque l'abbé lui décrit la vision qu'il vient d'avoir, le moine se repent. Il accepte la pénitence et est renforcé dans sa décision de ne plus jamais se laisser vaincre par la tentation. |
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TC0165 | TE018341 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 88, pp. 171-172 | Pierre, abbé de Saint-Rémy à Reims, fait le récit d'un miracle, taisant le nom du protagoniste qu'il ne veut pas calomnier. Un prêtre est appelé devant le pape pour se défendre contre l'accusation d'avoir commis des crimes. Coupable, il prétend être innocent, préférant le risque d'être excommunié à la perspective d'avouer ses torts. A son retour, sa conscience le persécute et il entre au monastère, mais ne se confesse pas. Un jour, alors qu'il célèbre la messe, l'hostie et le calice se dérobent à lui. Terrifié et repenti, il se confesse. |
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TC0165 | TE018392 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 139, pp. 253-255 | Herbert raconte une histoire bien connue dans la région de Langres, où elle s'est produite trois ans plus tôt. Un homme se dispute avec un autre ; il le croit si cupide et est si sûr de sa damnation qu'il promet de donner sa propre âme au diable si ce dernier n'emporte pas celle de l'avare. Celui-ci part alors en pèlerinage à Jérusalem, où il meurt repenti, après s'être confessé : le diable apparaît alors en rêve au premier homme et réclame l'âme qui lui a été promise. Terrifié, l'homme demande un répit de trois jours et le prêtre, à qui il demande de l'aide, lui dit que le seul espoir de salut est d'entrer dans le monastère voisin de Morimond. L'homme accepte, mais n'étant alors plus troublé par d'autres rêves, il reporte son entrée au monastère. Le troisième jour, le diable revient et accorde un nouveau délai d'un jour. Sur la route de Morimond, à une bifurcation, l'homme se sépare un bref instant de l'ami qui l'accompagne et est plus tard retrouvé mort, étouffé par un mauvais esprit. L'ami s'enfuit et raconte à tous ce qui s'est produit. |
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TC0165 | TE018435 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 3, pp.304-305 | Un adolescent laïc (messager de Hugues, abbé de Bonnevaux) meurt dans le même monastère. Peu avant cela, alors qu'il était malade, il avait voulu se confesser devant le sous-prieur, qui lui avait alors imposé une très légère pénitence. Le jour de son enterrement, il apparaît à Hugues au milieu de l'après-midi pour se confesser à nouveau, car il est torturé et souffre de châtiments pour ne pas avoir accompli une pénitence à la mesure de son péché. Hugues le confesse et lui demande s'il pense pouvoir obtenir le salut. Le défunt répond par l'affirmative, il est confiant dans ses chances à partir du moment où ses frères prient pour lui. Lorsqu'il se réveille, Hugues trouve les larmes du mort sur ses vêtements et confirme la vérité de la vision alors qu'il en parle avec le sous-prieur. |
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TC0165 | TE018334 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 82, pp. 163-164 | Un moine de Clairvaux a un régime alimentaire et des contraintes sanitaires spéciales. Un jour, il a une vision dans laquelle la Vierge Marie apporte un ciboire contenant un précieux remède qu'elle offre à tous les moines. Arrivée devant lui, elle dit "comme tu es un médecin avisé, tu n'as pas besoin de moi, tu peux te soigner toi-même". Immédiatement repenti, le moine accepte de changer son mode de vie et Marie l'autorise à boire comme les autres. Après avoir goûté au doux liquide, il n'a plus de faiblesses physiques et peut manger comme les autres, car il est désormais fort de corps et d'esprit. |
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TC0165 | TE018333 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 81, pp. 163 | Un diacre, non loin de l'abbaye cistercienne de Louth Park dans le Lincolnshire, quitte les ordres et abandonne la tonsure. Peu après, alors qu'il est sur le point de mourir, il se repent et demande à retrouver sa tonsure, mais il est incapable de la reproduire correctement. Il meurt donc sans porter le signe clérical, devenant lui-même un exemple pour les prêtres apostats. L'histoire se déroule deux ans avant qu'Herbert ne l'écrive. | |
TC0165 | TE018331 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 79, pp. 159-161 | Dans le diocèse de Meaux, une mère porte un petit garçon appelé Hungerus, remerciant Dieu de l'avoir rendu si beau et si sain. Son mari ajoute qu'il est un bel enfant et qu'il sera un bon prêtre, mais la mère s'y oppose, voulant que son fils soit un appui pour leur vieillesse, et non un prêtre. Dès que les mots sont prononcés, l'enfant fait une crise d'épilepsie et la mère, repentie, demande à Dieu de sauver l'enfant, prête à s'offrir en échange. Emmené le lendemain au monastère de Fontaines-les-Nonnes, elle prie la Vierge Marie et lui donna son fils, qui guérit immédiatement. Il est alors débarrassé des crises. Devenu prêtre, il entre dans l'ordre des Prémontrés, au monastère de Valsery, près de Soissons, où il reste jusqu'à sa mort, tout comme son père qui le rejoint au monastère. Le frère de Hungerus, Radulfus, gravement malade, a une vision dans laquelle il descend lui-même dans une vallée profonde et sombre, tandis que des moines demandent à Hungerus pourquoi il ne sauve pas son frère qui descend aux enfers. À son réveil, Radulfus décide d'entrer dans le même monastère que son frère, ce à quoi il n'avait jamais pensé auparavant. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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