ThEMA
Thesaurus Exemplorum
Thesaurus Exemplorum
Medii Aevi
- HomeAccueilStartseiteHomePágina principal
- CollectionsRecueilsSammlungenRaccolteColecciónes
- Source textsTextesOriginaltextTesto originaleTexto original
- KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves
- SearchChercherSuchenCercaBuscar
- AboutÀ proposÜberA propositoAcerca de
- DownloadsTéléchargementsDownloadsDownloadsDescargas
- Log inSe connecterAnmeldenAccessoIniciar sesión
KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: famille | family | Familie | familia | famiglia
3occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0029
(view allvoir toutalle anzeigenvedi tuttover todos)
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
---|---|---|---|---|---|
TC0029 | TE005224 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : T. Le dit des annelés, p. 188-216 | Préambule (v. 1-20). ~ L’exemple du roi Antiochus (v. 21-62). L’exemple du paysan qui avait promis une vache et un veau à saint Michel (v. 63-84). ~ Une dame du Boulonnais part en pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle avec son mari (v. 85-108). Celui ci la surprend un soir dans une auberge au moment où elle se met au lit avec un chevalier qu’ils avaient rencontré en route et qui lui avait fait la cour (v. 109-211). Dans son égarement, elle va jusqu’à renier son mari, qui doit prouver sa qualité dans un combat judiciaire. Finalement la femme se repent, mais son époux ne veut pas lui pardonner (v. 212-360). Revenu dans son pays, le chevalier trompé convoque les parents de la femme et leur raconte l’aventure sans nommer les personnages. Tous sont d’avis que la coupable mérite d’être brûlée (v. 361-457). Le mari se contente pourtant d’exposer l’épouse infidèle, au large de Wissant, dans un bateau sans agrès, après avoir jeté son anneau d’or dans la mer et enfoncé dix anneaux de fer (les "annelés") dans ses doigts (v. 456-83). La femme est emmenée par le courant jusqu’à une île déserte; elle est recueillie par un riche et généreux seigneur qui aborde par hasard en ce lieu. Elle repousse une offre de mariage (v. 484-610). Le seigneur l’établit avec douze béguines sur le chemin de Saint Jacques (v. 611-38). Un jour, le mari retrouve, l’anneau d’or de sa femme dans un poisson préparé pour' sa table. Troublé par ce signe de Dieu, il part en pèlerinage à Compostelle dans l’espoir d’obtenir du saint des renseignements sur le sort de son épouse (v. 639-70). Ils se rencontrent, et les anneaux de fer, qui lui avaient causé de violentes souffrances, tombent d’eux mêmes au moment où le mari lui pardonne (v. 671-771). ~ Conclusion (v. 772-80). |
|
TC0029 | TE005222 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : R. Le dit de Merlin Mellot, p. 141-149 | Préambule (v. 1-4). ~ Deux pauvres bûcherons mènent une vie misérable; l’un d’eux a même une grande famille à nourrir (v. 15-27). Celui-ci est resté un jour seul dans le bois, se lamentant sur son sort malheureux (v. 28-40). Une voix: c'est Merlin Mellot qui lui exprime des sentiments de pitié et lui dit d’aller chercher un grand trésor caché dans la cour de sa propre maison (v. 41-61). Le bûcheron trouve la fortune annoncée, et tout d’un coup il a de nombreux amis (v. 62-83). Au bout d’un an, il retourne dans le bois demander au "seigneur Merlin" de devenir prévôt; son voeu est réalisé. Malgré le conseil de la voix, il méprise les pauvres et se fait remarquer par sa dureté de coeur (v. 84-108). Encore une année passe, et il retourne demander à "sire Merlin" que son fils soit évêque de Blanqueberque; sa demande est satisfaite (v. 109-24). De nouveau il retourne demander à "Merlin" que sa fille épouse le fils du grand prévôt d’Aquilée; le voeu est réalisé (v. 125-36). Comblé, il décide de ne plus aller au bois, mais sa femme exige qu’il prenne au moins congé de la voix. Il s’y rend à cheval avec deux écuyers et s’adresse à la voix (qui a dû se réfugier dans un arbre) en l’appelant orgueilleusement "Mellot" tout court (v. 137-60). Merlin Mellot lui annonce qu’il sera précipité de nouveau dans la misère ainsi qu’il l’a mérité (v. 161-76). Peu à peu il est dépouillé de ses biens, et son fils et sa fille meurent (v. 177¬208). Le vilain bûcheron finit par se retrouver dans la même situation qu’au début du récit (v. 209-12). ~ Conclusion (v. 213-24) |
|
TC0029 | TE005210 | Jehan de Saint-Quentin | Dits de Jehan de Saint-Quentin [Olsen, 1978] : F. Le dit de l’enfant rosti, p. 55-61 | Avant de mourir, un bourgeois très pieux recommande à, son fils de loger et de nourrir tous les jours deux pauvres (v. 6-40). La femme du jeune homme a accouché d’un fils huit jours avant Noël (v. 41-52). La veille de Noël, le diable frappe à la porte de la maison sous les apparences d’un pauvre malade; il est bien reçu (v. 53-56). Peu de temps après, le Christ, également sous l’aspect d’un pauvre, s’y présente à son tour; les deux malheureux sont bien servis (v. 56-66). Le lendemain, le jeune bourgeois se propose d’aller à la messe; le Christ tient à l’y accompagner, le diable reste dans la maison sous prétexte d’une maladie (v. 67-80). Il envoie la servante chercher de l’eau fraîche à une source lointaine; pendant son absence, il jette le petit enfant dans le brasier allumé et disparaît (v. 81-100). La servante, effrayée à la vue de l’enfant à moitié brûlé, court à l’église prévenir le père (v. 101-112). Celui ci, ayant imploré le Seigneur de le secourir, ordonne à la servante de ne faire semblant de rien et de cacher les restes de l’enfant dans un drap blanc (v. 113-31); puis il rentre à la maison avec son hôte et fait préparer le repas (v. 132-43). Le Christ refuse la nourriture offerte en disant qu’il préfère le mets enveloppé dans le drap; le bourgeois fort étonné et attristé le lui apporte (v. 144-59). Le Christ ressuscite l’enfant mort et le bourgeois comprend qu’il a reçu la visite du Seigneur (v. 160-72). ~ Conclusion (v. 173-78). Prière (v. 179-80). |
|
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0