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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: philosophie | philosophy | Philosophie | filosofía | filosofia
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0010 | TE000845 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 7, 1 | Il faut penser à la mort. Interrogé par un disciple sur la meilleure parole qu’il connaissait, Platon répondit que la philosophie suprême était de méditer assidûment sur la mort. | |
TC0011 | TE003049 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 105b | Qu'a été l’homme ? Qu'est-il ? Que sera-t-il ? Un philosophe répond : une vile semence, un sac d’excréments, la nourriture des vers. | |
TC0020 | TE003557 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 32 | Saint Bernard discute avec les logiciens, et leur expose, à la manière de la rhétorique scolastique, l’argumentation de Dieu contre les hommes (32a). Pour un vivant raisonnable il est humiliant d’être mortel; mais pour un mortel il est glorieux d’être raisonnable, dit saint Bernard aux étudiants des écoles de logique de Paris (32b). |
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TC0021 | TE004009 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 82 | Un philosophe dit qu’un riche et un pauvre ne sauraient être de vrais amis : l’amitié supposerait qu’ils partagent. | |
TC0031 | TE005482 | Odo Cluniacensis | Collationes libri tres : Livre I, chapitre 41, col. 548 A - B | Saint Jean l’Évangéliste proférait un seul commandement : l’amour. Ses disciples sont lassés, mais Jean estime que ce précepte suffit. | |
TC0033 | TE006199 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 338 | DERNIERES PAROLES D’ARISTOTE. Aristote, à l’heure de sa mort, se vit prié par ses disciples de leur donner une ultime sentence. Il dit qu’il était entré en ce monde dans l’humiliation, avait vécu dans l’anxiété et en sortait troublé et ignare. | |
TC0033 | TE005892 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 41 | MORT DE SAINT BERNARD DANS LA CRAINTE. Saint Bernard de Clairvaux eut très peur au moment de mourir. |
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TC0034 | TE006386 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 148 | Plutarque ordonne de faire fouetter un de ses serviteurs. Ce dernier lui dit qu’en ce faisant il contredit ses propres enseignements. Plutarque répond que du moment qu’il n'y a aucun signe de colère dans ses yeux ou sur son visage, on ne peut dire qu’il a perdu son calme. | |
TC0106 | TE015785 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 47 | LA VANITÉ DU POUVOIR. Un philosophe montre à un roi la vanité de son pouvoir passé (il n’est plus), présent (il est momentané) et futur (il est douteux et ne durera pas). | |
TC0106 | TE016024 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 281 | LA RÉPONSE D’UN PHILOSOPHE À CINQ QUESTIONS. — L’empereur Adrien posa cinq questions au philosophe Second : Qu?est-ce que l’homme ? A quoi ressemble-t-il ? Comment se comporte l’homme ? Où est l’homme ? Quels sont les compagnons de l’homme ? | |
TC0106 | TE015981 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 239 | LE CIEL ET LA FANGE. — Un philosophe voulait pécher. Prenant conscience de la dignité de l’âme et de l’infamie du péché, il dit : « Rougis de ce que le ciel entre dans la fange. » | |
TC0106 | TE015763 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 26 | LE PHILOSOPHE ET LE CHICANEUR. Un philosophe est la risée d’un chicaneur parce qu’il a peur en bateau. Il lui répond qu’il faut craindre pour la vie d’un honnête homme. | |
TC0124 | TE014890 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : XLIX, 3 [534] | Saint Augustin a lu seul et compris, sans aucune aide, les livres d’Aristote. | |
TC0124 | TE015038 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : LXI, 7 [681] | Au concile de Nicée, un évêque dont la simplicité et l’ignorance étaient connues de tous sut mettre fin à l’argumentation compliquée d’un philosophe. | |
TC0137 | TE012657 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 172 | Nabuzardan fait brûler les livres. Le prince Nabuzardan fait brûler les livres écrits par Salomon : les herbiers, lapidaires, bestiaires, livres de nécromancie et de philosophie. | |
TC0138 | TE014137 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 63 | Le philosophe riche aide en secret son ami pauvre. | |
TC0159 | TE017619 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Didyme, aveugle depuis l'enfance, avait appris par l'audition seule la grammaire, la logique, la rhétorique, l'arithmétique, la géométrie et les autres disciplines philosophiques. Il connaissait la Bible à la perfection et publia de nombreuses œuvres, notamment sur la Trinité, sur les œuvres d’Origène et sur son Traité sur les Principes. Lorsque saint Antoine le vit, il luit dit de ne pas être troublé par sa cécité mais plutôt de s’en réjouir, car ses yeux sensoriels ne pouvaient être dérangés par les puces et les mouches et qu’il possédait les yeux des anges avec lesquels Dieu pouvait être vu et sa lumière examinée. |
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TC0159 | TE017625 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Socrate, ayant reçu un coup de poing, se contenta, dit-on, de remarquer « qu'il était fâcheux d'ignorer quand on devait sortir avec un casque ». | |
TC0159 | TE017642 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Le philosophe Antisthène ne voulait plus prendre d’étudiants. Devant l’insistance de Diogène il le menaça d’un gourdin. Diogène répondit qu’aucun bâton n’est assez dur pour empêcher sa loyauté. | |
TC0159 | TE017641 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Après le siège de Syracuse, Marcellus, voulu sauver la vie d’Archimède, car il tirait de sa vie épargnée autant de gloire que pour avoir pris la ville protégée par les inventions du philosophe. Cependant, un soldat, pénétrant dans la tente d’Archimède pour la piller lui trancha la tête. Ce dernier, pour sauvegarder les diagrammes qu’il avait tracé au sol et de crainte de devoir s’arrêter dans son travail, n’avait pas révélé son nom. Une même activité garantit la vie et l’enlève. | |
TC0159 | TE017563 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Platon avait légué un terrain à l’Académie sur lequel se produisaient régulièrement des séismes. Platon s’en expliqua en disant que les étudiants, terrifiés par les tremblements de terre, contempleraient la mort et refreineraient leurs vices. |
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TC0159 | TE017628 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | A Athènes, la philosophie florissait. Un homme se met à l’entrée du Portique. Quand un étudiant se présente, il l’injurie. S’il voit dans l’étudiant un signe d’impatience, il ne lui permet pas d’entrer. | |
TC0159 | TE017576 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | L’Empereur Théodose faisait souvent l’objet d’accès de colère et donnait des ordres sévères. Un philosophe le lui reprocha et lui conseilla que, dans son courroux, il devrait se concentrer sur les vingt-trois lettres de l’alphabet avant de prendre une décision. Son esprit, occupé ailleurs, se libérerait de la colère et l’excitation de la passion disparaîtrait. Ainsi, si l’empereur devait imposer quoi que ce soit, cela serait juste. | |
TC0159 | TE017574 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Valère Maxime rapporte qu’Archytas de Tarente avait appris la philosophie loin de chez lui, auprès de Pythagore. Lorsqu’il revint dans son domaine, il le trouva dévasté par la négligence de son curateur. Furieux, Archytas refusa de le punir car il valait mieux qu’il reste impuni plutôt qu’il le soit injustement et excessivement sous le coup de la colère. De la même manière, offensé par un serviteur, Platon entra dans une colère noire. Craignant de manquer de modération dans sa punition, il confia à son ami et neveu Speusippe le soin de l’exécuter car l’incartade d’un domestique et sa punition excessive sont toutes deux à proscrire. Valère Maxime estime que Platon est plus modéré qu’Archytas, qui est trop généreux. |
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