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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: cloche | bell | Glocke | campana | campana
23 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001511 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 53, 9 | Un faucheur dévot arrête de travailler quand sonnent les cloches pour les vêpres la veille d’une fête. Ses compagnons se moquent de lui quand il reprend le travail, c'est alors qu’il trouve une pièce d’or dans la moisson, il rend grâce à Dieu et fait l’aumône. | |
TC0001 | TE001526 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 53, 34-35 | En Brabant, Thomas de Cantimpré rencontre un paysan sur son chemin. Ce paysan lui raconte une vision qu’il eût lors des vigiles de sainte Catherine. Il voit une foule immense en haillons, une autre foule et un groupe moins nombreux resplendissant; les premiers sont les âmes des damnés, les deuxièmes les âmes du purgatoire, les troisièmes, la troupe des élus du paradis. |
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TC0011 | TE003150 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 173b-174a | Le Vendredi-Saint les cloches se taisent. Le Christ, les apôtres, la Vierge et toutes les créatures sont comparées à des cloches. | |
TC0020 | TE003839 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 314 | De peur de perdre sa vache, un homme lui attache une cloche autour du cou. On peut comparer cette vache à la femme qui mène une danse comme si elle avait une cloche diabolique au cou. Au son de la musique, le diable dit : " Je n’ai pas encore perdu ma vache" . | |
TC0028 | TE005054 | Federicus Visconti | Sermons et visite pastorale [dir. Bériou, 2001] : Sermo 81 §7, p. 945 | Saint Sabas dissuade ses moines d’aller chercher leur nourriture au lieu de prier, alors que la disette sévit pendant la semaine sainte; des marchands de la ville leur apportent le nécessaire. |
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TC0030 | TE005380 | anon. | Libro de los Gatos [Darbord, 1984] : 55 | Les souris veulent échapper au chat. L’une d’elles propose que soit attachée une clochette au coup du chat. Toutes approuvent mais aucune ne veut attacher la clochette. | |
TC0033 | TE006207 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 346 | CONVERSION DU FILS DU COMTE DE CREPY. Lors de la consécration de l’église de Crépy, l’ouverture du tombeau du comte révéla la présence d’un énorme crapaud dévorant le visage du mort, ainsi que de vers et de serpents. Ceux qui étaient présents en furent épouvantés. Le fils du comte, à cette vue, réfléchit à la mort, abandonna tout et se fit pauvre pour le Christ. Certains de ses damoiseaux le suivirent dans son errance après avoir vendu leurs chevaux et leurs biens dont ils distribuèrent le produit. Vivant d’aumônes, le jeune comte, en parcourant une ville, choisit la demeure la plus pauvre où il ne reçut qu’une croûte de pain noir et un fragment de tuile dans lequel buvaient les poules. Il n’acceptait rien d’autre de ses compagnons qui pleuraient en voyant le sang sortir de sa bouche. Parvenant à Rome, il s’y fit charbonnier. Il révéla son origine à un cardinal, son confesseur. Plusieurs années plus tard, entrant dans la maison de ce cardinal pour y livrer du charbon, il fut emporté par la maladie après avoir reçu les sacrements. Les cloches de la ville se mirent à sonner d’elles-mêmes, à l’étonnement du pape auquel le cardinal en apprit la cause. Les hommes du comte qui étaient à sa recherche et se trouvaient à la cour pontificale le trouvèrent mort. |
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TC0106 | TE015962 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 220 | CONVERSION DU FILS DU COMTE DE CRÉPY. Lors de la consécration de l’église de Crépy, l’ouverture du tombeau du comte révéla la présence d’un crapaud dévorant le visage du mort. Le fils du comte, à cette vue, quitta tout et se mit à vivre d’aumône. A Rome, il se fit charbonnier pour un cardinal et se confessa à lui. Il mourut saintement et les cloches de la ville retentirent miraculeusement. |
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TC0124 | TE014742 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : XXX, 2 [388] | Une mère lavait la tête de son fils un samedi alors que sonnaient les vêpres ; ses mains se couvrirent de sang. | |
TC0129 | TE007306 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 109a | Le diable a tenté de vaincre la patience de saint Beno?t en brisant la clochette qui lui signale l’arrivée du moine chargé de le nourrir. | |
TC0131 | TE008156 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 703, 1-7 | BEATRICE LA SACRISTINE. 1/ Notre-Dame sonna un an les cloches d’une abbaye de dames et remplit la fonction de sacristine 2/ à la place de Béatrice sa religieuse qui tentée par le diable s’était enfuie avec un homme. 3/ Chaque jour de cette année Notre-Dame envoyait sa ration à une femme en prison, tout comme le faisait Béatrice. 4/ Au bout de l’an Béatrice revint et demanda à la prisonnière que devenait Béatrice. 5/ Elle lui répondit: "Elle va bien: tous les jours elle m'envoie sa ration." Alors elle rentra à l’église et Notre-Dame lui rendit ses clefs et son habit. 6/ Béatrice raconta au chapitre tout ce qui lui était arrivé, afin que soit manifestée la bonté de Notre-Dame. 7/ A la suite de ce miracle elle s’attacha, elle et plusieurs autres, à servir Notre-Dame. | |
TC0131 | TE008478 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 355, 1-5 | LE CHIEN A LA CLOCHETTE. 1/ La fable raconte qu’un chien était fier d’une chochette qu’on lui avait attachée parce qu’il était méchant. 2/ Un autre chien lui dit qu’il aurait lieu d’en être honteux plutôt que fier, parce que cette cloche signalait qu’il était méchant. 3/ C'est pour dire qu’il y a des gens qui sont semblables à ce chien: 4/ ils prennent pour un honneur ce qui doit faire honte et pour une honte ce qui doit faire honneur. 5/ Ils sont dans la situation du fou qui est plus fier de sa massue que ne serait fier un homme sensé s’il avait toutes les vertus. | |
TC0136 | TE009863 | anon. | Rothschild Canticles : 1 | En hiver, une femme noble quitte la messe et se rend dans le clocher, le temps de donner son manteau à une pauvre femme qui souffre du froid. Le prêtre lui demande où elle est allée, car durant son absence il n’a pas pu continuer de dire la messe. Ainsi Dieu a-t-il voulu que la bonne dame ne soit privée d’aucune parole de la messe en raison de sa charité. |
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TC0137 | TE012814 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 329 | La peur de la mort mène certains hommes vers le bien. Quand le corps d’un comte fut exhumé on trouva un crapaud sur son visage et des vers et des serpents qui le dévoraient. Tous s’enfuirent effrayés et le fils du comte après avoir vu l’état du mort se fit pauvre, vivant des aumônes jusqu’à ce qu’il arrive à Rome où il vécut comme charbonnier. Quand il mourut toutes les cloches de Rome sonnèrent pour lui parce qu’il était désormais considéré comme bienheureux. |
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TC0142 | TE018703 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 29 | Dans l’archevêché de Trêves, un prêtre passait son temps dans une taverne, quand une grosse tempête éclata. Le prêtre se dépêcha vers l’église avec le sonneur. Quand ils se mirent à sonner les cloches, une forte rafale les jeta par terre. La foudre frappa le prêtre et le tua, le sonneur en rechapa. On trouva le corps du prêtre intact, seules les parties génitales furent brûlées, parce que le prêtre avait été fornicateur. Entre-temps, le sonneur vit des démons insulter l’église, mais les saints dont les reliques y étaient se levèrent et mirent les démons en fuite. |
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TC0142 | TE018605 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 56 | Un sonneur de cloches qui allait partir en pèlerinage, promit à une femme du même village qui partait, elle aussi, en pèlerinage, de sonner les Matines plus tôt que d'habitude. La nuit, le diable le réveilla et lui dit d'aller sonner. Le sonneur comprit qu'il était encore trop tôt et, en pensant que c’était la femme qui l'avait réveillé, sortit de l’église pour lui dire d'aller dormir. Tout à coup, il vit le diable sous l'aspect d'un bœuf noir qui l’emporta dans l'air, jusqu'à la tour d'un château. Le diable lui proposa de conclure un pacte avec lui, sinon, il le laisserait là mourir de faim ou le ferait tomber du haut de la tour. Le sonneur refusa et ordonna au diable, au nom du Christ, de le déposer par terre. Le diable le fit, mais loin du village où le sonneur habitait. Il lui fallut quatre jours pour y retourner. | |
TC0142 | TE018035 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 45 | Un certain noble chevalier nommé Baudoin, avoué de la cité de Brunswick, fut fait moine cistercien dans l'abbaye de Relaxhusen. Il exagéra l'austérité malgré les reproches de l'abbé et du maître des novices, devint fou et se pendit à la corde de la cloche. La cloche se mit alors à sonner, et Baudoin fut sauvé par le gardien du monastère: il survécut mais en ayant perdu toutes ses capacités. |
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TC0142 | TE018636 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 9, 2 | Un moine de Burtscheid, très simple et pieux, vint une fois à Cologne et y fut logé dans la maison d'un certain Abraham. La nuit, le moine entendit les cloches de la cathédrale sonner les Matines. En se hâtant vers l’église, il sortit par une fenêtre qu'il avait prise pour une porte. Les anges le déposèrent à terre et il ne s'en rendit pas compte avant qu'il ne retourne à la maison et qu’Abraham ne lui demande comment il était sorti. | |
TC0148 | TE015400 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 1007 | LE SAC ET LE LIVRE DU DIABLE. — Le sacristain d’une abbaye se leva pour aller sonner les matines quand il vit le diable qui portait un sac rempli et avait un livre à la main. Au sacristain qui lui demandait qui il était, le diable répondit qu’il était le moine chargé de faire la ronde et qui tenait éveillé les moines au dortoir, les faisait dormir à l’église, faire des signes inconvenants et jeter des miettes de tous côtés au réfectoire. Son sac en était plein, disait-il, et le livre qu’il portait était couvert des négligences des moines. Il ajouta qu’il haïssait par dessus tout le chapitre car c?était là qu’il perdait tout le fruit de son labeur à cause des confessions et des accusations qui y étaient faites ainsi que des pénitences. | |
TC0155 | TE016179 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 52 | Un diable, prenant l’aspect d’un jeune homme, offrit ses services à un noble chevalier. Serviteur impeccable, il soigne la femme de son maître en lui apportant du lait de lionne. Ayant compris qui est, en réalité, son serviteur, le maître le renvoie. Le diable le prie de dépenser une partie de sa rémunération pour acheter une cloche d’église. Comme on l'apprend plus tard, le son de cette cloche détourne les gens de la prière. | |
TC0155 | TE016223 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 95 | Un jeune moine pense qu’il a confessé tous ses péchés. Le diable lui apparaît en lui montrant un feuillet avec ses péchés non-confessés. Le moine prie le diable de lui donner le feuillet, mais celui-ci refuse. Le moine se jette sur le diable. Le diable s’enfuit et le moine le poursuit à travers le monastère jusqu’à ce que ce diable se cogne contre une cloche et lâche le feuillet. Le moine reprend le feuillet et confesse aussitôt tous ses péchés. Le diable, triste, l’attend près de sa cellule. Le moine lui rend le feuillet que le diable trouve complètement effacé. | |
TC0161 | TE017718 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XIV, 03 | COMMENT UN MOINE DU DÔJÔJI DE LA PROVINCE DE KII A SECOURU DES SERPENTS EN COPIANT LE LOTUS DE LA LOI.– Deux moines partis en pèlerinage s’arrêtent dans la maison d’une veuve qui tombe amoureuse du moine le plus jeune. Elle lui demande de l’épouser, mais il refuse de rompre son vœu. La femme tente de le séduire pendant toute la nuit et le moine lui promet de s’unir à elle dès son retour. Mais, effrayé par cette idée, le moine s’enfuit par un autre chemin. La femme ayant appris la nouvelle se désole et meurt. Un serpent sort de sa chambre et part à la poursuite des deux moines qui se réfugient dans le monastère du Dôjôji. Les moines enferment alors le jeune moine dans leur cloche. Le serpent parvient à entrer et s’enroule autour de la cloche et la frappe pendant des heures. Les moines intrigués voient des larmes de sang sortir des yeux du serpent qui repart à vive allure. La cloche s’embrase et le jeune moine se consume entièrement. Plus tard, le doyen du monastère voit en songe un très grand serpent qui lui dit avoir été le moine enfermé dans la cloche et s’être marié avec la mauvaise femme transformée en serpent venimeux. Ce grand serpent implore le vieux moine de copier le Lotus de la Loi afin de lui enlever toute douleur. Le doyen copie alors le sûtra et le célèbre avec les moines à l’intention des deux serpents .Après cela, le doyen voit en songe un moine et une femme qui lui disent avec un air très joyeux qu’ils sont dépouillés de leur corps de serpent pour renaître au ciel. |
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TC0162 | TE017784 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. Lavigne-Kurihara, 2002] : XIV, 03 | COMMENT UN MOINE DU TEMPLE DE DÔJÔJI, EN LA PROVINCE DE KI, SAUVE DES SERPENTS EN COPIANT LE SÛTRA DU LOTUS DE LA LOI.– Deux moines partis en pèlerinage s’arrêtent dans la maison d’une veuve qui tombe amoureuse du moine le plus jeune. Elle lui demande de l’épouser, mais il refuse de rompre son vœu. La femme tente de le séduire pendant toute la nuit et le moine lui promet de s’unir à elle dès son retour. Mais, effrayé par cette idée, le moine s’enfuit par un autre chemin. La femme ayant appris la nouvelle se désole et meurt. Un serpent sort de sa chambre et part à la poursuite des deux moines qui se réfugient dans le monastère du Dôjôji. Les moines enferment alors le jeune moine dans leur cloche. Le serpent parvient à entrer et s’enroule autour de la cloche et la frappe pendant des heures. Les moines intrigués voient des larmes de sang sortir des yeux du serpent qui repart à vive allure. La cloche s’embrase et le jeune moine se consume entièrement. Plus tard, le doyen du monastère voit en songe un très grand serpent qui lui dit avoir été le moine enfermé dans la cloche et s’être marié avec la mauvaise femme transformée en serpent venimeux. Ce grand serpent implore le vieux moine de copier le Lotus de la Loi afin de lui enlever toute douleur. Le doyen copie alors le sûtra et le célèbre avec les moines à l’intention des deux serpents .Après cela, le doyen voit en songe un moine et une femme qui lui disent avec un air très joyeux qu’ils sont dépouillés de leur corps de serpent pour renaître au ciel. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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