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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: royaume | realm | Königreich | reino | regno
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0010 | TE000837 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16481, Sermo 78, 1 | Le monde rend à ceux qui le servent " un beau rien ". Saladin, qui avait onze royaumes, se mit à songer à la fin des honneurs de ce monde. Il devint alors une sorte de prédicateur qui, dans toutes les villes par où il passait, faisait porter devant lui un suaire, et crier : " De tous ses royaumes, Saladin n'emportera pas plus que ce suaire ". | |
TC0010 | TE000927 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16482, Sermo D6 | Il faut éviter de retomber dans le péché. Saint Bernard persuada quelqu’un qui s’était confessé à lui de s’abstenir de pécher, le premier jour, au nom de la Vierge; le jour suivant, au nom de son saint patron; les jours suivants encore, au nom d’autres saints. À ce régime, au bout de sept ou huit jours, il déclarait qu’il ne voulait plus pécher, même si on lui offrait pour cela le royaume de France. | |
TC0020 | TE003644 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 119 | Saladin ordonne qu’après sa mort on fasse promener dans tout le royaume un morceau de son linceul, et qu’un héraut proclame qu’il n’a rien emmené d’autre avec lui. | |
TC0139 | TE013148 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 1, pp 1-2 du texte hébreu | Dix rois seulement ont régné et règneront sur le monde entier : Dieu, Nemrod, Joseph, Salomon, Achab, Nabuchodonosor, Cyrus, Alexandre le Grand. Le neuvième sera le Messie, et le dixième sera le premier, c'est-à-dire Dieu lui-même. |
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TC0157 | TE017390 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 107, p. 187, l. 22 – p. 187, l. 25 | Roboam aurait pu suivre le conseil des anciens et parler avec douceur au peuple d’Israël. Il se serait soumis à son pouvoir. Mais il sépara dix tribus du reste, et réduisit d’autant la force du royaume. | |
TC0157 | TE017338 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 89, p. 535, l. 22 – p. 535, l. 35 | David avait été sacré roi par Samuel, et Saül avait été refusé par le jugement de Dieu. Mais tant que Saül vécut, David n’usurpa pas même la plus petite partie de son royaume. Et même après sa mort, il demanda timidement à Dieu le droit de résider dans une ville du royaume. Il demanda à Dieu dans quelle ville. Dieu lui répondit : à Hébron. Jusqu’à ce que Dieu répète son commandement, David n’aurait jamais présumé occuper le pouvoir. | |
TC0157 | TE017358 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 99, p. 98, l. 9 – p. 99, l. 10 | L’histoire sainte nous raconte qu’Athalie, femme de Joram apprit que son fils Ochozias, roi d’Israël, était mort, elle commença à tuer la famille royale et, comme la déesse Bellona, elle voulut mettre à mort tous les héritiers de David. Mais le prêtre Yehoyada mit à l’abri Joas, fils d’Achazia, le cacha dans le temple pour six ans et l’éduqua pour qu’il puisse récupérer le pouvoir. Puis, il entreprit de réformer la vie des prêtres du temple, ses compagnons. Il fit réparer les bâtiments, et publia des décrets sur la vie des prêtres. Car comme le royaume appuie l’Église, il s’appuie aussi sur elle. | |
TC0158 | TE016927 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 407 [E] | L'eau répandue sur le Buddha Candana.– En répandant de l'eau sur le Buddha Candana les habitants d'un royaume mettent fin à une sécheresse et s'assurent toutes sortes de bonheurs. | |
TC0158 | TE016515 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 88 | Sûtra du souverain Brahma.– Le Buddha expose comment, dans des existences antérieures, il a été Brahma, puis Çakra, puis roi cakravartin, et comment, dans cette dernière condition, il gouverna avec sagesse. | |
TC0158 | TE016855 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 381 | Les deux frères «Excellente action » et «Mauvaise action».– Le roi de Vârânasî a deux fils; l'un, qui est né sous d'heureux auspices, est appelé Chan-hing; le second dont la naissance a été entourée de mauvais présages est appelé Ngo-hing. Le roi d'un autre royaume promet sa fille en mariage à Chan-hing. Celui-ci va sur mer pour faire fortune. Ngo-hing l'accompagne et quand son frère aîné s'est procuré la perle qui fait se réaliser les désirs, il la lui dérobe après lui avoir crevé les yeux, et revient dans son pays où il est proclamé roi à la mort de son père. L'aveugle Chan-hing arrive à la cour du roi qui lui avait promis sa fille ; cette jeune fille, sans le reconnaître, déclare qu'elle ne veut que lui pour époux; Chan-hing recouvre la vue. |
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TC0158 | TE016666 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 219 | Un homme puissant devient nâga et pond un œuf d'où sortent des calamités.– Un homme puissant commet des actions mauvaises dans un royaume sans que personne ne le réprimande ; il renaît sous la forme d'un nâga et fait alors déposer dans le royaume où il avait autrefois vécu un œuf d'où sortent des calamités sans nombre; il veut ainsi punir les habitants qui ne lui ont pas adressé de remontrances et qui ont par là causé sa perte. |
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TC0158 | TE016510 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 83 | Le sûtra du Mânava qui étendit sa chevelure sous les pas du Buddha.– Un jeune étudiant (mânava) triomphe dans une discussion avec des brahmanes en pays étranger; on lui donne cinq cents pièces de monnaie, mais on refuse de lui accorder la jeune fille qui avait été promise au vainqueur. Le Mânava continue sa route; la jeune fille part d'elle-même à sa poursuite, mais elle ne peut le rejoindre et, arrivée dans le royaume de Dipavati, elle entre dans le palais du roi avec la charge d'approvisionner ce palais de fleurs. Le Mânava la rencontre et lui achète cinq fleurs; il offre celles-ci à Dipamkara Buddha en même temps qu'il étend sa chevelure sur le sol pour que le Buddha puisse traverser un endroit humide sans se souiller les pieds; il reçoit ensuite la prédiction qu'il deviendra plus tard Çâkya le Tathâgata. |
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TC0158 | TE016856 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 382 | Les deux chiens du roi.– Les deux chiens du roi ont dévoré le harnachement du cheval du roi; ordre est donné de faire périr tous les chiens du royaume, mais on épargne les chiens du palais; ceux-ci sont à la fin reconnus coupables parce que, après les avoir fait vomir, on retrouve des débris du harnachement dans leurs déjections (cf. n° 361). | |
TC0158 | TE016473 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 46 | La femme du Bodhisattva, enlevée par un nâga, est retrouvée grâce au roi des singes – Le Bodhisattva (appelé aussi le Révélateur) abdique la royauté pour n'avoir pas à entrer en guerre avec son oncle; il se réfugie dans les montagnes avec sa femme; celle-ci est enlevée par un nâga, malgré l'opposition d'un oiseau gigantesque. Le Bodhisattva se met à la recherche de la reine; un roi des singes qu'il a aidé à reconquérir son royaume lui prête son appui; la reine est retrouvée. |
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TC0158 | TE016760 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 310 | Les moines intéressés.– Un roi ordonna que tous les brahmanes de son royaume fussent astreints à se laver. Un brahmane qui ne se conformait pas au règlement déclara qu'il ne se lavait, en apparence, que pour être dispensé des corvées auxquelles étaient soumis ceux qui ne se lavaient pas. | |
TC0158 | TE016749 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 299 | Le comédien déguisé en démon.– Dans le royaume de Gandhâra, une bande de comédiens voulant échapper à une disette, traversaient la montagne Balasena infestée de raksas, dévoreurs d'hommes. Ils allumèrent un feu et s'endormirent. L'un deux, souffrant du froid, revêtit le costume de raksa qu'il portait sur la scène; ses compagnons s'étant réveillés, s'enfuirent effrayés; pour les rejoindre, leur camarade leur courut après et tous se précipitèrent dans un ravin où, blessés, ils reconnurent enfin leur méprise. |
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TC0158 | TE016582 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 141 | Le roi devenu çramana.– Un roi qui s'est fait çramana s'émerveille de la félicité dont il jouit depuis qu'il a quitté le trône. | |
TC0158 | TE016435 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 10 | Le roi qui offre sa tête, mise à prix, à un pauvre brahmane.– Un roi abandonne son royaume afin de lui épargner les maux d'une guerre; sa tête ayant été mise à prix par son ennemi, il se livre à un brahmane pour que celui-ci puisse toucher la récompense promise : après qu'il a été mis à mort, son fils jure de le venger; ce jeune homme parvient à s'introduire dans l'intimité du roi méchant qui a fait périr son père. Un jour qu'il le tient à sa discrétion, il réprime par trois fois son désir de le tuer en se souvenant des paroles que lui a adressées son père mourant; le roi méchant se repent alors de ses fautes et rend au jeune prince son royaume (cf. n°11 et 191). | |
TC0158 | TE016593 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 152 | Conversion des habitants d'un royaume par le Bodhisattva Maîijuçrî.– Cinq cents arhats essaient vainement de convertir les habitants d'un royaume; le Bodhisattva Manjuçrî, délégué par le Buddha, réussit dans l'entreprise. | |
TC0158 | TE016495 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 68 | Le roi qui accapare tout l'or de son royaume.– Un roi accapare tout l'or de son royaume, car il veut en avoir le plus possible pour racheter ses fautes après sa mort. Pour être assuré que personne de ses sujets ne détient plus d'or, il promet sa fille en mariage à qui lui en apportera. Afin d'obtenir la fille, un jeune homme va reprendre dans la bouche de son père défunt la pièce d'or qu'on y avait mise au moment de l'enterrement. Le roi comprend alors qu'il est impossible de faire aucun cadeau au dieu des enfers et que seule la vertu assure le bonheur dans les existences futures. |
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TC0158 | TE016497 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 70 | Sûtra (des Bodhisattvas) tuant un nâga pour sauver tout un royaume.– Pour délivrer un royaume d'un funeste nâga, deux Bodhisattvas se transforment l'un en lion, l’autre en éléphant. Le lion monte sur l'éléphant et tous deux livrent combat au nâga dont ils ne triomphent qu'au prix de leur propre vie (cf. t. III, p. 69-70). |
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TC0158 | TE016468 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 41 | Sûtra du roi P'ou-ming, l'anthropophage.– Un roi à qui son cuisinier fait manger une fois de la chair humaine lui ordonne de lui en servir tous les jours. Il est chassé par son peuple. Il jure d'immoler cent rois à la divinité d'un arbre qui veut le réintégrer dans son royaume. Il est converti au bien par la conduite vertueuse du centième qui revient de lui-même se livrer à ses coups. Histoire d’Angulimala qui est le même roi dans une autre existence. Ce roi ne voulut accepter le festin offert par un autre souverain que s'il lui était servi dans les latrines. Le souverain transforme ses latrines en palais, symbole de la souillure qui se transforme en pureté sous l'influence de la religion. |
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TC0158 | TE017000 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 458 | Le prince-héritier des deux royaumes.– Le fils d'un roi est tombé dans le fleuve; il est avalé par un poisson qui est pris à mille li de distance de là; on retrouve dans son ventre l'enfant vivant; celui-ci est adopté par le roi du royaume où le poisson a été pris. Quand l'enfant est devenu grand, son vrai père et son père adoptif élèvent des prétentions sur lui; pour les mettre d'accord le grand roi décide que l'enfant sera le prince-héritier des deux royaumes (cf. n° 450). | |
TC0158 | TE016678 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 231 | Çakra et Brahma usent d'un artifice pour attirer au ciel de nouveaux devas.– Çakra et Brahma, attristés de voir se dépeupler leur ciel, usent d'un stratagème : Çakra se transforme en lion et veut dévorer les habitants de quatre-vingt mille royaumes; ceux-ci s'enfuient effrayés. Brahma, changé en brahmane, leur conseille de donner trente personnes à dévorer au lion dans chaque village. Le roi livre alors trente condamnés à mort; le brahmane, offre le choix à ces condamnés ou d'être dévorés ou d'observer les défenses. Leur conversion est immédiate et quand ils racontent leurs aventures aux autres habitants, tous se convertissent également. |
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TC0158 | TE016876 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 400 [A] | Le vieillard, caché sous terre, qui explique les énigmes.– Un vieillard qui a été caché sous terre, pour ne pas être mis à mort, sauve le royaume en résolvant une série d'énigmes. | |
TC0160 | TE017424 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°108 | Un grand philosophe se demande comment trouver le bien qui jamais ne cessera. Il part en une terre où le sire vient de mourir. Lorsque le peuple entend sa renommée, il lui demande s'il peut devenir leur roi. Le philosophe leur demande alors si le royaume subsistera durablement. Mais la réponse du peuple est négative car le jour où le philosophe va mourir, le royaume sera perdu. Le philosophe part dans une autre ville et une très belle femme déjà mariée veut l'épouser à cause de sa grande renommée et le philosophe refuse car le bien ne perdure pas dans les plaisirs charnels. Le philosophe se retrouve avec des compagnons qui ont trouvé un grand trésor mais une fois encore, il quitte le groupe. Après, il trouve un homme sage qui lui dit que le bien éternel se trouve en haut d'un arbre qui représente le souvenir de la passion de Jésus Christ. Le philosophe suit alors cette vie et JC lui apparaît en lui disant qu'en échange de son refus des biens temporels, il lui donne les biens éternels. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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