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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: chaîne | chain | Kette | cadena | catena
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0010 | TE000950 | Raoul de Châteauroux | Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers : Paris, BnF lat. 16482, Sermo D245 | Il faut savoir demander à Dieu autre chose que des biens terrestres. Vers l’an 1100, un habitant de Barcelone se rendit à Saint-Jacques pour demander de n'être plus retenu prisonnier. À son retour, il fut pris par les Sarrasins et vendu en foire. Mais à chaque fois qu’on voulait le lier, ses chaînes tombaient. La treizième fois, on lui mit des doubles chaînes. Il invoqua saint Jacques, qui lui apparut et lui dit : " Tu as eu tous ces ennuis, parce que tu t'es seulement préoccupé de la liberté de ton corps, oubliant le salut de ton âme. Mais Dieu, dans sa miséricorde, m'a envoyé te délivrer ". Aussitôt ses chaînes tombèrent, et il en rapporta une partie dans son pays. À leur vue, les Sarrasins s’enfuyaient, terrifiés, de même que les lions et les autres bêtes sauvages. |
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TC0028 | TE005044 | Federicus Visconti | Sermons et visite pastorale [dir. Bériou, 2001] : Sermo 42 §7, p. 666 | Une femme faisait chanter une messe quotidienne pour le salut de l’âme de son époux, qu’elle croyait mort au combat contre les Sarrasins. Au même moment, les chaînes qui entravaient les jambes de l’époux prisonnier se détendaient chaque jour, jusqu’à ce qu’il fût finalement délivré. |
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TC0033 | TE006077 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 223 | MORT DE VALERIEN ET DE DECE. L’empereur Dèce et le préfet Valérien, après la passion d’Hippolyte et de Laurent, se rendirent au théâtre pour persécuter les chrétiens. Dèce, possédé du démon, s’écria qu’Hippolyte le chargeait de chaînes. Et Valérien qu’il le conduisait par des chaînes de feu. Valérien mourut sur le champ, Dèce, trois jours plus tard. | |
TC0129 | TE007386 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 273a | Le diable semblait prisonnier d’une chaîne de feu; il ne pouvait ni parler, ni regarder, en présence de saint Barthélemy, grâce aux vertus et aux bonnes actions du saint. | |
TC0129 | TE007338 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 229b | Saint Pierre a le pouvoir de faire d’un malheur une action positive : alors que le diable apparaît sous l’apparence de Moïse ? des juifs pour les tuer, certains se convertissent ; lorsqu’il apparaït sous la forme d’un dragon, saint Donat le tue en crachant dans sa gueule et enfin, la chaîne de saint Pierre permet de libérer un possédé. |
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TC0134 | TE014012 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 42b | L’apôtre Pierre est délivré de la prison par un ange de lumière qui brise ses chaînes et le réveille. |
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TC0136 | TE009872 | anon. | Rothschild Canticles : 10 | A l’inverse du loup qui préfère être affamé, mais libre, le chien bien nourri supporte sa chaîne. De même le chapelain préfère sa concubine à sa paroisse, qu’il délaisse. Mais cela fait, sa concubine le quitte car elle ne restait avec lui que par amour des revenus de l’église. |
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TC0138 | TE019540 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 438 | Fable du loup et du chien. | |
TC0138 | TE019536 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 434 | Damnation d'une femme adonnée au plaisir (la sorcière de Berkeley). | |
TC0138 | TE019252 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 197 | Les bénéfices ecclésiastiques comparée à une triple chaîne diabolique. |
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TC0138 | TE020184 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 848A | Saint Jacques libère un captif chargé de chaînes. | |
TC0138 | TE019312 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 257 | La chaîne diabolique détruite par la confession. | |
TC0139 | TE014325 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 114 pp 75-78 du texte hébreu | Le roi Salomon voulait construire le temple, mais il ne savait comment tailler les pierres, l’usage du fer étant interdit par la Loi, comme symbole de destruction. Il tenta donc d’obtenir le Shamir, ver qui coupait tout matériau et qui était en la possession d’Ashmedai, le roi des démons. Il envoya un de ses fidèles généraux Benaya ben Yehoyada, et le munit d’une chaîne avec le nom de Dieu gravé dessus, de son sceau, d’échevaux de laine et de vin. Ashmedai partait chaque matin de chez lui pour aller entendre le choeur des anges au ciel et étudier la Torah et revenait le soir assoiffé chez lui et buvait l’eau de son puits scellé. Arrivé pendant son absence, Benaya creusa un puits au-dessous de celui d’Ashmedai et un au-dessus. Il draina l’eau du puits à l’aide de la laine vers le puits du dessous et emplit le puits d' Ashmedai de vin par le puits creusé en haut. Puis il effaça toute trace de sa supercherie. Ashmedai revint assoiffé, et voulut boire de l’eau, mais reconnut l’odeur du vin et résista à la tentation pendant un certain temps, mais à la fin, il s’enivra et s’endormit. Benaya le saisit alors, le lia avec la chaîne de Salomon et le conduisit au roi. Sur le chemin, le démon se conduisit de façon étrange, aidant un aveugle et un petit garçon, pleurant à la vue d’un mariage, et se moquant d’un homme qui commandait des bottes devant résister 7 ans à l’usure. Arrivé devant le roi Salomon, il jeta par terre un bâton long de 7 coudées et lui dit : " C’est l’espace que tu occuperas une fois mort, et aujourd’hui tu n’es pas satisfait de posséder le monde entier !" Salomon lui expliqua qu’il avait besoin de son aide pour construire le Temple et trouver le Shamir. Ce ver était confié à un oiseau sauvage très rare et Benaya réussit à s’en emparer par la ruse. Ashmedai expliqua au roi Salomon la cause de sa conduite pendant le voyage. L’aveugle était un juste, et s’il l’aidait, il serait récompensé au ciel. Le petit garçon serait un malfaiteur et donc il lui accordait maintenant la récompense des deux seules bonnes actions qu’il ferait dans sa vie, pour qu’il puisse être châtié plus tard. Le jeune marié devait mourir une semaine après son mariage, et la jeune femme devrait attendre 13 ans pour se remarier avec son beau-frère; quant à l’homme qui commandait des bottes, lui aussi devait mourir dans les jours à venir et ne pourrait même pas les porter pendant 7 jours ! Ashmedai ayant promis de révéler au roi les merveilles du monde s’il le délivrait et lui donnait sa bague, il s’envola alors et jeta le roi loin de Jérusalem. Puis il prit sa place sur le trône en empruntant son apparence. Le roi, après avoir erré pendant longtemps, finit par arriver à Jérusalem et prétendit récupérer son trône. Les sages troublés firent une enquête, et comprirent qu'Ashmedai était un imposteur. Ils remirent à Salomon la chaîne avec le nom de Dieu et la bague, et à cette vue Ashmedai disparut. |
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TC0142 | TE018599 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 50 | Une recluse vit, quand elle avait était encore dans le monde, les démons sous l'aspect de chats et de singes assis sur le dos des moines de Burtscheid et leur dicter leurs comportements. Et ce qui était encore pire, elle vit des chiens terribles tirer certains moines enchaînés vers des occupations futiles. | |
TC0142 | TE018601 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 52 | Le diable est comme un ours ou en lion au bout de la chaîne de Dieu. Il tourne cherchant qui dévorer ; mais il ne peut dévorer que ceux qui veulent bien s'approcher. | |
TC0142 | TE018551 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 13 | Une matrone possédée par un démon vint à l’abbaye de Siegburg dans l'espoir de retrouver la santé. Les moines interrogèrent le démon sur divers sujets, entre autres sur Lucifer enchaîné en enfer. Le démon répondit que son maître y était retenu non pas par des fers, mais par trois mots. Les moines ne pouvant comprendre ses paroles, le démon se fit apporter un missel et y montra la formule : « Per ipsum et cum ipso et in ipso », qui fait mémoire de la Trinité. | |
TC0142 | TE018786 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 28 | Un jeune chevalier fut capturé par ses ennemis. Il promit de payer la rançon et attendit sa libération, toujours enchaîné et surveillé. Une nuit, après avoir prié la Vierge Marie, il se vit en rêve dans l'abbaye de Heisterbach. Il voulait en sortir, mais les moines lui dirent : « Ne sortez pas, mais revenez, car la Vierge Marie vous libérera ». En se réveillant, il trouva que les chaînes qui le retenaient étaient rompues et il put s'évader. Pour remercier la Vierge, il présenta à l'abbaye de Heisterbach ses chaînes de prisonnier et raconta l'histoire de sa libération miraculeuse. |
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TC0142 | TE019014 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 26 | Un saint abbé cistercien fut invité, une fois, chez le duc de Bavière. La nuit, un incendie éclata dans le chambre de l'abbé et celui-ci mourut asphyxié. Sur son corps on trouva une capside avec des reliques et des chaînes d’ascète. L’abbé fut enterré dans la cathédrale de Regensburg. Un jour, un signe s'y manifesta. Un chevalier qui passait sur sa tombe se mit à crier qu'elle lui brûlait les pieds. |
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TC0155 | TE016272 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 148 | Saint Cyrille d’Alexandrie (†444) adopte un garçon qu’il élève comme son propre fils. Aimé par tous, mais peu soucieux de plaire à Dieu, le garçon meurt à l’âge de dix ans. Saint Cyrille, affligé et inquiet, prie saint Jérôme de lui révéler le destin posthume de son fils adoptif. Le fils lui apparaît donc enchaîné dans un feu puant : il est damné pour avoir joué aux dés et aux échecs. |
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TC0157 | TE017395 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 109, p. 219, l. 5 – p. 220, l. 3 | Un jeune homme fraîchement installé à l’ermitage, sur ordre de Pierre Damien, se rend à Ravenne, afin d’y récupérer ses quelques affaires personnelles. Il en profite pour aller chez le forgeron se faire poser des entraves de fer. Et à son retour, il convainc Pierre Damien de le laisser porter ces liens pour sa mortification secrète. Mais comme petit à petit, il en subit des blessures, cela commence à se savoir, dans et hors du monastère. Or, il ne recherchait pas la renommée, mais la discrétion. Il hésite donc. Alors, Dieu vient à son aide : après deux rêves dans lesquels ses liens de fer étaient défaits par Dieu, effectivement, le jour de la fête des apôtres Simon et Jude, pendant l’office de nuit, deux liens se brisent, l’un en deux morceaux, et l’autre en trois. Les autres liens deviennent si flexibles et doux, comme de l’étoffe, qu’ils ne le restreignent plus. Il est ainsi libéré par Dieu de ses chaînes. |
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TC0157 | TE017511 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 168, p. 243, l. 9 – p. 246, l. 9 | Cette histoire fut rapportée par Rainaldus, évêque de Côme († 1084), qui l’avait entendue d’Humbert, évêque de Santa Rufina. Un prêtre dormait quand son parrain, décédé, lui apparut. Il le mena à la basilique de Sainte-Cécile, où il vit Agnès, Agathe, Cécile et un choeur de vierges lumineusement vêtues. La Vierge apparut, avec Pierre, Paul et David, et de nombreux saints et martyrs. Une femme pauvre mais habillée en manteau de fourrure se jeta aux pieds de la Vierge et implora son intercession pour le patricien Jean, mort. Cette pauvre femme dit qu’elle avait coutume de dormir sans vêtement dans l’atrium de la basilique, et que le patricien lui avait donné ce manteau en aumône. La Vierge dit que le patricien Jean avait commis de nombreux péchés, mais qu’il avait été charitable avec les pauvres et dévoué envers les églises. Elle le fit amener par les démons qui le tenaient, et libérer de ses chaînes. Il prit place dans l’assemblée des saints, qui se dispersa. Saint Pierre, quant à lui, s’en fut à son église, où il chanta l’office avec tous ses successeurs. Alors, le prêtre se réveilla. |
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TC0158 | TE016878 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 400 [C] | La vieille guenon tombée au fond d'un ravin.– Une vieille guenon tombée au fond d'un ravin est sauvée par les singes qui à l'instigation de leur roi forment une chaîne en se suspendant les uns aux autres (cf. n° 358). | |
TC0160 | TE017184 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°1 | Sermon de saint Bernard sur la mauvaise vie qui réconforte par la suite un pécheur en pleurs. | |
TC0160 | TE017219 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°36 | Saint Grégoire relate au quatrième livre de ses Dialogues qu’un chevalier meurt et qu’il revient peu après raconter ce qu’il a vu : un pont sous lequel passe une eau très noire et flambante avec au-delà du pont un pré d’herbes et de fleurs occupé par des gens très beaux habillés de blanc. Chaque pécheur qui souhaite se rendre dans le pré doit passer par le pont : certains tombent dans l’eau et d’autres le traversent sans encombre. Dans l’eau, il voit un homme, qui s’appelle Pierre, attaché par de lourdes chaînes de feu qui lui explique qu’il se trouve là car il a corrigé les autres par cruauté et par vengeance. Il voit ensuite un pèlerin qui passe le pont aussi rapidement qu’il a vécu purement. Enfin, il voit un autre qui essaie de le traverser et qui trébuche : resté sur le ventre, des hommes tout en noir sortent de l’eau et le tirent par les cuisses pour l’entraîner avec eux. Et de l’autre côté, se tiennent de très belles personnes qui tentent désespérément de le tirer par les bras. C’est à ce moment-là, qu’il revient à la vie sans connaître la fin de cette bataille. |
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TC0165 | TE018364 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 111, pp. 210-213 | Au temps du du roi Edward le confesseur, il y a à Berkeley une femme qui s'adonne au vice. Elle a un corbeau qu'elle aime beaucoup. Un jour, elle entend la voix de l'oiseau, et l'interprète comme un mauvais présage. À ce moment, un messager entre et lui annonce la mort de son fils et de toute sa famille. Sentant venir sa propre mort, elle fait venir ses deux autres enfants, l'un moine et l'autre nonne, leur demandant d'essayer de sauver au moins son corps, en le gardant, avec certaines procédures, à l'église pendant trois jours. Les deux premières nuits, des démons brisent les chaînes de son tombeau. La troisième nuit, à l'aube, le monastère est ébranlé : un démon brise les portes et ordonne à la femme de quitter son tombeau. Face à sa résistance, il brise les dernières chaînes et la traîne hors de l'église, où un superbe cheval noir l'emmène. On peut l'entendre crier sur quatre miles. Grégoire raconte une histoire similaire d'un homme dans le quatrième livre de ses Dialogues. Un autre exemple est ce que l'on raconte de Charles Martel en France. Célèbre pour sa force et pour avoir arrêté les Sarrasins, après avoir été enterré à Saint-Denis, les démons le traînent hors de la chapelle en guise de punition pour avoir dépouillé tous les monastères afin de payer ses soldats. Son corps n'est jamais retrouvé et le miracle est révélé par l'évêque d'Orléans. |
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TC0166 | TE018478 | Gregorius I | Dialogues, Lib. IV : IV, 59, 1 | Un homme est fait prisonnier et est enchaîné. Certains jours, sa femme offre pour lui le sacrifice (eucharistique). Longtemps après, l'homme revient chez lui et il apprend que les jours où sa femme offrait le sacrifice (eucharistique) étaient ceux où ses liens se dénouaient. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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