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4occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0161
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0161 | TE017735 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXIV, 23 | COMMENT MINAMOTO NO HIROMASA ASON EST ALLÉ CHEZ L'AVEUGLE D’ÔSAKA.– Minamoto no Hiromasa Ason, excelle à l’extrême, parmi ses multiples talents, en la voie musicale. Semimaru, un aveugle qui réside dans une cabane à la Barrière d’Ôsaka, ayant entendu, pendant des années, un prince pincer son luth, devient lui-même un très bon musicien. Hiromasa, très désireux d’entendre l’aveugle jouer, le convie à venir à la Capitale. Mais Semimaru lui répond avec quelques vers d’un poème sur l’accomplissement des choses. Hirosama ressent le désir très profond de rencontrer cet aveugle et se rend près de sa cabane chaque nuit pendant trois ans, espérant entendre l’aveugle jouer les deux airs très difficiles « La source qui s’écoule » et « Picorer contre l’arbre ». A la fin de ces trois ans, durant une très belle nuit, l’aveugle, ému par la touchante mélancolie des choses, chante et exprime son désir de partager son émotion avec quelqu’un. Hiromasa lui répond et se réjouit de le rencontrer enfin. Ils rentrent tous les deux dans la cabane, se parlent et l’aveugle enseigne oralement à Hiromasa la tradition des deux airs. C’est le début de la tradition des musiciens ambulants aveugles. | |
TC0161 | TE017714 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XII, 08 | COMMENT ON CÉLÈBRE AU YAKUSHIJI L'ASSEMBLÉE DES DIX MILLE LAMPES.– Etatsu, moine du monastère Yakushiji , célèbre une assemblée de la Loi d’un jour lors d’une fête à laquelle tous les moines assistent, après avoir revêtu leurs vêtements de la Loi. La nuit, des lampes offertes par des donateurs et préparées par les moines sont allumées dans tout le monastère. Cette fête aura lieu chaque année à date fixe. Après la mort d’Etatsu, il y a toujours une lumière sur sa tombe la nuit de l’Assemblée des Dix mille lampes | |
TC0161 | TE017738 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXVII, 10 | COMMENT UNE CHOSE EST VENUE PRENDRE LES LAMPES À HUILE DE LA TERRASSE DU PALAIS DE BIENVEILLANCE ET LONGÉVITÉ.– Dans le palais du souverain d’Engi, une chose vient prendre les lampes à huile de la terrasse chaque nuit vers minuit. Surpris, le souverain se demande comment démasquer cette chose. Le censeur Kintada dit qu’il ne peut l’attraper, mais qu’il est capable de la faire apparaître. Durant la nuit, le censeur se tient caché dans l’ombre, contre une des portes latérales. Il entend un bruit de pas, et il voit les lampes à huile flotter dans l’air en direction de la porte du Palais Méridional. Le censeur se met à courir, et arrivé près de cette porte, il lève son pied et donne un coup avec force et quelque chose touche son pied douloureusement. La chose, tout en faisant déborder les lampes, part en courant dans la direction du sud. Le lendemain, le censeur, voyant l’ongle de son gros orteil ébréché sur lequel se trouve du sang, il retourne à l’endroit où il a donné son coup de pied et voit du sang qui coule en direction de la resserre du palais Méridional. Dans cette resserre, il voit du sang répandu en abondance, sans aucune présence. Depuis ce jour, le souverain accorde une grande admiration à Kintada qui s’est montré très courageux et les lampes à huile n’ont plus jamais été prises. |
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TC0161 | TE017706 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : X, 21 | COMMENT, AYANT INTERVERTI LES OREILLERS, UNE FEMME DE CHOAN EST TUÉE PAR UN ENNEMI AU LIEU DE SON MARI.– Un homme qui veut tuer son ennemi entre chez lui, et constatant son absence, menace sa femme de tuer son père, si elle ne dit pas où se trouve son mari. La femme convainc l’homme de revenir la nuit et lui indique sur quel oreiller reposera la tête de son mari. L’homme revient et croit tuer son ennemi. Mais il tue la femme qui avait changé de place dans le lit. L’homme est pris d’une grande pitié face à ce sacrifice et renonce pour toujours à ses sentiments d’hostilité. |
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