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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001292 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 7, 3 | Les huppes s’occupent de leurs parents âgés ou malades. | |
TC0022 | TE004205 | Robert de Gretham | Le Miroir ou les Evangiles des domnées [Aitken, 1922] : 8 | Un pécheur, qui s’était converti, s’enferma dans une tombe pour mieux faire pénitence de ses péchés. La nuit il fut visité par un grand nombre de diables qui, après s’être moqués de sa conversion, en finirent par le battre. Mais lui tenait ferme, et résistait non seulement aux flatteries des diables mais aussi aux supplications de quelques-uns de ses parents qui voulaient le ramener chez lui pour le faire soigner. La nuit suivante, les diables le visitèrent et le battirent encore plus fort. La troisième nuit, lorsqu’ils virent qu’il ne céderait pas, même aux coups, ils s’enfuirent en s’écriant qu’il avait vaincu. Ayant résisté ainsi aux tentations de l’ennemi, le converti mena désormais une sainte vie et fut cause que grand nombre de pécheurs se convertirent. | |
TC0033 | TE005913 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 62 | LE GROGNEMENT DES PORCS EN ENFER. Quelqu’un, aux débuts de l’ordre cistercien, y entra. Longuement tenté, il se décida à le quitter. Son père et sa mère lui apparurent deux fois pour l’en dissuader. La troisième fois, alors qu’il était bien décidé à quitter l’ordre, sa mère lui apparut, très triste et lui en demandant les causes. Il répondit qu’il ne pouvait supporter la dureté de l’ordre. Sa mère lui demanda s’il pourrait supporter l’enfer ou un de ses tourments les plus légers. Il répondit que l’ordre était d’une grande dureté, avec des veilles quasiment perpétuelles, un silence amer, un lit de fer, une nourriture insipide, etc. Sa mère lui demanda s’il voulait avoir l’expérience d’un léger tourment de l’enfer. Il accepta et entendit un horrible grognement de porcs qui ne pouvait se comparer à aucun tonnerre. Il lui sembla que le ciel se fendît et lui tomba sur la tête. Il hurla de peur. Sa mère le consola et le bruit cessa. Elle lui proposa d’entendre une petite joie du paradis. Il entendit alors de douces voix qui surpassaient toute musique. Sa mère lui conseilla de poursuivre ce qu’il avait entrepris s’il voulait échapper aux tourments de l’enfer. Ce qu’il fit. |
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TC0037 | TE006690 | Roberto Caracciolo | Roberto Caracciolo, Quaresimale in volgare : 8 | Grégoire le Grand, raconte dans ses Dialogues, que l’on entend s’échapper du cratère en feu de l’Etna, des voix qui s’élèvent juqu’au ciel pour implorer la miséricorde divine et le secours des parents. |
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TC0134 | TE013231 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 250b | Les Scytes déclarent à Darius qu’ils défendront jusqu’à la mort les tombeaux de leurs parents. | |
TC0134 | TE013007 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 199b | Les parents de la Vierge Marie ont l’habitude de partager leurs biens en trois parties, l’une destinée au temple, l’autre aux pauvres et la troisième pour leur famille et ses besoins. | |
TC0138 | TE020061 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 922 | Impossibilité d'enterrer un moine désobéissant avant son absolution. | |
TC0138 | TE019393 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 337 | Un frère résiste aux demandes de ses parents de sortir de l'ordre. |
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TC0138 | TE019518 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 416 | Le croisé allemand mort à Marseille. | |
TC0138 | TE019733 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 591 | L'indulgence gagné par un croisée profite à ses parents défunts. |
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TC0138 | TE014144 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 74 | Dieu refuse des fils aux prélats, le diable leur donne des neveux |
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TC0138 | TE019601 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 477 | Un prisonnier est miraculeusement nourri grâce aux aumônes de ses parents. | |
TC0139 | TE016113 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 187 p.130.du texte hébreu | Les disciples de Rabbi Eliezer lui demandèrent jusqu’où devait aller le respect dû aux parents. Il leur donna l’exemple d’un non-juif, Dima bar Netina, qui était gouverneur dans une ville. Un jour qu’il siégeait en réunion avec ses ministres, sa mère passa près d’eux et perdit sa sandale. Immédiatement, il se leva, la ramassa et la lui apporta pour qu’elle ne ressente aucune gêne. | |
TC0139 | TE016115 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 188 p.130.du texte hébreu | Les Juifs avaient besoin de trouver une pierre précieuse qui manquait au plastron (Hochen) du grand-prêtre. Ils allèrent donc l’acheter chez le non-juif Dima bar Netina. Mais ce dernier refusa de réveiller son père qui dormait, et sous l’oreiller duquel se trouvait la clef du coffre-fort. Les Juifs le pressèrent et lui offrirent encore plus d’argent, mais il maintint son refus, et ils durent trouver un autre vendeur. En récompense de son respect pour ses parents, Dieu lui envoya dans son troupeau une vache rousse dont les Juifs avaient absolument besoin pour le sacrifice du Temple. Une fois de plus, ils se tournèrent vers Dima bar-Netina, et cette fois, il leur vendit la vache, mais au même prix qu’il aurait reçu pour la pierre précieuse, ne voulant pas faire de profit sous prétexte de respect pour son père. | |
TC0139 | TE016117 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 190 p.131.du texte hébreu | Rabbi Tarfon plaça ses mains sous les sandales de sa mère, dont les lanières s’étaient déchirées, et lui permit ainsi de se promener pendant le Shabatt. Quand les sages vinrent rendre visite à la mère de Rabbi Tarfon, elle se plaignit devant eux que son fils lui montrait trop de respect, et ils lui répondirent que même s’il en faisait mille fois plus, ce ne serait jamais suffisant. | |
TC0139 | TE016116 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 189 p.130.du texte hébreu | Rabbi Tarfon se penchait jusqu’à terre pour que sa mère puisse poser son pied sur sa tête comme sur un tabouret lorsqu’elle se mettait au lit. | |
TC0139 | TE016118 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 191 p.131.du texte hébreu | La mère de Rabbi Yishmaël se plaignait de ce que son fils ne la respectait pas suffisamment. Les sages, n’en croyant pas leurs oreilles, lui demandèrent plus d’explications. Elle leur raconta qu’il ne la laissait pas boire l’eau dans laquelle elle lui lavait les pieds, ce qu’elle voulait faire par amour pour lui. Ils dirent alors à Rabbi Yishmaël de laisser sa mère agir comme elle le voulait, par respect pour sa volonté. | |
TC0139 | TE016119 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 192 p.131.du texte hébreu | Rabbi Hananya disait : " Certains ne nourrissent pas leurs parents convenablement et vont au Paradis, et d’autres les nourrissent bien et vont en Enfer." | |
TC0139 | TE016120 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 193 pp.131-132.du texte hébreu | Un homme donnait à son père la meilleure nourriture possible, mais il l’insultait lorsque ce dernier n’agissait pas comme il le voulait. Pour cela, il alla en Enfer. Un autre faisait travailler durement son père au moulin, mais ainsi il prenait sur lui les châtiments prévus pour ceux qui ne travaillaient pas et sauva son père. Pour cela, il alla au Paradis. | |
TC0142 | TE018600 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 51 | A Himmerod, un moine nommé Thomas s'indigna, par orgueil, de planter des choux. Il quitta le champ et rencontra, dans la forêt, le diable sous l'aspect d'une femme. Le succube entama une conversation avec lui, mais le moine lui fait signe qu'il lui était interdit de parler. Le succube l'assura qu'il avait eu la permission du prieur du monastère de lui passer un message de ses parents : ils le priaient d'aller à Trèves pour leur acheter un cheval. Le moine le crut et alla avec lui, comme il croyait, à Trèves. Le diable l'amena alors dans un épais fourré. « Au nom de Dieu, où sommes-nous ? » - exclama le moine et le succube disparut. A ce moment-là éclata une tempête. Comme ce moine le confessa plus tard, il avait ressenti une très forte tentation en présence du succube. | |
TC0142 | TE019092 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 33 | Un défunt parent d'un convers de Clairvaux lui apparut en plein jour, en lui demandant de faire célébrer trois messes dans son ordre pour le libérer du purgatoire. Le convers raconta tout au prieur et celui-ci consentit à faire célébrer lesdites messes. Le défunt apparut de nouveau se disant sauvé. |
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TC0142 | TE017879 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 42 | Malgré l'opposition de sa riche famille, la jeune Mathilde entre au convent de Fuessenich ; quelques années après, sa sœur la suit. A leur exemple, une de leurs proches, par crainte de ses parents, sortit en habit de l'homme et devient moniale cistercienne à l'abbaye Saint-Thomas. Une autre jeune femme qui voulait également entrer au monastère, est rattrapée par ses parents et est donnée en mariage à un homme. | |
TC0142 | TE017880 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 43 | Une jeune enfant se sauve au monastère du Mont-Saint-Sauveur ; ses parents l’enlèvent de force : excommuniés par l'évêque de Liège, ils ramènent la jeune Helswinde au monastère où elle se fait moniale et devient plus tard abbesse. |
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TC0142 | TE018972 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IX, 49 | Sur ordre de l’empereur Frédéric [Barberousse] un chevalier pillard et voleur fut pendu. Trois jours après, un de ses parents, passant près du gibet, le trouva encore vivant. Dieu avait eu pitié de lui en raison de sa dévotion : il disait quotidiennement trois prières avec le Notre Père pour la sainte Trinité, la salutation angélique, cinq prières pour les cinq blessures du Christ, et un Notre Père pour son ange gardien. Il se confessa à un prêtre, communia et mourut en paix. |
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TC0142 | TE018971 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IX, 48 | Un chevalier noble avait de nombreux torts envers Louis, comte de Loos, et ses hommes. Un des chevaliers du comte le fit prisonnier lui promettant de ne pas porter la main sur lui. Le comte fit toutefois un sophisme et ordonna d'enfermer son ennemi vivant dans un tombeau où il mourut. Les parents du mort accusèrent devant l’empereur Frédéric [Barberousse] le chevalier qui avait pris leur parent de l'avoir trahi pour de l'argent. Contraint à un duel judiciaire, le chevalier se confessa et communia. Son adversaire blasphéma : Dieu lui retira ses forces et le chevalier, protégé par l’hostie, sortit vainqueur du duel. |
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TC0143 | TE014156 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 66-67 | Une vision du moine Christian de Himmerod, un homme très simple est pieux. Etant malade, il raconta à son fils présent avec lui au monastère qu’il voyait la Vierge Marie et le Christ vêtus en moines cisterciens venus l’aider à chanter les heures de l’office. L’infirmier avertit l’abbé pour recevoir le récit de cette vision de Christian. |
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TC0143 | TE014080 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 17 | La présentation de Marie au Temple. A l’âge de trois ans, la Vierge Marie monta les quinze marches du temple en courant sans jamais regarder ses parents. Le nombre quinze est le résultat de la multiplication de trois (âge de la Vierge) et de cinq (nombre de lettres du prénom Maria). | |
TC0155 | TE016329 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 208 | L’archange Michel révèle à Acacius (†489), patriarche de Constantinople, que les âmes des enfants morts aident leurs parents à gagner le ciel. | |
TC0157 | TE017269 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 478, l. 13 – p. 479, l. 12 | Le pélican est plus qu’un symbole, une mise en action de l’histoire sainte elle-même. Quand ses petits grandissent, ils commencent à se rebeller, et les parents les châtient. Mais comme ils ne savent pas modérer leurs coups de bec, ils tuent les petits. Alors, au troisième jour, la mère perce son propre flanc, et verse son sang sur les petits morts, qui ressuscitent. Il est dit aussi dans Isaïe que les hommes se sont rebellés contre Dieu. Et Dieu leur a envoyé la captivité et la guerre. Mais la sagesse divine, par la croix et son sang versé, a rendu la vie à ceux qui étaient morts. |
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TC0157 | TE017270 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 479, l. 13 – p. 479, l. 22 | Les petites huppes, au contraire des petits pélicans, sont très respectueuses de leurs aînés. Lorsque la huppe vieillit, et ne peut plus ni voler ni voir, les jeunes s’occupent d’elle, arrangent ses plumes, la réchauffent, jusqu’à ce qu’elle regagne la vue et la capacité de voler. Comme la foulque, évoquée dans la suite immédiate du texte (cf. Lettre 86, p. 480, l. 1 – p. 480, l. 17.), c’est un exemple de compassion. | |
TC0158 | TE016926 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 407 [D] | Les sept libéralités.– Les sept libéralités sont : 1° la libéralité de la bonne vue par laquelle un homme regarde avec bienveillance son père et sa mère, ses maîtres et ses aînés, les çramanas et les brahmanes; 2° la libéralité de l'air avenant qui consiste a avoir l'air avenant envers ces mêmes personnes; 3° la libéralité du langage aimable; 4° la libéralité des attitudes prévenantes; 5° la libéralité des sentiments généreux; 6° la libéralité qui consiste à offrir des lits et des sièges pour s'asseoir; 7° la libéralité qui consiste à laisser libre accès dans la maison où l'on habite. |
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TC0158 | TE016893 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 402 [B] | La fille qui se vante de devoir à ses actes antérieurs tout ce qui lui arrive d'heureux.– Une fille du roi Prasenajit se vante de devoir son bonheur à ses actes antérieurs. Irrité, son père la marie à un mendiant qui se rend avec elle à l'endroit où vivaient autrefois ses parents. La terre se creuse et un trésor apparaît (cf. n° 95). |
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TC0158 | TE016790 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 337 | Histoire de Kotikarna.– Origine de son nom; Kotikarna devient un chef de marchands; au retour, abandonné par ses compagnons il s'égare et arrive à la ville des démons affamés, puis à la ville des démons altérés; il voit dans d'autres endroits des spectacles qui lui apprennent les tourments que subissent après leur mort d'autres personnes de son pays natal; il entre en religion auprès de Mahàkâtyâyana après en avoir demandé l'autorisation à ses parents. |
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TC0165 | TE018315 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 63, pp. 135-137 | Marguerite de Saint-Omer est une jeune femme sage et belle. Ses parents veulent la marier, mais elle ne veut que le Christ comme époux. Pour échapper au mariage, elle se coupe le nez et la lèvre supérieure. Le prétendant s'enfuit. Ses parents l'envoient vivre dans un hospice accueillant les pauvres, où elle reste pendant trois ans dans une parfaite humilité, en assistant les mourants. Frappée par la lèpre, elle ne s'en rend pas compte avant que sa mère le lui fasse remarquer, ce qui lui permet de glorifier et de remercier Dieu. Elle entre au lazaret, y demeure un an, puis prédit sa propre mort. Lorsque sa mère lui rend visite, elle lui annonce qu'elle ne se reverront plus jamais. |
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TC0165 | TE018319 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 67, pp. 142-143 | Deux sœurs, originaires du diocèse de Meaux, doivent se marier le même jour, l'aînée à un homme, la cadette au Christ. L'aînée, voyant que le meilleur des maris est destiné à la plus jeune, souhaite prendre sa place. Aucune des deux ne veut d'un époux charnel et leurs parents, les voyant si sûres de leur choix, décident de les laisser entrer à Fontaines-les-Nonnes, un monastère de femmes de l'ordre de Fontevrault, où Herbert pense qu'elles vivent encore. | |
TC0165 | TE018331 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 79, pp. 159-161 | Dans le diocèse de Meaux, une mère porte un petit garçon appelé Hungerus, remerciant Dieu de l'avoir rendu si beau et si sain. Son mari ajoute qu'il est un bel enfant et qu'il sera un bon prêtre, mais la mère s'y oppose, voulant que son fils soit un appui pour leur vieillesse, et non un prêtre. Dès que les mots sont prononcés, l'enfant fait une crise d'épilepsie et la mère, repentie, demande à Dieu de sauver l'enfant, prête à s'offrir en échange. Emmené le lendemain au monastère de Fontaines-les-Nonnes, elle prie la Vierge Marie et lui donna son fils, qui guérit immédiatement. Il est alors débarrassé des crises. Devenu prêtre, il entre dans l'ordre des Prémontrés, au monastère de Valsery, près de Soissons, où il reste jusqu'à sa mort, tout comme son père qui le rejoint au monastère. Le frère de Hungerus, Radulfus, gravement malade, a une vision dans laquelle il descend lui-même dans une vallée profonde et sombre, tandis que des moines demandent à Hungerus pourquoi il ne sauve pas son frère qui descend aux enfers. À son réveil, Radulfus décide d'entrer dans le même monastère que son frère, ce à quoi il n'avait jamais pensé auparavant. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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