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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: ennemi | ennemy | Feind | enemigo | nemico
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001327 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 18, 2 | Alors qu’il préchait la croisade en Brabant, Jacques de Vitry oblige par un miracle (malaise brutal) un homme obstiné à se réconcilier avec son ennemi. | |
TC0020 | TE003597 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 72 | Un brigand repenti pris par ses ennemis est tué; un ermite voit les anges emporter son âme au ciel (72a). A sa mort, un brigand repenti est emporté par les anges; voyant cela son confesseur indigné quitte son ermitage : il tombe, se tue et est damné (72b). |
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TC0020 | TE003636 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 111 | Un moine se réjouit de la perte de son oeil, disant qu’il a perdu un de ses ennemis. | |
TC0020 | TE003671 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 146 | Un sage homme dit à un tyran cruel que ses ennemis se nomment colère, impatience et concupiscence. | |
TC0035 | TE006489 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 4v, n° 8 | Un chevalier prie pour les morts dans chaque cimetière qu’il rencontre. Un jour qu’il est attaqué de toutes parts par des ennemis, les morts se lèvent de leur tombe pour le défendre. | |
TC0035 | TE006565 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 9, n° 43a | Le pécheur qui se livre au diable son ennemi par ses péchés est un insensé qui sera conduit au châtiment éternel. | |
TC0036 | TE006666 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 28 | Un jeune convers chartreux, remarquable dans sa piété, son humilité et sa dévotion envers Dieu et la Vierge Marie, est le témoin d’une horrible apparition démoniaque. Une nuit, tandis qu’il médite, le convers voit soudain une foule de démons sous l’apparence de porcs monstrueux envahir sa cellule et le menacer. Le chartreux est terrifié et n’a déjà plus grand espoir de survie quand un homme imposant, sans doute le prince des démons, entre dans la pièce. Il s’insurge contre les porcs qui n’ont pas encore mis en pièce le saint homme. Ceux-ci rétorquent qu’ils n’ont rien pu lui faire. Le diable s’apprête lui-même à l’attraper avec un long crochet de fer, quand la Vierge Marie apparaît avec une baguette à la main. Aussitôt les démons terrifiés disparaissent. La Vierge rassure le frère terrorisé et l’encourage dans sa dévotion et sa piété. |
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TC0106 | TE015971 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 229 | LE PÉCHEUR EST L’ESCLAVE DE SES VICES. — Les Brahmanes écrivent à Alexandre. Ce dernier spolie les ennemis extérieurs pour nourrir ceux qui sont à l’intérieur et il est soumis à ses propres vices. | |
TC0106 | TE015761 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 24 | LES ENNEMIS INTÉRIEURS. Quelqu’un a des ennemis non pas à l’extérieur mais dans sa propre maison. | |
TC0131 | TE008937 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 057, 1-16 | JESUS SOUFFLETE. 1/ Un valet donna une gifle à Jésus devant Anne le grand-prêtre. 2/ Il lui répondit sans colère: Si j'ai mal parlé, remontre-le moi; et si j'ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? 3/ Cette gifle fit plus souffrir Jésus que bien des tourments de sa passion; 4/ Car selon plusieurs théologiens le valet qui lui donna cette gifle fut celui qu’il avait guéri à la piscine Probatique d’une grave maladie qui l’avait tenu trente-huit ans. 5/ Cette gifle doit nous faire rougir, nous autres chrétiens, car il nous a accordé plus de bienfaits qu’à celui qui la lui donna; 6/ et nous savons bien qu’il est notre Seigneur et notre Dieu, ce que le valet ne savait pas; 7/ et cependant nous l’offensons chaque fois que nous péchons mortellement. 8/ Il a donc plus de raisons de se fâcher contre nous quand nous péchons que contre le valet qui lui donna cette gifle. 9/ Nous devons croire fermement qu’on ne pouvait lui faire du mal sans qu’il le permette. 10/ Pourquoi alors voulut-il recevoir cette gifle? Parce qu’il voulait fonder une nouvelle chevalerie: 11/ Celui qui adoube un chevalier lui donne une colée sans pour autant le haïr. Et généralement les bons chevaliers remportent la victoire sur leurs ennemis en se défendant.12/ Mais cette nouvelle chevalerie dont Jésus était le fondateur a de tout autres lois, car il voulait remporter la victoire sur ses ennemis en supportant les souffrances. 13/ Et nous aussi, en le suivant comme notre vrai maître et modèle, nous devons remporter nos victoires de cette façon. 14/ C'est pourquoi saint Grégoire dit qu’on n'est pas digne d’être compté parmi les chrétiens si on veut se venger sur terre de ses ennemis, si ce n'est pour récupérer un bien dérobé ou en appliquant une décision de justice si on est mandaté pour cela. 15/ Nous ne pouvons nous défendre mieux de nos ennemis ni en subir moins de dommage qu’en les supportant patiemment pour l’amour de Dieu: nous les vainquons ainsi sans coup férir. 16/ Ceux qui veulent se venger doivent craindre d’être un jour lourdement punis, car Dieu veut que nous rendions le bien pour le mal: c'est le moyen de vaincre n'importe qui. |
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TC0134 | TE013982 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 229b | Réponse d’un philosophe sur la chose la plus hostile à un humain : un autre être humain. | |
TC0138 | TE019779 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 637 | Une statue de la Vierge protège un de ses dévots contre les attaques de ses ennemies. | |
TC0138 | TE019860 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 718 | La dévotion du comte de Poitou pour la messe lui assure une victoire miraculeuse. | |
TC0138 | TE019455 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 379 | Le roi Édourad est protégé en plaine bataille par le signe de croix. | |
TC0138 | TE019865 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 723 | Homme miraculeusement sauvé de la noyade grâce à sa dévotion pour la messe. |
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TC0138 | TE019871 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 729 | Vision de la mort sous les traits d'un ennemie à nos trousses. | |
TC0138 | TE019882 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 740 | Un pieux chevalier protégé par les morts du cimetière. | |
TC0138 | TE019892 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 751 | Fable de l’âne et de cheval. | |
TC0139 | TE016072 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple155 pp.111-113 du texte hébreu | Dieu demanda au roi David si en punition des fautes commises à cause de lui (la destruction de Nov, la ville des prêtres, et la mort du roi Saül et de ses fils) il préférait tomber aux mains de l’ennemi ou rester sans progéniture. David préféra l’ennemi. Un jour qu’il chassait, Satan prit la forme d’un cerf et le dirigea vers les Philistins. Quand Yishbi le vit, il le reconnut et dit :" Voilà David qui a tué mon frère Goliath." Le géant le prit sous lui, s’assit dessus, et décida de finir son déjeuner avant de le tuer. Mais la terre s’ouvrit et laissa David s’enfoncer plus profondément pour qu’il ne soit pas étouffé. Abishai, le cousin de David se rendit compte que la mule de David était rétive et une colombe vint voler à sa rencontre. Il se dit alors que le roi était en danger et se mit à le chercher, mais ne le trouva pas. Il monta sur la mule de David qui l’emporta en un éclair sur une distance de 400 miles jusqu’aux Philistins. Lorsque Orpah, la mère de Yishbi, qui était en train de filer le vit arriver, elle tenta de le tuer avec son fuseau mais ne put y arriver. Sa servante s’y essaya aussi , mais tua Orpah à la place. Yishbi lança alors David en l’air à une hauteur de trois miles et prépara sa lance à la verticale pour qu’il retombe dessus et s’empale. Abishai prononça le nom de Dieu et David resta en l’air. Abishai pria alors Dieu et rattrapa David, puis ils s’enfuirent tous les deux, poursuivis par Yishbi. Arrivé à leur hauteur, Abishai lui cria :" Raconte à ta mère Orpah dans son tombeau que les deux petits ont tué le lion !" A ces mots, Yishbi perdit sa force et ils le tuèrent. Quand les Israëlites entendirent ce récit, ils décidèrent de ne plus laisser le roi David sortir seul du palais. |
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TC0139 | TE013186 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 25, pp.18-19 du texte hébreu | Nahum Hamadi, également surnommé Nahum-ich-Gamzu, avait l’habitude de dire " ceci est pour le mieux" chaque fois qu’il lui arrivait quelque chose en bien ou en mal. Les juifs ayant à envoyer leurs redevances à l’empereur, il fut choisi pour cette mission, car des miracles se produisaient toujours en sa présence. Pendant la nuit, il fut dévalisé et les brigands remplirent la cassette de terre (poussière ?). Lorsqu’il se présenta devant l’empereur, celui-ci crut que les juifs se moquaient de lui et ordonna de les mettre à mort, mais alors apparut le prophète Elie sous l’apparence d’un conseiller et suggéra qu’il s’agissait peut-être de la terre miraculeuse d’Abraham, qui se changeait en flèches quand on la lançait contre les ennemis. L’empereur l’essaya dans un siège qui durait depuis déjà trois ans, et il obtint la victoire. Nahum fut couvert de présents et d’honneurs. Rencontrant les brigands, il leur raconta les vertus de leur terre; ceux-ci détruisirent leur maison de fond en comble et en apportèrent à l’empereur une grande quantité de terre (poussière ?) mais rien n'arriva et ils furent exécutés. |
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TC0139 | TE017539 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 282 pp 184-185 du texte hébreu | Le roi Achab, bien que mauvais, refusa de donner à Ben Hadad les rouleaux de la Torah qu'il exigeait. La Torah monta alors au ciel et se prosterna devant Dieu en lui disant:" Celui qui m'a sauvée, tu le laisseras aux mains de Ben Hadad ?" et Dieu sauva Achab. Son fils Jehoran, bien qu' encore plus mauvais, fut également sauvé de ses ennemis parce qu'il avait participé au deuil national après la guerre avec le peuple. | |
TC0140 | TE013828 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Bernardino da Siena, Prediche volgari sul Campo di Siena 1427 [ed. Delcorno, 1989], XXIII, 5. | Un paysan, pendant qu’il sarclait son champ est effrayé par le bruit d’une mouche qui était entrée dans un tonnelet. Il lui semble d’entendre le bruit d’une trompe de guerre et court à la maison en criant que les ennemis arrivent. | |
TC0140 | TE013756 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Prediche della primavera 1425 (Siena, chiesa di S. Francesco e Piazza del Campo, 20 aprile-10 giugno), XL, 2. | César ne se vengeait pas mais pardonnait à ses ennemis. | |
TC0140 | TE013798 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Bernardino da Siena, Prediche volgari sul Campo di Siena 1427 [ed. Delcorno, 1989], XVII, 2. | Ceux qui étaient sortis de Sienne demandent à Pietro Pietinaio quand ils pourront rentrer dans la ville. Le saint leur répond que cela va se passer quand tous auront payé pour leurs péchés; en revanche leurs ennemis seront comblés d’injustice. | |
TC0142 | TE018885 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 57 | Un chevalier noble, mais scélérat, fut capturé par ses ennemis. Sachant que la mort était imminente, il demanda qu’on lui accorde un délai pour se confesser. On lui refusa. Le chevalier confia alors son âme au Fils de la Vierge, et fut décapité. A cette époque-là, il y avait un possédé pas loin. On lui demanda si le diable se réjouissait d'avoir reçu l’âme d'un tel tyran. « Mais non, dit le possédé, il nous échappa grâce à cette seule parole ! » |
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TC0142 | TE019045 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 56 | Dans le diocèse de Cologne, deux familles de paysans étaient des ennemis mortels. Il arriva que les deux chefs de famille moururent le même jour et furent enterrés dans la même tombe. Tout de suite, les deux corps se tournèrent le dos et se heurtèrent. Ils se battaient si violemment, qu'on fut obligé de mettre chacun des deux dans des tombes séparées. Cette bataille des morts convainquit les vivants de faire la paix. |
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TC0142 | TE019010 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 22 | En Frise, un homme fut attaqué et gravement blessé par ses ennemis. Ils le crurent mort et partirent. Encore vivant, il fut recueilli par un convers cistercien qui lui procura les derniers sacrements, et il mourut en paix. | |
TC0142 | TE018044 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 54 | Un novice cistercien qui ne supportait pas les éclats de voix de l'Alléluia se voit en songe libéré de ses ennemis par des hommes qui poussent ce cri. |
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TC0155 | TE016349 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 228 | Un homme qui disait un Notre Père pour les défunts chaque fois qu’il passait devant une église est poursuivi par ses ennemis. Malgré le danger, il ne manque pas à cette habitude. Les morts, en sortant de leurs tombes, effrayent ses ennemis et les mettent en fuite. | |
TC0158 | TE016881 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 400 [F] | Les cinq cents fils d'Udayana.– La fille de l'ascète et de la biche épouse le roi Udayana; elle accouche de cinq cents œufs. De ces œufs naissent cinq cents fils. Le roi Sa-tan-pou, qui les a recueillis, entre en guerre contre Udayana. Celui-ci place sa femme face aux ennemis sur un éléphant blanc, de ses seins sortent cinq cents jets de lait qui tombent dans la bouche de ses fils qui reconnaissent leurs parents et, la guerre prend fin (cf. n° 23). |
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TC0158 | TE016984 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 442 | Le roi des Yue-tche et son éléphant.– Le roi des Yue-tche, poursuivi par ses ennemis, fait faire à son éléphant la pradaksinâ autour d'un stûpa et remporte la victoire. | |
TC0158 | TE016583 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 142 | La piété d'un roi met en fuite ses ennemis.– Un roi est attaqué par ses ennemis au moment où il est occupé à faire cent fois le tour (pradaksinâ) d'un stûpa; il continue sa circumambulation et les ennemis s'enfuient (cf. n° 442). | |
TC0158 | TE016518 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 89 | Le marchand qui vainquit le démon.– Un marchand qui est devenu bouddhiste entreprend de rétablir entre son pays et un royaume voisin les communications commerciales qu'un démon intercepte depuis plus de cent années. Il veut lutter contre le démon, mais ses mains, ses pieds et sa tête s'enfoncent successivement dans le corps de son ennemi sans pouvoir en ressortir; il affirme alors l'impermanence du corps et déclare qu'il fait volontiers don de sa personne au démon. Celui-ci, touché de tant de vertu, se convertit (cf. n° 410). |
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TC0160 | TE017405 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°90 | Un ermite, réfugié dans un bois, reçoit un voleur qui se confesse mais qui refuse de faire pénitence de jeûne ou d'abstinence. L'ermite lui demande alors de s'agenouiller et de réciter le Notre Père dès qu'il verra une croix. Après avoir quitté l'ermite, le voleur croise les amis d'un homme qu'il avait tué. Il fuit et se retrouve devant une croix.Aussitôt il s'agenouille et récite le Notre Père mais les hommes le rattrapent et le tuent. L'ermite voit alors apparaître des anges qui transportent l'âme du voleur et le traite en martyre. L'ermite se sent alors coupable, quitte son ermitage pour rejoindre le monde : en chemin, il tombe et meurt. Son âme est emportée par le diable en enfer. | |
TC0161 | TE017706 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : X, 21 | COMMENT, AYANT INTERVERTI LES OREILLERS, UNE FEMME DE CHOAN EST TUÉE PAR UN ENNEMI AU LIEU DE SON MARI.– Un homme qui veut tuer son ennemi entre chez lui, et constatant son absence, menace sa femme de tuer son père, si elle ne dit pas où se trouve son mari. La femme convainc l’homme de revenir la nuit et lui indique sur quel oreiller reposera la tête de son mari. L’homme revient et croit tuer son ennemi. Mais il tue la femme qui avait changé de place dans le lit. L’homme est pris d’une grande pitié face à ce sacrifice et renonce pour toujours à ses sentiments d’hostilité. | |
TC0165 | TE018395 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 142, pp. 258-259 | Rodrick, surnommé Géhenne, est un chevalier pervers, qui meurt tué par des ennemis. N'ayant pas reçu les derniers sacrements et ne s'étant pas confessé, il est enterré au cimetière de Lizy-sur-Ourcq. Quelques jours plus tard, des amis veulent le transporter vers un lieu plus honorable, mais ils ne le trouvent pas, bien que la tombe soit intacte. Ils se disent que les princes des ténèbres l'ont emmené. À partir de ce jour, Rodrick commence à apparaître dans de nombreux endroits et à de nombreuses personnes : par exemple à un certain Drogo, prieur à Nanteuil, et à un soldat qui manque de devenir fou de terreur en le voyant. Après avoir raconté la vision à son seigneur, le soldat meurt sept jours plus tard. Beaucoup d'autres fuient en voyant Rodrick, certains deviennent fous, d'autres sont fouettés. Parfois la vision les fait mourir sur le champ. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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