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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: moulin | mill | Mühle | molino | mulino
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001347 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 26, 2 | Les porcs du monastère de Vaucelles étaient engraissés par la paille et la litière que l’on écrasait à l’aide d’un moulin. La chair de ces porcs n'étant pas satisfaisante, un moine porcher demande à Dieu que le moulin s’écroule. | |
TC0020 | TE003650 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 125 | De même que les flèches des paroles divines ne peuvent pénétrer la peau des crocodiles, de même certains résistent aux arguments et aux exemples. Ils sont semblables à l’âne du meunier qui est tellement habitué à rester au moulin qu’il ne veut pas le quitter, même quand il brûle. | |
TC0123 | TE007000 | anon. | Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005] : 67 | Un convers cistercien avait reçu l’ordre de garder un moulin pendant les matines. Le diable tenta de le faire fuir par un vacarme effrayant, mais le frère resta imperturbable. Le diable s’enfuit en aboyant comme un chien. | |
TC0137 | TE012797 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 312 | La femme du meunier. Quand il se rendait à un moulin à Vicence, un homme avait l’habitude de coucher avec la femme du meunier en profitant de son absence. Un jour, après qu’ils aient couché ensemble, la femme devint aussi grande qu’un géant et dit en riant qu’elle était un diable avant de disparaître. L’homme effrayé commença à son tour à grandir et après trois jours il mourut. |
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TC0138 | TE020139 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 496A | Un évêque excommunie un moulin et revoit des critiques de saint Bernard. | |
TC0138 | TE019687 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 545 | Le voleur et le chauve. | |
TC0138 | TE020134 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 441B | Un usurier rachetant son vœu de croisade et emporté par les diables. |
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TC0140 | TE013888 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Bernardino da Siena, Prediche volgari sul Campo di Siena 1427 [ed. Delcorno, 1989],, XXXVII, 2. | Les habitants de trois régions s’entendent pour acheter ensemble un âne pour servir à porter le grain au moulin qui se trouve à la frontière entre les trois contrées ; cependant personne ne le nourrit après l’avoir utilisé et le quatrième jour l’âne est épuisé. | |
TC0152 | TE015103 | anon. | Paris, BnF, nouv. acq. fr. 4464 [transc. A. Sulpice] : IX | Un saint ermite vit dans la plus grande abstinence. Le diable lui apparaît et lui dit qu’il ne le laissera pas en paix s’il ne commet pas l’un de ces trois péchés mortels à savoir : fornication, homicide ou ivresse. L’ermite lui répond qu’il préfère s’enivrer croyant que ce péché lui ferait moins de mal. Á côté de son ermitage, se trouve un meunier qu’il apprécie et qui est son compère. Le meunier invite l’ermite à dîner. L’ermite pense alors être quitte envers le diable en acceptant cette invitation et se rend chez le meunier et sa femme. Ils mangent et boivent tant, que très vite, l’ermite, le meunier et sa femme sont tous ivres. L’ermite, tout chancelant, veut retourner en son ermitage et le meunier demande à sa femme de le raccompagner. Sur le chemin, elle se couche par terre et s’endort. L’ermite, qui est ivre, en profite pour la posséder. Le meunier qui le voit de son moulin, prend une cognée et part à l’encontre du l’ermite pour le tuer. L’ermite ôte la cognée des mains du meunier et le tue. Moralité : par ivresse, l’ermite commet les trois péchés. |
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TC0157 | TE017151 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 72, p. 337, l. 10 – p. 338, p. 21 | L’archevêque Humbert raconta cette histoire à propos du pape Benoît, neveu de Benoît, et qui succéda à Jean. Il avait occupé Rome de force. Un seigneur, passant près d’un moulin, vit un monstre et prit peur. Ce monstre avait les oreilles et la queue d’un âne, mais pour le reste était un ours, mais il parlait avec une voix humaine. Il dit qu’il était Benoît et que pour avoir vécu comme un animal, il avait été puni par cette apparence animale. Il était puni d’ores et déjà, mais condamné, de plus, après le jour du Jugement, aux flammes de l’Enfer. Cet homme avait été changé en âne, animal charnel, et en ours. En effet, l’ours, quand il donne le jour, ne donne pas le jour à un petit tout formé, comme les autres animaux. Il met bas un morceau de chair, puis, en le léchant, forme une créature à sa semblance. Cet homme aurait mieux fait de renoncer à sa charge épiscopale et de faire pénitence. | |
TC0158 | TE016647 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 200 | Les chevaux qui tournent la meule.– Un roi fait tourner la meule à ses cinq cents chevaux de guerre afin de les utiliser; mais quand il veut livrer bataille ses chevaux tournent en rond au lieu de foncer sur l'ennemi. | |
TC0165 | TE018391 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 138, pp. 252-253 | A la même époque, un homme part en pèlerinage avec sa femme et sa fille, âgée de quinze ans, belle et vierge. Ils passent par Châtellerault, près de Poitiers, où Hildevin, fils du seigneur du château local, tombe amoureux de la jeune fille et décide de la poursuivre. Le lendemain, en quittant la ville, la jeune fille sent que quelque chose de grave est sur le point d'arriver et convainc ses parents de trouver refuge dans un moulin inhabité près de la rivière. Hildevin arrive, jure devant le père qu'il ne fera de mal à personne, puis agresse la jeune fille. Les gémissements de la jeune fille et de ses parents atteignent saint Jacques. L'agresseur devient fou et meurt après trois jours de souffrance, prouvant de manière efficace qu'il ne faut pas nuire aux pèlerins de Saint-Jacques. Herbert a recueilli l'histoire auprès de deux frères de ce village, dont l'un était présent lors de ces événements et l'autre, un ermite des environs, avait appris l'épisode du père du défunt. |
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