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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: putréfaction | putrefaction | Verwesung | putrefacción | putrefazione
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001444 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 40, 6a | Saint Paul enseigne de ne pas communier en état de péché. Ainsi, un prêtre lubrique qui communiait en état de péché voit sa bouche pourrir. | |
TC0001 | TE001408 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 30, 33 | L’oeil d’un évêque qui avait repoussé une reine pécheresse ne peut être fermé après sa mort. Cet oeil est retrouvé intact quarante ans après sa mort et son inhumation. | |
TC0011 | TE002924 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 47b-48a | De même que les vers naissent du bois, les mites des vêtements, la pourriture de l’huile, la vaine gloire peut naître d’une bonne oeuvre. | |
TC0011 | TE003049 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 105b | Qu'a été l’homme ? Qu'est-il ? Que sera-t-il ? Un philosophe répond : une vile semence, un sac d’excréments, la nourriture des vers. | |
TC0020 | TE003688 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 163 | Un Chrétien vend des vivres avariés à des pèlerins d’Acre. Capturé par les Sarrasins, il est mené devant le sultan, auprès de qui il implore sa relaxe, arguant que grâce à sa viande et son poisson avariés, plus d’une centaine de pèlerins meurent chaque année. |
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TC0033 | TE006172 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 311 | LE DIABLE ET LES SONGES TROMPEURS. Quelqu’un reçut l’ordre en rêve de partager ce qu’il avait; il deviendrait vite pourriture. Ce qu’il fit. Le diable voulant le faire repentir de cette bonne action, lui apparut en rêve lui disant que les songes étaient trompeurs. | |
TC0033 | TE006171 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 310 | LA GLACE, FILLE ET MERE DE L’EAU. La putréfaction est semblable à la glace qui, fille de l’eau, l’enfante. D’où (l?énigme): "Ma mère m’a enfantée; elle-même est enfantée bientôt de moi." | |
TC0037 | TE006702 | Roberto Caracciolo | Roberto Caracciolo, Quaresimale in volgare : 20 | Une jeune femme noble, riche, belle et raffinée est assassinée et son corps est jeté dans le fumier. Quelques jours plus tard un saint homme abbé trouvant le cadavre en pourriture court en ville inviter les jeunes gens les plus délicats à voir une très noble créature. Ceux-ci impatients de la voir courent au devant de lui. L’abbé leur montre la vanité de ce monde. Ils se convertissent. | |
TC0037 | TE006708 | Roberto Caracciolo | Roberto Caracciolo, Quaresimale in volgare : 26 | Alors qu’il combattait contre Jérusalem, le roi Antiochus, blasphémant contre Dieu qui soutenait les juifs, avait juré de détruire la ville. Il tombe de cheval et se blesse gravement à la tête. Ses blessures envahies par les vers et une odeur nauséabonde écartent tout le monde de lui. Ce qui fait qu’il finit misérablement sa vie pour avoir défié la puissance divine. |
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TC0131 | TE009386 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 088a, 1-42 | MULTIPLICATION DES CINQ PAINS. 1/ Quand un peintre prépare un bon tableau, il le dessine d’abord et ensuite il y met les précieuses couleurs. 2/ Tout ce que Jésus fit et dit avait une signification dans le passé, le présent ou l’avenir et quelquefois même dans ces trois temps. 3/ A cause des miracles qu’il faisait en ressuscitant les morts, en guérissant les malades, en nourrissant les pauvres, trois sortes de gens le suivaient: 5/ Les uns pour profiter de lui, d’autres pour le critiquer, les autres pour l’écouter. 6/ Le jour où il multiplia les cinq pains, il demanda à saint Philippe pour l’éprouver 7/ avec quoi on nourrirait cette foule de gens qui le suivaient. 8/ Il répondit: Deux cents deniers de pain ne suffiraient pas pour que chacun en ait une bouchée. 9/ Jésus aurait pu lui répondre s’il avait voulu: 10/ Après ce repas matériel que je veux faire ici, j'en ferai spirituellement un si grand que tout le monde en sera rassasié si sa mauvaise volonté ne le retient. 12/ Et pourtant Judas donnera pour trente deniers celui dont on fera ce repas spirituel. 13/ Dans cette foule en question il y avait un enfant qui avait apporté cinq pains et deux poissons pour sa provision. 14/ Depuis cet enfant devint un de ses bons disciples et on l’appelle saint Memmie de Châlons. 15/ Cet enfant symbolisait la vierge Marie qui garda toute sa vie pureté et innocence, 16/ par qui nous vint Jésus que représentaient les cinq pains d’orge et les deux poissons, qui sont naturellement froids; 17/ car elle le porta et enfanta vierge sans aucune chaleur ni l’ombre d’un péché; et il fut arrêté comme on prend les poissons: 18/ car on attrape les bêtes sauvages pour les dégâts qu’elles font ou pour les manger, 19/ tandis que les pêcheurs ne prennent pas les poissons pour les dégâts qu’ils font, mais pour gagner leur vie. 20/ C'est de cette façon que fut arrêté Jésus, qui ne pouvait pas faire le mal ni même le désirer; 21/ mais la valetaille qui se saisit de lui sans motif est comme les pêcheurs car ils y gagnèrent leur vie. 22/ En effet la plupart d’entre eux se convertirent et furent sauvés parce que Jésus avait prié pour eux son Père du ciel. 23/ Les cinq pains, qui étaient d’orge, annonçaient que ses cinq plaies seraient plus cruelles que les autres, 24/ car si on donnait une seule gifle à un roi, ce serait un affront plus grave que quatre gifles à un pauvre particulier. 25/ Et en réalité elles furent laides et très cruelles. 26/ Quand saint Philippe eut répondu à Jésus que deux cents deniers de pain ne suffiraient pas, 27/ celui qu’on appelle le plus gentil des saints, à savoir saint André, 28/ dit qi'il y avait dans la foule un enfant qui avait cinq pains et deux poissons, mais que ce ne serait rien pour tant de gens. 29/ Il représentait l’Amour qui fit descendre Jésus du ciel sur la terre pour y mourir. 30/ Jésus leur commanda de s’asseoir sur le foin et cela signifie que personne ne mériterait d’être nourri au grand repas de sa Passion 31/ s’il ne reconnaissait être de nature aussi fragile que le foin qui au matin est vert et le soir foin. 32/ Nous devons donc tous reconnaître notre humble condition devant Dieu, car nous sommes de nature encore plus fragile que le foin, 33/ car nous pouvons être un jour en bonne santé et le lendemain puants et pourris, tandis que le foin sent bon. 34/ Quand ils furent rassasiés, Jésus dit: Recueillez les restes pour les mendiants; que ce ne soit pas gaspillé. 35/ Il faut comprendre qu’il commandait à ses disciples de retenir ses actes et ses paroles pour nous nourrir et nous faire entrer dans sa foi, 36/ nous qui sommes venus plus tard et ceux qui viendront jusqu’au Jugement dernier; et ils lui obéirent. 37/ Les douze corbeilles pleines qui restèrent de ce repas représentent les douze articles de la foi qui se succèdent à partir de la sainte Trinité 38/ et de sa vie en partant de sa Nativité, sa Passion et sa glorieuse Résurrection. 39/ Ces douze articles, il nous les a donnés par ses disciples pour régler notre vie religieuse. 40/ Car si nous ne croyons pas tout, nous ne croyons pas assez; et si nous croyons davantage, nous croyons trop. 41/ S’il nourrit cinq mille hommes (sans compter les femmes ni les enfants) avec ces cinq pains et ces deux poissons, 42/ c'était pour nous dire que les hommes de bonne volonté de cinq mille ans et plus jusqu’au Jugement seront tous sauvés par sa Passion, si toutefois ils n'y font pas obstacle, car ce n'est pas Dieu qui sera défaillant. |
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TC0131 | TE008651 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 507, 1-5 | LE PAIN DES DEUX PELERINS. 1/ Deux pélerins de saint Jacques avaient emporté une provision de pain, parce que le pain qu’on trouve en route n'est pas toujours bon. 2/ L’un donna de son pain aux pauvres tant qu’il en eut et l’autre n'en donna pas: son pain devint tellement moisi qu’il ne pouvait en manger. 3/ Son compagnon lui en donna du chaud qu’il venait d’acheter: entre ses mains il moisit aussitôt, ce qui le fit réfléchir. 4/ Dans le reste de sa vie il donna généreusement aux pauvres selon ses moyens. 5/ Ceux qui ne veulent donner l’aumône de leur vivant ont lieu de craindre que le le pain du ciel ne leur soit moisi ou refusé. | |
TC0137 | TE012814 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 329 | La peur de la mort mène certains hommes vers le bien. Quand le corps d’un comte fut exhumé on trouva un crapaud sur son visage et des vers et des serpents qui le dévoraient. Tous s’enfuirent effrayés et le fils du comte après avoir vu l’état du mort se fit pauvre, vivant des aumônes jusqu’à ce qu’il arrive à Rome où il vécut comme charbonnier. Quand il mourut toutes les cloches de Rome sonnèrent pour lui parce qu’il était désormais considéré comme bienheureux. |
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TC0138 | TE019530 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 428 | Mort affreuse d'une précieuse duchesse. | |
TC0138 | TE019772 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 630 | La bien aimée en pourriture. | |
TC0138 | TE019589 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 464 | La richesse sous les traits d'une femme à double apparence : la beauté et la pourriture. | |
TC0142 | TE017990 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 4 | Un convers cistercien, dont la tâche était de garder le cochons, est tenté d'orgueil et se propose de quitter le monastère. La nuit, un ange lui apparaît et le conduit au cimetière pour lui montrer un corps putride. Le convers, horrifié par la vision de la mort, abandonne son propos et vainc la tentation. |
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TC0157 | TE017122 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 66, p. 270, l. 1 – p. 271, l. 2 | Le personnage évoqué ici est encore en vie, et les faits ont été relatés par un homme digne de foi. Le doge de Venise avait une femme venue de Constantinople. Cette femme donnait beaucoup de soins à son corps, et par exemple, employait ses serviteurs à récolter la rosée afin qu’elle puisse s’y baigner. Elle se faisait nourrir par les eunuques dans des couverts d’or. Elle parfumait ses appartements d’encens et d’épices de toutes sortes. Elles vivait dans un luxe excessif. Elle dut subir le châtiment divin. Son corps se mit à pourrir et dégageait une odeur si insupportable que plus personne ne pouvait la servir, à part une servante, à l’aide d’huile parfumée. Elle finit par mourir, au grand soulagement de son entourage. Ainsi, la chair nous enseigne ce qu’elle est, dans la mort mais aussi dans la vie. |
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TC0157 | TE017121 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 66, p. 268, l. 16 – p. 269, l. 22 | Sophia, sœur du comte Uguzo et fille du comte Rainer, il y a à peu près six ans, demanda à ce qu’on lui construise une tombe au monastère de Saint-Christophe Martyr. Elle était encore en bonne santé à ce moment. L’abbé résista, puis céda à contre-coeur. Lorsque la tombe fut achevée, elle entra pour la visiter, et tomba immédiatement malade. Elle fit une fausse-couche et mourut. Elle fut enterrée, mais pendant un an, cette tombe magnifique produisit une odeur si fétide qu’il fut impossible de vivre dans la moitié du monastère. Pierre Damien fut consulté et interpréta l’évènement ainsi : Dieu veut par-là rappeler à chacun ce que devient toute chair, quelque charmante qu’elle ait pu être pendant sa vie transitoire sur Terre. |
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TC0158 | TE017038 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 496 | Conversion de la courtisane «Fleur de Lotus ».– La courtisane «Fleur de Lotus» se convertit après avoir vu une femme plus belle qu'elle mourir soudain et entrer en putréfaction. | |
TC0161 | TE017733 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXIV,05 | COMMENT KUDARA NO KAWANARI ET L'ARCHITECTE DE HIDA SE DÉFIENT.– Le serviteur du peintre Kawanari s’étant enfui est retrouvé grâce à son portrait réalisé par le peintre. Suite à un défi dans leurs arts respectifs, l’architecte invite le peintre à venir voir un pavillon qu’il a construit, pour décorer le mur avec ses peintures. Kawanari arrive devant ce pavillon qui a une porte ouverte sur chacune des quatre faces. Mais les portes se ferment ou s’ouvrent de telle sorte qu’il ne peut y pénétrer. L’architecte se met à rire, fier de sa farce. Kawanari convie plus tard l’architecte à venir voir une chose dans sa maison. L’architecte, méfiant, finit par venir et, entré dans le corridor de la maison, trouve un homme de grande taille étendu et en état de putréfaction. Il lui semble sentir la puanteur et recule en criant. Alors Kawanari se met à rire car il s’agit en réalité de la forme d’un cadavre peinte sur une cloison de papier. |
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TC0162 | TE017767 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. Lavigne-Kurihara, 2002] : XXVII, 43 | COMMENT LE VASSAL DE YORIMITSU, TAIRA NO SUETAKE, RENCONTRE LA FEMME AU BÉBÉ.– Suetake , un guerrier défié par ses compagnons, parie qu’il traversera le gué de Watari, où apparaît une femme qui fait pleurer son bébé et demande qu’on le prenne dans ses bras. Chaque guerrier promet de donner une récompense à Suetake s’il réussit. Suetake dit qu’il plantera une flèche sur l’autre berge comme preuve de sa réussite. Trois jeunes guerriers très curieux suivent Suetake dans la nuit. Ils l’entendent traverser la rivière et croient reconnaître le bruit d’une flèche fichée en terre. Puis pendant que Suetake traverse dans l’autre sens, ils entendent au-milieu de la rivière des pleurs de bébé et la voix d’une femme qui demande qu’on le prenne dans ses bras. Les guerriers épouvantés sentent une odeur de putréfaction qui monte de la rivière. Suetake accepte de porter le bébé qu’il prend sur sa manche, et quand la femme crie de le lui rendre, il refuse et galope vers la rive. Revenu à la salle de garde, il se vante d’avoir réussi à traverser le gué et d’avoir même ramené l’enfant. Mais en ouvrant sa manche il ne trouve que quelques feuilles d’arbre. Suetake , n’accepte aucun cadeau de ses compagnons et dit que chacun serait capable d’accomplir la même chose. Certains disent que cette femme est une renarde à forme humaine, et d’autres, l’âme errante d’une femme morte en couches. |
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TC0163 | TE018107 | Kamo no Chomei | Hosshinshū (Récits de l'éveil du cœur) [tr. Pigeot, 2014] : 43. | GENBIN ATTACHE SES PENSÉES À L’ÉPOUSE D’UN GRAND CONSEILLER.– Le contrôleur monacal Genbin, considéré par tous comme un Bouddha, est frappé d’un mal inexplicable. Un grand conseiller qui a toujours eu grande confiance en Genbin, se rend à son chevet. Ce dernier lui avoue qu’il a perdu la tête depuis qu’il a aperçu la femme du conseiller. Celui-ci reproche à Genbin de ne pas lui en avoir parlé plus tôt, et il l’invite à venir chez lui pour arranger l’affaire. Le conseiller expose à sa femme ses intentions, et celle-ci accepte, malgré ses profondes réticences. Le contrôleur monacal se présente alors chez le conseiller, vêtu d’un somptueux habit monacal. Le conseiller introduit Genbin dans un lieu clos de paravents. L’épouse se trouve là, parée magnifiquement. Genbin reste deux heures à la contempler, en faisant claquer ses doigts à plusieurs reprises. Il quitte ensuite la maison sans avoir approché la femme, ce qui inspire grand respect au maître de maison. Sans doute Genbin a refréné sa passion par la contemplation de l’impur. Le corps humain est une machine faite d’os et de chair qui ressemble à une bâtisse pourrie. L’aspect des six viscères et des cinq organes ne diffèrent en rien à celui des replis d’un serpent venimeux. Seule la mince peau qui enveloppe l’ensemble cache toutes ces impuretés. Il ne sert à rien de se poudrer ou de se parfumer. Le moindre aliment délicat se change en ordure après une nuit. Quand notre âme nous quitte, notre dépouille jetée au lieu des sépultures va se boursoufler, pourrir et devenir un blanc squelette. Et ceux qui possèdent la compréhension tiennent en haine ce corps périssable. Il est dit que l’homme qui se perd dans les fugitifs attraits d’un être et en a le cœur troublé ressemble à ces insectes qui, aux lieux d’aisance, se complaisent sur les excréments. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
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