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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: repas | meal | Mahl | comida | pasto
25occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0137
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0137 | TE012766 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 281 | Les artifices de la nécromancie. Un nécromant de Tolède déploie devant les frères prêcheurs les artifices de son art: il fait sortir de la terre des garçons et des filles qui chantent, dansent et leur portent des plats et des boissons très raffinés provenant de tous les coins du monde. | |
TC0137 | TE012616 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 131 | "Saint Thomas d’Aquin. Saint Thomas d’Aquin étant à table avec le roi de France saint Louis et le Maître de l’Ordre des prêcheurs Jean de Verceil, frappa avec la main sur la table et renversa toute la vaisselle en criant "c'est résolu !". Le roi s’étonnant de ce qui s’était passé demanda des explications et saint Thomas d’Aquin dit qu’il était en train de raisonner en lui-même; quand Dieu lui avait donné la reponse à son problème il avait fait ce geste." |
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TC0137 | TE012763 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 278 | Les pets. Un soldat fit un pet et mourut. Conseillé par les médecins, l’Empereur Claudius fit une loi selon laquelle tous, et en tous les endroits, puissent péter sans que cela fut considéré comme un acte irrespectueux. Dans une région au-delà de la Pologne où les habitants sont des païens, il est d’usage de faire des grands banquets au cours desquels des serviteurs portent des plats d’argent avec de l’encens. Alors, quand les invités pétent, les serviteurs courrent pour parfumer le lieu avec l’encens. À la fin du banquet ils ont beaucoup à faire. | |
TC0137 | TE012588 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 103 | Le miel et l’ours. L’ours invité à un banquet ne peut plus s’arrêter de manger des plats préparés avec du miel; les autres animaux le tirent par la queue afin de l’arrêter. Ainsi les martyrs préfèrent perdre leur vie plutôt que se séparer de la douceur de Dieu. | |
TC0137 | TE012614 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 129 | Le banquet des voyous fait à Vicence. Certains voyous ont fait en hiver un banquet sur une place de Vincence, seulement vêtus d’une chemise, sans chaussures et tenant les pieds dans l’eau froide; les autres servaient et tenaient les mouches à distance. Les gens curieux leur donnèrent de l’argent de sorte qu’ils purent se nourrir abondamment. |
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TC0137 | TE012471 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 9 | Le philosophe Taurus et son père. Le philosophe Taurus reçoit la visite de son père et l’asseoit à table à la place d’honneur. Le père veut se dérober, mais le philosophe lui explique qu’un fils, même s’il est devenu un personnage important, doit toujours dans la vie privée honorer son père. | |
TC0137 | TE012868 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 383 | Un homme tue un évêque pour devenir lui-même évêque. Un archidiacre voulant devenir évêque tua l’évêque en charge en mettant une pierre au-dessus de la porte par laquelle il passait pour aller prier la Vierge. Le nouvel évêque fit un banquet et un prince présent vit la Vierge avec les saints, les anges et l’évêque assassiné: la Vierge demandait au Christ de punir l’assassin. Le prince raconta sa vision et vit l’évêque usurpateur mourir subitement devant lui. |
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TC0137 | TE012881 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 396 | L’habit du philosophe. Un philosophe se rendit à dîner chez un prince avec un habit modeste; personne ne le remarqua ni ne lui adressa la parole. Alors le philosophe se changeant, revint richement vêtu et tous voulurent parler avec lui. Le philosophe embrassa alors ses vêtements qui lui avaient apporté tant d’honneurs. | |
TC0137 | TE012473 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 11 | Le partage de l’anguille. Deux français cherchent à tromper un lombard dans le partage d’une anguille, mais finissent par être à leur tour trompés par le lombard qui réussit à avoir la meilleure part. | |
TC0137 | TE012474 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 12 | Le partage d’une oie selon la logique. Un père demande à son fils étudiant à Bologne de diviser une oie selon la logique. Le fils donne la tête au père, qui est le chef de la famille, les pattes aux frères, parce qu’ils doivent soutenir la maison, le cou à la mère qui est la personne la plus unie au père, les ailes aux soeurs parce qu’elles sont destinées à quitter la maison, et garde pour lui tout le corps de l’animal. | |
TC0137 | TE012716 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 231 | Le manque de charité à l’égard des hôtes. L’évêque de Novare était en voyage en Allemagne avec un évêque de la région, mais ils ne trouvèrent pas l’hospitalité pour manger quelque chose. Voyant un vol de grues, l’évêque de Novare pria Dieu pour qu’il les aide ; aussitôt, une grue tomba morte à ses pieds. |
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TC0137 | TE012529 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 67 | Le moine qui, par naïveté, mange de la viande et fait du bien à son monastère. Un moine se rend chez un châtelain qui à l’habitude de voler les bêtes du monastère. Désireux de récupérer autant que possible du butin, le moine est invité à la table du chatelain; ce dernier lui demandant pourquoi il a mangé de la viande, le moine répond qu’ainsi il a recupéré au moins une partie des bêtes volées. | |
TC0137 | TE012493 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 31 | Un aveugle ne veut pas payer pour la lumière parce qu’il ne voit pas. Un aveugle se joint à des marchands, mais au moment de partager le coût d’un dîner, refuse de donner sa part pour la lumière, de laquelle il dit n’avoir pas profité. | |
TC0137 | TE012532 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 70 | L’homme qui porta au cou pendant trente ans un serpent à cause d’un chapon. Un homme chassa sa mère de la maison en refusant de lui donner un chapon, qu’il cacha dans un panier. Quand il voulut reprendre le chapon, il trouva à sa place un serpent qui, s’enlaçant à son cou, y resta trente ans. | |
TC0137 | TE012495 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 33 | La coupe du poète Primas. Le poète Primas est reçu à la cour papale seulement après avoir présenté une coupe d’argent. Après le déjeuner, le pape lui demande de réciter une poésie et il compose des vers dans lesquels il se moque de son avarice. | |
TC0137 | TE012482 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 20 | Un cuisinier promu abbé. Un roi fait couper la main à son cuisinier qui a préparé un banquet qui ne l’a pas satisfait. Le cuisinier entre en monastère et devient abbé; après quelque temps il a l’occasion d’offrir un dîner au roi, et se fait reconnaître. | |
TC0137 | TE012723 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 238 | Les déjeuners imposés par la règle plaisent à Dieu. Le dimanche avant Noël deux frères du monastère de Classe, un jeune et un vieux, se mirent à table mais le jeune observa le déjeuner habituel avec pain et eau, tandis que le vieux mangea tout ce qui lui plaisait. La nuit de Noël pendant que tous les frères réunis fêtaient la Nativité, le vieux frère était entouré seulement par ses proches qui pleuraient sa mort. | |
TC0137 | TE012483 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 21 | L’anneau extrait du doigt après le dîner. Le comte de Zara ne réussit pas à enlever un anneau, mais un esclave le lui enlève sans difficulté après le repas, quand le doigt est devenu plus souple. | |
TC0137 | TE012497 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 35 | Les amphores de vin qui viennent seules à la table du Grand Khan. Les savants du Grand Khan font bouger les amphores de vin jusqu’à sa table sans que personne ne les touche. | |
TC0137 | TE012619 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 134 | La vie des riches est dangereuse. Un diable fait s’asseoir Denis, qui avait obtenu des grands, honneurs et richesses, sur un trône en or et lui fait préparer un dîner plein de tous les délices possibles. Il lui place également une épée liée à un crin de cheval sur la tête. Denis ne bougea pas, ayant peur de l’épée. Le diable expliqua alors à Denis que telle était la vie du diable, vie que Denis avait crue meilleure. | |
TC0137 | TE012625 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 140 | La tête de l’anguille. Un frère dénonça au chapitre l’un de ses confrères parce que celui-ci leurs servait à manger seulement des têtes d’anguille et gardait pour lui tout le corps; le frère alors porta à table seulement les têtes d’anguille. | |
TC0137 | TE012624 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 139 | L’anguille écorchée. Un oiseau doué de parole qui avait vu deux serviteurs d’un seigneur mangeant une anguille donnée à leur patron raconte au seigneur ce qui s’était passé. Les serviteurs, punis par le seigneur, arrachent les plumes de la tête de l’oiseau en disant qu’ils le dépouillaient à cause de l’anguille. L’oiseau ainsi traité resta triste et sans manger durant plusieurs jours, jusqu’à ce qu’il vit d’une fenêtre deux religieux avec la tête rasée qui étaient près de la maison. Alors l’oiseau très content demanda aux deux frères si eux aussi avaient mangé de l’anguille. |
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TC0137 | TE012556 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 94 | La pomme d’or qui devait appartenir à la plus belle. Les déesses grecques de la richesse, de la sagesse et de la beauté se réunirent pour un banquet; la déesse de la discorde, n’étant pas invitée, donna une pomme d’or sur laquelle était inscrite une phrase précisant que la pomme était déstinée à la plus belle. Après en avoir débattu, les trois déesses se tournèrent vers Zeus pour qu’il décide; celui-ci laissa au fils de Priam le soin de choisir. Chaque déesse promit de lui donner le meilleur de ses pouvoirs afin d’être élue. Pâris decida de donner la pomme à la déesse de la beauté et celle-ci, en échange, lui donna Hélène comme épouse. Et ainsi commença la guerre de Troie. |
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TC0137 | TE012609 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 124 | La couronne de roses. Le roi de France était à table avec ses fils et avec Jean de Vercelle, Maître de l’Ordre des Frères Prêcheurs; le roi posa une couronne de roses qu’il avait sur sa tête sur celle de Jean de Vercelle. À son tour, celui-ci, après l’avoir gardée un moment, la passa au fils aîné du roi, en expliquant qu’il la lui avait passée en respectant la hiérarchie, sans offenser aucune des personnes présentes. | |
TC0137 | TE012621 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 136 | Quelle est la chose la plus forte au monde. Le roi Darius organisa un dîner avec les princes de Perse, d’Inde et d’Ethiopie et demanda quelle était la chose la plus forte au monde : le roi, le vin ou les femmes ? Zorobabel déclara que c?était les femmes. |
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