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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: génuflexion | genuflection | Kniebeugung | genuflexión | genuflessione
18 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001328 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 18, 3 | Un chevalier pardonne à l’assassin de son frère pour l’amour du Crucifié. Entré dans une église pour écouter la messe, à chacune de ses génuflexions, le Crucifix penche la tête humblement. | |
TC0020 | TE003783 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 258 | Un cheval est dressé par un bouffon à s’agenouiller aux mots " Fléchissons les genoux" , et reste dans cette posture jusqu’à ce qu’on lui dise " Debout" . Lorsque des acheteurs potentiels sont des clercs ou des moines, le dresseur, attendant que le cheval marche dans une flaque de boue, lui crie " Fléchissons les genoux" , mais ne donne pas l’ordre de se relever. | |
TC0035 | TE006500 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 5v, n° 19 | En présence du pape Eugène, un homme et sa femme se disputent. Le pape se met à genoux devant l’homme afin de restaurer leur entente. | |
TC0105 | TE012953 | anon. | Tombel de Chartrose [Sulpice, 2014] : 21 | Deux chevaliers allemands sont en guerre. L’un d’eux tue l’autre. Le fils du mort, qui subit la mort de son père comme une honte, demande de l’aide pour le venger. Tout le monde prend les armes. Toutefois, il envoie un messager pour demander la paix, mais l’autre partie refuse. La bataille commence et au moment où le fils tient celui qui a tué son père avec son épée, il avoue son crime. Le fils lui pardonne et le laisse en vie. L’assassin de son père le remercie en lui baisant les pieds. Lorsqu’il eut achevé la guerre, le bon fils prend la croix, traverse la mer à la nage et va en pèlerinage en la sainte Cité. Quand il entre dans l’église, il s’incline devant le crucifix, qui lui rend la même chose. | |
TC0131 | TE008845 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 632, 1-5 | COUTUME DES AGNEAUX DE SAINTE AGNES. 1/ Les religieuses de Sainte-Agnès de Rome élèvent tous les ans chacune un agneau 2/ en l’honneur de Notre-Seigneur appelé agneau et de leur sainte patronne Agnès épouse de l’agneau. 3/ Le jour de Pâques, l’agneau de l’une de ces religieuses (celle que Dieu choisit, 4/ pas toujours la même, mais une fois l’une, une fois l’autre) s’agenouille quand elle reçoit la communion. 5/ Dès lors on le garde soigneusement et avec la laine de cet agneau on tisse un vêtement qu’on appelle le pallium du pape. |
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TC0131 | TE007756 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 128, 1-9 | LE DIABLE QUI S’AGENOUILLA. 1/ Un juif vit un diable s’agenouiller à deux genoux devant le corps de Jésus-Christ qu’un prêtre portait à un malade; 2/ à son retour il ne fléchit qu’un seul genou parce que le prêtre ne rapportait pas le corps du Seigneur. 3/ Le juif lui demanda pourquoi il se comportait ainsi. 4/ Le diable lui répondit: Parce que dans l’Ecriture Paul le pelé dit que le ciel et l’enfer s’agenouillent devant le corps de Jésus: cela concerne les anges du ciel et nous. 5/ Et j'ai fléchi le genou devant son ministre par respect pour son rôle. 6/ En l’entendant ainsi parler, le juif se fit baptiser, plein de foi, et raconta ce miracle au pape. 7/ Dès lors le pape accorda dix jours d’indulgence à tous ceux qui salueraient les prêtres par respect pour leur rôle et à chaque fois. 8/ Car chaque fois que nous nous levons en leur présence ou que nous nous découvrons, si nous sommes en état de grâce nous gagnons dix jours d’indulgence. 9/ Et même si nous ne devions rien y gagner, il conviendrait quand même de leur témoigner plus de respect que le diable qui est incapable d’en gagner. |
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TC0131 | TE008176 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 728, 1-7 | LE LION DE SAINT JEROME. 1/ Un lion se présenta devant saint Jérôme, dans un couvent de moines où il était, avec l’air de se chercher un maître. 2/ Saint Jérôme lui confia un âne à mener au bois et en pâture. 3/ Les marchands d’une caravane de chameaux lui volèrent son âne pendant qu’il dormait. 4/ On le soupçonnait de l’avoir mangé. Mais tous les jours il allait à l’endroit où il l’avait perdu, jusqu’au jour où il entendit les marchands qui revenaient avec son âne. 5/ Il les amena malgré eux à l’abbaye avec leurs marchandises. 6/ Les marchands demandèrent pardon à genoux à saint Jérôme. 7/ Ils versèrent une rente à l’abbaye sur leurs biens pour l’amour de Dieu et en expiation de leur vol. |
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TC0134 | TE013977 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 293a | Questionnement au prophète Michée sur la meilleure façon de servir Dieu. | |
TC0138 | TE019693 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 551 | Le voleur pris à cause de sa pitié. | |
TC0138 | TE019882 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 740 | Un pieux chevalier protégé par les morts du cimetière. | |
TC0138 | TE019798 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 656 | Du moine qui s'agenouillait au seul nom de Marie. | |
TC0138 | TE019820 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 678 | Un sacristain noyé sauvé grâce à sa dévotion à la Vierge. |
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TC0142 | TE018783 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 24 | Adam, moine de l'abbaye de Loccum, quand il était encore enfant, souffrait de la gale [scabies] qui lui couvrait la tête. Il fréquenta à l’époque une école à Münster. Pour rejoindre l’école, il lui fallait passer par une église dédiée à la Vierge Marie où il s’arrêtait toujours et faisait trois génuflexions avec trois Ave Maria. Une nuit, il pensa que la cloche sonnait pour les Matines et alla à l’école. Il trouva l’église fermée, mais y fit toutefois les génuflexions habituelles. En se levant, il vit l’église ouverte et dedans sept matrones d'une beauté extraordinaire siégeant devant l'autel. La plus belle – la Vierge Marie – loua sa dévotion et lui révéla comment on pourrait guérir sa maladie. En plus, elle lui promit qu'il n'aurait plus jamais de maux de tête. |
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TC0142 | TE018813 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 13, 4 | Pierre, moine de Himemerod, avait le désir de voir le visage du Christ, et celui-ci lui accorda cette grâce. Pierre soufrait de sévères tentations charnelles. Une fois, il se cacha dans le coin du chœur des convers et y pria pour recevoir l'intercession divine. Puis, il se souvint de quelque chose, se leva et, en passant devant l'autel, fit une génuflexion. Du coup il vit le Christ sur la croix qui s'en libéra et prit Pierre dans ses bras, comme s'il était son meilleur ami. Les tentations du moine cessèrent. | |
TC0142 | TE018874 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 48 | Une religieuse qui avait une dévotion particulière pour la Vierge Marie se blessa au genou à force de génuflexions. La Vierge lui apparut dans une vision et la guérit en appliquant de l’onguent sur l’endroit blessé. Les autres religieuses, sentant l’odeur miraculeuse de l’onguent, la réveillèrent. La religieuse guérie ne leur dit rien, se rendormit et eut une seconde vision de la Vierge Marie lui montrant qu’elle pouvait à nouveau prier à genoux ; elle lui conseilla en plus de dire chaque jour la séquence « Ave, Dei genitrix » | |
TC0142 | TE018875 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 49 | Un reclus de Cologne apprit d'une matrone très pieuse que les mots de l’Ave Maria lui semblaient comme du miel dans la bouche. Il demanda comment elle avait mérité une telle grâce. La femme répondit qu'elle avait l’habitude de dire l'Ave Maria cinquante fois par jour avec autant de génuflexions. Entraîné par son exemple, le reclus commença à dire l’Ave Maria cinquante fois par jour et, au bout de six semaines, il ressentit pleinement la douceur du nom sacré. | |
TC0143 | TE014181 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 103, A-B | La nuit de la saint Martin, un moine cistercien vit un démon entrer dans l’église sous l’apparence d’un paysan très laid. Il s’approcha d’un novice et s’arrêta près de lui. Le moine regarda le démon assez longtemps, puis se détourna; quand il leva les yeux, le démon avait disparu. Ensuite, le démon prit la forme d’une queue de veau pendant dans l’air qui, lorsqu’elle touchait le dos du novice, le faisait se tromper dans la psalmodie. Mais lorsque le novice se mit à genoux, le démon s’envola instantanément et disparut. |
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TC0160 | TE017299 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°74 | Un hérétique, en Lombardie, ne croit pas dans les saintes paroles que l'on prononce au moment de la communion. Il se rend chez un devin qui convoque le diable par ses enchantements. Le diable apparaît sous l'aspect d'un jeune homme avec un capuchon sur la tête. Alors que le devin et le diable discutent entre eux, un prêtre passe devant eux pour apporter l'hostie à un malade. Quand le diable entend la clochette tinter, il s'agenouille sur ses deux genoux et ôte son capuchon. Lorsque le prêtre revient après avoir donné l'hostie au malade, le diable s'agenouille sur un seul genou et ne retire pas son capuchon. L'hérétique demande alors au devin pourquoi il se conduit ainsi. Le diable répond alors au devin que la première fois, il l'a fait en l'honneur du Christ et du pain que le prêtre tenait dans ses doigts, et que la seconde fois, il l'a fait pour le prêtre qui est le lieutenant de l'office. A ces mots, l'hérétique se repent de ses péchés, devient un bon chrétien qui croit au sacrement de l'autel et qui fait de nombreux honneurs aux prêtres. |
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