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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: porte | door | Tür | puerta | porta
31 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0003 | TE001588 | Dominico Cavalca | Esempi [Varanini, Baldassari, 1993] : 23 | Un ermite dit à un compagnon de voyage qu’il a la bouche comme une porte toujours ouverte. | |
TC0012 | TE002642 | Jacobus Passavanti | Specchio di vera penitenza : 6 | Saint Arsène entend une voix qui lui dénonce trois exemples de mauvais comportement humain: 1) transporter du bois trop lourd 2) tâcher de faire passer des troncs trop larges par une porte trop étroite 3) prendre de l’eau et remplir une citerne percée. | |
TC0021 | TE004121 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 190 | Un ermite, qui pour aller voir saint Antoine avait voyagé avec des frères bavards les compare à des maisons sans porte. | |
TC0021 | TE004120 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 189 | Comment garder intact notre coeur si notre langue en garde la porte ouverte ? | |
TC0033 | TE006237 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 374 | UNE TAXE SUR LES DEFAUTS PHYSIQUES. Un roi donna au portier d’une ville le droit de prélever un denier pour chaque défaut constaté sur les personnes qui franchissaient la porte. Un boiteux qui refusait de payer se révéla bègue, ulcéreux, borgne, manchot et bossu. | |
TC0033 | TE006247 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 384 | TROIS TACHES INUTILES. Un ange montre à un ancien trois exemples d’occupations vaines: un homme persiste à composer un fagot qu’il ne pourra pas porter; un autre reverse dans le puits l’eau qu’il vient d’en retirer avec peine; le dernier porte une poutre en travers de la porte par laquelle il veut passer. | |
TC0035 | TE006569 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 9v, n° 43e | Ceux qui suivent le Christ trouveront la porte du ciel ouverte; les autres trouveront celle du purgatoire. | |
TC0036 | TE006641 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 1 | Dans la ville de Mâcon vivait un seigneur tyrannique qui oppressait ses sujets et les églises des environs, allant même jusqu’à chasser les chanoines des églises et les moines des monastères. Mais un jour, alors qu’il est installé sur son trône entouré de ses chevaliers et de ses gens, un cavalier-démon entra dans la pièce, et le somma de le suivre dans l’instant. Contraint par une force invisible, le comte malfaisant ne put résister à l’ordre et suivit le cavalier jusqu’à la porte de son château. Là, le démon l’obligea à monter le cheval qui l’attendait devant la porte. C’est alors que tous ceux qui étaient présents virent le comte emporté dans les airs, hurlant de terreur à l’idée du châtiment qui l’attendait. Afin de garder en mémoire cet événement, les habitants de Mâcon ont par la suite muré la porte par laquelle le démon avait emporté le comte tyrannique. Mais plus tard, l’intendant du comte nommé Otger, qui était connu pour être aussi malfaisant que le comte, décida de faire rouvrir la porte mémorable. C’est alors que de nouveau, le cavalier-démon revint et emporta également l’intendant dans les airs puis le laissa retomber si bien qu’il se brisa le bras. Finalement, la porte fut définitivement murée. |
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TC0036 | TE006669 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 31 | Au monastère de Charlieu, un oblat est témoin d’une apparition de défunts durant la nuit qui précède la Nativité, alors qu’il était couché dans le dortoir des frères, ne parvenant pas à trouver le sommeil. Soudain, il vit entrer dans le dortoir et venir à lui, deux hommes qu’il reconnaît bien que ne les ayant jamais vus. Il s’agit d’Achard, son oncle et ancien prieur du monastère et le prieur Guillaume (cf. II, 25), tous deux défunts. Après leur conversation, le seigneur Guillaume quitte les lieux, laissant Achard seul assis près de l’enfant. Le défunt invite ce dernier à se lever et à l’accompagner au cimetière. Mais l’oblat, d’abord apeuré, puis rassuré par son oncle, craint d’être puni en quittant le dortoir. Son oncle défunt le rassure, lui affirmant qu’il ne lui arrivera rien. L’enfant moine et le défunt sortent du dortoir et se dirigent vers le cimetière des moines où se trouve déjà une assemblée des défunts. Comme il l’avait annoncé au jeune vivant, à peine est-il assis, qu’Achard doit essuyer une accusation pour son retard. Il se lève pour faire pénitence, laissant sa place au jeune visiteur, et s’avance au milieu. Celui-ci observe l’assemblée du cimetière qui baigne dans une clarté surnaturelle. Il voit son oncle défunt faire pénitence devant son juge assis sur un siège imposant trônant sur une lanterne des morts. Après sa pénitence, le défunt retrouve sa place. L’enfant voit alors l’assemblée quitter les lieux, non par la porte par laquelle elle était entrée, mais par une autre porte au seuil de laquelle se trouve un feu qui les purifie. Achard raccompagne son neveu au dortoir avant de disparaître. |
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TC0129 | TE007281 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 49a | Thomas de Canterbury refuse de faire fermer les portes de son église en allant au devant de ses assassins. | |
TC0134 | TE012910 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 91b-92a | Un ange montre à saint Arsène trois exemples de mauvais comportement humain et explique leur signification : 1) ne pas pouvoir soulever un fagôt de bois trop lourd et ajouter encore des branches (= ajouter des péchés à des péchés); 2) prendre de l’eau et remplir une citerne percée (= avoir l’âme percée par des crimes); 3) tâcher de faire passer une pièce de charpente par une porte d’église en la tenant transversalement (= être orgueilleux et ne pas vouloir s’incliner devant Dieu. | |
TC0138 | TE019743 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 600 | Le pénitence d'un élève coléreux. | |
TC0138 | TE019390 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 334 | Le péché est la porte de l'enfer. | |
TC0138 | TE019344 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 289 | La portière de l'enfer s’appelle « habitude de pécher ». | |
TC0138 | TE020207 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 912A | Réponse d'un portier à un religieux impatient. | |
TC0138 | TE019472 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 393 | Omniprésence de la croix dans la vie de l'Homme: elle est comparée à un pont, un navire; elle est marquée sur le visage de l'Homme, elle est la porte du ciel, le sceau du roi... | |
TC0138 | TE019203 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 148 | Bataille allégorique des vices et des vertus. | |
TC0138 | TE014119 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 43 | Le cercueil d’un avocat ne peut entrer dans l’église. | |
TC0139 | TE016138 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 201 p:135 .du texte hébreu | Le prophète Elie révéla à Rabbi Yoshua ben Levi dans une vision la beauté de la Jérusalem future et les pierres précieuses incrustées dans ses portes. | |
TC0139 | TE017532 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 277 pp.181-182 du texte hébreu | Rabbi Yohanan ben Zakkai explique que la raison pour laquelle on poinçonne l'oreille d'un esclave hébreu qui refuse de se laisser libérer, est que les juifs ont entendu au mont Sinaï qu'ils n'étaient les esclaves que de Dieu et non d'un homme. | |
TC0139 | TE016389 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 204 p.136 du texte hébreu | Un homme pieux se promenait le long de la mer à Haïfa, et doutait de la possible existence d’un portail fait d’une perle. Une voix venant du ciel le menaça de châtiment. Il se repentit immédiatement d’avoir douté et demanda miséricorde. Le fond de l'eau s'ouvrit et il vit alors des anges en train de fabriquer le portail en perle. |
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TC0139 | TE016388 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 203 pp:135-136 du texte hébreu | Rabbi Johanan racontait que le portail du futur Temple serait fait d’une seule perle. Se trouvait là un hérétique qui se moqua de lui en disant qu’on ne pouvait même pas trouver une perle de la taille d’un oeuf, à plus forte raison de la taille d’un portail. Ce même homme entreprit un voyage en mer et son bateau fit naufrage et s’enfonça dans les profondeurs. Là il vit des anges en train de tailler et polir une immense perle. Il leur demanda ce qu’ils faisaient et ils lui racontèrent qu’ils préparaient le portail du futur Temple. Un miracle arriva et il fut immédiatement sauvé après cette vision. Rentré chez lui, il alla raconter à Rabbi Johanan ce qu’il avait vu. Ce dernier le regarda et l’homme se changea en un tas d’os. |
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TC0142 | TE019077 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 18 | Un chevalier usurier laissa ses biens en héritage à son fils. Après sa mort, il apparut la nuit, frappant à la porte de la maison. Terrifié, le serviteur n'osa pas lui ouvrir. Le chevalier demanda alors de passer à son fils les poissons dont il se nourrissait lui-même. Le matin, on trouva des serpents et des crapauds suspendus à la porte. |
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TC0142 | TE018046 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 56 | Alors qu'elle quittait le monastère de nuit, une religieuse se cogna la tête contre le chambranle de la porte basse menant au cimetière. Elle revint à elle et abandonna son projet de fuite. | |
TC0152 | TE015087 | anon. | Paris, BnF, nouv. acq. fr. 4464 [transc. A. Sulpice] : II | Histoire d’un père de famille libéré des démons par trois pauvres puis par la Vierge. Un très brave homme et fort honnête a pour habitude de recevoir chaque jour un pauvre en sa maison. La veille de la Toussaint, le prudhomme et sa famille offrent l’hospitalité à trois pauvres. Alors que l’homme s’était couché en excellente santé, on le retrouve le matin prostré sur le sol de sa chambre, rigide et froid comme une pierre. Il est alors baigné chaque jour afin de le réchauffer. Au bout de sept mois, l’homme se réveille mais pensant qu’il va bientôt mourir, convoque son fils ainsi qu’un prêtre auquel il rapporte son aventure, et demande à son fils d’imiter la dévotion paternelle. La nuit, il entendit une voix qui lui ordonna de se lever et qui le conduisit dans un champ d’une grandeur infinie où il fut laissé seul. Il entendit alors une multitude de diables pousser des cris des plus horribles et des plus effrayants, lui reprochant ses fautes et disant qu’il leur appartenait et qu’il ne pouvait s’échapper. Terrorisé, il tenta de fuir et vit devant lui une maison où il y avait deux portes. Il entra par la première et la ferma. Les diables arrivèrent et brisèrent la première porte. Il ne savait où aller. Á ce moment-là, il vit à ses côtés le premier pauvre qu’il avait recueilli la veille de la Toussaint. Ce dernier était là pour l’aider. Les démons brisèrent la deuxième porte et voulurent emporter le brave homme. Mais le deuxième pauvre apparut et le chassa les démons de cette porte. Ceux-ci escaladèrent la maison et en arrachèrent le toit. Vint alors le troisième pauvre qui, avec l’aide des deux autres, chassa les diables. L’homme en profita pour s’enfuir mais il entendit les diables le poursuivre. Il se retrouve au bord d’un fleuve très large et rempli de dragons et de serpents crachant du feu. Les démons lui crièrent d’entrer lui-même dans le fleuve sinon c?étaient eux-mêmes qui le jetteraient au milieu. Il aperçut alors un pont très haut et très étroit (à peine un demi-pied de large) qui paraissait atteindre le ciel. Poussé par la nécessité, il se mit à monter sur ce pont et s’éleva peu à peu, poursuivi par les démons. Arrivé au sommet, le pont disparut et l’homme se mit à pleurer ne sachant que faire, quant il vit de l’autre côté de l’eau, une dame très belle, grande jusqu’au ciel, qui lui dit être la Vierge Marie. Comme il avait récité à telle époque ? et elle lui indiqua ? chaque jour, à genoux, cinquante " Ave Maria" , elle désirait le sauver de ce mauvais pas et le ramener chez lui. Elle le prit par la main et le conduisit dans sa chambre. Resté tout nu et seul dans sa chambre, il s’écroula quasiment mort de peur. Il assura au prêtre et à son fils que son récit était vrai et encouragea ce dernier à accueillir les pauvres ainsi qu’a prier Notre Dame. |
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TC0155 | TE016380 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 257 | Un chevalier usurier laisse ses biens en héritage à son fils. Après sa mort, il apparaît la nuit, frappant à la porte de la maison. Terrifié, le fils n'ose pas lui ouvrir. Le matin, le fils trouve des serpents et des crapauds suspendus à la porte. |
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TC0158 | TE017018 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 476 | L'homme qui invoqua le Buddha aux enfers.– Un homme a appris de sa femme à invoquer le Buddha toutes les fois qu'il heurte une sonnette suspendue à la porte. A sa mort, quand il va dans les enfers, il entend la fourche du démon heurter la chaudière où il est précipité et, par habitude, il invoque le Buddha; il est ainsi sauvé. | |
TC0158 | TE016731 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 281 | L'esclave qui garde la porte.– L'esclave chargé de garder la porte de son maître et de surveiller l'âne, s'en va en mettant la porte sur le dos de l'âne. La maison est dévalisée. | |
TC0160 | TE017304 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°79 | On lit dans la Vie des Pères qu'un saint ermite demande un jour à NS de lui montrer l'état et les miracles du monde. Dieu lui envoie alors un ange qui lui demande de le suivre. Il lui montre trois exemples de mauvais comportement humain (leur explication est donnée dans le texte qui suit) : 1) ne pas pouvoir soulever un fagot de bois trop lourd et ajouter encore des branches ; 2) prendre de l'eau et remplir une citerne percée ; 3) tâcher de faire passer une pièce de charpente par une porte d'église en la tenant transversalement | |
TC0165 | TE018283 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 43, pp. 85-87 | Un moine de Clairvaux particulièrement dévoué à saint Jean célèbre la Toussaint et, tout en méditant un verset de l'Apocalypse, est en extase et embrasse spirituellement le Christ. Un jour, alors qu'il s'est endormi après la messe, il a une vision du Christ et de saint Jean, ce qui le renforce dans sa conviction de la vérité de l'Apocalypse, qu'il avait entendue remise en question par certains hérétiques. Quinze jours plus tard, il a une autre vision dans laquelle saint Jean d'abord et le Christ ensuite lui parlent de l'importance de la pénitence et des larmes. Enfin, le jour de l'anniversaire de la naissance de saint Jean, il est transporté en esprit et voit le saint en train de célébrer la messe. Dans son sommeil, il voit alors le Christ et sa mère entrer dans un palais dont la porte mène au ciel et reste toujours ouverte. Lorsqu'il se réveille, le sentiment de joie demeure longtemps. |
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TC0165 | TE018309 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 57, pp. 128-129 | Jourdain de Fossanova raconte à Herbert l'histoire d'un moine cistercien en Italie qui, à cause de la chaleur due à la fièvre, retire son habit et meurt uniquement vêtu de son scapulaire. L'âme arrive au ciel mais le portier lui refuse l'entrée, lui rappelant qu'un moine sans son habit monastique ne peut pas entrer au Paradis. Un compagnon garantit alors la sainteté du moine, à qui on offre la possibilité de retourner dans son corps, de raconter la vision, de demander pardon et d'enfiler à nouveau son habit monastique avant de mourir en paix. Comme on le lit dans les "Vitae Patrum", l'habit monastique possède sa propre puissance, héritée du Saint-Esprit. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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