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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: bâton | stick | Stock | bastón | bastone
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0003 | TE001600 | Dominico Cavalca | Esempi [Varanini, Baldassari, 1993] : 30(2) | Un Chrétien qui devait de l’argent à un Juif, cache les pièces dans un bâton qu’il fait tenir au Juif en lui disant qu’il lui a rendu ce qu’il lui devait. Peu après, ce dernier est tué par un char. |
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TC0007 | TE002613 | anon. | Le Mesnagier de Paris : 13 | A Melun, le seigneur d’Andresel parie sur l’obéissance de la femme de son écuyer. Elle accepte sans broncher de sauter trois fois au dessus d’un bâton. L’épouse du seigneur refuse. | |
TC0021 | TE004115 | anon. | Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908] : 184 | Saint Nicolas punit le serment trop habile d’un chrétien qui avait caché l’argent de sa dette (à un juif) dans un bâton creux. | |
TC0033 | TE006064 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 210 | RESURRECTION D’UN PRETRE. Saint Pierre envoya saint Martial dans le pays de Limoges avec deux prêtres. L’un mourut. Martial et l’autre prêtre s’en retournèrent à Rome. Ils reçurent de Pierre son bâton. Martial en toucha le prêtre qui ressuscita. | |
TC0033 | TE006073 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 219 | LE BATON DE SAINT CHRISTOPHE. Saint Christophe, pour prouver la résurrection à ceux à qui il prêchait, planta en terre son bâton et le fit reverdir. | |
TC0033 | TE006212 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 351 | LE BATON DECORTIQUE. Un chevalier refusait toute pénitence. Il lui fut enjoint de se faire servir par son serviteur comme premier plat un bâton décortiqué et de se faire rappeler qu’il mourra. Comme tout ce qu’il mangeait lui semblait amer, le chevalier préféra n’importe quelle pénitence à celle-là. |
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TC0033 | TE006142 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 281 | UN CAUCHEMAR. Le pécheur est semblable à un homme qui a rêvé que son adversaire tenait dans la main un bâton auquel il s’accrochait, et que cet adversaire voulait le précipiter dans l’abîme. Réveillé par ses propres cris, le dormeur est délivré de ce danger imaginaire. | |
TC0123 | TE007054 | anon. | Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005] : 146 | Un moine, qui s’était laissé aller à boire, se rendait aux vêpres en titubant, quand le diable se rua sur lui sous l’aspect d’un taureau, puis d’un chien, puis d’un lion. Mais une belle jeune fille, un mouchoir blanc dans la main, chassa le démon par trois fois et le frappa d’un bâton. Puis elle prit le moine par la main et le conduisit au dortoir. Elle l’installa dans son lit, traça sur son front un signe de croix et lui ordonna de se confesser dès le lendemain à un moine dont elle lui donna le nom. Comme il l’interrogeait, elle lui révéla qu’elle était la mère du Seigneur. Le moine enflammé voulut la toucher et se prosterner à ses pieds, mais elle disparut. |
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TC0129 | TE007343 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 236a | Pierre et Paul apparaissent à saint Dominique et lui ordonne d’aller prêcher : le premier lui donne un bâton, le second un livre. |
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TC0129 | TE007337 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 229b | Saint Pierre ressuscite un homme nommé Martinianus grâce à son bâton. | |
TC0129 | TE007334 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 227a | Saint Jacques en se servant de son bourdon et du sac d’une femme comme d’une lance et d’un bouclier éloigne les démons autour d’un agonisant. |
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TC0129 | TE007332 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 226a | Légende de saint Jacques et de la puissance spirituelle de certains de ses attributs (mouchoir, bâton...). | |
TC0129 | TE007359 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei, t. II, De sanctis [Clutius, 1760] : p. 266b | Saint Bernard libère une femme possèdée par le diable en lui donnant son bâton. | |
TC0131 | TE008920 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 018, 1-9 | MARIAGE DE NOTRE DAME. 1/ Lorsque la jeune Marie eut grandi dans le temple parmi les demoiselles jusqu’à l’âge de se marier, les docteurs de la loi déclarèrent qu’il convenait de la marier. 2/ Mais elle refusa pour deux raisons: Avant ma naissance, dit-elle, mon père et ma mère ont fait voeu de me consacrer à Dieu et j'ai fait moi aussi le même voeu. 3/ Mais ses arguments ne servirent à rien, car Dieu voulait qu’elle soit mariée. 4/ Et là Dieu consacra la valeur du mariage, puisqu’il l’avait faite pour être sa mère et qu’il voulut naître d’elle en mariage, comme on le verra par la suite. 5/ On convoqua alors les garçons à marier de la tribu de Juda; et Joseph y vint, qui était de cette tribu. 6/ La douce vierge lui fut attribuée, parce que son bâton lui était fleuri dans sa main, alors que celui de ses compagnons n'avait pas fleuri. 7/ Et tout comme Marie avait refusé le mariage, Joseph le refusa aussi. Mais Dieu en avait décidé autrement. 8/ Quand Joseph eut épousé la jeune dame, il la confia aux demoiselles avec qui elle avait grandi au temple pour qu’elle soit en sûreté; 9/ Car les docteurs de la loi au nom de Dieu la lui avaient donnée à garder sous le lien de mariage. |
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TC0131 | TE008116 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 616, 1-5 | SAINT NICOLAS ET L’EMPRUNTEUR MALHONNETE. 1/ Un chrétien emprunta de l’argent à un juif et lui donnant comme garant saint Nicolas. 2/ A la date où il devait rembourser, il tendit au juif un bâton creux plein d’argent. 3/ Il le reprit aussitôt et jura devant le juge qu’il l’avait payé. 4/ Mais une charrette se renversa sur lui et son argent se répandit. 5/ Le juif retrouva son argent et se convertit; il eut de la dévotion pour saint Nicolas qui lui avait été donné comme garant. | |
TC0138 | TE020075 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 936 | Médisances sur une pieuse femme soignante un vieux moine malade. | |
TC0139 | TE016061 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple144 p.104 du texte hébreu | Rabbi Shimon ben Halafta avait l’habitude d’aller rendre régulièrement visite à son maître à la maison d’étude. L’âge venant et sa vue ayant baissé, il cessa de le faire. Il répondit à son maître qui lui demandait pourquoi il avait cessé de venir : " Les choses lointaines se sont rapprochées et les proches se sont éloignées; deux sont devenus trois, et ce qui étendait la paix sur la maison n’existe plus. Les choses lointaines qui se sont rapprochées ce sont mes yeux qui voyaient au loin, et maintenant si quelqu’un vient me voir, je ne le reconnais pas; les choses proches qui se sont éloignées, ce sont mes oreilles qui entendaient de loin, et maintenant il faut me parler directement dans l’oreille pour que j’entende; les deux sont devenus trois, car je marche avec une canne, et ce qui garantissait la paix entre ma femme et moi, le désir charnel, n’existe plus." | |
TC0139 | TE014335 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 121a p.82 du texte hébreu | Un homme confia son argent à Bar Temalian, mais ce dernier nia l’avoir reçu. Comme l’on exigeait de lui de prêter serment, il mit secrètement l’argent dans un bâton creux qu’il tendit au propriétaire pour qu’il le garde tandis qu’il prêtait serment que l’argent n’était pas en sa possession. Mais le bâton glissa de la main du marchand , se cassa et toutes les pièces se répandirent sur le sol. | |
TC0142 | TE019018 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 30 | À l'heure où mourut Gerbrand, abbé de Klaarkamp, une religieuse de Sion vit des anges amener son âme au ciel. Elle vit de plus comment on donna à Widon, prieur de Klaarkamp, deux bâtons pastoraux. Il rendit l'un et garda l'autre. Ce Widon devint, en effet, abbé de Saint-Bernard, puis abbé de Klaarkamp où il occupait toujours ce poste. | |
TC0142 | TE018863 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 39 | Un moine de Heisterbach vit en vision la Vierge Marie passer un bâton pastoral au prieur Henri à la cathédrale Saint-Pierre de Trèves. Henri, en effet, fut ensuite élu abbé à l'unanimité. On le consacra à Trèves, car Bruno, archevêque de Cologne, était en captivité à l’époque. |
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TC0142 | TE018877 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 51, 1 | Hermann, frère-convers à Himmerod, fut chargé du labourage d'un terrain appartenant au monastère. Parmi les bœufs qu'il avait pour ce travail, il y en avait un particulièrement féroce. Une fois, irrité par le comportement du bœuf, Hermann se rendit dans la forêt voisine, y prit un bâton et s’apprêta à battre l'animal. Le bœuf, comme inspiré de là-haut, tomba à genoux devant Hermann. Le frère-convers lui accorda la miséricorde demandée. A partir de ce jour-là le bœuf devint docile. | |
TC0157 | TE017384 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 106, p. 174, l. 5 – p. 174, l. 25 | Étienne, cardinal apostolique, raconta cette histoire, mais en était moins certain que de la précédente (Lettre 106, p. 171, l. 4 – p. 174, l. 4.). Un mauvais clerc, bon à rien et négligent, se rendait tout de même chaque jour à l’autel de la Vierge et y récitait ce verset « Je te salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec toi; tu es bénie entre toutes les femmes. » Comme il n'était bon à rien, le nouvel évêque lui retira sa charge. Mais lorsque cet homme se vit dans le dénuement, la Vierge apparut à l’évêque au milieu de la nuit. Elle était précédée d’un homme qui portait une torche et un bâton. Elle fit donner des coups de bâton à l’évêque et lui reprocha d’avoir renvoyé le clerc. L’évêque se réveilla et réintronisa le chapelain. |
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TC0158 | TE016688 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 239 | Celui dont on cassait la tête à coups de gourdin.– Un sot se laisse assommer par un homme qui prend sa tête chauve pour un caillou; il se borne à le juger insensé et ne s'aperçoit pas que lui-même est encore plus fou en ne s'enfuyant pas. | |
TC0158 | TE017019 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 477 | La femme qui accouche de quatre objets.– Des époux ayant demandé un fils à un dieu, la femme accouche d'un boisseau de riz, d'une jarre d'ambroisie, d'un sac de joyaux, d'un bâton qui frappe tout seul. Le dieu leur démontre que ces quatre objets leur rendront tous les services qu'ils attendaient d'un fils. | |
TC0158 | TE016956 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 419 [B] | Les huit religieux transformés en autant de monceaux d'or.– Huit religieux se transforment en autant de monceaux d'or quand on leur assène un coup de bâton sur la tête. | |
TC0158 | TE016813 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 359 | L'esclave qui donnait des coups de bâton à tort et à travers.– L'esclave A-mo-yeou se met à battre les gens à tort et à travers. La cause en est qu'il se trouve, à son insu, dans un endroit où il y a un trésor caché. | |
TC0158 | TE016793 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 339 | Le teinturier, son fils et le moustique.– Un teinturier chauve s'endort; un moustique s'étant posé sur sa tête, son fils veut le frapper avec un bâton; mais il casse la tête de son père, tandis que le moustique s'envole. | |
TC0158 | TE017012 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 470 | L'homme qui comprend le langage des animaux.– L'homme qui comprend le langage des animaux fait trouver dans le nid d'une hirondelle le cheveu d'une fille de nâga. Par le stratagème de la flèche lancée, il s'empare du chapeau qui rend invisible, des souliers qui permettent de marcher sur l'eau, du bâton qui frappe à mort; il peut alors aller chercher la fille du nâga, puis tuer le roi, s'emparer de son trône et épouser la fille (cf. n°s 277 et 477). |
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TC0158 | TE017010 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 468 | La jarre magique.– Un homme a reçu d'un religieux une jarre magique qui lui fournit tout ce qu'il désire; le roi la lui ayant enlevée, le religieux lui donne un autre vase duquel sortent bâtons et pierres qui tuent les gens du roi, en sorte que celui-ci est obligé de restituer la jarre (cf. n° 199). | |
TC0158 | TE016727 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 277 | Les démons piçâcas.– Deux démons se disputent la possession d'un coffre inépuisable, d'un bâton qui triomphe de tous les ennemis, d'un soulier qui permet d'aller où l'on veut. Un homme, pris pour arbitre, les prie de s'éloigner quelque peu et en profite pour s'emparer des trois objets magiques (cf. n°s 470 et 477). |
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TC0158 | TE016691 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 242 | Celui qui voulait installer son fils mort dans sa maison.– Un sot veut installer son fils mort dans sa maison; on l'en dissuade : pour transporter plus commodément le cadavre, il tue son second fils afin d'avoir un contrepoids à l'autre bout du bâton qu'il a placé sur son épaule. | |
TC0159 | TE017642 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Le philosophe Antisthène ne voulait plus prendre d’étudiants. Devant l’insistance de Diogène il le menaça d’un gourdin. Diogène répondit qu’aucun bâton n’est assez dur pour empêcher sa loyauté. | |
TC0160 | TE017226 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n° 43 | Une femme prude et vertueuse s'occupe d'un prud'homme gravement malade pendant trois ans. Les mauvaises langues dénoncent leur vie commune. Souhaitant une mort rapide, l'homme est exaucé. A sa mort, un bâton est planté sur sa fosse et des feuilles poussent comme il l'avait prédit si ce dernier n'avait pas commis de péchés. | |
TC0165 | TE018223 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 27, pp. 56-57 | Le diable tente un moine de Clairvaux, qui se prépare à s'échapper du monastère. La nuit, il voit saint Bernard et saint Malachie en rêve, bénissant les moines dans le dortoir. Lorsqu'ils arrivent devant lui, Malachie l'accuse d'être un mauvais moine, et Bernard le frappe avec un bâton. Le moine se réveille dans la douleur et est conduit à l'infirmerie, où il confesse au prieur qu'il voulait s'échapper. Acceptant la pénitence, il est débarrassé des tentations. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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