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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: offrande | offering | Gabe | ofrenda | offerta
7occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0161
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0161 | TE017695 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : IV, 28 | HISTOIRE DU CORPS D'APPARITION D'UN KANNON EN SANTAL BLANC DE L'INDE.– Dans le sanctuaire d’un monastère, le Bodhisattva Kanjizai apparaît aux pèlerins qui prient, après une période de jeûne, devant son icône. Une balustrade est élevée pour ne pas s’approcher trop près de l’image. Les pèlerins lancent des fleurs et savent que leurs vœux sont exaucés quand elles s’accrochent aux membres du Bodhisattva. Un moine forme trois vœux et lancent ses fleurs qui se suspendent à la main, aux bras, au cou et à la tête du Bodhisattva. Le gardien du monastère est émerveillé et prédit que le moine deviendra un Bouddha et lui demande de le conduire plus tard dans le nirvâna. |
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TC0161 | TE017719 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XV, 39 | COMMENT LA NONNE, MÈRE DU CONTRÔLEUR MONACAL GENSHIN, S'EN VA RENAÎTRE DANS LA CONTRÉE BIENHEUREUSE.– Le contrôleur monacal Genshin reçoit des offrandes après avoir enseigné à l’impératrice de Sanjô les Huit Leçons sur le Lotus de la Loi. Il envoie ces offrandes à sa mère qui lui répond qu’elle ne l’a pas élevé pour qu’il soit brillant et célèbre, mais pour qu’il devienne un saint ermite avant sa mort et la secourt durant sa vie pour son existence ultérieure. Genshin répond qu’il n’a pas l’intention de devenir célèbre et commence une vie de réclusion dans la montagne. Il écrit à sa mère, entrée elle-même en religion, qu’il ne sortira de sa réclusion qu’à sa demande. Après neuf ans passés dans la montagne, il éprouve brusquement la nostalgie de sa mère et décide, malgré la promesse faite à sa mère, de partir à sa rencontre. En chemin Genshin rencontre un homme portant une lettre qui lui est adressée par sa mère. Celle-ci lui demande de venir rapidement la voir, car elle sent sa fin toute proche. Genshin arrive auprès de sa mère mourante, très étonnée de le voir venir si vite. Elle lui dit que c’est grâce à l’engagement profond et touchant qui les lie que cette rencontre a pu avoir lieu. Après avoir récité le nembutsu (répétition de l’hommage au Bouddha), elle meurt et s’en va renaître dans la Contrée Bienheureuse. |
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TC0161 | TE017725 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XIX, 18 | HISTOIRE DE LA SORTIE DE LA FAMILLE DE SON ALTESSE L'IMPÉRATRICE ARCHI-DOUAIRIÈRE DE SANJÔ.–L’Impératrice de Sanjô, s’approchant de la vieillesse, désire se faire couper les cheveux par le saint ermite Zôga pour devenir nonne. De hauts dignitaires accueillent Zôga qui pratique le cérémonial de la sortie de la famille. Ayant terminé, il dit, à la stupeur de tous, que l’Impératrice l’a fait venir pour la grosseur de son sexe alors qu’il est tout petit. En entendant ces mots, l’Impératrice sent disparaître le caractère précieux de la cérémonie et éprouve une sensation de bizarrerie. Puis Zôga, avant de partir, souffrant de diarrhée, se soulage bruyamment sous les rires des courtisans et des servants et des récriminations des moines et laïcs qui blâment l’Impératrice d’avoir appelé un tel homme. L’Impératrice instaure et pratique des rites de Lectures Impériales de sûtra durant lesquels on fait venir des moines qui sont logés, nourris, lavés dans d’admirables conditions et qui reçoivent dons et offrandes. L’Impératrice entre aussi en recueillement durant ces pratiques. Néanmoins certains disent que quand on pratique autant et d’une pareille façon l’efficace devrait être remarquable, ce qui n’est pas le cas, car de mauvaises affaires surviennent malgré tout pour ceux qui ne sont pas entièrement purifiés. Quand le Contrôleur monacal vient mendier de la nourriture, chacun lui prépare des offrandes et l’Impératrice lui présente sa nourriture dans des vases d’argent frappés spécialement pour lui. Le Contrôleur interrompt sa mendicité, car il dit avoir trop de peine à voir ces vases. L’Impératrice a manqué de délicatesse et s’est montré trop excessive, malgré sa foi. Elle continue à pratiquer pendant sa vieillesse avec ardeur et conçoit de plus en plus l’esprit de l’éveil. |
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TC0161 | TE017690 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : I, 01 | COMMENT SHAKA-NYORAI S’EST LOGÉ EN SA MÈRE DANS LE MONDE DES HOMMES.– Le Bodhisattva Shaka-bosatu laisse voir les cinq marques de déchéance pour descendre des cieux et renaître dans le monde des hommes. Il choisit le roi Jôbon comme père et se loge dans la matrice de la dame Maya. Ceux-ci interrogent le brahmane Zensô après avoir vu en songe le Bodhisattva entrer dans le flanc droit de la dame Maya. Le brahmane répond que l’enfant porte en lui des signes bons et merveilleux et deviendra un bouddha révéré des dieux. Le roi et la dame Maya, emplis de bonheur offrent de nombreux trésors au brahmane avant son retour chez lui. |
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TC0161 | TE017716 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XII, 31 | COMMENT, APRÈS QU'UN MOINE EST MORT, SA LANGUE DEMEURE ET SE TROUVANT DANS LA MONTAGNE Y RÉCITE LE LOTUS DE LA LOI.– Le Bodhisattva du Sud, renommé pour son enseignement, reçoit la visite d’un moine pourvu d’un pot à eau en cuivre blanc, d’une chaise à méditation, et d’un exemplaire du Sûtra du Lotus de la Loi qu’il ne cesse de réciter. Après un an passé près du Bodhisattva, le moine annonce son départ vers la montagne, donne sa chaise au Bodhisattva et part accompagné de deux laïcs. Le moine, ne gardant que son pot à eau et une corde offre le reste de ses biens aux deux laïcs avant de les renvoyer. Deux ans plus tard, des villageois venus dans la montagne pour construire des bateaux, entendent une voix qui récite sans cesse le Sûtra du Lotus de la Loi. Emplis de respect, ils décident de trouver l’homme qui récite pour lui faire offrande. Mais ils ne trouvent personne. Quand ils reviennent plus tard dans l’année pour tirer leurs bateaux, ils entendent toujours cette voix merveilleuse et en informent le Bodhisattva. Celui-ci se rend dans la montagne et trouve le cadavre d’un homme qui s’est suicidé en se jetant sur les rochers. Il comprend qu’il s’agit du moine quand il voit le pot à eau près du corps. Trois ans plus tard, le Bodhisattva retourne dans cette montagne et entend toujours la voix. Comme il regarde à l’intérieur du crâne du cadavre, il découvre que la langue, miraculeusement, n’a pas pourri. Le Bodhisattva éploré prie pour le moine et passe sa vie très pieusement en récitant le Sûtra du Lotus de la Loi. |
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TC0161 | TE017701 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : VII, 10 | COMMENT DES PIGEONS DU MONASTÈRE DU MUR DE ROC DE HEISHU, EN CHINE, RENAISSENT HOMMES POUR AVOIR ENTENDU LE SÛTRA DE SAPIENCE DE DIAMANT..– Un vieux moine très pieux récite assidûment des sûtras dans son monastère qu’entendent deux pigeonneaux logés dans le toit, et qu’il nourrit. Leurs ailes n’étant pas formées quand ils essaient de s’envoler, ils tombent et meurent. Le moine, très attristé, les enterre. Plus tard il voit dans un rêve deux enfants qui disent avoir été ces oiseaux et précisent le lieu où ils doivent renaître bientôt. Plusieurs mois après, il rencontre ces garçons et très attendri, raconte leur histoire à leur mère et à leurs proches. Le moine s’engage à travailler au salut de ces deux enfants et retourne au monastère. Les animaux recueilleront toujours du bénéfice à entendre la lecture des sûtras. |
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TC0161 | TE017728 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XX, 40 | COMMENT GISHÔ-IN, POUR N'AVOIR PAS RECONNU UN HOMME DE MÉTAMORPHOSE, SE VOIT RENDRE UNE OFFRANDE ET EST EN PROIE AU REMORDS.– Le moine Gishô-in, cheminant sur son cheval pendant l’ l’hiver, trouve un mendiant transi de froid allongé sur le sol. Ayant pitié de lui, du haut de sa monture, il jette sur le mendiant un des ses vêtements. L’homme se redresse et renvoie le vêtement dans le visage de Gishô-in en disant que pour faire une telle offrande, on doit descendre de cheval et offrir en saluant, puis il disparaît. Le moine pense que ce mendiant est un homme de métamorphose [homme résultant de la métamorphose d’un Bouddha, d’un Bodhisattva ou d’un dieu], est rempli d’affliction et de remords et comprend qu’il faut témoigner du respect même aux mendiants ordinaires. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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