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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: cavalier | horseman | Reiter | caballero | cavaliere
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001442 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 40, 3 | Un pèlerin des lieux saints écoute la messe de Pâques, alors que ses compagnons, pressés de rentrer, sont repartis. Il est ramené chez lui de manière miraculeuse par un cavalier. |
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TC0012 | TE002643 | Jacobus Passavanti | Specchio di vera penitenza : 7 | Le comte de Mâcon, cruel et hautain, est enlevé par le diable qui, après l’avoir contraint à enfourcher un cheval, l’oblige à galoper vers le ciel, puis en enfer. | |
TC0030 | TE005352 | anon. | Libro de los Gatos [Darbord, 1984] : 32,1 | Un chevalier demande à un homme bon de lui dire les joies du paradis. L’homme bon lui dit que ces joies sont supérieures à tout. Le chevalier demande alors si l’on peut y chasser. L’autre dit que non. Le chevalier est déçu. L’homme bon et érudit lui narre en suite l’exemple suivant du lion, du loup et de la truie (32,2). | |
TC0031 | TE005525 | Odo Cluniacensis | Collationes libri tres : Livre III, chapitre 34, col. 616 B - 617 A | Près de l’église de Saint-Aventinus en Auvergne, des marchands sont attaqués par des cavaliers qui leur volent leurs porcs. Les cavaliers sont punis par des châtiments divins. | |
TC0033 | TE005962 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 110 | LE RICHE MOURANT DONT SE MOQUENT LES DEMONS. Un ancien venu à la ville vendre des récipients de sa fabrication s’assit devant la porte d’un homme riche en train de mourir. Il vit des chevaux et leurs horribles cavaliers, tenant dans la main des bâtons enflammés, s’emparer de l’âme du mourant. Celui-ci appela le Seigneur au secours. Les cavaliers se moquèrent de lui, lui rappelant qu’il aurait dû se souvenir de Dieu auparavant. |
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TC0033 | TE006052 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 198 | VENGEANCE DE L’EMPEREUR. L’empereur, voulant se venger de ceux qui l’ont trahi, envoie des cavaliers (cursarii) pour incendier leurs terres et ce qui leur appartient. | |
TC0036 | TE006641 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 1 | Dans la ville de Mâcon vivait un seigneur tyrannique qui oppressait ses sujets et les églises des environs, allant même jusqu’à chasser les chanoines des églises et les moines des monastères. Mais un jour, alors qu’il est installé sur son trône entouré de ses chevaliers et de ses gens, un cavalier-démon entra dans la pièce, et le somma de le suivre dans l’instant. Contraint par une force invisible, le comte malfaisant ne put résister à l’ordre et suivit le cavalier jusqu’à la porte de son château. Là, le démon l’obligea à monter le cheval qui l’attendait devant la porte. C’est alors que tous ceux qui étaient présents virent le comte emporté dans les airs, hurlant de terreur à l’idée du châtiment qui l’attendait. Afin de garder en mémoire cet événement, les habitants de Mâcon ont par la suite muré la porte par laquelle le démon avait emporté le comte tyrannique. Mais plus tard, l’intendant du comte nommé Otger, qui était connu pour être aussi malfaisant que le comte, décida de faire rouvrir la porte mémorable. C’est alors que de nouveau, le cavalier-démon revint et emporta également l’intendant dans les airs puis le laissa retomber si bien qu’il se brisa le bras. Finalement, la porte fut définitivement murée. |
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TC0037 | TE006712 | Roberto Caracciolo | Roberto Caracciolo, Quaresimale in volgare : 30 | Le prophète Samuel transmet au roi Saül l’ordre divin de détruire entièrement le royaume d’Amalec : Saül s’empare du royaume mais épargne du massacre certains beaux cavaliers et quelques belle bêtes. Dieu par la bouche de Samuel lui reproche sa désobéissance. Saül implore le pardon du Seigneur, mais Samuel lui annonce que sa propre royauté sera abatue. Il s’en suit la guerre avec David et la ruine de la maison de Saül. | |
TC0142 | TE018674 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 2 | Le jour de la fête de Pâques à Jérusalem, un pèlerin nommé Winand exhortait ses compagnons de voyage à ajourner le départ afin de pouvoir assister à tous les offices solennels. Les compagnons refusèrent et partirent sans lui. Le jour suivant, Winand rencontra un cavalier très vénérable qui lui proposa de monter sur son cheval pour rattraper les autres. Il accepta et fut miraculeusement remis le même jour dans son village situé dans le diocèse de Liège, en guise de récompense pour sa dévotion. Les villageois ne le crurent pas, mais quand les autres pèlerins revinrent du voyage, son histoire fut confirmée. | |
TC0142 | TE018574 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 30 | Deux jeunes cavaliers se promenait, une nuit de la saint Jean, le long d'une rivière. L'un d'eux vit, sur la rive opposée, une figure féminine. Croyant qu’il s’agissait d’une sorcière, ils lui donnèrent la chasse, mais la figure ombrageuse était toujours devant eux. Ils comprirent alors que c’était le diable, ils firent alors un signe de croix, et la figure disparut. Suite à cette rencontre, les cavaliers et les chevaux tombèrent gravement malades. |
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TC0157 | TE017517 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 170, p. 253, l. 14 – p. 254, l. 17 | Richard prieur du monastère [de Saint-Barthélémy à Camporeggiano], fit ce récit. Huit pauvres hommes revenaient de pèlerinage à Jérusalem et, comme ils n’avaient rien à manger, ils jeûnèrent toute une semaine. Ils devinrent très faibles. Alors qu’ils allaient défaillir, un chien apparut, portant du pain dans un tissu. Ils le prirent et le mangèrent, et finirent ainsi leur voyage de huit jours sans s’arrêter. Plus tard, alors qu’ils souffraient encore de la faim, trois Agaréniens (Sarrasins?) vinrent marcher avec eux, ils portaient chacun une miche de pain. Quand vint l’heure du repas, deux d’entre eux mangèrent seuls leurs pains, mais le troisième partagea le sien en neuf morceaux pour nourrir les Chrétiens. Plus tard, ils furent attaqués par des lions, qui se dirigèrent clairement vers ceux qui avaient mangé leur pain tous seuls, sans partager. Ces deux hommes furent dévorés. Ceux qui avaient mangé seuls comme des bêtes furent dévorés seuls par des bêtes. Plus tard, ils trouvèrent sur la grève un énorme poisson. Comme des cavaliers approchaient, ils creusèrent le sable pour le cacher. Mais les cavaliers remarquèrent la terre fraîchement retournée et, curieux, voulurent ôter la terre – mais ils ne virent qu’un homme mort. Après le départ des cavaliers, la providence divine leur permit de faire un bon repas. | |
TC0162 | TE017779 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. Lavigne-Kurihara, 2002] : XXVII, 41 | COMMENT LE RENARD DE LA RIVIÈRE KÔYA SE TRANSFORME EN FEMME ET MONTE EN CROUPE DERRIÈRE LES CAVALIERS.– Sur les bords d’une rivière, une jolie fille hèle tous les cavaliers qui passent sur le chemin de la capitale, et leur demande de monter en croupe sur leur cheval pour l’emmener à la capitale. Puis après avoir franchi quelques lieues, elle se laisse tomber de cheval, s’enfuit, et se transforme en renarde si on essaie de la poursuivre. Un garde du palais, au tempérament fougueux se vante d’attraper cette fille, et de la ramener auprès de ses compagnons de la salle de garde. Ceux-ci rétorquent que ce n’est que vantardise, et le défient de réussir. Le lendemain soir, il va à la rivière et quand il voit la fille devant lui, et qu’elle lui demande de l’emmener, il la laisse monter sur son cheval. Aussitôt, il passe une bride autour des ses hanches, et l’attache à la selle. Aux questions de la fille, le garde répond qu’il l’emmène passer la nuit avec lui. Après avoir aperçu un imposant cortège, éclairé par de nombreuses torches, et pensant c’est celui d’un important personnage, il prend un autre chemin pour arriver à la porte où l’attendent ses suivants. Ceux-ci les emmènent dans la salle de garde où ses compagnons sont réunis .Devant la fille qui implore qu’on la libère, ils demandent à leur compagnon de la lâcher au milieu d’un cercle qu’ils ont formé. Il refuse, mais finit par accepter quand les gardes arment leur arc et disent qu’ils perceront les flancs de la fille si elle essaie de s’enfuir. A l’instant où elle est libérée, elle se transforme en renard et disparaît. Les hommes s’évanouissent aussi et le garde se retrouve seul, plongé dans l’obscurité. Il finit par comprendre qu’il est au milieu de la plaine sauvage et sinistre de Toribeno, à l’est de la capitale. Il se demande s’il s’est perdu et si les lumières des torches aperçues lors de son retour, n’est pas un tour du renard. Il rentre péniblement chez lui et est pris de violentes nausées et reste alité pendant trois jours. Ses compagnons se moquent de lui quand il réapparaît dans la salle de garde. En effet, ils ont attendu toute la nuit après son départ, et n’ont toujours pas vu cette renarde. Le garde prétend qu’il était malade et promet de la ramener le soir même. Il repart avec une escorte et rencontre la fille avec un nouveau visage. A sa demande, il la fait monter sur son cheval, et l’attache avec une bride. Il réussit à la ramener au palais, et la traîne en la tirant par les cheveux dans la salle de garde. Les gardes la tourmentent tellement qu’elle finit par se transformer en renarde. Ils lui grillent les poils et lui décochent des flèches avant de la laisser partir. Le garde raconte alors à ses compagnons qu’il a été berné la première fois par la renarde, et qu’il s’est retrouvé dans la plaine de Toribeno. Par la suite, le garde retourne à la rivière, il voit une jeune servante à l’air bien malade, lui propose de la prendre sur sa monture, mais elle lui répond, avant de disparaître, qu’elle n’a pas envie de finir brûlée. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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