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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: bijou | jewel | Juwel | joya | gioiello
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0004 | TE002844 | Jordanus de Pisis | Esempi : 193 (1) | Variété des arts. Une chanson nomme de nombreux arts, mais pas tous : comme la construction des orgues à Paris, l’intaille des pierres précieuses, puisque... | |
TC0124 | TE014875 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : XLVII, 9 [519] | Un moine de Cluny mourant vit le diable lui reprocher un sac des miettes de la table qu’il avait omis de manger conformément à la Règle. On prendra donc soin de les ramasser. Un jour, un moine qui n’avait pas eu le temps de les manger avant la fin de la lecture les présenta humblement à l’abbé. Elles se changèrent en perles. | |
TC0131 | TE008843 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 618a, 1-4 | SAINT JEAN, LE PHILOSOPHE ET LES JOYAUX. 1/ Quelque temps après, saint Jean rencontra un philosophe qui avait amené deux jeunes gens riches à détruire leurs joyaux par mépris du monde. 2/ Il lui dit qu’ils auraient mieux fait de les vendre au profit des pauvres. 3/ Par la permission divine saint Jean refit leurs bijoux quand ils le demandèrent; à la vue de ce miracle, plusieurs se convertirent. 4/ Les deux jeunes hommes le suivirent et donnèrent leurs biens aux pauvres, ce qu’ils devaient plus tard regretter. |
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TC0131 | TE009051 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 067, 1-32 | DIEU IRRITE S’ETAIT CROISE LES BRAS... 1/ Ici commence une pieuse fiction qui met en scène Dieu lui-même. 2/ Quand Adam eut péché, Dieu avait quelque raison de nous montrer son mécontentement, 3/ en se croisant les bras comme cette image nous représente. 4/ Longtemps après parut un saint homme dévot et religieux: Ce fut Moïse qui par sa piété et ses prières sut si bien apaiser Dieu 5/ que par bonté il déplia vers lui son bras gauche qui signifie justice et droiture, en lui donnant loi au mont Sinaï 6/ pour gouverner et faire entrer le peuple d’Israël dans son obéissance s’il voulait renoncer à ses fautes et suivre les commandements contenus dans la loi. 7/ Longtemps après parut une noble demoiselle belle et douce, courtoise et sage et très bonne. 8/ Ce fut Amour qui contraignit Dieu à déplier son bras droit qui signifie en lui pitié et miséricorde. 9/ Dieu avait dès lors les deux bras étendus en indiquant qu’il voulait que ceux qui sans raison avaient pris l’initiative de le courroucer reviennent sans crainte faire la paix avec lui. 10/ C'est pourquoi notre mère sainte Eglise, qui est sa vraie épouse et amie, crie en son nom à tout le genre humain par quatre fois une parole que le Saint-Esprit par le Sage rappelle et cite: 11/ "Reviens à moi, reviens à moi, reviens à moi, reviens à moi, ami". 12/ Pourquoi? Parce que j'ai les bras étendus pour t'embrasser. Reviens à moi, car j'ai la tête penchée pour te donner un baiser. 13/ Reviens à moi, car j'ai les mains ouvertes pour te faire des cadeaux. Reviens à moi, car j'ai le côté ouvert pour te cacher dans mon sein. 14/ Et pour que tu sois certain que je ne te refuserai rien que tu me demandes par amour, tu sais qu’en bourse percée il ne peut rien demeurer? 15/ C'est pour cela que j'ai les mains percées: en signifiant que je donne tout sans rien retenir. 16/ Et souviens-toi, tu sais que le jour du Jeudi saint je donnai mon précieux corps à tous mes disciples dans le saint sacrement de l’autel 17/ pour le distribuer comme il convient à tout le genre humain vivant en la foi de l’Eglise. 18/ Tu sais que cette nuit-là je me donnai pour être arrêté et battu vilement en plusieurs manières. 19/ Tu sais que je donnai mes vêtements et ensuite je me donnai pour être crucifié ignominieusement. 20/ Tu sais que la chose la plus précieuse sous le ciel après moi, je la donnai à saint Jean l’Evangeliste: 21/ c'était ma très douce vierge mère, dont l’excellence ne peut être mesurée au ciel ni sur terre. 22/ Tu sais qu’ensuite je me suis donné et j'ai remis mon esprit entre les mains de mon Père. 23/ Et ainsi, suspendu à la croix, j'avais tout donné sans rien retenir 24/ excepté un précieux bijou que l’on ne m'avait encore pas demandé: c'était le royaume de Paradis. 25/ Tu sais qu’à ma droite il y avait un brigand crucifié près de moi en juste châtiment de ses crimes. 26/ Et pour son repentir, parce qu’il me reconnut comme son créateur, 27/ quand il me pria d’avoir pitié de lui, je lui donnai ce fameux royaume de paradis que j'avais encore à donner. 28/ Tu peux bien voir et être certain que j'ai les mains percées, car je donne tout sans rien retenir. 29/ Voici pourquoi je t'ai dit de revenir à moi et que je te donnerais tout ce que tu me demanderas par amour: C'est que plus je donne, plus je possède; 30/ et j'ai encore plus à donner que tu ne saurais demander; 31/ et je désire encore plus te donner que jamais demandeur ne désira recevoir. 32/ Mais je te prie de te donner tout à moi et je me donnerai à toi. |
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TC0137 | TE012635 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 150 | Au Tibet, les vierges sont tenues pour des mauvaises épouses. Les vieilles femmes de Tibet donnent leurs filles aux étrangers parce que coucher avec elles en fait grandir la valeur pour leur mariage. La tradition veut qu’après avoir été avec ces filles, chaque homme leur donne un collier. | |
TC0139 | TE016063 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple146 pp.105-106 du texte hébreu | Deux fils de Rabbi Meïr moururent le jour du shabatt, alors qu’il était en train de donner un sermon à la synagogue. Sa femme ne voulut pas lui annoncer la mauvaise nouvelle pendant le shabatt, et se conduisit normalement lorsque Rabbi Meïr rentra, bien qu’il eut demandé où étaient ses fils. A la fin, comme il devenait impatient, elle lui raconta qu’un homme était venu confier deux joyaux à sa garde, et qu’il voulait maintenant les reprendre. Fallait-il les lui rendre? Rabbi Meïr fut très étonné par cette question et lui répondit: " Certainement!" Alors sa femme le prit par la main et le mena devant le corps de ses fils en lui disant: " Dieu nous avait confié deux joyaux de grande valeur. Aujourd’hui, il a voulu les reprendre. ’L’Eternel a donné, l’Eternel a repris, que le nom de l’Eternel soit béni!’ " (Job 1,21) Ce fut ainsi qu’elle consola Rabbi Meïr. | |
TC0139 | TE016040 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 124 pp.84-85 du texte hébreu | Un homme très riche décida de renoncer au monde et à son héritage et de se consacrer à l’étude. Il passait toutes les fêtes chez son frère. Un jour, il arriva à l’improviste et sa belle-soeur était justement en train de laver ses habits et avait enlevé ses bijoux. Voyant son beau-frère, elle fut gênée et entra dans la maison. Lui partit également de son côté. Elle ne savait pas qu’entretemps un oiseau avait volé les bijoux et les avait cachés dans son nid. Lorsque son mari rentra, elle lui raconta en pleurant qu’elle ne retrouvait plus ses bijoux et que la seule personne ayant été présente était son frère et l’accusa donc de vol. Il comparut devant le tribunal rabbinique de Rabbi Johanan ben Zakkai, et refusa de prêter serment tout en assurant qu’il disait la vérité. Le rabbi pria le ciel, et dans la nuit, il lui fut révélé par une voix céleste que l’oiseau avait volé les bijoux qu’il put ainsi restituer à sa propriétaire. |
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TC0155 | TE016148 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 20 | Un saint voit dans une vision plusieurs personnes entrer par la porte du ciel. Deux grands dragons tenant des filets bloquent ensuite l’entrée. L’ange lui explique que ce sont les parures des femmes. | |
TC0155 | TE016332 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 211 | Un prêtre s’affligeait pour sa mère morte, qu’il savait avoir vécu dans le péché; il pleurait pour elle et célébrait des messes en sa faveur. Lors d’une messe, alors qu’il pleurait et désirait connaître sa situation dans l’au-delà, il la vit attachée par deux démons, portant sur la tête et autour du cou, telle une chevelure, des serpents crachant du feu, une flamme sortant de sa tête et de ses mains. Elle lui dit l’inutilité des prières en sa faveur, car elle était promise aux tourments éternels, puisqu’elle était morte sans avoir accompli la pénitence susceptible de racheter ses péchés : les relations adultères et les ornements (coiffures, bijoux) incitant à la luxure. | |
TC0155 | TE016280 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 157 | Un prêtre reproche à une femme son vêtement somptueux et ses bijoux qui sont les filets du diable. La femme, saisie par la peur, se jette aux pieds du prêtre et s’exclame : «Que Dieu m’ôte les vêtements qui lui déplaisent! » Tout à coup, une main invisible lui ôte tout, sauf une chemise. | |
TC0158 | TE016663 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 216 | La branche d'arbre qui, en brûlant, produit des joyaux.– Des navigateurs reviennent de l'île aux joyaux; l'un d'eux, qui s'est enivré, ne rapporte qu'une branche d'arbre dont il s'est servi pour soutenir ses pas: mais ce morceau de bois se trouve avoir la plus grande valeur, car il a la propriété, quand on le brûle, de transformer en joyaux tout ce qu'on expose à la fumée qu'il produit. | |
TC0158 | TE017019 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 477 | La femme qui accouche de quatre objets.– Des époux ayant demandé un fils à un dieu, la femme accouche d'un boisseau de riz, d'une jarre d'ambroisie, d'un sac de joyaux, d'un bâton qui frappe tout seul. Le dieu leur démontre que ces quatre objets leur rendront tous les services qu'ils attendaient d'un fils. | |
TC0158 | TE016662 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 215 | Le pêcheur de perles et ses jeunes enfants qui jouent avec ces joyaux.– Un homme a pris des perles en attirant les huîtres perlières par l'appât de son propre sang; ses compagnons le jettent dans un puits pour le faire périr; il parvient à s'en échapper par un trou latéral que lui révèle un lion venu pour boire; quand il est de retour chez lui, ses deux enfants jouent avec les perles sans se douter au prix de quelles souffrances elles ont été acquises. | |
TC0158 | TE016855 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 381 | Les deux frères «Excellente action » et «Mauvaise action».– Le roi de Vârânasî a deux fils; l'un, qui est né sous d'heureux auspices, est appelé Chan-hing; le second dont la naissance a été entourée de mauvais présages est appelé Ngo-hing. Le roi d'un autre royaume promet sa fille en mariage à Chan-hing. Celui-ci va sur mer pour faire fortune. Ngo-hing l'accompagne et quand son frère aîné s'est procuré la perle qui fait se réaliser les désirs, il la lui dérobe après lui avoir crevé les yeux, et revient dans son pays où il est proclamé roi à la mort de son père. L'aveugle Chan-hing arrive à la cour du roi qui lui avait promis sa fille ; cette jeune fille, sans le reconnaître, déclare qu'elle ne veut que lui pour époux; Chan-hing recouvre la vue. |
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TC0158 | TE016639 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 194 | Çakra envoie la roue d'or à un roi.– La roue d'or de Çakra est confiée à un yaksa (être céleste) pour qu'il la tienne sur la tête d'un roi bienfaisant au cours de toute la vie de celui-ci : à sa mort, elle est replacée parmi les joyaux de Çakra. | |
TC0158 | TE016942 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 410 [C] | Conversion de cinq cents Nirgranthas et de cinq cents marchands.– Cinq cents Nirgranthas, désespérés de ce que le Buddha a triomphé de leur maître, veulent se tuer; ils sont convertis. Un marchand jette à la mer ses joyaux pour sauver ses compagnons en péril de faire naufrage; ses joyaux lui sont rendus par un dieu de la mer; il en fait des largesses, entre en religion et ses compagnons suivent son exemple. |
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TC0158 | TE016809 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 355 | L'ermite et le nâga.– Un ermite est importuné par un nâga qui vient s'enrouler autour de son corps pendant qu'il est en contemplation; il se débarrasse de lui en lui demandant les perles qui ornent son cou. | |
TC0158 | TE016982 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 440 | Le perroquet et la perle.– Un perroquet avale une perle; un religieux qui l'a vu faire se laisse rouer de coups plutôt que de le dénoncer; mais le perroquet ayant été tué par accident, il déclare qu'on trouvera la perle dans son corps. | |
TC0158 | TE016773 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 322 | Le père qui prend les pendeloques des oreilles de son fils.– Un père, voyageant avec son fils, rencontre des brigands; craignant que ceux-ci ne prennent les pendeloques d'or attachées aux oreilles de son fils, il tire ces oreilles avec ses mains; comme elles ne cèdent pas, il coupe la tête de son fils, et les brigands étant partis, il veut la remettre sur les épaules du décapité. |
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TC0158 | TE016805 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 351 | Le brahmane qui veut vider la mer.– Un brahmane, qui a trouvé des joyaux dans une île merveilleuse, les laisse tomber dans la mer; il se propose de mettre la mer à sec en épuisant l'eau avec une écope; le dieu de la mer, touché de la fermeté de sa résolution, lui rend ses joyaux (cf. n° 9). | |
TC0158 | TE016779 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 328 | L'enfant qui a obtenu des bonbons.– Une nourrice s'endort, tenant dans ses bras un jeune enfant. Un passant donne à l'enfant des bonbons et profite de sa gourmandise pour le dépouiller de ses colliers et pendeloques. | |
TC0158 | TE016989 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 447 | La fille du roi qui voulait qu'on lui fît un diadème avec les bulles de l'eau.– La fille du roi ayant déclaré qu'elle se tuerait si on ne pouvait lui faire un diadème avec les bulles de l'eau, son père obtient d'un artisan qu'il accomplisse ce travail; mais celui-ci prie la jeune fille de choisir les bulles elle-même. Comme elle ne parvient pas à les saisir, elle renonce à sa fantaisie et demande une couronne d'or. |
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TC0158 | TE016962 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 422[A] | La femme du brahmane qui voulait faire périr sa belle-mère.– Pour se débarrasser de sa belle-mère, une femme la fait précipiter dans une fosse pleine de feu sous le prétexte de l'envoyer naître dans la condition de devî. Miraculeusement sauvée, la vieille revient et feint d'avoir rapporté des joyaux de chez les devas; elle invite sa bru à y aller à son tour, et la fait ainsi jeter dans la fosse pleine de feu. |
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TC0158 | TE016550 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 120 | Comment trois religieux parvinrent à la sagesse.– Trois religieux ont compris l'irréalité du monde sensible, l'un en assistant à la cueillette des raisins, un autre en entendant s'entrechoquer les bracelets d'une femme, un troisième en voyant des lotus saccagés dans un étang par des hommes et des chevaux. | |
TC0158 | TE016721 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 271 | Le miroir dans le coffret précieux.– En voyant sa propre image dans le miroir fixé à l'intérieur du couvercle d'un coffret plein de joyaux, un pauvre homme s'imagine voir le propriétaire du coffret et abandonne sa trouvaille. | |
TC0158 | TE016532 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 102 | L'homme qui enfouit des joyaux.– Un homme compare l'acte de nourrir le Buddha et les bhiksus à l'acte d'enfouir des joyaux. |
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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