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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0011 | TE002927 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 48a-b | Le corbeau ne reconnaît pas ses petits jusqu’à ce que leurs plumes noircissent ; Dieu les nourrit durant cette période. | |
TC0020 | TE003726 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 201 | Fable du vieil homme et ses deux maîtresses, l’une jeune, l’autre vieille. La première arrache les cheveux gris de son amant pendant son sommeil, afin de le faire apparaître plus jeune, tandis que la seconde arrache les cheveux noirs afin de le vieillir. Ainsi, l’homme devient chauve. | |
TC0020 | TE003659 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 134 | En fuyant une licorne, un homme tombe dans un précipice mais parvient à s’accrocher à une branche. Il voit deux souris, une noire et une blanche grignotant les racines de l’arbre, et quatre aspics dévorant l’arbre. Au pied de celui-ci, un dragon au fond d’une fosse de feu s’apprête à s’emparer de l’homme qui,levant les yeux, aperçoit du miel, et, cherchant à l’atteindre, tombe de l’arbre et se fait dévorer par le dragon. |
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TC0033 | TE006089 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 235 | LE JUGE ET LA PELOTE DE FIL. Deux femmes s’en vinrent devant un juge, à propos d’une pelote de fil, que chacune revendiquait. Le juge leur demanda avec quoi elles avaient commencé la pelote: l’une dit que c?était avec du charbon, l’autre avec de l’étoffe blanche. Le juge ordonna de dérouler la pelote et de l’attribuer à celle qui disait la vérité. | |
TC0033 | TE006030 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 176 | QUELQU?UN FAIT PENITENCE POUR UN AUTRE. Un homme coupable d’un énorme péché se vit imposer à Rome, où il s’était rendu, la pénitence de marcher durant trois ans, le bâton à la main, à travers trois royaumes sans s’arrêter plus d’une demi-journée dans chaque ville. Il mourut avant d’avoir pu accomplir sa pénitence. L’ami qui l’accompagnait prit à son compte l’accomplissement de sa pénitence. Il le vit, à la fin de la première année, plus blanc que neige sur le tiers du corps, plus noir que de la suie sur les deux autres tiers; la fin de la deuxième année, blanc aux deux tiers; totalement blanc et délivré à la fin de la troisième année. | |
TC0033 | TE006122 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 261 | CRAINTE LORS DE LA MORT. Un frère, fut pris de grande frayeur en mourant. Il apparut à ses disciples en robe blanche, annonçant qu’il avait été reçu brillamment. | |
TC0033 | TE006046 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 192 | APPARITION D’UN ETUDIANT. Deux étudiants de la même nation étaient entrés en religion et avaient la meilleure conduite, envers Dieu et les hommes. L’un, à l’agonie, consola l’autre lui promettant de lui faire part de son sort, après sa mort. Il lui apparut disant qu’il était au purgatoire car, sur terre, quand de nouvelles chaussures étaient données, il conservait les anciennes, à l’encontre du statut de la règle. Elles étaient encore cachées au pied de son lit. Il lui demanda de les rendre à l’abbé, de l’absoudre de cela en chapitre et de faire prier pour lui. Ce qu’il fit. Il lui apparut une seconde fois, resplendissant, lui demanda de venir avec lui et lui montra une procession d’hommes de plus en plus beaux et de plus en plus blancs et qui portaient sur l’épaule des croix très belles, alors qu’ils montaient au ciel. Une autre procession survint, plus belle encore, avec des croix encore plus belles, et ils furent reçus au ciel. Suivit une troisième procession plus belle encore avec à sa tête un ange qui portait devant lui une croix brillante de pierres précieuses et très belle. Il demanda à son compagnon ce que cela signifiait. Il répondit que les premiers étaient ceux qui étaient entrés dans l’ordre à l’état de vieillesse; les deuxièmes y étaient entrés à l’âge adulte; les troisièmes y étaient entrés dans leur adolescence; et c'est ce qu’il adviendrait de lui s’il persévérait dans ce que qu’il avait entrepris: il serait bienheureux et lui il monterait avec eux par la grâce de Dieu. Et cela dit, il suivit les autres, l’ange le précédant et portant sa croix sur le dos. |
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TC0138 | TE014063 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 8 | Éloge de la pâleur des abstinents. | |
TC0138 | TE019624 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 500 | Pain noirci par l'excommunication | |
TC0138 | TE019622 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 498 | Le corps noirci d'un excommunié est blanchi par l'absolution. | |
TC0138 | TE020178 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 817A | La Passion du Christ vue comme une nuée blanche et rouge par une femme en prière. | |
TC0142 | TE018715 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 41 | En Saxe, un nuage pluvieux tomba du ciel et envahit une vallée. L'eau fit beaucoup de dégâts et tua plusieurs personnes et des animaux. Dans la ville d'Eisleben il y eut un signe : les gens surpris par l'eau dans leurs maisons ou dans des églises furent retrouvés blancs comme neige, et ceux des tavernes ou des théâtres étaient noirs comme charbon. | |
TC0142 | TE018926 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 91 | Avant de partir pour fonder le couvent de Heisterbach, Hermann, à l’époque un simple moine à Himmerod, eut une vision merveilleuse. Il se vit lui-même à l’entrée du sanctuaire, et des hommes vêtus en blanc autour de lui. On lui donna une croix qu'on donnait à ceux qui partait en mission pour fonder une nouvelle maison. Puis il vit un fleuve très clair et puissant sortant du sanctuaire, et un bateau qui faillit se cogner contre une colonne, mais réussit à l'éviter grâce à son timonier. Le bateau arriva ainsi à un lieu où se trouverait plus tard l'infirmerie de Heisterbach. Puis, Hermann vit plusieurs ossements humains apparaître en dehors de la muraille monastique et tomber à l’intérieur. Finalement, il vit les moines entre le mont Stromberg et le lieu où le bateau s’était arrêté, et parmi les moines le Christ qui chassa assez durement un moine et éloigna, mais doucement, un autre. Tous cela prédisait la fondation de Heisterbach et les difficultés que le groupe fondateur (avec Hermann en tête) aurait à surmonter. |
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TC0142 | TE018996 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 8 | Pendant que mourait un moine, un autre vit des moines tout blancs venir du ciel et emporter avec eux l'âme du mourant sous forme d'un bel enfant. | |
TC0142 | TE018576 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 32 | Une femme assise devant sa maison attendait, une nuit, son mari ivrogne revenir de la taverne. Du coup, elle vit s'approcher deux hommes vêtus en blanc. L'un d'eux la serra contre lui. La femme cria et les hommes disparurent. Elle s'enfuit dans la maison, mais, dès qu'elle alluma la lumière, elle perdit la raison et mourut peu après. | |
TC0142 | TE018916 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 82 | L'abbesse de Hoven souffrant d'une maladie des yeux devint presque aveugle. Elle invoqua alors sœur Lüftchildis, morte en odeur de sainteté. Une nuit, Lüftchildis lui apparut et toucha ses yeux avec la main et son vêtement tout blanc. L’abbesse recouvra la vue. |
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TC0157 | TE017264 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 473, l. 1 – p. 474, l. 7 | Le calandre/caladre est aussi une image du Christ. C’est un oiseau au plumage impeccablement blanc. Et quand un homme est malade, le calandre fait preuve vis à vis de lui d’un comportement remarquable : si l’homme est destiné à succomber à cette maladie, l’oiseau se détourne. Mais s’il est destiné à guérir, le calandre s’approche, et prend sur lui toute la maladie. Puis, il vole vers le soleil, et il y brûle et disperse les maux dont il s’est chargé. Quant à l’homme, il peut se relever et retrouve la santé. De même, le Christ est irréprochable, il a « le teint clair et rose ». Il s’est approché des Hébreux, mais ils étaient malades d’infidélité, et c’est pourquoi il s’est détourné d’eux. Mais alors, il s’est approché des Gentils, tout aussi malades. Ceux-ci étaient aussi malades, mais le Christ a pris leurs fautes sur lui, et les a brûlées au soleil du Père. |
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TC0158 | TE016511 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 84 | Sûtra- du roi Makhâdeva qui entra en religion quand ses cheveux blanchirent.– Le vertueux roi Makhâdeva abdique et entre en religion aussitôt que son chambellan lui a montré que ses cheveux devenaient blancs. Dans une existence ultérieure, il est le roi Nemi dont la bienfaisance est telle qu'il obtient de visiter vivant les enfers, puis la résidence des devas. | |
TC0158 | TE016881 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 400 [F] | Les cinq cents fils d'Udayana.– La fille de l'ascète et de la biche épouse le roi Udayana; elle accouche de cinq cents œufs. De ces œufs naissent cinq cents fils. Le roi Sa-tan-pou, qui les a recueillis, entre en guerre contre Udayana. Celui-ci place sa femme face aux ennemis sur un éléphant blanc, de ses seins sortent cinq cents jets de lait qui tombent dans la bouche de ses fils qui reconnaissent leurs parents et, la guerre prend fin (cf. n° 23). |
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TC0160 | TE017200 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n° 17 | Deux femmes se disputent une pelote de fil, l’une disant qu’elle l’a commencée avec du charbon, l’autre avec de l’étoffe blanche. Le juge ordonne de dérouler la pelote et de l’attribuer à celle qui dit la vérité. | |
TC0163 | TE018147 | Kamo no Chomei | Hosshinshū (Récits de l'éveil du cœur) [tr. Pigeot, 2014] : 81. | UN SAGE MINISTRE SE DÉCOUVRE UN CHEVEU BLANC.– Un jour qu’il quitte le palais, le sage ministre de la résidence d’Ono voit un petit homme vêtu de blanc trotter derrière sa voiture. Celui-ci le rattrape et lorsque le ministre veut le chasser, le petit homme dit qu’il se nomme Cheveux Blancs et qu’il est le messager du roi Enma [roi et juge des enfers]. Aussitôt il saute dans la voiture, grimpe sur son chapeau et disparaît. De retour chez lui le ministre regarde et se découvre un cheveu blanc. Et depuis ce jour, lui qui n’avait en rien l’esprit de la Voie, se livre assidûment à de pieux exercices en vue de sa vie future. | |
TC0165 | TE018312 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 60, pp. 132-133 | Hugues de Flavigny, moine de Fontenay, aime particulièrement saint Augustin et souhaite mourir le jour de sa fête. Le jour de sa mort, un moine du même monastère de Fontenay a la vision d'une procession de personnes vêtues de blanc descendant du ciel, dont un plus rayonnant que les autres. Il se dit être saint Augustin, descendu pour accompagner l'âme de Hugues vers les étoiles. | |
TC0165 | TE018198 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 4, pp. 13-20 | Avant d'entrer à Clairvaux, Guillaume a été un moine bénédictin à Saint-Aubain d'Angers, où il était tenu en grande estime par l'abbé et ses confrères. Avec certains d'entre eux, il a vécu pendant des années presque en ermite, dans une dépendance du monastère. Il mangeait très peu, grâce à l'aide de Dieu, et malgré une tentation forte. Un jour, un frère arrive et lui ordonne de manger de la viande en raison de sa faiblesse physique. Après un premier refus, il cède et mange un peu, pour ensuite le regretter amèrement. C'est alors qu'apparaît un homme vêtu de blanc scintillant, qui se présente comme un pèlerin venu lui rendre visite. Il lui reproche d'avoir cédé à la tentation et lui raconte l'histoire suivante. Une religieuse en Espagne, habituée à ne manger que du pain et de l'eau, cède à la tentation et lui demande de préparer de la viande. Avant de manger, elle prie Dieu de l'empêcher d'en manger si cela peut nuire à son âme. La viande se transforme en trois poussins de corneille, sans plumes. Lorsqu'il est confirmé qu'il n'y avait que trois petits morceaux de viande dans l'assiette, la religieuse jette les corbeaux dans la rivière ; et depuis ce jour ils n'ont pas cessé de flotter. Conforté par la vision, Guillaume accepte la pénitence et demande qui est le pèlerin, qui lui répond qu'il ne peut pas le dire ; il n'a pas besoin de nourriture humaine et sa seule préoccupation est la santé de Guillaume. Il le salue et disparaît sans laisser de trace, démontrant ainsi sa nature angélique, comme Guillaume le raconte à Herbert plus de vingt ans plus tard. En entrant à Clairvaux, attiré par la renommée de Saint Bernard, il a de nombreuses visions, mais n'en raconte que peu, à très peu d'auditeurs. Durant l'une d'elles, lorsqu'il chante les psaumes à prime, il voit saint Malachie, vêtu en évêque, le jour de l'anniversaire de sa mort. Il est accompagné par saint Bernard, également coiffé d'une mître mais ne portant pas la bague épiscopale, qui lui fait un grand honneur et observe avec attention Malachie, les moines de la communauté ainsi que l'autel. La vision s'achève sur la fin du psaume. Dans une autre vision, Guillaume demande à saint Bernard de lui révéler s'il sera sauvé. Bernard lui reproche de faire une trop grande demande, mais lui répond malgré tout, (mais Herbert ignore la réponse). Dans une troisième vision, alors qu'il est malade à l'infirmerie, Guillaume voit entrer un diable habillé en prostituée qui se déplace lascivement entre les lits des moines malades, jusqu'à s'arrêter devant le lit d'un jeune moine. Le diable dit au moine de le suivre et d'amener son compagnon, qui les attendrait dehors, alors il s'en va. Le lendemain, Guillaume raconte sa vision à l'abbé Robert, qui va parler au jeune moine, mais celui ci nie vouloir quitter l'ordre. Cependant après quelques jours, il quitte le monastère avec son compagnon ; au moment où Herbert écrit, il s'est installé dans un autre monastère. Guillaume a beaucoup d'autres visions qu'Herbert ne raconte pas pour ne pas ennuyer ses lecteurs. Il meurt dans la sainteté, comme il a vécu. |
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TC0165 | TE018195 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 1, pp. 3-7 | Un moine du nom de Reinaldus, après avoir passé trente ans de sa vie à lutter contre la luxure, fait preuve de perfection spirituelle pendant vingt ans au monastère de Saint-Amand avant de devenir moine cistercien à Clairvaux. Seulement quarante jours avant sa mort, il accepte de révéler une vision qu'il a eue huit ans plus tôt au moment de la récolte. Un jour, à Clairvaux, en regardant ses frères dans les champs, il voit la Vierge habillée de blanc, accompagnée de sainte Elisabeth et de Marie-Madeleine, descendre la colline pour porter secours aux moines. A partir de ce jour, sa dévotion à Marie devient encore plus profonde qu'avant. Quatorze jours après avoir raconté cette vision, Reinaldus en a une deuxième dans laquelle la Vierge prépare une tunique très blanche pour sa mort. Reinaldus raconte la vision pour consoler Herbert, qui est très malade à l'époque, pensant que la vision le concerne, mais c'est lui-même qui meurt vingt-cinq jours plus tard. Reinaldus a donc eu une vision concernant sa propre mort : dans ses derniers instants, il entend deux coups sur la "tabula morientium", puis il récite l'Ave Maria jusqu'à son dernier souffle. Il est enterré avec un convers qui meurt le même jour. Au moment de leur mort, un saint homme a une vision de la construction de deux temples à Clairvaux : l'un dans l'infirmerie des moines et l'autre dans celle des convers, tous deux splendides, mais le premier plus noble, ce qui indique que la sainteté du moine est plus grande que celle du convers. |
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TC0165 | TE018290 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 44g, pp. 92-94 | Le légat pontifical et divers évêques emmènent avec eux Saint Bernard, contre sa volonté, pour lutter contre l'hérésie à Toulouse. Comme le voyage est particulièrement fatiguant, ils lui donnent un meilleur cheval qu'à l'accoutumée. Lorsqu'ils arrivent dans la région, le meneur des hérétiques choisit de se cacher, car il sait qu'il ne peut rien faire face à Bernard. Après de nombreux miracles quotidiens, Bernard est confronté à un hérétique qui le critique en disant que son maître n'a pas un cheval aussi bien nourri que le sien. Bernard répond tranquillement que le cheval, en tant qu'animal, suit son propre ventre, alors qu'il faut comparer son propre cou à celui de l'hérétique. Il montre alors son cou très maigre et blanc, et les spectateurs sont satisfaits de l'efficacité de sa réponse. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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