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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: légumes | vegetables | Gemüse | verdura | verdura
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0008 | TE002578 | Galandus Regniacensis | Parabolaire [Frielander et al., 1992] : Parabole 15G | Le septième paysan a ses légumes de son jardin qui se dessèchent, à moins de les arroser sans cesse. Ce travail l’épuise. Réponse du sage : il doit planter un jardin sur les sommets des monts; les légumes des montagnes restent toujours verts sans apport d’eau. | |
TC0034 | TE006403 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 154 | Aristippe dit à Diogène qui lave des choux : "Si tu veux flatter Denys, tu ne mangeras pas ces légumes". Diogène répond : "Si tu les mangeais, tu n'aurais pas à faire la cour à Denis et tu dirais la vérité". | |
TC0134 | TE012909 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 90a | Un démon entre dans le corps d’une religieuse qui a mangé une laitue sans faire le signe de croix. | |
TC0134 | TE013006 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 199b | Un démon entre dans le corps d’une religieuse qui a mangé une laitue sans faire le signe de croix. |
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TC0138 | TE019735 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 593 | Le mariage de la poire et de la courge. | |
TC0158 | TE016648 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 201 | La vieille qui offre ses pois aux religieux.– Une pauvre vieille veut offrir quelques pois au moment où le roi a invité les religieux à un repas; les portiers ne la laissent pas entrer : cependant ces pois tombent miraculeusement dans les plats des religieux; son humble offrande a plus de mérite que celle du roi. | |
TC0158 | TE016775 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 324 | Le singe qui tenait une poignée de pois.– Afin de ramasser un pois qu'il a laissé échapper, un singe lâche tous ceux qu'il avait dans la main. | |
TC0158 | TE016808 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 354 | Le brahmane, l'acheteur de pois et l'âne.– Un homme qui a échangé de vieux pois immangeables contre un âne croit avoir fait un bon marché, mais il s'aperçoit que l'âne est vicieux; ne pouvant le mater par la sévérité, il le gagne par de douces paroles. | |
TC0158 | TE016442 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 17 | Le riche brahmane Wei-lan ( Velâma).– Un brahmane très riche et très généreux ne vaut pas plus qu'un homme pauvre qui ne peut offrir que des légumes, de la bouillie de riz et des nattes de paille, mais qui va « jusqu'au bout de la bonté ». | |
TC0161 | TE017737 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXVI, 02 | COMMENT UN INDIVIDU QUI VA VERS LA RÉGION DE L'EST A ENGENDRÉ UN ENFANT EN S'ACCOUPLANT À UNE RAVE.– Un homme allant vers l’est, gagné par un désir enragé de luxure, arrache une grosse racine de rave, la creuse, et s’accouple à son trou avant de la jeter dans une haie et de repartir. Plus tard, le maître du champ vient récolter les légumes avec ses servantes et quelques fillettes. Une jeune fillette vierge, d’environ quatorze ou quinze ans, trouve la rave, joue avec elle et finit par la manger. Après quelques mois, les parents de la fillette, qui ne semble pas être dans son état ordinaire, constatent qu’elle se trouve enceinte et lui demandent comment cela est arrivé. La fillette répond que depuis qu’elle a trouvé une rave et qu’elle la mangée, elle se sent dans un état différent. Ne comprenant pas, les parents poursuivent leur enquête, mais personne n’a vu un homme s’approcher de leur fille, et ils acceptent d’élever le garçon qu’elle met au monde. Quelques années plus tard, l’homme qui allait vers l’est revient vers la capitale et passe à nouveau devant le champ de raves où les parents de la fillette et leurs suivants arrachent les verts légumes. L’homme raconte aux nombreuses personnes qui l’accompagnent, comment, pris d’un désir irrépressible, il s’est accouplé à une rave. La mère de la fillette, entendant ces mots et lui parlant avec force, finit par l’entraîner jusqu’à la maison où elle lui amène l’enfant qui ressemble trait pour trait à cet homme. Celui-ci, très ému de cette situation, épouse la fillette devenue une belle fille de vingt ans, et est demeuré dans ce lieu avec sa femme et son fils. |
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TC0165 | TE018277 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 37, pp. 76-77 | Le même mardi saint où le moine a une vision de la main de Dieu, le très noble André (archidiacre de Verdun), frappé par la vie sainte qu'on mène à Clairvaux, ainsi qu'un clerc appelé Geoffroy, tous deux encore vivants à l'époque d'Herbert, décident de se convertir à la vie cistercienne. Très délicat, André veut rejoindre un ordre moins strict, mais Robert de Bruges, successeur de saint Bernard comme abbé de Clairvaux, le persuade de rester trois jours pendant que le monastère prie pour lui. Ce même jour, on lui sert une assiette de petits pois (un plat qu'il ne supporte pas d'habitude), qui lui semble si savoureuse qu'il s'en lèche les doigts. Quand les cuisiniers l'informent qu'ils n'ont ajouté que du sel et de l'eau (mais pas de graisse), André comprend qu'il s'agit d'une intervention divine. A partir de ce jour, il est débarrassé de ses tentations, et les légumes lui semblent meilleurs que la viande. |
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