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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: enlèvement | kidnapping | Entführung | rapto | rapimento
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0001 | TE001229 | Thomas Cantipratensis | Bonum universale de apibus [Douai, 1627] : 2, 57, 18 | Chaque nuit, la fille d’un comte élevée dans un couvent, est enlevée par les diables. Son frère franciscain ne réussit pas à empêcher ce rapt. | |
TC0020 | TE003583 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 58 | Un noble chevalier veut enlever une moniale. Son abbesse la cache alors dans un lieu secret du monastère. Le chevalier, la cherchant partout, ne trouve pas la moniale. Tandis que, fatigué de chercher, il commence à partir, la jeune fille sort de sa cachette et lui crie " coucou !" à l’instar de ce que font les enfants lorsqu’ils jouent entre eux. Il la viole et s’en va en riant de la misérable. | |
TC0020 | TE003711 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 186 | Une louve enlève des enfants qu’elle élève. Un des enfants, tentant de se mettre debout et marcher, est corrigé par la louve qui l’oblige à marcher à quatre pattes comme une bête. De même, le loup infernal fait se ployer l’homme pour l’empêcher de lever les yeux vers le ciel. |
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TC0033 | TE006115 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 254 | PIERRE LE PERCEPTEUR LIBERE DU JUGEMENT A CAUSE DE SES AUMONES. Saint Jean l’Aumônier rapporta que des pauvres, au soleil, dans une ville, parlaient de ceux qui étaient ou non larges en aumônes. L’un d’eux fit le pari d’obtenir une aumône d’un homme riche, nommé Pierre, qui ne leur avait jamais rien donné. A force d’être harcelé, Pierre lui jeta un pain de pur froment, de ceux qui sortaient du four. L’homme riche, malade, fut enlevé pour être jugé. Il vit toutes ses actions placées sur un seul plateau de la balance. Des esprits très noirs l’accusaient, d’autres, blancs et lumineux déploraient de ne rien trouver de bon dans ses actions. Quelqu’un apporta alors le pain de froment qu’il avait donné au pauvre et le plaça sur l’autre plateau de la balance. Revenant sur terre, il devint abstinent, pieux et miséricordieux. Se rendant au bureau de péage, il rencontra un marin naufragé nu auquel il donna son vêtement que le marin vendit, n’osant pas le porter, le trouvant trop précieux, à la grande désolation de Pierre qui se crut indigne de vêtir un pauvre. Dieu lui apparut pendant la nuit revêtu de son habit. Aspirant à la pauvreté, il vendit tous ses biens, à l’exception d’un esclave à qui il demanda d’aller le vendre comme esclave et d’en donner le produit aux pauvres. Il fut vendu à un banquier, à Jérusalem, qui l’affecta à la cuisine où il subit patiemment les mauvais traitements de la part des serviteurs, refusant la liberté que lui offrait son maître. Des banquiers de Constantinople le reconnurent. Il s’enfuit et on ne le retrouva pas. A la vue de ce miracle, les serviteurs se repentirent du mal qu’ils lui avaient fait. |
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TC0033 | TE006194 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 333 | CARPASINUS ETOUFFE. Lors de la passion de saint Urbain, Carpasinus (Carpasius), revenant du martyre des chrétiens et rendant grâces aux idoles, fut enlevé par le diable qui le fit blasphémer ses idoles puis l’étouffa. | |
TC0033 | TE006119 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 258 | LE VOLEUR DEVENU UN SAINT MOINE. L’abba Appollonius (Apollo) fut envoyé par le Seigneur prêcher en Egypte. Arrivé dans une cité, il intervint dans un désaccord entre deux hommes. Aucune des parties ne voulait la paix. Obtenant la confiance d’un voleur qui était leur représentant, il lui demanda de s’humilier à faire la paix, lui promettant de demander à Dieu le pardon de ses péchés. Le voleur se prosterna et les parties firent la paix. Appollonius l’emmena dans son ermitage. L’un et l’autre furent enlevés pour le Jugement. Il vit le Seigneur qui jugeait, les saints et les anges qui l’assistaient. Les actes et la vie du voleur furent discutés: il méritait la damnation. Appollonius pria. Le Seigneur lui dit qu’il n’y avait aucun accord entre le Christ et Belial, entre la lumière et les ténèbres, mais qu’il lui concédait son homme. Le voleur devint un saint moine. |
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TC0035 | TE006490 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 4v, n° 9 | Le fils d’une veuve qui ne veut pas cesser d’uriner dans le cimetière, est assigné par les âmes des morts à comparaître devant elles pour répondre de son méfait. Sa mère l’y accompagne avec un prêtre et de l’eau bénite, mais des esprits malins l’enlèvent à leur vue. |
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TC0036 | TE006616 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : I, 8, 1 | Gérard est un homme vertueux à la vie exemplaire. Élevé tout jeune à Cluny , il fait preuve de chasteté, patience, sincérité, dévotion dans la récitation des offices liturgiques. Il remplit plusieurs fois la charge de prieur dans divers monastères. Lors d’un voyage à en Italie avec Pierre le Vénérable, Gérard est fait prisonnier par le duc Conrad (Conrad III de Hohenstaufen). Après une captivité difficile il est libéré. ~ Rempli de dévotion et de piété, il célèbre la messe chaque jour et communie en pleurant. Il a des visions du Christ durant ses prédications, sa Passion et sa résurrection. ~ Ce saint moine manifeste sans cesse son obéissance à la règle, mais également son humilité, puisqu’il ne souhaite pas que les visions dont il a été le témoin soient révélées. |
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TC0036 | TE006641 | Petrus Venerabilis | De miraculis libri duo [Torrell, Bouthillier, 1992] : II, 1 | Dans la ville de Mâcon vivait un seigneur tyrannique qui oppressait ses sujets et les églises des environs, allant même jusqu’à chasser les chanoines des églises et les moines des monastères. Mais un jour, alors qu’il est installé sur son trône entouré de ses chevaliers et de ses gens, un cavalier-démon entra dans la pièce, et le somma de le suivre dans l’instant. Contraint par une force invisible, le comte malfaisant ne put résister à l’ordre et suivit le cavalier jusqu’à la porte de son château. Là, le démon l’obligea à monter le cheval qui l’attendait devant la porte. C’est alors que tous ceux qui étaient présents virent le comte emporté dans les airs, hurlant de terreur à l’idée du châtiment qui l’attendait. Afin de garder en mémoire cet événement, les habitants de Mâcon ont par la suite muré la porte par laquelle le démon avait emporté le comte tyrannique. Mais plus tard, l’intendant du comte nommé Otger, qui était connu pour être aussi malfaisant que le comte, décida de faire rouvrir la porte mémorable. C’est alors que de nouveau, le cavalier-démon revint et emporta également l’intendant dans les airs puis le laissa retomber si bien qu’il se brisa le bras. Finalement, la porte fut définitivement murée. |
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TC0123 | TE007101 | anon. | Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005] : 158 | Ponce, ancien abbé de Clairvaux et évêque de Clermont, raconta ceci : un pèlerin, en route pour Rocamadour avec sa femme, la vit enlevée par deux malfaiteurs qui voulaient abuser d’elle. L’un d’entre eux fut arrêté. Alors qu’il était présenté au juge, il fut réduit en cendres sur le champ par la vengeance divine. L’autre, poussé par la volonté de Dieu, parvint au même endroit et subit le même sort. | |
TC0138 | TE019219 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 164 | L'enfant blasphémateur emporté par les démons. | |
TC0142 | TE018869 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 45, 1 | Quand un loup enleva une fillette, sa mère prit l'enfant de la statue de Marie en otage. Marie, comme si elle avait peur de perdre son enfant, obligea le loup à relâcher sa proie. La fillette retrouvée dit que Mummart [= le loup] l'avait mordue. Les traces des dents sur sa gorge restèrent visibles, en guise de preuve du miracle. | |
TC0142 | TE018886 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 58 | Un jour, un chef de brigands enleva un moine cistercien, en espérant lui extorquer de l'argent. En route, le moine commença à questionner le brigand sur sa vie et finit par le persuader de jeûner un jour par semaine en l’honneur de la Vierge Marie et de ne rien faire de mal ce jour-là. Le brigand choisit le samedi, et le respecta toujours. Un samedi, il fut capturé, car il avait renoncé à se battre, puis fut décapité et enterré hors de la ville. Une nuit, les gardes virent des chandelles brûler sur sa tombe. Puis cinq matrones apparurent, exhumèrent le corps et le portèrent sur un brancard jusqu'à la porte de la ville. La plus belle d'entre elles – la Vierge Marie – ordonna aux gardes de dire à l’évêque que 'son chapelain' devait être enseveli dans l'église, ce que l’évêque fit, en honorant le brigand comme un martyr. |
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TC0142 | TE019049 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 60 | Une femme qui pratiquait la magie, sauta de son bain en disant : « Je saute du pouvoir de Dieu en celui du diable ! » Les démons l’enlevèrent aussitôt et on ne la revit jamais. | |
TC0142 | TE017880 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 43 | Une jeune enfant se sauve au monastère du Mont-Saint-Sauveur ; ses parents l’enlèvent de force : excommuniés par l'évêque de Liège, ils ramènent la jeune Helswinde au monastère où elle se fait moniale et devient plus tard abbesse. |
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TC0143 | TE014175 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 101 | Un moine du Mont-Cassin qui avait une très belle voix disparut le jour de Pâques, juste après la bénédiction du cierge pascal. Personne ne sut jamais s’il fut enlevé par un ange ou par Archelaus, démon qui enferme dans un sac les voix orgueilleuses des clercs. | |
TC0155 | TE016129 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 5 | Un laboureur de Naples voit sa femme kidnappée par des pirates. Il se jette dans la mer pour monter à bord du navire afin de partager avec sa femme tous les malheurs, comme le demandent les lois du mariage chrétien. Les pirates offrent le couple à leur roi. Celui-ci, touché par le dévouement du mari, rend sa liberté au couple et fait du mari son général. | |
TC0157 | TE017499 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 158, p. 86, l. 2 – p. 86, l. 10 | Pierre, abbé du monastère [de Mont-Cassin], raconta à Pierre Damien qu’un jour, un garçon du monastère fut saisi par un loup. Sa mère, prise de grande frayeur, implora au nom de saint Benoît le loup de le relâcher. Alors, le loup, lâchant ce garçon, en prit un autre, le déchira, et emporta sa tête dans son antre. | |
TC0158 | TE016473 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 46 | La femme du Bodhisattva, enlevée par un nâga, est retrouvée grâce au roi des singes – Le Bodhisattva (appelé aussi le Révélateur) abdique la royauté pour n'avoir pas à entrer en guerre avec son oncle; il se réfugie dans les montagnes avec sa femme; celle-ci est enlevée par un nâga, malgré l'opposition d'un oiseau gigantesque. Le Bodhisattva se met à la recherche de la reine; un roi des singes qu'il a aidé à reconquérir son royaume lui prête son appui; la reine est retrouvée. |
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TC0158 | TE016608 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 166 | Lo-yun-tchou (Râhulamani?) était un disciple de Çâriputra; pour avoir dérobé la nourriture d'un Pratyeka Buddha, il endura pendant des kalpas (milliards d’années) illimités la condition de démon affamé, puis étant redevenu homme, il souffrit de la faim pendant cinq cents générations. Maudgalyâyana ayant pitié de lui, mendia de la nourriture et la lui donna, mais elle fut aussitôt enlevée par un grand oiseau; Çâriputra fit le même geste, mais elle fut changée en boue; Mahâkâçyapa également, mais la bouche du disciple de Çâriputra se ferma sans pouvoir se rouvrir. Le Buddha seul réussit à lui faire absorber de la nourriture. |
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TC0158 | TE016753 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 303 | Le mari, la femme et la galette.– Un mari et sa femme ont convenu qu'une galette appartiendra à celui d'entre eux qui gardera le plus longtemps le silence; des voleurs surviennent, le mari les laisse tout prendre dans sa maison, et même enlever sa femme sans rien dire. | |
TC0162 | TE017779 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. Lavigne-Kurihara, 2002] : XXVII, 41 | COMMENT LE RENARD DE LA RIVIÈRE KÔYA SE TRANSFORME EN FEMME ET MONTE EN CROUPE DERRIÈRE LES CAVALIERS.– Sur les bords d’une rivière, une jolie fille hèle tous les cavaliers qui passent sur le chemin de la capitale, et leur demande de monter en croupe sur leur cheval pour l’emmener à la capitale. Puis après avoir franchi quelques lieues, elle se laisse tomber de cheval, s’enfuit, et se transforme en renarde si on essaie de la poursuivre. Un garde du palais, au tempérament fougueux se vante d’attraper cette fille, et de la ramener auprès de ses compagnons de la salle de garde. Ceux-ci rétorquent que ce n’est que vantardise, et le défient de réussir. Le lendemain soir, il va à la rivière et quand il voit la fille devant lui, et qu’elle lui demande de l’emmener, il la laisse monter sur son cheval. Aussitôt, il passe une bride autour des ses hanches, et l’attache à la selle. Aux questions de la fille, le garde répond qu’il l’emmène passer la nuit avec lui. Après avoir aperçu un imposant cortège, éclairé par de nombreuses torches, et pensant c’est celui d’un important personnage, il prend un autre chemin pour arriver à la porte où l’attendent ses suivants. Ceux-ci les emmènent dans la salle de garde où ses compagnons sont réunis .Devant la fille qui implore qu’on la libère, ils demandent à leur compagnon de la lâcher au milieu d’un cercle qu’ils ont formé. Il refuse, mais finit par accepter quand les gardes arment leur arc et disent qu’ils perceront les flancs de la fille si elle essaie de s’enfuir. A l’instant où elle est libérée, elle se transforme en renard et disparaît. Les hommes s’évanouissent aussi et le garde se retrouve seul, plongé dans l’obscurité. Il finit par comprendre qu’il est au milieu de la plaine sauvage et sinistre de Toribeno, à l’est de la capitale. Il se demande s’il s’est perdu et si les lumières des torches aperçues lors de son retour, n’est pas un tour du renard. Il rentre péniblement chez lui et est pris de violentes nausées et reste alité pendant trois jours. Ses compagnons se moquent de lui quand il réapparaît dans la salle de garde. En effet, ils ont attendu toute la nuit après son départ, et n’ont toujours pas vu cette renarde. Le garde prétend qu’il était malade et promet de la ramener le soir même. Il repart avec une escorte et rencontre la fille avec un nouveau visage. A sa demande, il la fait monter sur son cheval, et l’attache avec une bride. Il réussit à la ramener au palais, et la traîne en la tirant par les cheveux dans la salle de garde. Les gardes la tourmentent tellement qu’elle finit par se transformer en renarde. Ils lui grillent les poils et lui décochent des flèches avant de la laisser partir. Le garde raconte alors à ses compagnons qu’il a été berné la première fois par la renarde, et qu’il s’est retrouvé dans la plaine de Toribeno. Par la suite, le garde retourne à la rivière, il voit une jeune servante à l’air bien malade, lui propose de la prendre sur sa monture, mais elle lui répond, avant de disparaître, qu’elle n’a pas envie de finir brûlée. |
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TC0162 | TE017759 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. Lavigne-Kurihara, 2002] : XXVII, 07 | COMMENT UNE AMANTE DU COMMANDANT ARIWARA NO NARIHARA EST MANGÉE PAR UN DÉMON.– Le Commandant Ariwara no Narihara, homme très libertin, courtise passionnément une très belle fille de famille. Mais elle a des parents qui la chérissent et ne veulent la donner qu’à un gendre éminemment distingué. Le Commandant enlève la femme et la conduit dans un vieux pavillon délabré et inhabité. Ils s’étendent tous deux sur une natte dans la remise, mais quand le commandant commence à étreindre la femme, un orage terrible éclate. Le Commandant met la femme derrière lui, tire son épée et brandit sa lame. Au lever du jour, l’orage se calme. Le Commandant, n’entendant plus la femme, se retourne. Il ne reste d’elle que la tête accrochée aux vêtements. Epouvanté, l’homme s’enfuit sans même reprendre ses habits. Par la suite, il a appris que cette remise était connue pour prendre la vie des êtres humains et être habitée par un démon. Il ne faut en aucun cas pénétrer ou passer la nuit dans des endroits que l’on ne connaît pas ! |
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