ThEMA
Thesaurus Exemplorum
Thesaurus Exemplorum
Medii Aevi
- HomeAccueilStartseiteHomePágina principal
- CollectionsRecueilsSammlungenRaccolteColecciónes
- Source textsTextesOriginaltextTesto originaleTexto original
- KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves
- SearchChercherSuchenCercaBuscar
- AboutÀ proposÜberA propositoAcerca de
- DownloadsTéléchargementsDownloadsDownloadsDescargas
- Log inSe connecterAnmeldenAccessoIniciar sesión
KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: éternité | eternity | Ewigkeit | eternidad | eternità
16 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
---|---|---|---|---|---|
TC0008 | TE002565 | Galandus Regniacensis | Parabolaire [Frielander et al., 1992] : Parabole 11B | Suite de la parabole 11. La matrone cède au chef de famille une servante capable de faire des vêtements de qualité. Quand elle arrive, elle voit à l’intérieur des servantes en tenue déshonnête; trois particulièrement lui sont hostiles. Elle s’enfuit. L’homme chasse les servantes. La vierge revient et lui fabrique un habit resplendissant d’or, de grand prix, et d’une merveilleuse et incorruptible éternité. |
|
TC0011 | TE003095 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei - Quadragesimale : p. 127a-b (2) | Lors de la résurrection des morts, il y aura une fête qui ne durera ni une année, ni un mois, ni une semaine, car cela n'existera plus; il n'y aura qu’un seul jour pour l’éternité. | |
TC0027 | TE004877 | Rhazes | La Médecine spirituelle [tr. Brague, 2003] : p. 70, chapitre 1 | Le roi qui méprise le paradis. Razi a entendu dire d’un certain roi hautain qu’un jour on faisait mention devant lui du paradis et de la grandeur de l’agrément qu’on y trouve, et pour l’éternité. Il dit: « Pour moi, cet agrément est gâché et je le trouve amer, quand je pense que je suis par rapport à lui comme quelqu’un à qui on fait une faveur et à qui on accorde un bienfait. » |
|
TC0033 | TE005988 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 134 | LES DEMONS REFUSENT DE FAIRE PENITENCE. Un saint, en prière, entendit des démons gémir à la pensée de l’éternité de leur châtiment. Intervenant auprès de Dieu, il leur apprit qu’ils seraient pardonnés s’ils reconnaissaient leur péché et faisaient pénitence. Ce qu’ils refusèrent de faire. |
|
TC0033 | TE005925 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 74 | L’HOMME ET LES SOUFFRANCES ETERNELLES. Polycarpe se demande comment l’homme qui ne peut supporter des douleurs temporaires pourra le faire de souffrances éternelles. | |
TC0138 | TE019392 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 336 | Conversion de Foulques de Marseille. | |
TC0138 | TE019276 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 221 | La réflexion sur les années de châtiments dans l’Au-Delà chasse les mauvaises pensées. | |
TC0138 | TE020231 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 945B | Dit d'un père : ce qui a eu un commencement ne peut être conservé éternellement. | |
TC0139 | TE013181 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 20, pp.16-17 du texte hébreu | L’empereur de Rome interdit aux juifs d’étudier la Torah. Pappos fils de Yehouda rencontra Rabbi Akiba en train d’enseigner la Torah à ses nombreux disciples malgré le décret, et le lui reprocha. Rabbi Akiba lui répondit :" Je vais te donner un exemple : Il y avait une fois un renard qui se promenait au bord de la mer, il y vit les poissons qui se cachaient au fond de la mer à cause des filets de pêcheurs; il leur proposa de venir vivre avec lui sur la terre ferme, et ils lui répondirent :" toi un animal intelligent, comment peux-tu nous proposer cela ? Si dans notre cadre naturel nous ne sommes pas en sécurité, nous le serons d’autant moins sur la terre ferme !" Il en est de même pour nous: Même lorsque nous étudions la Torah, de terribles persécutions pèsent sur nous. Qu'en sera-t-il si nous cessons d’étudier ?" Quelques jours plus tard, Rabbi Akiba fut pris et emmené en prison pour être exécuté. Il y rencontra Pappos, arrêté lui aussi mais pour des broutilles, et qui s’écria : " Tu es un homme heureux, Akiba, toi qui as été emprisonné à cause de l’étude de la Torah !" On commença à exécuter la sentence en peignant la peau du supplicié avec des peignes de fer. C'était justement l’heure de la prière du matin et son âme quitta son corps à l’instant où il prononça le mot 'Ehad’ (L’Eternel est Un). A ce moment, une voix céleste se fit entendre : " Heureux sois-tu, Akiba, toi qui es appelé à la vie éternelle!" |
|
TC0158 | TE016954 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 418 | Entretiens du roi Ménandre et de Nâgasena.– Le roi Ménandre veut s'entretenir avec le bhiksu Nâgasena; il lui envoie un vase de lait fermenté, plein jusqu'au bord, voulant signifier par là : «Ma sagesse est complète; qui pourrait y rien ajouter ?» Nâgasena renvoie le vase en enfonçant dans le lait fermenté cinq cents aiguilles. Alors le roi le fait venir et l'interroge sur la manière d'obtenir la sagesse, sur l'impermanence, sur la persistance de l'individualité après la mort, sur la raison pour laquelle le soleil nous chauffe moins en hiver qu'en été. |
|
TC0158 | TE016434 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 9 | Le çramana qui veut vider la mer avec sa calebasse. – P'ou-che (Libéralité universelle) s'est fait çramana pour convertir le monde. Il arrive dans un royaume où un homme de grande famille, lui offre sa fille en mariage. Puis, au delà des mers, il atteint successivement une ville d'argent où il reste une saison et où il reçoit une perle qui éclaire à 40 li à la ronde, puis une ville d'or où il reste deux saisons et où il reçoit une perle qui éclaire à 80 li à la ronde, enfin une ville de vaidûrya où il reste trois saisons et où il reçoit une perle qui éclaire à 160 li à la ronde. A son retour, les nâgas, jaloux de ses perles, les font tomber dans la mer. Il ne se décourage pas et entreprend d'épuiser avec une calebasse l'eau de la mer : puisqu'il a pour lui l'éternité des existences futures auxquelles il sera appelé, il parviendra tôt ou tard à vider entièrement la mer. Les nâgas effrayés lui rendent ses perles (cf. n° 351). |
|
TC0158 | TE016437 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 12 | Le roi ascète, l'estropié et la femme adultère. – Le fils aîné du roi de Bénarès refuse de succéder à son père et se retire avec sa femme dans la solitude; il sauve de la mort un estropié; sa femme entretient un commerce adultère avec celui-ci et cherche à tuer son mari en le jetant dans un précipice; miraculeusement sauvé, le mari retourne à Bénarès où il est reconnu pour roi. Plus tard, sa femme portant l'estropié sur son dos vient demander l'aumône au roi; elle est reconnue et on la condamne à porter perpétuellement l'infirme qui sera cloué sur son dos (cf. n °31 et t. III, p. 21-22). |
|
TC0165 | TE018329 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 77, pp. 152-154 | Bernard, un moine de Grandselve, craint qu'en tant que novice il ne puisse se sauver à cause de ses péchés. L'abbé Ponce le rassure en lui disant que s'il reste dans l'ordre cistercien, il sera lui-même le garant de son âme. Bernard, d'origine noble, est infirmier et se consacre avec beaucoup de soin à tous les malades. Pendant l'épidémie, il veut aussi être avec le Christ et, saisi par une légère fièvre, il se couche. Ponce lui fait un gentil reproche, pensant que le novice craint la mort, mais Bernard affirme le contraire. Quelques jours plus tard, la fièvre augmente et on lui administre les derniers sacrements. Lorsque l'abbé s'approche de lui, Bernard lui dit qu'il n'est plus nécessaire qu'il se porte garant de son âme, car il a déjà été présenté à Dieu et a entendu de sa vraie voix que ceux qui restent dans l'ordre cistercien jusqu'à la mort obtiennent le salut éternel, ce qui est confirmé par la présence au ciel de tous ses frères décédés. |
|
TC0165 | TE018203 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 9, p. 33 | Un moine a une vision où l'on prépare des vêtements précieux à l'infirmerie de Clairvaux. À sa grande surprise, une voix lui explique qu'ils sont destinés à l'âme d'un moine cistercien qui se prépare au mariage. Mais comme l'âme est beaucoup moins belle que sa condition, elle aura besoin de ces beaux vêtements pour plaire à son nouveau mari. À ce moment, un moine est mort qui, bien que plein de bonne volonté, était paresseux et avait donc bien besoin que ses frères prient pour lui. |
|
TC0165 | TE018201 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 7, pp. 29-32 | Un convers de Clairvaux, célèbre pour sa douceur et son humilité, récitait un "Notre Père" chaque fois qu'il était sermonné par un confrère, et son exemple inspirait les autres. Un jour, alors qu'il traverse une forêt, il est attaqué et dépouillé par des voleurs. Il prie Dieu de pardonner leurs péchés ; les voleurs, en le voyant, sont pris de remords et lui rendent les biens volés. Le jour de sa mort, un moine d'un autre monastère, également saint et mourant, raconte à ses frères une vision qui vient de lui apparaître, dans laquelle le ciel se préparait à accueillir un saint de Clairvaux, avec le même soin qu'on réserve aux rois et aux empereurs. Un ange explique sa vision au moine, en lui disant qu'il doit l'annoncer à son réveil : il s'exécute, puis décède. Les moines, en comparant l'heure de la mort, ont identifié le saint de Clairvaux : c'est l'humble frère qui avait été volé. Saint Bernard, ayant entendu cette vision avec ses frères, s'étonne de leur émerveillement. Il affirme qu'il est certain que quiconque persévérant dans l'ordre cistercien avec humilité et obéissance reçoit automatiquement une gloire immortelle. |
|
TC0166 | TE018457 | Gregorius I | Dialogues, Lib. IV : IV, 37, 7-16 | Durant une peste, un jeune soldat est frappé par la maladie et meurt. Dans son périple, il voit un pont qui mène à des prairies verdoyantes et qui surmonte des eaux noires. Le pont est une épreuve permettant de séparer les justes des mauvais. Tandis que les justes peuvent traverser le pont, les mauvais s'enfoncent dans les eaux ténébreuses. Ainsi, le soldat voit, enchaîné au fond des eaux, Pierre, l'ancien chef du personnel ecclésiastique qui faisait preuve de cruauté. Il voit également Étienne traverser le pont. Des hommes noirs tentent de l'attirer vers le bas tandis que des hommes blancs l'attirent vers le haut. Sa vie ayant été marquée à la fois par la piété et les aumônes et par les vices charnels, son jugement n'est pas sûr. Le soldat ne connaît pas l'issue de la lutte. Cependant, il a le temps de voir, de l'autre côté du pont, une maison en or construite par les âmes illustres. Après ces visions, le soldat revient à la vie pour pouvoir raconter cela. |
|
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0