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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: forgeron | blacksmith | Grobschmied | herrero | fabbro
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0022 | TE004209 | Robert de Gretham | Le Miroir ou les Evangiles des domnées [Aitken, 1922] : 12 | Un forgeron, qui avait mené une vie déréglée, se retira dans un couvent pour faire pénitence de ses fautes. La sainte vie des frères, ce pendant, lui fit honte et, cédant au désespoir, il tomba malade, L’abbé étant venu pour le consoler en lui parlant de la miséricorde divine, le malade l’assura que c?était en vain qu’il lui parlait; car une vision lui avait montré la place préparée pour lui dans les bas-fonds de l’enfer. Le lendemain il mourut. |
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TC0033 | TE005991 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 137 | UN MOINE FORGERON VOIT L’ENFER QUI LUI EST OUVERT. Un moine de mauvaises moeurs mais excellent forgeron était toléré dans son couvent. Pris d’une maladie soudaine, il appela ses frères, disant qu’il voyait s’ouvrir l’enfer avec en son centre le diable accompagné de Caïphe, de Judas, de Pilate et de ceux qui avaient crucifié le Christ. Incité à la pénitence, il dit ne rien pouvoir contre le jugement de Dieu prononcé contre lui, si bien que, enseveli loin des autres moines, personne n’osa faire appel aux suffrages de l’Eglise. | |
TC0033 | TE005990 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 136 | DEUX ETIENNE PUNIS. Etienne, romain illustre, mourut à Constantinople. Le matin, au moment d’être embaumé, il ressuscita pour raconter tout ce qu’il avait vu en enfer. Le Juge lui dit que c?était un autre Etienne, un forgeron, qu’il voulait. Le premier revint à la vie et le forgeron mourut. Le premier Etienne, qui ne s’était pas corrigé, mourut pendant la peste. Un chevalier, mort puis ressuscité, le vit glisser d’un pont et être traîné par les démons. | |
TC0131 | TE008851 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 660, 1-15 | LEGENDE DE SAINT ELOI. 1/ Un roi de France commanda deux arçons d’or pour une selle de cheval. 2/ On en confia l’exécution à saint Eloi qui était alors orfèvre sur le Grand Pont à Paris. 3/ Alors qu’il devait en faire deux, il en fit quatre; on les apporta devant le roi et on les fit peser. 4/ Deux ensemble pesaient autant que l’or qu’on lui avait fourni; quand ils étaient tous les quatre ils ne pesaient pas plus que les deux et quand on les séparait les deux pesaient autant que les quatre. 5/ En voyant ce miracle le roi et la reine eurent de l’amitié pour saint Eloi. 6/ Comme il était suffisamment instruit et que c'éyait un saint homme, le roi le fit évêque de Noyon en Picardie et lui donna un cheval pour voyager. 7/ Après le lui avoir donné, il le renvoya chercher parce qu’il le portait agréablement; et il en envoyait en échange un autre de même valeur au moins. 8/ Mais quand ce cheval fut revenu devant le roi, il était si maigre qu’il n'avait que la peau sur les os. 9/ Le roi le renvoya à saint Eloi; et sitôt devant saint Eloi, il redevint plus beau et plus gras que jamais. 10/ L’écuyer raconta au roi que le cheval avait retrouvé sa bonne forme. 11/ C'est pourquoi on appelle saint Eloi maréchal: parce que le cheval redevint beau quand il fut devant lui. 12/ On le dit aussi expert en toutes manières de forger. Car il aurait bien su ferrer un cheval s’il avait voulu et fabriquer n'importe quoi en fer ou en acier comme un bon forgeron, encore qu’on ne lise pas en sa Légende qu’il ait jamais ferré un cheval, 14/ malgré ce que les forgerons et les peintres lui attribuent sur leurs peintures où ils lui font couper le pied du cheval. 15/ Certes, Dieu aurait été capable de faire pour lui de plus grands miracles, mais on ne les trouve pas dans sa Légende. |
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TC0131 | TE008430 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 256, 1-3 | LE FORGERON QUI JETA LE FER CHAUD AU DIABLE. 1 Un saint forgeron jeta à main nue un fer rouge au diable qui le tentait, déguisé en femme. 2 Dieu le récompensa pour cette belle action: il n'eut plus besoin de tenailles pour tenir son fer, mais il le tenait à mains nues comme on tient une cire molle. Son nom était Apellen. 3 Dieu lui octroya cette récompense parce qu’il s’était montré fort contre les trois tentations: la chair, le monde et le diable. | |
TC0137 | TE012711 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 226 | Un perfide maréchal-ferrant. Un maréchal-ferrant ferrait les chevaux de manière à ce qu’ils boîtent; il envoyait ensuite au propriétaire du cheval un de ses associés pour lui acheter le cheval à bon prix. Le cheval rapporté au maréchal-ferrant était ferrer correctement et ensemble ils gagnaient beaucoup d’argent aux dépens des voyageurs. | |
TC0140 | TE013645 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Prediche della primavera 1425 (Siena, chiesa di S. Francesco e Piazza del Campo, 20 aprile-10 giugno), X, 2. | A Milan, un forgeron blasphème pendant qu’il travaille; il est subitement pendu par un diable. Le forgeron reste accroché à la corde jusqu’à ce qu’il confesse sa faute. | |
TC0142 | TE018556 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 19, 1 | Conduit au bûcher, un hérétique de Cologne nommé Arnold demanda qu’on lui apporte du pain et un bol d'eau. Césaire de Heisterbach pense qu'Arnold voulait en faire un viatique sacrilège pour ses compagnons, à l'instar d'un hérétique espagnol (forgeron de profession) qui enseignait que chacun peut consacrer chez lui son eucharistie. |
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TC0155 | TE016342 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 221 | Un moine, forgeron doué, mais ivrogne et insouciant de son salut, voit, sur son lit de mort, les enfers s’ouvrir pour le recevoir. Désespéré, il refuse de faire pénitence, malgré les admonitions de frères et meurt damné. | |
TC0157 | TE017501 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 161, p. 139, l. 12 – p. 139, l. 31 | Pierre de Burgos raconta cette histoire. Dans la région de Pilonicum, il y avait un artisan forgeron, qui ne fabriquait pas d’objets domestiques ou de travail, mais toujours des armes de guerre. Un jour, il fut blessé légèrement à la poitrine, et, le temps de la guérison, resta dans le lit d’un autre. Puis, se sentant mieux, et comme sa femme avait envoyé un cheval pour le chercher, il se leva. Mais il se produisit alors qu’il laissa derrière lui, sans en sentir de douleur, son bras et son épaule. C’était sans doute la juste sentence de Dieu pour un bras qui avait fabriqué tant d’armes létales. | |
TC0165 | TE018394 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 141, pp. 256-258 | Un petit vendeur du village de Lizy-sur-Ourcq, près de Meaux, qu'Herbert aurait préféré ne pas connaître, a toujours le nom du diable à la bouche. Il maudit fréquemment son âne et l'envoie au diable. Un jour, le diable le fait tomber de son âne et l'homme meurt. Quelques jours plus tard, vieux et mince tel qu'il l'était dans sa vie, il apparaît dans la rue et tente d'étouffer Winterus, un forgeron du même village, jeune et fort. Winterus fait le signe de croix, le jette à terre, et le vendeur prend la fuite. Winterus rentre alors chez lui, fou de terreur, ne recouvrant la raison qu'après de nombreuses prières. |
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TC0165 | TE018222 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 26, pp. 55-56 | Albert, forgeron et moine à Boulancourt, près de Troyes, raconte à Herbert qu'il a vu le moine Simon sortir du chœur et traîner hors de l'église un convers du nom de Christian. Voyant alors que Simon est encore dans le chœur, il se rend compte qu'il a vu un diable. Christian, après s'être enfui avec de nombreux vêtements, revient et obtient le pardon, en disant qu'il n'a pas vu de démon, mais qu'il a seulement succombé à sa propre convoitise. Malgré les promesses, avant la fin de la semaine, il s'échappe à nouveau, mais est frappé par la maladie, revient et, pardonné, meurt le troisième jour après s'être confessé. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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