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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: singe | monkey | Affe | Mono | scimmia
53 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0020 | TE003696 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 171 | De même que l’usurier ne veut pas partager ses richesses, de même, lorsqu’un singe dépourvu de queue demande à un renard de lui donner un bout de la sienne; le renard lui répond qu’il préfère supporter le poids de sa queue plutôt que de lui en céder une partie. | |
TC0030 | TE005373 | anon. | Libro de los Gatos [Darbord, 1984] : 50 | Le singe rejette la noix encore verte, sans goûter sa moelle savoureuse. | |
TC0033 | TE005934 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 83 | LA VISION D’UN NOVICE. Un croisé entré dans l’ordre cistercien songea à en sortir. Il fut frappé à mort par le diable sous l’apparence d’un singe. Saint Benoît le conduisit hors de son corps et lui montra les nombreuses demeures des élus et les supplices des méchants. Il vit un prince puissant et luxurieux brûler sur une chaise de feu et torturé par de belles femmes qui introduisaient des torches enflammées dans son corps, de la bouche aux partie sexuelles. Il vit ensuite un conquérant cruel écorché et salé sur une claie. Enfin, un homme ayant volé la chèvre d’une veuve chevaucha un cheval de feu, portant un bouclier enflammé et une chèvre de feu, traînant derrière son cheval un habit de moine. Il vit plusieurs hommes subir un châtiment correspondant à leurs fautes terrestres, ainsi que Judas tournant sur une roue de feu. |
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TC0033 | TE006137 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 276 | MORT D’UN HISTRION. L’évêque Boniface, se trouvant à la table d’un homme riche, prédit la mort d’un histrion jouant avec une guenon et frappant sur des cymbales. Alors qu’il sortait de la maison, une pierre tomba sur la tête de l’histrion et le tua. | |
TC0033 | TE006092 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002] : 238 | LA GUENON ET SES PETITS. Une guenon a deux petits, l’un qu’elle préfère et porte par devant, l’autre qu’elle aime moins et porte par derrière. Poursuivie par un chasseur, elle ne peut se débarrasser de celui qu’elle aime le moins et doit lâcher son préféré. Elle est finalement capturée, embarrassée par celui qu’elle aime le moins. | |
TC0106 | TE015901 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 162 | LE GUENON ET SES PETITS. Une guenon a deux petits, l’un qu’elle préfère et porte par devant, l’autre qu’elle aime moins et porte par derrière; poursuivie par un chasseur, elle ne peut se débarrasser de celui qu’elle aime le moins et doit lâcher son préféré; elle est finalement prise, embarrassée par celui qu’elle aime le moins. | |
TC0123 | TE007034 | anon. | Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005] : 102 | À Clairvaux, deux nuits de suite, le diable apparut à un moine, sous l’apparence d’une guenon qui se moquait des moines endormis à l’office des vigiles. |
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TC0131 | TE007779 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 151, 1-15 | NOE PLANTE LA VIGNE. 1 Au dire de certains, quand Noé planta la vigne, il en planta partie de nuit à la lumière de la lune et partie en plein jour à la lumière du soleil. 2 Celle qu’il planta la nuit, à cause de la froideur de la lune, et par la volonté de Dieu, produisit le vin blanc. 3 Et celle qu’il planta au soleil, à cause de la chaleur du soleil produisit le vin rouge selon cette tradition. 4 Bien sûr, si on voulait aujourd’hui essayer cette méthode, on n'obtiendrait ni vin blanc ni vin rouge, mais telle fut la volonté de Dieu. 5 Il reste que le vin rouge est plus vigoureux que le blanc et que le plus mauvais vin rouge est moins mauvais que le plus mauvais blanc. 6 Un autre maître dit que Noé pour planter la vigne la mouilla avec le sang de cinq bêtes, d’un lion, d’un ours, d’un singe, d’un bouc et d’un porc; 7 le vin y aurait acquis cinq qualités qu’il a encore, trois bonnes et deux mauvaises: 8 Car celui qui boit du vin, par le caractère du lion devient plus fier, par l’ours plus fort, par le singe plus subtil, par le bouc plus léger et par le porc plus grossier. 9 Je peux donc dire qu’en buvant du vin on devient plus fier, plus fort, plus subtil, plus léger et plus grossier, c'est à dire plus enclin au péché. 10 La première et la dernière de ces cinq qualités sont mauvaises, car être plus fier, c'est une variété d’orgueil et d’outrecuidance: 11 Quand un fou a trop bu, il pense bien valoir un roi et il vaut moins que lorsqu’il était à jeun. 12 Celui que la boisson a rendu plus fort à mal faire, il aurait mieux fait de boire de l’eau, car tout bien est perdu que l’on l’emploie à mauvais usage. 13 Le vin est bien employé par celui qui en est plus fort à faire un bon travail. 14 Si un sage boit du vin, il en devient encore plus sage; et si un bon messager en boit, il en ira encore plus vite. 15 Mais si un vaurien en boit, il tourne au pourceau: il en est d’autant plus disposé à pécher. Car pour les fous, tout tourne à leur désavantage. |
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TC0131 | TE008688 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 596, 1-7 | MOEURS DU LION. 1/ Quand le lion souffre d’une maladie qui l’échauffe, il mange un singe pour se rafraîchir. 2/ De la même façon le diable trouve son rafraîchissement dans le coeur des tristes mélancoliques. 3/ Les bêtes n'osent franchir le cercle que le lion a tracé avec sa queue jusqu’à ce qu’il ait choisi sa proie, tant elles sont soumises à leur roi. 4/ Celui qui enfreint les commandements de Dieu montre par là qu’il est moins obéissant que les bêtes. 5/ On voit aussi qu’il est bon de supporter patiemment ses épreuves pour l’amour de Dieu car le lion n'a que faire des bêtes maigres ou malades. 6/ Comprenons que les tentations du diable ont moins de prise sur les gens maigres peu corpulents ou sur les malades que sur les gens gras et bien nourris. 7/ Car lorsque le corps ets faible et malade, l’âme est forte et vigoureuse, de même qu’un champion est plus facilement vainqueur d’un adversaire malade que d’un bien portant. | |
TC0131 | TE008105 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 592, 1-7 | MOEURS DES SINGES. 1/ Ceux qui se réjouissent dans la prospérité et s’indignent contre l’adversité ont une parenté avec les singes, 2/ qui dansent en pleine lune et font les malades quand elle décroît. 3/ Certains aussi sont parents de la guenon qui lorsqu’elle est poursuivie par le chasseur laisse tomber celui de ses deux petits qu’elle préfère 4/ et emporte celui qu’elle n'aime pas autant, parce qu’il s’est attaché à son poil. 5/ Car nous avons tous deux enfants, nos avoirs et nos péchés; mais certains préfèrent leur avoir et y pensent plus souvent, rejetant leurs péchés derrière leur dos. 6/ C'est ainsi qu’ils les emportent malgré eux à la mort, s’ils ne s’en sont pas purifiés par le repentir; 7/ et ils abandonnent alors leurs richesses qu’ils aimaient tant et qui occupaient leur coeur. | |
TC0131 | TE009243 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 003, 1-22 | CI-NOUS-DIT 3 - COMPARAISON DE L’HOMME AVEC LES CREATURES. 1/ On voit ici que l’homme ressemble à un arbre à l’envers: 2/ L’arbre dirige ses branches vers le haut et son fruit pend vers le bas, et les fleurs qui meurent sont emportées par le vent. 3/ Nous au contraire, nous dirigeons nos branches vers le bas et le fruit de nos oeuvres doit monter vers le ciel; 4/ et les péchés que nous faisons contre Dieu sont comme les fleurs de l’arbre qui meurent sans produire de fruit. 5/ Dieu nous a fait deux pieds pour marcher sur la terre et deux ailes pour voler dans le ciel à la manière des oiseaux qui avec leurs ailes peuvent voler où ils veulent. 6/ Nos mains, ce sont nos ailes: les bonnes pensées de nos coeurs et les bonnes oeuvres de nos mains, ce sont les plumes qui nous porteront au ciel; 7/ et pas plus que l’oiseau ne peut voler sans plumes, nous ne pouvons aller au ciel sans bonnes oeuvres. 8/ De même que la nature du feu le fait monter vers le ciel, de même nous devons tous désirer monter au ciel par nature. 9/ De même que la pierre qu’on lance en l’air revient naturellement sur la terre qui est son pays, à plus forte raison nous autres qui séjournons sur la terre devons-nous désirer regagner le ciel qui est notre pays. 10/ Les quadrupèdes vont à quatre pieds, montrant qu’ils sont dans leur pays; et nous allons à deux pieds, montrant que nous ne sommes pas dans le nôtre. 11/ Et quiconque place sur terre l’amour de son coeur, il se rend semblable aux bêtes, alors que nous devons diriger tous nos désirs vers le ciel, car Dieu nous a créés pour cela. 12/ La terre, c'est la patrie des bêtes, des oiseaux, des serpents: c'est pourquoi Dieu a montré qu’il ne veut pas que nous nous y enracinions, comme les pépiniéristes qui plantent leurs scions peu en terre quand ils ont l’intention de les replanter ailleurs. 13/ Si un arbre était planté la cime en terre, il ne pourrait y faire de racines. 14/ Et c'est notre situation: car nos pieds, c'est la cime de l’arbre que nous sommes, qui chez nous est tournée vers la terre, 15/ en signe que Dieu ne veut pas que nous y fassions de racines, mais veut que nous nous enracinions au ciel: 16/ c'est pour cela qu’il nous fait la tête levée vers le ciel (pour garder la comparaison avec les arbres). 17/ Les singes et quelques autres bêtes savent bien marcher sur deux pattes, mais ils ne le font que si on les y oblige, parce qu’ils ne sont pas animaux raisonnables. 18/ Les petits enfants non plus ne savent pas marcher sur deux pieds tant que leur intelligence ne surpasse pas celle des bêtes. 19/ Autre signe que Dieu veut que nous soyons du ciel, c'est qu’il nous fait grandir en nous approchant du ciel: il montre ainsi qu’il nous a faits pour y monter; 20/ au contraire il fait grandir les bêtes en les allongeant sur la terre: il montre ainsi que c'est bien leur pays. 21/ Et il n'y a aucune bête qui proportionnellement à sa taille occupe sur la terre aussi peu de surface que nous. 22/ Conclusion de toutes ces remarques: Dieu nous fait bien voir que nous ne sommes pas faits pour habiter définitivement sur la terre. |
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TC0131 | TE007843 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 215, 1-9 | FABLE DU ROI DES SINGES. 1 Bien des gens omettent de dire la vérité. 2 Un singe trouva que c'était une bien belle chose que d’être roi; comme il désirait l’être, il demanda l’avis de tous les singes de son pays. 3 Tout le monde était d’accord là-dessus sauf un seul, mais qui dit qu’il ne serait jamais d’accord. 4 Il lui demanda: "Pourquoi n'es-tu pas d’accord comme tous les autres? M'en crois-tu incapable?" 5 Il répondit: "Oh non! -Alors pourquoi? -Parce que vous avez le cul tout pelé. Mais comme tous les autres l’ont aussi, ils n'osent pas vous le dire." 6 Cela veut dire que certains renoncent à reprendre les autres de leurs défauts parce qu’ils en sont eux-mêmes atteints. 7 Un poète dit: "C'est une honte pour le donneur de leçons quand son reproche le condamne lui-même." 8 C'est à dire que personne ne peut pratiquer la correction fraternelle s’il est lui-même coupable de ce qu’il reproche aux autres. 9 Car comme on doit prendre plus de soin de soi que des autres, on doit se faire d’abord la leçon à soi. | |
TC0131 | TE008686 | anon. | Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88] : 593, 1-6 | ENCORE DES MOEURS DES SINGES. 1/ Tout comme le singe désire faire les oeuvres de l’homme, à qui il ressemble en plusieurs points, 2/ de même nous devons désirer faire les oeuvres de Dieu, à la ressemblance de qui nous sommes créés. 3/ Car c'est pour nous donner l’exemple qu’il voulut faire pénitence: nous devons donc la faire pour l’amour de lui en l’imitant. 4/ Ainsi il nous prendra pour lui tenir compagnie au ciel éternellement si à la mort il nous trouve en bonne pénitence, tout comme les chasseurs s’amusent bien avec les singes qu’ils ont pris là où ils se chauffaient au soleil. 5/ Ces singes ne perdent pas grand chose quand on les capture, car il leur serait arrivé dans leurs déserts d’avoir faim et froid et ils ont tout ce qu’il leur faut à la cour des rois et des grands seigneurs. 6/ De même c'est nous qui y gagnons le profit éternel quand Dieu nous prend occupés à ses oeuvres. | |
TC0137 | TE012504 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 42 | Le marin voleur puni par un singe. Les gains illicites d’un marin sont jetés à la mer par un singe. | |
TC0138 | TE019838 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 696 | L'argent mal acquis jeté à la mer par un singe. | |
TC0138 | TE019797 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 655 | La Vierge, le diacre et le diable au parchemin. | |
TC0138 | TE014112 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 36 | Véridique et falsidique au pays des singes | |
TC0138 | TE012919 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 112 | Le singe et le renard. | |
TC0138 | TE019399 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 343 | La danse infernale d'une damnée entourée de singes. | |
TC0140 | TE013695 | Bernardus Senensis | Le prediche volgari : Prediche della primavera 1425 (Siena, chiesa di S. Francesco e Piazza del Campo, 20 aprile-10 giugno), XXVI, 1. | Un singe près de l’église Saint-Christophore à Sienne saisit un enfant emmailloté et l’amène sur les toits, en imitant les gestes de celui qui l’emmaillote et le démaillote. Les gens ne savent pas s’il faut le frapper avec une arbalète ou s’il faut attendre ; enfin le singe remet le nouveau-né dans son berceau. | |
TC0142 | TE018599 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 50 | Une recluse vit, quand elle avait était encore dans le monde, les démons sous l'aspect de chats et de singes assis sur le dos des moines de Burtscheid et leur dicter leurs comportements. Et ce qui était encore pire, elle vit des chiens terribles tirer certains moines enchaînés vers des occupations futiles. | |
TC0142 | TE019059 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 5,1 | Le chevalier Walter de Endenich, un homme assez pieux, tomba malade. Il vit alors le diable lui apparaître avec une face de singe et des cornes de bouc. Le diable essaya de le séduire par la promesse de richesses, mais Walter ne s'y intéressa pas : il voulait plutôt interroger le diable. Il lui demanda alors de lui révéler ce qui se passait pour l’âme de son seigneur, le comte Guillaume de Jülich, l’âme du comte Henri de Sayn et l’âme de son propre père. Le diable affirma que Guillaume de Jülich était bien dans en enfer, placé dans un endroit où la chaleur était si grande qu'elle fondrait en un instant deux châteaux avec leur collines, s'ils était faits de fer. Le diable était sûr que l’âme du comte Henri leur appartenait également, mais ne dit rien sur sa punition. Quant à l’âme du père de Walter, elle leur échappa grâce à une femme borgne et un homme chauve. Walter comprit que la femme c’était sa mère qui s’était abîmé un œil en priant, toute en larmes, pour son père, et l'homme chauve c’était son frère devenu moine cistercien. |
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TC0157 | TE017327 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 501, l. 13 – p. 502, l. 2 | Cette histoire a été rapportée directement par un chasseur de singes. Si on veut chasser un singe, il faut se munir de chaussures rouges. Bien en vue du singe, on se chausse de ces chaussures. Puis on les laisse là afin que le singe soit tenté d’imiter le chasseur. Pendant qu’il est occupé à se chausser, on peut facilement l’attraper. Ainsi, le démon peut profiter de ce qu’on suit un mauvais exemple. Il faut donc se garder d’imiter les habitudes des autres. | |
TC0157 | TE017323 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 494, l. 9 – p. 495, l. 24 | La tortue, quand elle a mangé un serpent et sent le venin en elle, mange immédiatement de l’origan comme contre-poison. Le renard, quand il est malade, se traite avec la résine de pin. Les animaux qui font usages de remèdes nous indiquent qu’eux-mêmes contiennent des substances qui peuvent guérir : la chair du serpent produit des médicaments, de même que l’ivoire qui a divers usages. La bile de l’hyène restaure la vue, et ses excréments guérissent les blessures des chiens. Le sang d’un chien redonne la santé à toute bête sauvage. Gallien décrit aussi divers remèdes à base d’excréments humains, à base d’autruches, de grenouilles, de caméléon, de grue, de cigogne, de bile d’aigle, de sang de faucon, de chair d’hirondelle... La peau de serpent bouillie est un remède contre les otites. Les sangsues sont aussi utiles. La graisse de porc, d’oie, de faisan, l’excrément de paon... Si un lion malade mange un singe, il guérit. Si un léopard boit du sang de gazelle, il garde la santé. Un ours malade mange des fourmis. Un daim malade cherche des branches d’olivier. Cela a été fait pour l’utilité de l'homme, pour qu’il en ait l’usage et qu’il en déchiffre les significations. |
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TC0157 | TE017328 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 502, l. 3 – p. 503, l. 2 | Cette histoire a été rapportée récemment par le pape Alexandre lui-même. Le comte William, qui vivait en Ligurie, avait un singe mâle. Sa femme, une très mauvaise femme, jouait souvent avec l’animal répugnant. Il montrait des signes d’excitation et cherchait à s’approcher d’elle. La servante lui souffla de laisser faire le singe, ce qu’elle fit, et il s’accoupla à elle. Ceci devint une habitude. Un jour que le Comte couchait dans le lit de sa femme, le singe devint jaloux, comme s’il avait affaire à un rival. Il blessa mortellement le comte. Ainsi, l’homme mourut de la trahison de sa femme et d’une bête qu’il nourrissait dans sa propre maison. Du reste, on rapporta à ce même pape l’existence d’un homme de vingt ans déjà, d’apparence simiesque, et qui ne parlait pas encore. On suspecta qu’un singe avait habité dans la maison de son père. Ainsi, il est possible que de tels monstres existent. |
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TC0158 | TE016463 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 36 | La tortue qui emmène dans sa demeure un singe pour lui ravir son foie.– La fille d'un roi a été promise en mariage à un homme; mais le frère aîné étant survenu, le roi le préfère à son cadet et veut lui donner sa fille; le frère aîné refuse et la jeune fille s'écrie : «Puissé -je devenir un être démoniaque et malfaisant pour dévorer le foie du frère aîné!»Dans le cycle des naissances et des morts, le frère aîné devient un singe; la fille et le frère cadet deviennent tous deux des tortues. La tortue femelle, étant malade, songe à manger le foie du singe. Son mari va le lui chercher; le singe, afin d'échapper au danger que lui fait courir la tortue en le portant à travers un cours d'eau, déclare qu'il a laissé son foie suspendu à un arbre; la tortue retourne au rivage et le singe sauvé la nargue au sujet de sa crédulité (cf. n° 425). | |
TC0158 | TE016885 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 400 [J] | Les cinq cents singes.– Le bon roi singe sauve cinq cents singes en leur faisant traverser la rivière (cf. n° 114). | |
TC0158 | TE016878 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 400 [C] | La vieille guenon tombée au fond d'un ravin.– Une vieille guenon tombée au fond d'un ravin est sauvée par les singes qui à l'instigation de leur roi forment une chaîne en se suspendant les uns aux autres (cf. n° 358). | |
TC0158 | TE016474 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 47 | L'homme tombé dans un ravin qui, sauvé par un singe, le tue pour le manger.– Un singe a sauvé, au péril de sa vie, un homme qui était tombé au fond d'un ravin; épuisé de fatigue, il s'endort; l'homme le tue pour satisfaire son appétit. | |
TC0158 | TE016473 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 46 | La femme du Bodhisattva, enlevée par un nâga, est retrouvée grâce au roi des singes – Le Bodhisattva (appelé aussi le Révélateur) abdique la royauté pour n'avoir pas à entrer en guerre avec son oncle; il se réfugie dans les montagnes avec sa femme; celle-ci est enlevée par un nâga, malgré l'opposition d'un oiseau gigantesque. Le Bodhisattva se met à la recherche de la reine; un roi des singes qu'il a aidé à reconquérir son royaume lui prête son appui; la reine est retrouvée. |
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TC0158 | TE017023 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 481 | Le respect des aînés.– L'éléphant se rappelle le temps où un arbre banyan, aujourd'hui gigantesque, n'atteignait que son ventre; le singe se rappelle le temps où se tenant debout par terre, il put manger le sommet de l'arbre, le faisan se rappelle le temps où il laissa échapper de son bec une graine qui donna naissance à cet arbre. L'âge respectif des trois animaux étant ainsi déterminé, le faisan grimpe sur le singe qui monte sur l'éléphant; ce groupe enseigne aux hommes à pratiquer le respect des aînés. | |
TC0158 | TE016979 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 437 | Le méchant bateleur et le singe.– Un bateleur maltraite cruellement le singe à qui il fait faire des tours d'adresse; le singe s'enfuit et, lorsque son maître veut l'attirer par des flatteries et des promesses, il refuse de revenir en lui reprochant les sévices dont il l'a accablé. | |
TC0158 | TE016775 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 324 | Le singe qui tenait une poignée de pois.– Afin de ramasser un pois qu'il a laissé échapper, un singe lâche tous ceux qu'il avait dans la main. | |
TC0158 | TE016770 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 319 | Le singe.– Un singe ayant été battu par un adulte et ne sachant comment assouvir son ressentiment, se venge sur un jeune enfant. | |
TC0158 | TE016570 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 130 | Le singe tué par un bhiksu pour avoir déchiré sa robe.– Un singe qui avait coutume de manger les restes du repas d'un bhiksu déchire la robe de ce dernier un jour qu'il a oublié de lui laisser de la nourriture. Le bhiksu le frappe et le tue. Il est désormais prescrit aux bhiksus de laisser toujours quelques restes après avoir mangé. | |
TC0158 | TE016965 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 423 | La courtisane et le bhiksu, le singe et la tortue.– La courtisane qui a accueilli avec bienveillance un bhiksu le chasse lorsqu'elle s'aperçoit qu'il est épris d'elle. Dans une existence antérieure, le singe (la courtisane) a repoussé avec indignation les propositions éhontées de la tortue (le bhiksu). |
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TC0158 | TE016806 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 352 | Le singe et la tortue.– Un singe a mis ses parties génitales dans la bouche d’une tortue; celle-ci ne veut plus le lâcher; un ermite le délivre. | |
TC0158 | TE016812 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 358 | Les singes qui veulent retirer la lune du puits.– Des singes veulent retirer la lune du puits afin que le monde ne soit pas plongé dans une profonde nuit. Ils s'accrochent les uns aux autres par leur queue, mais la branche qui les soutenait tous se rompt et ils tombent dans l'eau. | |
TC0158 | TE016967 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 425 | La tortue et le singe.– La tortue emporte le singe en nageant; quand elle lui annonce son intention de lui prendre son foie, le singe déclare qu'il l'a laissé pendu à un arbre et se fait ainsi ramener dans la forêt (cf. n° 36). | |
TC0158 | TE016620 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 176 | L'hérétique qui fait avorter une femme.– Un hérétique s'étant trompé dans sa prédiction au sujet du sexe d'un enfant à naître, masse la femme pour la faire avorter et provoque ainsi sa mort; l'enfant naît cependant au moment où elle est placée sur un bûcher. Ce même hérétique prétend voir à une immense distance un singe tombant dans une rivière; mais il ne voit pas la bouillie placée sous le riz dans son bol. |
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TC0158 | TE016803 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 349 | Les deux perroquets et le singe.– Deux perroquets du roi se voient négligés parce qu'un jeune singe les a supplantés dans la faveur de leur maître; à l'un des perroquets qui s'afflige l'autre répond que cette situation ne durera pas; le singe devient en effet laid et méchant en grandissant; il griffe le fils du roi et on le met à mort. |
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TC0158 | TE016579 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 139 | Le lièvre qui se jette dans le brasier.– Un brahmane est servi par un renard, un singe, une loutre et un lièvre; ce dernier se jette dans le feu pour lui procurer de quoi manger (cf. le n° 21). |
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TC0158 | TE016974 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 432 | Le singe, le dieu des arbres et le roi des buffles.– Un singe insulte successivement deux troupes de buffles qui supportent avec patience ses outrages; un jeune buffle, qui vient seul après les autres, désire d'abord se venger, mais imite ensuite la sage conduite de ses aînés; le singe est mis à mort par une bande de brahmanes et d'ermites qu'il a cru pouvoir impunément injurier. |
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TC0158 | TE016865 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 391 | Les cinq cents singes et l'arbre à kakis.– Pour se débarrasser d'une bande de singes, des villageois les tiennent cernés sur un seul arbre et se mettent en devoir de couper l'arbre; mais un petit singe met le feu au village et sauve ainsi ses compagnons. | |
TC0158 | TE016483 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 56 | Le roi-singe qui fait traverser une rivière à cinq cents singes.– Le Bodhisattva, étant un roi-singe, sauve cinq cents singes en leur faisant traverser une rivière sur un pont improvisé formé d'une corde de rotin et de son propre corps. Il se livre au roi du pays pour que celui-ci pardonne aux autres singes d'avoir volé des fruits dans son parc. Le roi, admirant qu'un animal ait des sentiments supérieurs aux siens, ordonne qu'on nourrisse les singes dans son royaume et que dorénavant on ne leur fasse aucun mal (cf. t. I, nos 18 et 57). | |
TC0158 | TE016939 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 409 | Histoire de Nanda.– Premier récit : Nanda est contraint d'entrer en religion; comme il pense encore avec regret à sa femme, le Buddha lui fait voir les délices des cieux et les tourments des enfers : Nanda est alors affermi dans sa foi et devient arhat. Deuxième récit : Le roi de Kâçî est prêt à faire des folies pour s'assurer la possession d'une courtisane; un singe, devenu veuf, qui a épousé une deuxième guenon et qui est poursuivi pour cela par les autres singes, vient se réfugier auprès du roi et lui montre que sa conduite ne diffère en rien de celle du roi. Il lui explique l'inanité des désirs. |
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TC0158 | TE016684 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 235 | Les singes qui se noient.– Cinq cents singes se noient successivement en voulant aller s'ébattre sur une montagne d'écume que la mer a portée près du rivage. | |
TC0158 | TE016861 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 387 | Les singes, le médecin et les éléphants du roi.– Des singes ont endommagé la récolte d'un médecin; plus tard les éléphants du roi ayant reçu des brûlures lors d'un incendie provoqué par un mouton qu'une servante a frappé avec un tison enflammé, le médecin pour se venger conseille de frotter les éléphants avec de la graisse de singe. Les chasseurs vont aussitôt tuer tous les singes (cf. t. III, p. 145). |
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TC0158 | TE016446 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 21 | Le renard, la loutre, le singe, le lièvre et le religieux.– Un renard, une loutre, un singe et un lièvre s'efforcent de procurer des aliments à un religieux qu'ils désirent retenir parmi eux. Le lièvre, n'ayant aucune offrande à faire, allume un brasier et se jette dedans afin de fournir un rôti au religieux (cf. n° 139). | |
TC0159 | TE017610 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Les singes reproduisent et imitent ce qu’ils voient. Après que des chasseurs aient fait semblant de s’étaler de la glue sur les yeux, les singes le font réellement et se font facilement capturer. De la même manière, une femme sans gêne se couvrira les yeux de maquillage pour se faire capturer par un homme. | |
TC0165 | TE018308 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 56, pp. 127-128 | Ce même moine de Clairvaux, celui qui a longtemps vécu au Danemark, raconte à Herbert ce qu'un autre moine, également issu de Saxe, a vu juste avant sa mort. Alors qu'il a déjà perdu sa voix, il voit un diable sous l'apparence d'un singe, qui lèche et tâte son scapulaire à l'endroit où il a cousu, sans autorisation, un morceau de tissu. Désespéré, il tente de montrer le diable aux moines qui l'entourent par des gestes et des demis-mots, jusqu'à ce que Dieu lui rende la parole. Les moines ne voient pas le diable, mais emportent le scapulaire. Après s'être confessé et avoir à nouveau perdu la parole, le moine peut mourir en paix. | |
TC0165 | TE018447 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 9, pp. 312-313 | Walter, un noble chevalier du diocèse de Cologne, gît seul et malade, lorsqu'il voit apparaître au pied de son lit un diable en forme de singe à cornes. Passée la première frayeur, il en profite pour lui parler. Le diable le tente, mais Walter se fie au Christ et lui demande plutôt de lui parler de Guillaume, comte de Jülich, et d'Henry, comte de Sayn. Le diable répond de manière sarcastique à propos du premier, en disant que les châteaux de Wolkenburg et de Trachenvels se liquéfieraient en un clin d'œil si Guillaume s'en approchait. Au sujet du second, il dit qu'après vingt-et-un ans, il a été sauvé grâce aux prières de sa femme Monocula (elle a tellement pleuré qu'elle en a perdu un œil), et de Calvo, son fils et moine cistercien. Le diable ajoute que la femme était bonne et sainte, mais que Lambert, le frère de Walter, était à leurs ordres. Avant d'apparaître à Walter, le diable était aux funérailles d'une abbesse bénédictine, avec de nombreux autres diables. Ils ont reçu des coups de la part de l'archange Gabriel, mais uniquement parce qu'elle était une sainte femme. Avant cela, il était avec les autres diables aux funérailles de Gérard, un moine cistercien récemment décédé qui était lui aussi un saint homme. D'autre part, le diable a même osé assister à la mort du fils de Dieu, s'asseyant sur les bras de la croix. |
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TC0165 | TE018330 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 78, pp. 154-159 | Herbert raconte une série d'histoires à propos de Geoffroy de Melun, d'abord moine de Clairvaux puis évêque de Sorrès en Sardaigne, qu'il lui a racontées en privé. Un jour, alors qu'il se trouve dans le chœur de Clairvaux, il voit une procession de saints, accompagnés par des acolytes, des diacres, des sous-diacres et des prêtres. La procession, conduite par la Vierge accompagnée des apôtres Pierre et Jean part du nord de l'église, comme si elle venait du cimetière, et se dirige vers l'infirmerie, où elle disparaît. Tescelin, un homme âgé et vénérable, se trouve là. Geoffroy pense que la vision indique son salut. Un autre jour, alors qu'il chante avec les autres, il voit un démon sous la forme d'un singe qui traverse le chœur, s'arrête devant lui, lui rit au visage en dilatant les narines, puis disparaît pour ne plus jamais réapparaître. Malade, il perd la force de chanter dans le chœur, et supplie Bernard de l'aider. Bernard lui apparaît en rêve, fait le signe de la croix et le touche là où il a ressenti une douleur, et lorsqu'il se réveille, Geoffroy est complètement guéri. Une autre fois, un moine qui fait partie de ses proches tombe malade. Alors qu'il prie pour sa santé, Geoffroy a une vision dans laquelle on lui dit qu'un des moines guérira, mais pas celui auquel il est le plus attaché, qui mourra. La vision se concrétise, et Reinald de Cluny décède. Priant avec beaucoup de larmes pour sa mère, il souhaite savoir où elle se trouve dans l'au-delà. Une voix divine lui reproche de demander ce qu'il n'est pas autorisé à savoir. Après une vision dans laquelle un homme vénérable lui met une bague au doigt, il devient évêque de Sorrès pour une durée de sept ans et est pour les autres un exemple de sainteté. Alors que la mort approche, bien qu'il l'ignore, il se rend à Clairvaux et prie Dieu de lui permettre d'y mourir. Malade, après quelques jours de souffrance, il reçoit l'extrême-onction et meurt le jour de la consécration de l'église de Clairvaux. Il est enterré à côté de Geoffroy de La Roche-Vanneau. Avant la mort de Geoffroy, un des moines de Clairvaux a la vision d'un lit élégant en cours de préparation, et le jour de sa mort, il voit une lumière très intense autour de son corps, déjà apporté à l'église. Il comprend que Geoffroy est avec Dieu. Deux mois plus tard, le même moine a une vision dans laquelle Geoffroy est habillé en prêtre, comme s'il se préparait à célébrer la messe. Il y aurait d'autres histoires à raconter, mais Herbert n'en choisit qu'une : Geoffroy décide de restaurer une vieille église en ruines et, pendant les travaux, un vieux coffre contenant des reliques de saints et une hostie parfaitement conservée est retrouvé, pour la plus grande joie des personnes présentes. |
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