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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: tortue | tortoise | Schildkröte | tortuga | tartaruga
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0020 | TE003537 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 12 | Le berger qui abandonne ses moutons après avoir collecté leur laine et leur lait est comme la tortue qui en hiver sort la tête de sa carapace, mais sort ses cornes en été pour profiter de la chaleur. |
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TC0030 | TE005379 | anon. | Libro de los Gatos [Darbord, 1984] : 54 | Une tortue marche sur un crapaud. Un autre fait de même et le blesse. | |
TC0030 | TE005319 | anon. | Libro de los Gatos [Darbord, 1984] : 1 | La tortue veut voler dans les airs. L’aigle l’élève dans les airs puis la laisse choir. | |
TC0157 | TE017323 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 494, l. 9 – p. 495, l. 24 | La tortue, quand elle a mangé un serpent et sent le venin en elle, mange immédiatement de l’origan comme contre-poison. Le renard, quand il est malade, se traite avec la résine de pin. Les animaux qui font usages de remèdes nous indiquent qu’eux-mêmes contiennent des substances qui peuvent guérir : la chair du serpent produit des médicaments, de même que l’ivoire qui a divers usages. La bile de l’hyène restaure la vue, et ses excréments guérissent les blessures des chiens. Le sang d’un chien redonne la santé à toute bête sauvage. Gallien décrit aussi divers remèdes à base d’excréments humains, à base d’autruches, de grenouilles, de caméléon, de grue, de cigogne, de bile d’aigle, de sang de faucon, de chair d’hirondelle... La peau de serpent bouillie est un remède contre les otites. Les sangsues sont aussi utiles. La graisse de porc, d’oie, de faisan, l’excrément de paon... Si un lion malade mange un singe, il guérit. Si un léopard boit du sang de gazelle, il garde la santé. Un ours malade mange des fourmis. Un daim malade cherche des branches d’olivier. Cela a été fait pour l’utilité de l'homme, pour qu’il en ait l’usage et qu’il en déchiffre les significations. |
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TC0158 | TE016463 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 36 | La tortue qui emmène dans sa demeure un singe pour lui ravir son foie.– La fille d'un roi a été promise en mariage à un homme; mais le frère aîné étant survenu, le roi le préfère à son cadet et veut lui donner sa fille; le frère aîné refuse et la jeune fille s'écrie : «Puissé -je devenir un être démoniaque et malfaisant pour dévorer le foie du frère aîné!»Dans le cycle des naissances et des morts, le frère aîné devient un singe; la fille et le frère cadet deviennent tous deux des tortues. La tortue femelle, étant malade, songe à manger le foie du singe. Son mari va le lui chercher; le singe, afin d'échapper au danger que lui fait courir la tortue en le portant à travers un cours d'eau, déclare qu'il a laissé son foie suspendu à un arbre; la tortue retourne au rivage et le singe sauvé la nargue au sujet de sa crédulité (cf. n° 425). | |
TC0158 | TE016477 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 50 | Un fils de nâga, saisi par un charmeur de serpents, danse pour la foule sous la forme d'un nâga.– Par l'entremise d'une tortue, la fille du roi Angada épouse un roi nâga. Le fils de cette union renonce à monter sur le trône à la mort de son père et mène une vie ascétique sous la forme d'un serpent; il est saisi par un charmeur de serpents qui l'oblige à danser pour amuser la foule; il est délivré par son grand-père maternel le roi Angada. |
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TC0158 | TE016488 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 61 | Le roi-tortue, les lézards et les éléphants.– Une tortue (le Bodhisattva) prévoit les maux qui seront causés par un lézard; celui-ci, en effet, provoque une panique dans un troupeau d'éléphants en tombant dans l'oreille de l'un d'eux; les tortues sont foulées aux pieds par les éléphants. | |
TC0158 | TE016869 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 395 | Les deux oies et la tortue.– La tortue, que les deux oies portent en volant dans les airs, veut parler et lâche le bâton qu'elle tenait dans sa bouche (cf. nos 131 et 367). | |
TC0158 | TE016841 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 367 | La tortue et les deux oies.– La tortue, emportée dans les airs par deux oies sauvages, veut parler; elle lâche le bâton auquel elle se tenait par la bouche et elle est précipitée sur le sol (cf. 131 et 395). | |
TC0158 | TE016571 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 131 | La tortue et la grue.– Pour sauver une tortue que la sécheresse risque de faire périr, une grue l'emporte dans son bec en volant; mais la tortue, curieuse de son naturel, pose des questions à la grue qui, en voulant lui répondre, ouvre le bec et la laisse choir (cf. n 367 et 395). | |
TC0158 | TE016965 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 423 | La courtisane et le bhiksu, le singe et la tortue.– La courtisane qui a accueilli avec bienveillance un bhiksu le chasse lorsqu'elle s'aperçoit qu'il est épris d'elle. Dans une existence antérieure, le singe (la courtisane) a repoussé avec indignation les propositions éhontées de la tortue (le bhiksu). |
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TC0158 | TE016806 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 352 | Le singe et la tortue.– Un singe a mis ses parties génitales dans la bouche d’une tortue; celle-ci ne veut plus le lâcher; un ermite le délivre. | |
TC0158 | TE016967 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 425 | La tortue et le singe.– La tortue emporte le singe en nageant; quand elle lui annonce son intention de lui prendre son foie, le singe déclare qu'il l'a laissé pendu à un arbre et se fait ainsi ramener dans la forêt (cf. n° 36). | |
TC0158 | TE016976 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 434 | La tortue gigantesque.– Une tortue gigantesque s'étant endormie près du rivage de la mer, des marchands abordent sur son dos qu'il prennent pour une colline; ils allument du feu afin de préparer leur repas; quand la tortue sent la brûlure de la flamme, elle plonge dans la mer et toute la caravane est noyée (cf. t, III, p. 29). | |
TC0158 | TE016785 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 334 | Le petit enfant qui avait pris une grande tortue.– Un enfant trouve une grande tortue et veut la tuer; on lui conseille de la faire périr en la jetant à la mer et ainsi la tortue s'échappe aussitôt. | |
TC0158 | TE016904 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 402 [N] | La grande tortue et les cinq cents marchands.– La grande tortue est tuée par les cinq cents marchands à qui elle a sauvé la vie, et ces marchands eux-mêmes sont mis à mort par des éléphants (cf. n° 434). |
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TC0158 | TE016451 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 25 | Les animaux reconnaissants et l’homme ingrat.– Une tortue sauvée de la mort par le Bodhisattva le prévient qu'une inondation va survenir. Le Bodhisattva monte sur un bateau et sauve un serpent, un renard et un homme. Le renard reconnaissant lui donne un trésor caché, mais l'homme le dénonce comme ayant pris cet or en violant une tombe. Le Bodhisattva jeté en prison est sauvé par le serpent qui lui remet une médecine capable de guérir le fils du roi, piqué par le serpent (cf. n° 49). |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
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