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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: déguisement | disguise | Verkleidung | disfraz | travestimento
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0020 | TE003828 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 303 | Un mourant se confesse au diable déguisé en prêtre, en le suppliant de ne révéler ses péchés à aucun autre prêtre. Après sa mort, le diable réclame son âme au prétexte qu’il ne s’est pas confessé à un prêtre, mais un ange intervient en sa faveur et Dieu autorise l’âme à retourner dans le corps afin de se confesser à un véritable prêtre. |
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TC0034 | TE006448 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 211 | La femme de Mithridate se coupe les cheveux et se déguise en homme pour suivre en prison son mari vaincu par Pompée. |
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TC0034 | TE006438 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 209 | Pour pouvoir suivre son mari en Sicile où il est exilé, Sulpicia se déguise et échappe aux gardes qui la surveillent pour ne pas qu’elle le fasse. | |
TC0034 | TE006412 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 163 | Un diable se déguise en femme pour tenter un ermite et parvient à ses fins. L’ermite se repentit et est absous. |
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TC0034 | TE006441 | Sanche IV de Castille, le brave | Castigos [Gayangos, 1860] : p. 209 | Les Spartiates retiennent les Grecs prisonniers avant de les tuer. Les femmes de ceux-ci sauvent leur mari en allant les voir et changeant de vêtements avec eux. Ces derniers parviennent ainsi à s’enfuir. | |
TC0124 | TE015195 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : [LXXX], 9 [825] | Un abbé bénédictin menait une vie dissolue qui désolait les deux jeunes moines affectés à son service. Une nuit, déguisés en anges et après avoir allumé une foison de cierges, ils lui administrèrent une sévère correction en lui enjoignant de s’amender au plus vite. L’abbé s’exécuta et, quelque temps après, les jeunes gens lui révélèrent leur stratagème. | |
TC0130 | TE007570 | Juan Ruiz | Libro de buen amor [Cátedra, 1992] : strophes 285-290 | Une corneille se pèle le corps pour le recouvrir avec les plumes d’un paon auquel elle veut ressembler. Elle dédaigne ses congénères et se faufile parmi les paons qui finissent par la renvoyer. |
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TC0138 | TE019236 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 181 | Tribulations de la chaste fille de l'empereur de Constantinople et d'un marchand toulousain. |
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TC0138 | TE019332 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 277 | Le chevalier qui voulait entendre la confession de sa femme. | |
TC0138 | TE014135 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 61 | Un chevalier se fait tuer à la place de son ami. |
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TC0138 | TE019775 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 633 | Vie de sainte Eugénie. |
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TC0142 | TE017871 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 40, 1 | Un bourgeois d’Allemagne part en pèlerinage avec sa fille Hildegonde. L’homme décède à Tyr en laissant sa jeune enfant à un serviteur qui l’abandonne. Tombée dans la misère, elle est ramenée dans sa patrie par un riche pèlerin. A Trêves, alors que deux personnages de la cathédrale s'opposent, il est décidé de faire porter par la jeune Hildegonde, déguisée en homme, une lettre au pape Lucius III. En chemin, elle est injustement accusée de vol, condamnée à la pendaison et innocentée par une ordalie. Les complices du voleur la pendent. Un ange la soutient pendant deux jours et l’emmènent miraculeusement à Vérone pour porter sa lettre au pape. |
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TC0142 | TE017876 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 40, 6 | Sainte Hildegonde, déguisée en garçon, devient moine à Schönau sous le nom de frère Joseph. Lors qu’approche le temps de sa mort, elle commence à être malade. On la porte sur son lit, et un moine avoue avoir toujours été tenté en sa présence ; il la soupçonne d’être une femme ou un diable. | |
TC0142 | TE017877 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 40, 7 | Sainte Hildegonde, déguisée en garçon, devient moine à Schönau sous le nom de frère Joseph. En confession avec le prieur, Hildegonde annonce sa mort, gardant le silence sur son sexe. Une fois décédée, son corps est mis à nu pour être lavé, et on s’aperçoit de son véritable sexe ; on cherche à connaître son véritable nom pour rédiger une notice nécrologique. Les fidèles affluent sur son tombeau. Un oratoire est dédié à cette bienheureuse. |
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TC0142 | TE017875 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 40, 5 | Dans le diocèse de Worms, Hildegonde, déguisée en garçon, est reçue comme novice à Schönau, grâce aux prières d’une recluse. Elle y reçoit le nom de frère Joseph. Un novice qui regardait le reflet du visage d'Hildegonde dans une coupe lui trouve un menton féminin. Pour avoir rompu le silence, Hildegonde et son compagnon sont battus. |
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TC0142 | TE017879 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 42 | Malgré l'opposition de sa riche famille, la jeune Mathilde entre au convent de Fuessenich ; quelques années après, sa sœur la suit. A leur exemple, une de leurs proches, par crainte de ses parents, sortit en habit de l'homme et devient moniale cistercienne à l'abbaye Saint-Thomas. Une autre jeune femme qui voulait également entrer au monastère, est rattrapée par ses parents et est donnée en mariage à un homme. | |
TC0142 | TE017878 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 41 | Une jeune veuve de Cologne par crainte que son désir de se convertir ne soit empêché par des amis, se déguise en frère convers et gagne ainsi le monastère de Walberberg où elle se fait moniale. |
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TC0150 | TE014489 | Frère Robert le Chartreux | Le Chastel Perilleux [Brisson, 1974] : [10] | Le jour de la fête des Saints Innocents, une congrégation féminine danse en habits d’hommes. | |
TC0158 | TE016749 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 299 | Le comédien déguisé en démon.– Dans le royaume de Gandhâra, une bande de comédiens voulant échapper à une disette, traversaient la montagne Balasena infestée de raksas, dévoreurs d'hommes. Ils allumèrent un feu et s'endormirent. L'un deux, souffrant du froid, revêtit le costume de raksa qu'il portait sur la scène; ses compagnons s'étant réveillés, s'enfuirent effrayés; pour les rejoindre, leur camarade leur courut après et tous se précipitèrent dans un ravin où, blessés, ils reconnurent enfin leur méprise. |
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TC0158 | TE016995 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 453 | Le rsi Unicorne qui porta la courtisane à califourchon.– Le fils de l'ascète et de la biche a provoqué une sécheresse qui doit durer douze ans. Pour le priver de son pouvoir magique, une courtisane se rend auprès de lui avec ses compagnes sous un déguisement d'ermites; elles abusent de sa naïveté et, lorsqu'il est séduit, la courtisane a recours à une ruse pour rentrer dans la ville à cheval sur le cou de l'ermite (cf. n° 342). |
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TC0158 | TE016810 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 356 | Le roi « Face-de-Miroir » et le singe déguisé en architecte.– Le roi « Face-de-miroir » est privé d'yeux et de nez, mais a le pouvoir de discernement; un de ses ministres croyant pouvoir se jouer de lui, lui présente un singe déguisé en architecte; mais le roi discerne aussitôt la tromperie. | |
TC0158 | TE016508 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 81 | Le mariage de la belle princesse Clarté de Lune avec le prince très laid.– Un fils de roi extrêmement laid a été marié à une fille très belle; pour qu'elle ne prenne pas en horreur son mari, on ne permet aux époux de se rencontrer que la nuit; le prince désire cependant voir sa femme, il se présente à elle sous divers déguisements; la princesse, de son côté, attend un soir que son mari soit endormi et prend une lumière pour éclairer son visage; dès qu'elle l'a vu, elle est saisie d'effroi et s'enfuit dans le pays du roi son père. Le prince va à sa recherche et tente de regagner ses bonnes grâces par divers moyens. Sept rois viennent demander la main de la princesse, et comme, grâce à une ruse de Çakra, ils ont reçu tous les sept le consentement du père, celui-ci, pour éviter une guerre affreuse, décide qu'il coupera sa fille en sept. Le prince intervient alors, humilie la princesse qui demande son pardon et triomphe des rois rivaux. |
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TC0159 | TE017655 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Saint Edmond, archevêque de Canterbury, exigeait de ses serviteurs qu’ils soient extrêmement propres en tout temps. Il voyait aussi des loups déguisés en brebis dans sa propre maison essayant de séduire le maître de maison. Ces loups sont semblables aux mauvais conseillers que l’on trouve fréquemment dans la maison des prélats, leurs paroles paraissent rationnelles mais leurs desseins sont pleins de poison. | |
TC0159 | TE017660 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Codrus, le roi des Athéniens, après consultation de l’oracle d’Apollon, apprend qu’il doit être tué par ses ennemis, les Doriens, pour remporter la victoire sur le champ de bataille. Les Doriens l’apprennent et défendent de le tuer. Déguisé en serviteur portant une faux et des fagots, Codrus se rend alors derrière les lignes ennemis et se fait tuer. Oh combien de larmes a t-il versés pour sauver son peuple ! Il faut laisser les prélats rougir de honte devant l’exemple de cet homme, car ils ne se lèvent pas pour défendre l’Église, et leurs yeux ne laissent échapper aucune larme. | |
TC0160 | TE017419 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°102 | Un chevalier, qui avait un très beau manoir, vole les gens qui passent sur son chemin. Il a pourtant la bonne coutume de saluer la Vierge Marie chaque jour par un " Ave Maria" . Un jour, un saint homme passe près de sa maison et il le dépouille. Mais celui-ci demande à parler au seigneur du manoir afin de lui dire quelque secret pour son profit. Les voleurs le mènent au seigneur et le saint homme lui prie de faire venir toute sa maison devant lui. Lorsque tout le monde est présent, le saint homme constate qu'il manque une personne. On s'aperçoit que le chambellan du seigneur est absent et on le fait venir. Le saint homme lui demande alors d'où il vient. Le chambellan répond qu'il n'est pas un homme mais un diable d'enfer qui a pris la forme d'un homme et qui demeure avec ce chevalier depuis 14 ans dans l'espoir de voir ce dernier oublier un jour la salutation à la Vierge Marie afin de pouvoir l'étrangler. A ces mots, le chevalier se jette aux pieds du saint homme et lui demande pardon pour ses péchés. Le saint homme ordonne au diable de partir. | |
TC0160 | TE017237 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°54 | Un prudhomme donne naissance à une fille et la confie à un ami avant d'entrer en religion. Mais très vite sa fille lui manque et l'abbé propose de faire venir son enfant auprès de lui. Il la déguise alors en garçon afin qu'elle soit acceptée par la communauté et la fait appeler Frère Marin. Un jour, il demeure chez un riche homme nommé Pandos dont la fille est enceinte d'un chevalier qui a pris la fuite. N'osant l'avouer, elle accuse Frère Marin d'être le père. L'abbé convoque alors Frère Marin et ce dernier lui répond : " Beau père, j'ai péché. J'en ferai pénitence et vous prierai pour moi" . Frère Marin est alors battu et passe 3 ans devant la porte de l'abbaye en mendiant. La jeune fille abandonne l'enfant à Frère Marin et ils restent ainsi 2 ans en vivant d'aumônes. Les frères de l'abbaye, pris de pitié, demandent à l'abbé de les accueillir. A la mort de Marin, les frères découvrent que c'est une femme. Honteux, les frères enterrent la sainte derrière l'autel. Pour la délivrer du diable, l'abbé reconnaît qu'elle n'est pas coupable du péché dont elle était accusée. |
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TC0160 | TE017238 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°55 | C’est de sainte Eufrosine. Un prudhomme se marie à une femme de haut lignage, très pieuse mais stérile. Très malheureux, ils prient Dieu de leur donner un fils pour tenir leurs biens après leur mort. Ils entendent parler d'un saint abbé et lui demande de prier pour eux. Dieu entendit la prière et leur donna une fille, appelée Eufrosine. A l'âge de 12 ans, sa mère meurt et son père la met à l'école. Elle devient une si bonne clergesse que sa renommée grandit et que tous les jeunes hommes souhaitent l'épouser. Lorsqu'un homme puissant désire l'épouser, Euphrosine demande à un moine de rentrer dans son abbaye. Il lui propose alors de la cacher en lui changeant ses vêtements et en lui coupant les cheveux. Une fois, dans l'abbaye (elle dit venir du palais de l'empereur Théodose, on la confie à un frère nommé Agapitus. Son père la fait chercher partout, sans succès. Il va alors trouver l'abbé pour lui demander de prier Dieu afin de retrouver sa fille. Ils prient et jeûnent une semaine entière mais Dieu ne leur annonce rien. Alors le père rentre chez lui et suit les conseils de l'abbé, à savoir vivre de bonnes œuvres et de charité afin que Dieu lui envoie un signe. Mais il retourne voir l'abbé car sa souffrance est trop forte. Celui-ci lui propose de discuter avec un moine très spirituel. Le père accepte sans savoir qu'il s'agit de sa fille. Elle lui promet qu'il reverra sa fille avant qu'elle meure. Cette visite la touche tant, qu'elle tombe malade. Un jour, son père se rend de nouveau à l'abbaye et demande à voir le moine. On lui annonce qu'il est malade et celui-ci se désole de voir que les promesses qu'il lui a faites n'ont pas été encore exaucées. A ces mots, elle lui demande de réfléchir sur Jacob qui a perdu son fils Joseph et de revenir 3 jours après. Elle lui dévoile alors son identité et lui dit : " Vous êtes Panuce, mon père" . Elle lui demande de l'enterrer. |
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TC0165 | TE018199 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 5, pp. 21-23 | Acardus (plus tard maître des novices alors qu'il est également le maître d'Herbert) fait son noviciat à Clairvaux, sous la direction de saint Bernard. Un jour, le saint le prend à part avec deux autres novices pour les avertir qu'un quatrième novice va s'échapper, emmenant avec lui des biens du monastère. Résistant à la tentation de dormir, Acardus reste seul éveillé et voit deux énormes Éthiopiens qui, après être entrés dans le dortoir, circulent parmi les novices avec un poulet rôti sur la broche. Le seul qui se réveille est le novice mentionné par Bernard, qui va immédiatement chercher des livres à voler. Acardus réveille ses deux frères et ensemble, ils arrêtent le fugitif. Le lendemain, impénitent, il est chassé, et peu après, il devient fou. Au cours de son noviciat, Acardus subit de nombreuses tentations qu'il raconte à ses novices une fois devenu maître. Par exemple, les lumières qui s'allument dans l'église et s'éteignent lorsque le nom de Dieu est prononcé, ou une vision dans laquelle Acardus combat un démon qui lui est apparu vêtu comme un gladiateur, et qu'il vainc en lui brisant la tête. Quand Acardus le prend par les cheveux pour le traîner dehors, divers fragments d'os et de chair restent attachés à sa main, qui continue à exhaler une horrible puanteur pendant toute une année. Herbert décide alors de raconter une histoire qu'Acardus racontait aux novices, faisant d'Acardus lui-même le narrateur de l'extrait. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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