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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: abbaye | abbey | Abtei | abbadia | abbazia
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0020 | TE003575 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 50 | Des moines refusent de renoncer à une vie luxueuse malgré les dettes de leur abbaye et les avertissements de leur intendant; ils disent préférer enrichir leurs terres avec du fumier pour augmenter leurs revenus. | |
TC0020 | TE003772 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 247 | Un moine qui n’avait jamais vu de femme était capable de tenir à mains nues un fer à cheval brûlant; il perd son pouvoir au moment où il perd son innocence. Dès lors, l’abbé l’enferme au cloître, l’interdisant fermement d’en sortir. |
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TC0035 | TE006498 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 5, n° 17 | Un assassin se convertit lorsque sa concubine, remarquant des cheveux blancs sur sa tête, pleure de compassion pour lui. Se repentant, il fonde une abbaye, et vit en grande sainteté. |
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TC0035 | TE006494 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 4v, n° 13 | Un homme riche fonde une abbaye. Il consulte sa femme à propos du coût, mais celle-ci l’engage à ne demander des comptes qu’à Dieu. | |
TC0124 | TE015122 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : LXV, 4 [752] | Durant son noviciat, un moine cistercien supportait difficilement qu’un sacristain, son voisin de ch?ur ne s’acquittât jamais de l’office. Un jour, en vision, il vit le Crucifié dire au négligent qu’il ne le supportait plus et le frapper à coups de pierres. Lui-même se prosterna et demanda grâce pour le sacristain. Mais le sacristain disparut. On l’aperçut longtemps après avec une prostituée. |
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TC0138 | TE019141 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 97 | Le départ de deux moines, Date et Dabitur, ruine une abbaye. | |
TC0138 | TE019712 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 570 | Un histrion mal reçu fait à l’abbé l’éloge du frère hôtelier. | |
TC0138 | TE020092 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 953 | L'abbaye des démons. | |
TC0138 | TE019405 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 349 | La valeur d'une correction tient à son équité et non à sa forme canonique. |
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TC0138 | TE019372 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 317 | La conversion différée entraîne la damnation. |
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TC0142 | TE018921 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 86 | Euphémie, l'abbesse du couvent sainte Ursule de Cologne, quand elle était encore petite, vit en songe deux des onze mille vierges qui se plaignaient d’être enterrées sous le mur du dortoir. Euphémie n'osa pas révéler cette vision. Devenue adulte, elle eut encore une fois cette même vision, et réussit à persuader les sœurs de commencer des travaux d'exhumation. On trouva les corps au lieu indiqué. Quand Euphémie devint abbesse, elle offrit les reliques à l'abbaye de Heisterbach. |
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TC0142 | TE018935 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IX, 11 | À l'abbaye d'Eberbach, on se débarrassa d'hosties défectueuses, à savoir brisées ou ayant des cavités. Des souris les trouvèrent et rongèrent les extrémités sans toucher au centre des hosties [avec le Christogramme]. | |
TC0142 | TE018920 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 85, 2 | Lors de la guerre opposant Philippe de Souabe à Otton de Brunswick, les reliques des deux des onze mille vierges de Cologne, conservées dans l'abbaye de Volkenroda, furent cachées dans un lieu secret, puis négligées. Indignées, les vierges firent grand bruit et apparurent au sacristain. Ne pouvant rien obtenir, un jour solennel, pendant les matines et face à tous les moines réunis, elles quittèrent l’église en passant à travers la porte fermée. Après avoir trouvé le reliquaire vide, l’abbé se dépêcha à Cologne : les ossements des deux vierges étaient dans leur lieu avant d’être emportées au monastère de Volkenroda. |
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TC0142 | TE018919 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 85, 1 | Un abbé de Volkenroda eut une révélation concernant deux des onze mille vierges, enterrées en dehors de l’église du monastère sainte Ursule de Cologne. Il en parla avec l’abbesse et obtint la permission de les exhumer. Lors de l'exhumation on trouva un très beau peigne dont une moniale s'empara en secret. Alors que l’abbé était en route vers son abbaye avec les précieux ossements, les deux vierges lui apparurent en songe et dirent qu'elles ne voulaient pas partir avec lui, car il à l’une manquait son peigne, un cadeau de sa mère. Le peigne fut retrouvé, et l’abbé put doter son monastère de précieuses reliques. |
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TC0142 | TE018926 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 91 | Avant de partir pour fonder le couvent de Heisterbach, Hermann, à l’époque un simple moine à Himmerod, eut une vision merveilleuse. Il se vit lui-même à l’entrée du sanctuaire, et des hommes vêtus en blanc autour de lui. On lui donna une croix qu'on donnait à ceux qui partait en mission pour fonder une nouvelle maison. Puis il vit un fleuve très clair et puissant sortant du sanctuaire, et un bateau qui faillit se cogner contre une colonne, mais réussit à l'éviter grâce à son timonier. Le bateau arriva ainsi à un lieu où se trouverait plus tard l'infirmerie de Heisterbach. Puis, Hermann vit plusieurs ossements humains apparaître en dehors de la muraille monastique et tomber à l’intérieur. Finalement, il vit les moines entre le mont Stromberg et le lieu où le bateau s’était arrêté, et parmi les moines le Christ qui chassa assez durement un moine et éloigna, mais doucement, un autre. Tous cela prédisait la fondation de Heisterbach et les difficultés que le groupe fondateur (avec Hermann en tête) aurait à surmonter. |
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TC0142 | TE018587 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 43 | Au temps des vendanges, le cellérier de l'abbaye Maria Laach envoya deux serviteurs pour garder le vignoble. L’un d'eux invita, par plaisanterie, le diable à garder le vignoble à sa place. Du coup, le diable apparut et accepta le travail en échange d’une corbeille de raisins. Le serviteur retourna à l’abbaye et, comme le cellérier lui demandait pourquoi il n’était pas dans le vignoble, il répondit qu'il y avait laissé son compagnon. Le cellérier pensa qu'il s'agissait de l'autre serviteur et le renvoya dans le vignoble, car un homme seul ne suffisait pas pour le garder. De retour au vignoble, le serviteur accompagné par son camarade, y aperçut le diable qui était toujours là. Le matin, le serviteur renversa la corbeille promise au diable, près d'une vigne, et, quand il y retourna, il n'y trouva pas même un grain de raisin. | |
TC0142 | TE018801 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 7 | Richmude, une demoiselle laïque très pieuse, assista une fois aux Matines de l’Épiphanie dans l'abbaye de Walberberg. Au répons In columbae specie, elle vit, ravie en extase, Jésus dans sa crèche, entouré d'anges. Au Paterna vox audita est, elle entendit Dieu le Père lui-même répondre : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection ». | |
TC0142 | TE019110 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 48 | Quand on ouvrit le tombeau de Pierre le Chantre (qui mourut novice à l'abbaye cistercienne de Fontenella) il en sortit une odeur agréable. | |
TC0142 | TE018650 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 15 | En Allemagne, le siège d'abbé était vacant dans une abbaye impériale, deux personnes furent élues, mais on n'arriva pas à faire consensus. L'un des deux candidats offrit à l'empereur Frédéric Barberousse une somme importante d'argent afin d’être favorisé. Peu de temps après, Frédéric apprit que l'autre était un homme simple et pieux, et douta de son choix. Quelqu'un lui conseilla de demander au candidat indigne s'il avait sur lui son aiguille, comme il était prescrit pour chaque moine, en guise de prétexte pour rejeter sa candidature. Le jour du chapitre, il se trouva que ce moine, en effet, n'avait pas d'aiguille. Le bon candidat en avait une, et fut élu abbé. | |
TC0142 | TE018491 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 71 | Un chevalier qui avait été bien reçu chez des moines de l'abbaye bénédictine de Maria Laach conseille à son ami mourant de leur léguer 40 marcs. | |
TC0142 | TE018917 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 83 | Dans le couvent de Hoven, une dame et sa servante prièrent une fois devant la statue de sainte Catherine dont le visage (sans doute par négligence) regardait le mur. À ce moment, ils la virent tourner son visage vers elles. |
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TC0142 | TE018872 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 46, 2 | L'abbaye cistercienne de femmes qui s’appelait Jesse avait une belle statue de la Vierge à l'enfant. Le jour de la fête de St. André, un des charpentiers qui y travaillait, vit l'enfant Jésus prendre la couronne de sa mère à la lecture de l’Évangile et la lui remettre au Credo. Il eut la même vision le jour de la fête de St. Nicolas. Il est apparu que le prêtre qui avait dit la messe ce jour-là, avait ajouté le Credo contre l'usage habituel, car pour lui saint Nicolas était égal aux apôtres. |
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TC0143 | TE014167 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 89-90 | Lionius de Elnete, chanoine de Cologne et bien connu de Césaire, décida de devenir novice à l’abbaye cistercienne d’Himmerod. Mais ses frères le persuadèrent de ne pas le faire avant qu’il n’ait réglé ses dettes. Lionius y consentit. L’abbé de Himmerod, apprenant la nouvelle, dit aux frères : " Aujourd?hui vous privez votre frère de la gloire du paradis et le mettez en enfer." Sa prédiction se réalisa peu après : le chanoine tomba malade, perdit la raison. En guise de remède, on plaça sur sa tête des chats écorchés vifs, mais sans succès; il mourut d’une mort pitoyable, sans pénitence ni confession et en hurlant le nom des femmes avec lesquelles il avait péché. |
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TC0143 | TE014287 | Caesarius Heisterbacensis | Homiliae de infantia Servatoris [Coppenstein, 1615] : p. 122, col. A-B | Le chevalier Henry d’Ulm, ayant rapporté de Constantinople une dent de saint Jean Baptiste, adorait beaucoup cette précieuse relique qu’il lègua à l’abbaye de Heisterbach. Captif de son adversaire, Werner de Bolanden, il fut libéré de prison dès que la relique fut en possession du monastère. Peu de temps après, Henri, comte de Sayn, amené à l’abbaye un chevalier possédé par le diable; le signe de croix et le contact avec la relique libèrèrent le possédé immédiatement. |
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TC0159 | TE017656 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Lors d’une visite à l’abbaye de Clairvaux, l’archevêque Pierre de Sens demanda à un moine, qui était souvent transporté en extase, de lui rapporter une de ses visions. Ce dernier, avait vu en vision une jeune femme au visage très beau, orné d’or et de bijoux. « Qui suis-je ? » lui demanda la vision. « La Vierge Marie » répondit le moine. « Non, je suis l’Église » répondit-elle. À l’image de cette dernière elle était belle par devant, orné des apôtres, martyrs et confesseurs, mais laide et repoussante par derrière, comme les prélats contemporains, elle était pourrie, corrompue et pleine de honte. Elle avait, en effet, le dos couvert de vers. |
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TC0160 | TE017233 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°50 | Une sainte femme conseille de rester en son abbaye et de ne pas changer de lieu, comme le fait la poule quand elle couve ses œufs (si elle s’en va, les œufs pourrissent comme le moine ou la nonne qui va de lieu en lieu). Cette même femme conseille de ne pas souffrir de l’enfermement car il aide à combattre les maladies du cœur. Il faut également souffrir de l’enfermement dans la patience et ne pas se plaindre si nous perdons la vue (car nous perdons ainsi la faculté de voir les vanités du monde). | |
TC0165 | TE018299 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 47, pp. 110-112 | L'abbé d'une abbaye affiliée à Clairvaux souhaite abandonner sa fonction pour se consacrer à la contemplation. Ayant quitté son abbaye, il se rend dans une abbaye proche, espérant être déchu. Pendant les vigiles, il a une vision dans laquelle Bernard le présente à Dieu qui lui dit que s'il veut sa miséricorde, il doit réaffirmer sa vocation, ce qu'il consent à faire. Pourtant le lendemain, il ressent encore des doutes. Pendant l'Eucharistie, il entend une voix qui lui dit qu'il n'aura pas de successeur tant qu'il vivra. Ces mots achèvent de le convaincre : il retourne dans son monastère et reprend ses fonctions d'abbé, ce qu'il continue de faire alors qu'Herbert écrit son livre. L'abbé a souffert de graves maux de tête au début de sa profession. Il raconte secrètement à Herbert comment un dimanche où la migraine était plus forte qu'à l'accoutumée, tenté de quitter le chœur, il a choisi (avec l'aide de Dieu) de demeurer jusqu'à la fin de la célébration de la messe. Au moment de l'Eucharistie, il a été définitivement libéré de sa douleur qui lui est sortie de la tête comme une masse de plomb. |
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TC0165 | TE018311 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 59, pp. 130-132 | Hugues de Flavigny, autrefois prieur de l'abbaye de Fontenay, raconte cette histoire qu'Herbert rapporte sous une forme synthétique. Un moine de Fontenay voit un individu rayonnant proposer à son voisin malade de l'accompagner dans un lieu de paix et de joie. Mais le moine ne témoigne pas un grand intérêt pour l'offre, et ainsi l'individu se tourne vers le premier moine, qui accepte avec enthousiasme. Ayant prévenu ses frères, le moine dit qu'il les appellera au bon moment. Et lorsque le moment de mourir arrive, la lumière brille, même en l'absence de lampes, et le moine meurt heureux. L'autre moine, celui qui avait répondu froidement, ne se lève plus de son lit où il reste quelques temps avant de mourir. Ayant parlé de Hugues, Herbert décide d'ajouter une histoire à son sujet qui lui a été racontée par Guillaume d'Epiry, moine de Fontenay et neveu de Saint Bernard. | |
TC0165 | TE018212 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 18, pp. 45 | Giosberto, un vieil homme et témoin oculaire, raconte que Gérard (un familier de l'abbaye de Mores), a mortifié son corps en se roulant dans les orties afin de combattre les tentations. C'était aussi un brave homme qui ne voulait absolument pas demeurer en conflit avec ses confrères, à tel point qu'il choisit d'être sincère sur son lit de mort pour être pardonné d'une infraction mineure. Juste avant de mourir, il a vu le Christ et les douze apôtres venir l'accompagner au ciel. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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