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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: hiver | winter | Winter | invierno | inverno
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0020 | TE003685 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 160 | Un homme héberge et réchauffe une couleuvre en hiver, afin qu’elle ne meure pas de froid. Après avoir été soignée, la couleuvre mord son bienfaiteur. |
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TC0020 | TE003618 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 93 | Une messe est miraculeusement suspendue jusqu’au retour d’une noble dame qui était allée donner sa pelisse fourrée à une indigente qui souffrait du froid. |
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TC0035 | TE006567 | anon. | British Library, Add. 27909B (fol. 4-11) : fol. 9, n° 43c, | Les paysans profitent de leur inactivité en hiver pour fertiliser la terre avec du fumier. Ainsi devraient agir les riches et fertiliser leur esprit pour qu’il redevienne fécond. |
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TC0142 | TE018701 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 27 | Un 23 février où il gelait, la foudre mit le feu à la tour saint André de Cologne. | |
TC0142 | TE019016 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 28 | Une noble demoiselle nommée Clémence vivait dans le monastère de Sainte Gertrude de Nivelles, faisant pénitence pour un péché charnel. Elle distribua toute sa fortune aux pauvres et ainsi resta, un hiver, sans argent et sans bon vêtement. Un jour, comme elle se tenait devant le tombeau de sainte Gertrude et se demandait comment elle pouvait la servir sans n'avoir rien à offrir. À ce moment-là, un pèlerin entra et lui jeta cinq sous, ce qu'elle prit pour un miracle. À la mort de Clémence, on trouva neuf ceintures de fer autour de son corps. |
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TC0142 | TE018733 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 59 | Un père de famille avait chez lui plusieurs nids d’hirondelles. Curieux de savoir où elles passaient l'hiver, il attacha à la patte de l’une d’elles un papier où il nota : « Où habites-tu en hiver ? ». Quand les hirondelles arrivèrent en Asie, un certain homme nommé Pierre remarqua le papier et écrivit la réponse : « En Asie, dans la maison de Pierre. » Le père de famille la reçut et divulgua cette histoire qu'il tenait pour un miracle. | |
TC0142 | TE018732 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 58 | L'hiver approchant, les cigognes habitant près de Cîteaux s'assemblèrent un jour au-dessus du champs où travaillaient les frères. Le prieur comprit qu'elles attendaient la bénédiction pour partir et la leur donna. | |
TC0157 | TE017325 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 86, p. 496, l. 10 – p. 497, | Le mouton, en automne, mange tant qu’il peut, comme s’il savait que vient l’hiver et qu’il n’aura plus de pâturage. L’éléphant, terreur du taureau, est effrayé par la souris, et le lion par le scorpion, qui peut le piquer et le tuer. Et l’éléphant, qui porte une tour et résiste aux assauts de la guerre, peut succomber à la chute d’un arbre contre lequel il s’appuyait. | |
TC0161 | TE017703 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : IX, 02 | COMMENT MÔSÔ, DE CHINE, FILIAL ENVERS SA VIEILLE MÈRE, OBTIENT EN HIVER DES POUSSES DE BAMBOUS.– Môsô nourrit sa vieille mère qui ne mange que des pousses de bambou. Mais pendant un hiver très rude, il n’en trouve plus et se lamente, craignant que sa mère ne meure. Trois pousses de bambou surgissent alors du sol. Môsô pense que le Ciel a récompensé sa sollicitude filiale. |
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TC0165 | TE018200 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 6, pp. 23-29 | Le maître des novices Acardus raconte sa rencontre avec l'ermite Schetzel, qui remonte à l'époque où il se trouvait à l'évêché de Trèves lors de la construction du monastère de Himmerod. Afin de martyriser sa propre chair, Schetzel vit seul et nu dans la forêt, mangeant très peu, pour l'amour de Dieu. Quatre ans avant sa mort, pendant un hiver beaucoup plus rude que les autres, il passe ses nuits dans la cour d'un homme pauvre et honnête, qu'il ne dérange en aucune façon, puis retourne chaque fois dans la forêt avant le lever du soleil. Parfois, il prend des miettes de pain qu'il garde dans un petit sac, qui est sa seule richesse. Saint Bernard en entend parler et charge Acardus d'aller avec d'autres moines pour saluer l'ermite et lui apporter de modestes présents, une tunique et des sandales. Après avoir évité les moines pendant quelques jours, Scheztel décide finalement d'accepter leur demande de rencontre, faite par l'intermédiaire de l'homme qui l'a accueilli. L'ermite accepte alors les présents, les enfile et les retire immédiatement après. Cela lui permet d'accepter les cadeaux de Bernard (qu'il remercie), sans pour autant les conserver. Frappés par l'affabilité et la bonté de l'homme, les moines lui demandent s'il a déjà subi les tentations de la chair, ou s'il a été dérangé par des démons. Schetzel sourit, affirme que personne n'échappe à la tentation, puis raconte une histoire. Une fois en hiver, nu comme à son habitude, il reçoit la neige envoyée par Dieu comme une couverture qui l'enveloppe complètement, à la seule exception d'une petite ouverture au niveau de son nez, pour respirer. Attiré par la chaleur, un lièvre s'approche de lui et s'assoit sur son visage. L'arrivée du petit animal prend l'ermite par surprise. Il sourit et se surprend à vouloir caresser l'animal, abandonnant ainsi sa concentration et son sérieux. D'un seul effort, Schetzel résiste à la tentation et laisse le lièvre en paix. C'est, dit-il, l'une des plus grandes tentations qu'il ait connues de toute sa vie. Schetzel a raconté cette histoire et d'autres semblables aux moines, avant de les saluer et de se recommander à Bernard. Acardus conclut en racontant le fort impact des paroles de l'ermite sur lui et ses frères, qui ont compris qu'ils n'étaient rien devant l'impressionnante perfection de Schetzel. Celui-ci, ayant prédit sa propre mort, il est à présent enterré au Luxembourg. |
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