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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: bienveillance | benevolence | Wohlwollen | benevolencia | benevolenza
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0020 | TE003540 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 15 | Un âne, voulant suivre l’exemple des chiens de son maitre, se montre prévenant envers ce dernier; mais si les chiens sont récompensés par le maître, l’âne, lui, est puni. | |
TC0158 | TE016933 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 408 [F] | Les huit devas.– Huit histoires concernant des hommes qui obtiennent de renaître dans la condition de deva pour avoir éprouvé des sentiments bienveillants envers le Buddha. Dans la quatrième, le Buddha, pour assurer un mérite à un homme qui est venu le chercher en char, consent à monter dans le char, au lieu de se transporter par quelque moyen surnaturel. |
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TC0158 | TE016926 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 407 [D] | Les sept libéralités.– Les sept libéralités sont : 1° la libéralité de la bonne vue par laquelle un homme regarde avec bienveillance son père et sa mère, ses maîtres et ses aînés, les çramanas et les brahmanes; 2° la libéralité de l'air avenant qui consiste a avoir l'air avenant envers ces mêmes personnes; 3° la libéralité du langage aimable; 4° la libéralité des attitudes prévenantes; 5° la libéralité des sentiments généreux; 6° la libéralité qui consiste à offrir des lits et des sièges pour s'asseoir; 7° la libéralité qui consiste à laisser libre accès dans la maison où l'on habite. |
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TC0158 | TE016474 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 47 | L'homme tombé dans un ravin qui, sauvé par un singe, le tue pour le manger.– Un singe a sauvé, au péril de sa vie, un homme qui était tombé au fond d'un ravin; épuisé de fatigue, il s'endort; l'homme le tue pour satisfaire son appétit. | |
TC0158 | TE016788 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 335 | Le bœuf noir à cornes courbes.– Un homme a parié que son bœuf tirerait une lourde charge jusqu'au sommet d'une côte; il perd son enjeu parce qu'il a injurié son bœuf, mais il le regagne au double lorsqu'il encourage son bœuf par des louanges. | |
TC0158 | TE016978 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 436 | Le jeune homme converti par sa mère.– Un jeune homme qui se conduisait mal est converti par sa mère qui lui enseigne à pratiquer l'affabilité. Devenu ministre du roi, il réconcilie ce dernier avec un autre roi. |
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TC0158 | TE016563 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 123 | Un seul pépin suffit pour produire un grand arbre.– A un homme qui conteste qu'une bonne action puisse recevoir des récompenses immenses, le Buddha répond en montrant qu'un arbre colossal est issu d'une toute petite graine. | |
TC0158 | TE016483 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 56 | Le roi-singe qui fait traverser une rivière à cinq cents singes.– Le Bodhisattva, étant un roi-singe, sauve cinq cents singes en leur faisant traverser une rivière sur un pont improvisé formé d'une corde de rotin et de son propre corps. Il se livre au roi du pays pour que celui-ci pardonne aux autres singes d'avoir volé des fruits dans son parc. Le roi, admirant qu'un animal ait des sentiments supérieurs aux siens, ordonne qu'on nourrisse les singes dans son royaume et que dorénavant on ne leur fasse aucun mal (cf. t. I, nos 18 et 57). | |
TC0158 | TE016478 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 51 | Le tigre qui a avalé un os et le passereau qui le lui retire de la gorge.– Après avoir délivré le tigre d'un os qui s'était mis en travers de sa gorge, le passereau l'engage à ne plus tuer d'êtres vivants : le tigre lui répond qu'il a bien de la chance d'avoir pu s'échapper de sa gueule. | |
TC0158 | TE016484 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 57 | Le roi-cerf qui fait un pont de son corps pour sauver d'autres cerfs.– Une troupe de cinq cents cerfs se trouve cernée; le roi des cerfs se place sur la corde qui les enserre et fait échapper tous les autres cerfs qui passent sur son dos. Le roi des hommes, touché de son dévouement, renonce à la chasse (cf. n° 18, et n° 56). | |
TC0163 | TE018064 | Kamo no Chomei | Hosshinshū (Récits de l'éveil du cœur) [tr. Pigeot, 2014] : 2. | LE CONTRÔLEUR MONACAL GENBIN EST AU SERVICE D'UN ADMINISTRATEUR DE DISTRICT AU PAYS D'IGA.– Genbin se présentant comme un pauvre moine est engagé par un administrateur du pays d’Iga, qu’il sert avec diligence durant trois années. Ce maître, sous le coup d’une accusation, se voit chasser du pays où il est établi depuis plusieurs générations. Le moine, informé de cette situation propose à l’administrateur de monter à la capitale et de s’expliquer auprès du gouverneur. Le moine ajoute qu’il connaît un homme dans l’entourage du gouverneur à qui il pourrait parler. L’administrateur accepte et se rend à la capitale avec le moine. Ce dernier, voulant montrer bonne figure, demande à son maître de lui prêter des vêtements pour entrer dans la résidence. Là, tous se précipitent, et s’agenouillent devant le moine en signe de respect. Le grand conseiller le presse de questions sur son absence, mais le moine dit qu’il est venu pour une affaire particulière. Il demande la grâce pour son maître à qui il est très attaché. Le conseiller, sans demander aucune explication, prend immédiatement un arrêté qui confère à l’administrateur une position encore plus avantageuse qu’auparavant. De retour près de l’homme de l’Iga complètement stupéfait, le moine dépose l’arrêté sur les vêtements prêtés, et disparaît.rnrn |
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TC0163 | TE018130 | Kamo no Chomei | Hosshinshū (Récits de l'éveil du cœur) [tr. Pigeot, 2014] : 64. | UNE SUIVANTE DU PALAIS DE L’IMPÉRATRICE ÉPROUVE DU CHAGRIN LORSQUE DISPARAÎT LE RECTEUR MONACAL DE L’ICHIJÔ-JI.– Après le décès du recteur monacal du monastère de lIchijô-ji, lors de l’office de clôture, la dernière cérémonie de deuil, une jeune femme ne cesse de pleurer. Certains participants trouvent sa conduite inadmissible et veulent la chasser, alors que d’autres sont plutôt curieux d’obtenir une explication. Quelqu’un finit par l’aborder pour la questionner. La femme explique qu’elle a bénéficié de la compassion du révérend recteur quand celui-ci l’a recueillie, alors qu’enfant elle avait été abandonnée et gisait sur les bords d’une rivière. Le révérend l’a confiée à des parents adoptifs qui l’ont élevée. Mais ils sont décédés tous deux quand elle avait treize ans. Après quelques années d’errance, elle finit par entrer au palais de l’impératrice comme servante. Elle ne se sent plus délaissée sous la protection de ce haut personnage, mais ignorant tout de ses parents géniteurs, et souffrant de la mort de ses parents nourriciers, elle ressent une reconnaissance infinie à l’égard du révérend. C’est grâce à lui qu’elle est devenue une personne à part entière. Elle ne savait que faire pour le remercier. Sa condition de femme l’empêchait de se mettre à son service. Parfois elle l’apercevait au-loin et ressentait un immense bonheur. Quand elle a appris son décès, elle a eu l’impression que le monde l’avait plongée dans le noir et que sa vie était terminée. Alors elle s’est absentée du palais en prétextant un empêchement pour assister à cette cérémonie de l’office de clôture. Elle éclate ensuite en sanglots et tous, même ceux qui se montraient méfiants, sont saisis de pitié et versent des larmes. Ainsi une faible femme est douée d’une sensibilité assez profonde pour conserver le souvenir d’un bienfait. C’est ce que fait aussi un personnage qui porte toute sa vie un vêtement qu’il a pris pour le deuil de sa majesté l’empereur Murakami. |
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