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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: rançon | ransom | Lösegeld | rescate | riscatto
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0138 | TE019579 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 454 | Le fils cadet plus loyal que l’aîné reçoit l’héritage paternel. | |
TC0138 | TE020062 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 923 | Dieu choisi comme garant pour le versement d'un rançon. | |
TC0139 | TE016045 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 129 pp.88-90. du texte hébreu | Rabbi Pinhas ben Yaïr était en chemin pour payer la rançon de prisonniers, il arriva à une rivière du nom de Ginaï, et lui ordonna de s’ouvrir pour le laisser passer, mais la rivière refusa. Il la menaça de tarir à jamais ses flots et elle s’ouvrit, puis à sa demande deux fois encore pour deux de ses compagnons de voyage. Rabbi José dit de lui qu’il était encore plus grand que Moïse pour lequel la mer ne s’ouvrit qu’une seule fois et pour tout le peuple d’Israël. Arrivé à une auberge avec son âne, ce dernier refusa de manger l’avoine qu’on lui servit. Rabbi Pinhas dit alors à l’aubergiste qu’il n’avait pas payé la dîme sur l’avoine et que l’âne refusait de le manger pour cette raison. ~ Rabbi Pinhas avait pour principe de ne jamais manger à la table des autres de crainte de les faire dépenser un argent qu’ils ne possédaient pas. Mais il promit à Rabbi (autre rabbin connu) sur sa route de dîner chez lui à son retour. Il vit alors des mules blanches dans son étable, et pensant qu’elles étaient dangereuses, il tenta de se désister. Dieu fit pousser une montagne entre Rabbi et lui, pour qu’ils ne puissent se rencontrer. |
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TC0142 | TE018786 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 28 | Un jeune chevalier fut capturé par ses ennemis. Il promit de payer la rançon et attendit sa libération, toujours enchaîné et surveillé. Une nuit, après avoir prié la Vierge Marie, il se vit en rêve dans l'abbaye de Heisterbach. Il voulait en sortir, mais les moines lui dirent : « Ne sortez pas, mais revenez, car la Vierge Marie vous libérera ». En se réveillant, il trouva que les chaînes qui le retenaient étaient rompues et il put s'évader. Pour remercier la Vierge, il présenta à l'abbaye de Heisterbach ses chaînes de prisonnier et raconta l'histoire de sa libération miraculeuse. |
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TC0148 | TE015543 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 1148 | UN ROI PUNIT SON FILS INGRAT. — Un roi, possesseur d’une cité inexpugnable avait deux fils dont l’aîné, héritier présomptif du royaume, fut capturé par les Sarrasins. Son père le délivra, lui donna beaucoup d’argent et une grande partie des territoires du cadet. Les Sarrasins attaquèrent alors les territoires du roi qui fit appel à l’aîné. Ce dernier méprisa ses appels et se moqua de son frère cadet, pauvre et sans grandes ressources, venu cependant porter secours à son père. En dépit de toutes les objurgations, l’aîné refusa de venir. Son père, vainqueur des ennemis, le déshérita et le mit en prison. | |
TC0158 | TE016522 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 92 | La rançon du çramana.– Un çramana, retenu prisonnier par le roi et employé comme chanteur à sa cour, est délivré par un upâsaka qui paie pour sa rançon trente millions de pièces de monnaie. Mais l'upâsaka n'a fait ainsi qu'acquitter, avec les intérêts accumulés, une dette de trois pièces de monnaie qu'il avait contractée dans une existence antérieure. |
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