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TC0020 | TE003774 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 249 | Le corbeau envieux des plumes colorées des autres oiseaux se dépouille de son plumage pour se revêtir de leurs plumes, mais le roi des oiseaux ordonne de déplumer le corbeau. |
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TC0124 | TE014528 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : XII, 11 [179] | Le diable déguisé en moine conseilla à saint Antoine de préserver sa santé en modérant ses jeûnes. | |
TC0134 | TE013970 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 292a-b | Le roi Codrus, menacé par ses ennemis, reçoit un oracle d’Apollon selon lequel son armée obtiendra la victoire si lui-même se fait tuer par ses ennemis. Sachant qu’aucun de ceux-ci ne le toucherait à cause de cet oracle, Codrus change de vêtement pour entrer incognito dans la bataille où il est tué. Quand ils reconnaissent le corps du roi, les ennemis s’enfuient. | |
TC0137 | TE012841 | Philippe de Ferrare | Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998] : 356 | Un enfant tué par le diable est ressuscité par saint Pierre et saint Paul. Chez les romains il était d’usage qu’à la veille de Noël on donne à manger aux pauvres, mais un riche ne trouva aucun pauvre, sauf un qui se révèla être un diable déguisé en pauvre, et qui jeta dans le chaudron le fils de l’hôte. L’enfant mort fut caché par la mère dans un coffre. Le jour suivant l’homme amèna à la maison deux pauvres qui demandèrent le contenu du coffre; quand ils l’ouvrirent ils trouvèrent l’enfant vivant et les deux se presentèrent comme saint Pierre et saint Paul. |
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TC0148 | TE015301 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 909 | LA LÉGENDE DE SAINTE PÉLAGIE. — Un concile était réuni à Antioche. Durant l’une des séances, une courtisane magnifiquement ornée, entourée d’une foule de jeunes gens et de jeunes filles, apparut, ravissant à elle tous les regards. Les évêques détournèrent les yeux mais Nonnus, évêque d’Héliopolis, la regarda longuement, fondit en pleurs et demanda aux évêques s’ils l’avaient regardée et s’ils en avaient tiré du plaisir. Devant leur silence, il leur déclara que Dieu préfèrerait lors du jugement dernier cette femme qui ornait son corps pour les mortels, alors qu’ils négligeaient, eux, le céleste époux. Rentrant chez lui, il tomba sur le sol et fit un songe. Une colombe noire et sale vint voltiger autour de lui pendant sa messe. Il demanda aux catéchumènes de se retirer. De retour chez lui, il la plongea dans un vase rempli d’eau d’où elle sortit toute blanche elle s’envola si haut qu’on ne put la voir. Nonnus prêcha le lendemain au concile et Pélagie, touchée par ses paroles, lui fit parvenir une lettre annonçant son intention de se repentir. Nonnus par crainte de la tentation, l’invita à se présenter devant tous les évêques réunis. Pélagie y vint, se prosterna, en pleurs, aux pieds de Nonnus qui, l’ayant écoutée, la baptisa, à la plus grande fureur du diable. Trois ans plus tard, comme un familier de Nonnus, se rendait à Jérusalem, l’évêque lui demanda d’aller saluer un moine nommé Pélage. Il le fit, mais sans reconnaître Pélagie qui lui dit de revenir après avoir fait toutes ses visites. De retour et n’entendant nulle réponse, il enfonça la fenêtre et la découvrit morte. Les moines s’aperçurent que c?était une femme. Le clerc s’en revint annoncer la nouvelle à Nonnus qui rendit grâce a Dieu. |
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TC0160 | TE017423 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n°107 | LA LÉGENDE DE SAINTE PÉLAGIE – Un concile était réuni à Antioche. Durant l’une des séances, une courtisane magnifiquement ornée, entourée d’une foule de jeunes gens et de jeunes filles, apparut, ravissant à elle tous les regards. Les évêques détournèrent les yeux mais Nonnus, évêque d’Héliopolis, la regarda longuement, fondit en pleurs et demanda aux évêques s’ils l’avaient regardée et s’ils en avaient tiré du plaisir. Devant leur silence, il leur déclara que Dieu préfèrerait lors du jugement dernier cette femme qui ornait son corps pour les mortels, alors qu’ils négligeaient, eux, le céleste époux. Rentrant chez lui, il tomba sur le sol et fit un songe. Une colombe noire et sale vint voltiger autour de lui pendant sa messe. Il demanda aux catéchumènes de se retirer. De retour chez lui, il la plongea dans un vase rempli d’eau d’où elle sortit toute blanche elle s’envola si haut qu’on ne put la voir. Nonnus prêcha le lendemain au concile et Pélagie, touchée par ses paroles, lui fit parvenir une lettre annonçant son intention de se repentir. Nonnus par crainte de la tentation, l’invita à se présenter devant tous les évêques réunis. Pélagie y vint, se prosterna, en pleurs, aux pieds de Nonnus qui, l’ayant écoutée, la baptisa, à la plus grande fureur du diable. Trois ans plus tard, comme un familier de Nonnus, se rendait à Jérusalem, l’évêque lui demanda d’aller saluer un moine nommé Pélage. Il le fit, mais sans reconnaître Pélagie qui lui dit de revenir après avoir fait toutes ses visites. De retour et n’entendant nulle réponse, il enfonça la fenêtre et la découvrit morte. Les moines s’aperçurent que c’était une femme. Le clerc s’en revint annoncer la nouvelle à Nonnus qui rendit grâce à Dieu. |
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