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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0020 | TE003533 | Jacobus Vitriacensis | Sermones vulgares [Crane, 1890] : 8 | Un roi fait assoir sur un siège branlant un homme qui se croyait heureux, une épée suspendue au-dessus de la tête et un feu à ses pieds, afin de lui montrer qu’on ne peut être heureux dans de telles conditions. | |
TC0106 | TE016013 | Humbertus de Romanis | De dono timoris [Boyer, 2008] : 271 | LE ROI QUI NE RIAIT JAMAIS. — Un roi est critiqué par l’un de ses amis parce qu’il ne rit jamais. Il lui prépare alors en guise de réponse une chaise vermoulue installée sur une fournaise et surmontée d’une épée mal attachée. Il fit placer sur cette chaise son ami, entouré d’hommes en armes, et lui fit servir des plats délicieux, en compagnie de jongleurs. Comme l’ami n’arrive pas à se distraire dans cette situation, le roi lui explique que lui non plus ne peut se divertir, puisqu’il se sait cerné par ses péchés, l’adversité, l’enfer et la sentence divine. | |
TC0134 | TE013016 | Jacobus de Voragine | Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760] : p. 203a | Un homme dit que le tyran Denys est heureux parce qu’il est riche est puissant. Denys le fait asseoir sur un trône d’or, lui fait apporter des délices à manger, et fait suspendre une épée au-dessus de la tête de cet homme. Ce dernier, effrayé, ne peut pas manger. Denys lui dit : " Voilà ma vie que tu estimais heureuse !" . | |
TC0160 | TE017286 | anon. | Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard] : n° 61 | Un roi, qui a pour habitude d'organiser de belles fêtes, reste pourtant sombre et sans joie. Il ne rit plus depuis qu'il a connaissance de la puissance de Notre Seigneur, de sa passion et de l'état du monde. Un jour, une grande fête est organisée au royaume. Le roi, comme à l'accoutumée, quitte la fête après le dîner pour se réfugier dans son oratoire prier Dieu. Son frère fait alors tout le contraire du roi et encourage les invités à danser. Il précise qu'il ne tient pas compte de son frère le roi et que ce dernier est un papelard. Cette parole est rapportée au roi qui convoque son frère afin de lui demander pourquoi il a tenu de tels propos. Le frère avoue au roi la vérité et lui dit qu'il est trop jeune et trop beau pour ne pas profiter des plaisirs du monde et pour passer son temps à vivre en pénitences. Le roi propose à son frère de lui montrer l'état de sa vie. Il fait alors installer une chaise bien haute sur 2 étages avec au-dessus une lance en fer très aigüe et fort taillée, puis sur les côtés de la chaise 2 épées tranchantes. Le roi fait monter son frère sur la chaise et fait allumer un grand feu sous la chaise. Puis il fait monter un grand nombre de jeunes hommes sur une estrade près de son frère et leur ordonne de sonner du cor. Il s'adresse alors à son frère en lui demandant de danser et de prendre du plaisir au son du cor. Mais le frère lui répond qu'il n'a aucune envie de danser ni de s'amuser car il est assis sur une chaise périlleuse. Il supplie le roi de le faire descendre et ce qu'il fait immédiatement. Alors le roi explique à son frère que maintenant il a conscience de l'état de sa vie : chaque jour, il est en grand péril et il est assis sur la chaise de la fragilité humaine ; les épées représentent l'horreur de ses péchés qui l'accuseront et le feront mourir ; quant à la lance, c'est le jugement de Notre Seigneur et le feu symbolise l'enfer. A ces mots, le frère du roi décide de mener une vie sainte et de faire encore plus d'abstinences que le roi lui-même. |
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